La stagiaire de l'accueil

Nous recevons régulièrement des stagiaires en secrétariat dans notre entreprise.
Ces dernières semaines nous recevons une stagiaire un peu plus âgé que de coutume, à peine trente ans, mais d'habitude c'est plus de l'ordre d'une petite vingtaine d'années.
Elle n'est pas non plus, vraiment à mon goût, moyennement grande 1m60, assez Ronde, un bon petit ventre et une grosse paire de seins.
Elle est assez gentille, nous avons appris à faire connaissance lors des repas à la cafette.
J'ai tout de suite senti que je lui plaisais, alors pour pas lui donner de faux espoir, je finis par écourter le mieux que je pouvais les conversations.
Nous sommes mercredi, ce jour là tout l'étage de direction est vide dans notre entreprise, à 95 pour cent composé de femme. En fait je suis le seul mec à l'étage !
Pourquoi vide, et bien ces dames ont décidé de se mettre au 35 heures et de ne pas travailler le mercredi après midi!(humour)
Mon bureau est juste à côté du copieur, séparé par une grande vitre à mi hauteur du mur pour laisser passer la lumière et limiter le bruit.
Je vois toutes les allées et venues au copieur.
Donc ce jour là je suis comme tous les mercredis seul à l'étage.
Je remarque rapidement les voyages réguliers de la stagiaires au copieur, je pense même quelle en profite pour me mater.
Je l'imagine en train de se toucher en me regardant.
Cette pensée bizarrement me fait bander tout doucement, je sens ma queue gonflée, ma tête chauffe... je suis excité par cette femme ronde ? Je viens même à m'imaginer la prendre comme Eliette (la femme de ménage, voir épisode précédent).
Mon érection dur encore, je sens le pré-sperme au bout de ma queue.
Tout à coup la stagiaire (dont je ne connais toujours pas le nom) entre dans mon bureau.
- bonjour Monsieur, c'est à vous ces feuilles dans le copieur?
- probablement oui, merci

Je me lève légèrement de ma chaise par réflexe pour prendre les documents et je la voit directement poser son regard vers mon entre jambe et la bosse formée par mon sexe en demi érection maintenant.
Et moi pendant qu'elle se penche en-avant j'en profite pour mater sa paire de seins... ils sont énorme!
Cet première "joute" de regard ne dur que quelques secondes mais suffisamment pour vous donner à chacun des indices sur nos pensées à ce moment là.
L'après-midi continu, dès que j'entends le copieur se mettre en marche, je lance moi aussi des copies, pour me retrouver proche de la stagiaire, d'autant plus que la zone où est placée l appareil est très exigu.
Comme prévu, elle arrive juste après moi. Elle sourit, je lui rend son sourire, je n'essaye même plus de cacher mon érection qui se déclenche dans mon pantalon.
Du fait de sa corpulence nous nous croisons en nous frôlant, je sens son ventre se frotter contre mes fesses, et aussi une main baladeuses, légèrement me frôler,....
- pardon me dit elle..
Je lui réponds pas de problème.
Elle est devant le copieur, mon regard se fixe sur ses seins.
Elle doit sentir mon regard sur son lourd décolleté, alors, elle entreprends de réajuster son haut et passe légèrement, furtivement ses mes mains sur le haut de ses seins.
Ses copies arrivent à terme, nous nous recroisons, mais cette fois je reste de face.
Mes mains se posent de chaque côté de sa poitrine, tandis que les siennes se pose sur mes hanches.
Je sens ses grosses mamelles toutes proches, je ne peux m'empêcher d'en toucher la base.
Elle s'arrête face à moi, et attrape tout mon paquet entre mes jambes. Elle sent que je bande.
ça ne dur encore que quelques secondes, puis elle me lâche et s'en va.
Je la regarde partir. Je vois son cul au travers de son jean. C'est plat, ces hanches son large, ce n'est pas un Canon de beauté, mais je suis excité.
Nouvelle mise en route du copieur, je me lève et rejoins le coin copieur.
La stagiaire arrive, elle se jette littéralement sur moi. Elle défait ma boucle de ceinture, ma braguette et saisie mon membre.
J'en profite pour baisser les bretelles de son haut et de faire sortir ses énormes seins de son soutien-gorge. Je lui lèche les seins vigoureusement, il y a tellement à manger.... ses tétons son énorme... on dirait de gros clitoris avec des auréoles brunes géantes tout autour.
Pendant ce temps ça main fait des. vas et viens sur mon sexe....
Les copies se terminent, elle lâche ma queue, je libère ses seins.... nous avons tout deux compris l'excitation de ce jeux.
Deux nouvelles fois nous recommençons se petit manège, la quatrième fois, elle entreprant de me sucer. Elle enfourne toute ma queue dans sa bouche, mes boules vienne s'appuyer sur son menton.... je n en crois pas mes yeux, c'est une première pour moi. Je sens mon gland frotter sa gorge, puis sa ressort, et une nouvelle fois elle l'enfonce profondément....
Quelle fellation, elle s'applique à me faire ressentir tour son intérieur. Elle prend tellement de plaisir.... je sens que je vais jouir, j'attrape ça tête et enfonce une dernière fois ma queue au fond de sa gorge pour projeter mon jus directement au fond..... elle est obligée de s'écarter de moi, il lui est impossible de tout avaler.
Je sors ma queue de sa bouche et fini de reprendre mon sperme sur ses énormes seins.
Elle se lève ensuite, se rhabille, prend ses copies, s’essuie les seins avec un petits mouchoirs avant de prendre ses feuilles et de retourner en bas comme si de rien n'était.
De mon coté pareil, je retourne dans mon bureau. Je n'arrive pas à ôter de ma tête cette vision de mon sexe pénétrant entièrement la gorge de la stagiaire...

Nouvelles copies!? Ça fait à peine 5 minutes qu'elle s'est occupée de moi?
Je vois la stagiaire passer devant la vitre, elle me regarde sort ses seins et les colles contre le carreau tout en les malaxant.
Elle me fait à nouveau bander, je suis gêné de la situation, ça n en finira plus...
Elle remet ses seins dans son décolleté, fait le tour pour venir dans mon bureau. Elle frappe, entre et défait les boutons et la glissière de son pantalon. A ma grande surprise elle ne porte pas... ou plus de culotte. Elle soulève légèrement son ventre pour bien me laisser voir son énorme vagin bien rasé. Ses petites lèvres débordant de ses grosses lèvres.

Viens me baiser!
- ça craint on pourrait nous voir.
- on pouvait nous voir aussi pendant que je te suçait profondément ? Alors viens me baiser si te plaît, je veux sentir ta queue en moi.

Elle se retourne me montre son cul et soulève une jambe qu'elle pose sur un fauteuil a coté de mon entrée de bureau.
Je bande encore impossible de résister. Je m'approche d'elle, sort ma queue de mon pantalon. Je dirige ma queue vers son cul d'une main et de l'autre je soulève son haut et fait sortir ses seins de son soutien gorge une nouvelle fois.
Ma queue trouve rapidement son chemin dans sa fente, je suis tellement excité de pouvoir peloter des seins aussi gros que mon sexe se dresse en elle. Je fais des vas et viens en faisant attention de ne pas frapper trop fort mon bassin sur ses fesses. La stagiaire de son côté, pousse des petits gémissements. D'une main elle écarte une de ses fesses et de l'autre elle se tient au montant de la porte. Sa cyprine afflue de son vagin et coule le long de ses jambes à chaque retour de ma queue. C'est tellement lubrifié tellement doux... je n'en peux plus.
- je vais jouir, c'est trop bon..
- oui vas y encore, baise moi.
- j'ai envie de jouir sur te seins
- oui, humm je veux sentir ton jus sur mon corps...
je sors mon sexe de sa chatte. Elle se retourne, s'accroupit devant moi et en un instant je me décharge entre et sur ses gros seins. Elle approche ses seins de sa bouche pour poser sa langue sur mon sperme. Elle me regarde en aspirant mon jus. Je fais coulisser ma queue entre ses seins, ce qui a pour effet de me maintenir une érection, mon sperme ayant lubrifier ses seins.
Voyant mon excitation, elle penche sa tête en avant et fait entrer mon gland dans sa bouche des que celui ci apparaît de ses seins. Ma première vrai branlette espagnol commence.
- tu les aimes mes seins mon cochon... je t'ai vu depuis le début les mater...
- oui, ils sont énormes, ils me font bander et encore plus maintenant qu'ils me branle la queue.
- j'ai encore envie que tu me baises.... encule moi...
Sur ces mots elle se retourne, se penche en avant en écartant ses fesses pour faire apparaître son deuxième trou.
Sa chatte coule de cyprine.
Je prends son jus pour lubrifier son anus, elle me regarde se mord les lèvres et me dit: n'hésite pas encule moi tout de suite, je veux sentir ta queue dans mon cul serré.
Je n'en reviens pas d'être en train de baiser avec la stagiaire, encore plus de me lancer dans une sodomie dans l'encadrure de la porte de mon bureau, n'importent qui des bureaux d'en bas pourrait monter...
Enfin, vu qu'elle veut se sentir pénétrée par-derrière, je vais lui donner ce qu'elle veut.
J'approche mon gland de son petit trou, ma queue est raide comme jamais. Au contact de ma queue, elle se retourne à nouveau et me regarde avec un rictus, de douleur, mais aussi d'envie. Elle ouvre la bouche comme pour crier quand mon bout s'appuie sur son cul et commence à s'enfoncer. Elle tire encore sur ses fesses pour écarter son petit trou qui ne va pas tarder à être dilaté.
Ma queue s'enfonce, la pression fait s'appuyer sa tête contre le montant de la porte, elle se met une main devant la bouche, je reviens en arrière pour encore mieux la pénétrer. Je récupère son jus pour lubrifier ma queue à chaque passage.
Les vas et viens se font de plus en plus rapide, la stagiaire commence à se détendre, elle commence même à faire elle-même les vas et viens. Elle en est pas à sa première sodomie ça c'est sûr.
Ses seins se balancent d'avant en arrière de manière totalement désordonné tellement ils sont gros.
De temps à autre je sors ma queue de son cul pour voir son anneau dilaté. Je plonge ma langue a l'intérieur, ce qui la fait gémir, jusqu'à ce que son trou commence à se refermer et là je reprends ma pénétration.
Mes vas et viens sont profonds, mes boules touchent ses fesses à chaque fois, je ne vais pas tenir, je vais jouir...
Elle a du lire dans mes pensées, elle me regarde par dessus son épaule, son visage est rouge, elle me dit doucement: c'est bon vas y encore, oui je vais jouir, encule moi... oui....
Elle accélère elle-même le mouvement, jusqu'à jouir en gémissant... je continue mes pénétrations pour jouir à mon tour avant la fin de son orgasme.... je la rempli de mon sperme par grand jets,... comme si j'étais en train d'uriner en elle....
Apres quelques secondes passées dans son cul, je sors mon sexe. Son trou reste ouvert un instant le sperme s'évacue lentement en coulant jusqu'à sa chatte.

Elle se redresse, passe sa main entre ses cuisses, pour récupérer un peu de mon sperme qu'elle porte à ça bouche.... une vrai cochonne... elle est encore excitée, c'est dingue.

Elle commence ensuite à remonter son pantalon, après avoir placé un mouchoir entre ses cuisses pour ne pas se tâcher de sperme, puis elle repart travailler....

Le lendemain, la stagiaire n'était plus là, c'était son dernier jour de stage... Isabelle son prénom!