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La vengeance d'une brune

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Lue : 1380 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/06/2021

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Il est dix huit heures quand je quitte l’hôtel, ou je viens de passer une après-midi sulfureuse avec Sydney, ma secrétaire. C’est une bombe au lit, s’offrant sans retenue, bravant tous les interdits.
J’ai souvent fantasmé de la voir au lit avec Cindy, ma ravissante épouse.
Je l’imagine hurler de plaisir, sous le joug vicieux de ma maîtresse.

J’arrive à la maison vers dix neuf heures, après une rude journée de travail, et de baise. Je suis fatigué physiquement.
J’entends Cindy dans la cuisine, fredonner une chanson en espagnol.
Je pose ma serviette à l’entrée, accroche mon manteau, et me dirige à la cuisine.
Elle m’accueille avec un large sourire, et les yeux coquins. Elle tend les bras, les enroule autour de mon cou, me donne un tendre baiser.
Elle me demande comment c’est passé ma journée, et compris à ma réponse fuyante, que je ne suis pas serein.
Ne se douterai-t-elle pas de quelques chose. Très peu probable, car nôtre relation avec Sydney, est plutôt verrouillée.

-Le dîner n’est pas encore prêt mon chéri, pourquoi n’irais-tu pas prendre une bonne douche. J’ouvrirai une bonne bouteille de vin.
-Je peux très bien me doucher après, mon amour. Je vais mettre la table.

Pendant le repas, Cindy me pose un tas de questions sur ma journée. Elle me dit qu’elle a appelé plusieurs fois. Mais on lui répondais toujours, que j’étais en réunion. Je la rassurai en lui disant qu’on travaillait sur un important marché. Je lu un sourire suspicieux sur ses lèvres.

-Aller mon amour, je vais prendre une douche.
-OK mon chéri, je t’attends à la chambre..

L’eau chaude est très apaisante et relaxante. Pendant un instant, j’imaginais les doigts de Sydney dans la chatte de Cindy, ses lèvres aspirer le clitoris, qui la faisait gémir de plaisir. Je fermais les yeux, laissant échapper quelques sourires coquins.
J’ai attrapé une serviette, essuyé mon corps et mes cheveux.
J’ai enfilé un peignoir, et ouvert la porte de nôtre chambre. Je restais cloué sur place.
Un certains nombre de bougies étaient allumées, tandis que le plafonnier était éteint. Dans la pénombre, je remarque Cindy, assise sur une chaise.
Elle se leva, et m’a souri. Elle m’apporta deux verres de vin, m’en tendit un, alors que le sien était déjà à moitié vide.
Elle portait un beau caraco en soie blanche, et une culotte assortie. Les deux moulaient son superbe corps. Mon cœur se mit à battre plus fort, et je pris une longue gorgée de vin rouge.
Elle me regarda dans les yeux, toujours souriante, et finit son verre, qu’elle posa sur la table. Elle vint se blottir contre moi. Ses mains sont descendus sur la ceinture du peignoir, l’ont ouvert. Une main s’échappa pour prendre mes fesses, tandis que l’autre trouva ma virilité. Alors qu’elle me massait doucement, elle se hissa sur la pointe des pieds, et ses lèvres trouvèrent les miennes.
C’était très chaleureux, grisant et intense. Le goût de ses lèvres, de sa langue, le parfum de ses cheveux noirs, ses seins contre ma poitrine, sa main douce excitant ma queue.
Elle rompit le baiser, me regarda dans les yeux, se lécha les lèvres. Elle baissa les yeux sur sa main caressant mon membre en érection. Elle tendit l’autre main, saisit mes couilles en coupe, les massant lentement et doucement.
Avec un regard sensuel, sa langue glissa à nouveau sur ses lèvres, telle une affamée. Je n’aurai pas pu être plus excité qu’à ce moment là. Le regard bleu dans les yeux de ma ravissante épouse, le mouvement rythmé de sa main sur moi, le bout des seins qui tendaient la soie du caraco... c’en était trop.

-Je te veux tellement en ce moment, souffla-t-elle. Mais je sens que tu as besoin de quelque chose de spécial ce soir.

Elle me prit la main, et avec un sourire espiègle, me conduisit jusqu’à la chaise. Elle prit un oreiller sur le lit, et le jeta au sol, devant moi. Elle grimpa sur moi, m’embrassa profondément sur la bouche.
J’ai senti sa langue sonder la mienne, et j’ai adoré la force de ses lèvres, quand elle les déplaçait sur les miennes. Je n’avais qu’une main de libre, mais j’en profitais au maximum, palpant ses généreuses fesses, puis serrant un sein le coup suivant. Elle termina le baiser, en me mordant les lèvres. Cindy a baissé un coin de son haut en soie, libérant un sein, proposa son mamelon à ma bouche. Je la suçais, le mordillait légèrement, savourant le goût de sa peau. J’ai senti le souffle chaud de ses lèvres frôlait mon oreille, et me murmurer.

-Ce soir, tu peux venir dans ma bouche.
-T’es sure de vouloir...tu me l’as toujours refuser.
-Mais ce soir, j’ai envie de goûter...

L’entendre tenir de tel propos, elle qui m’a toujours refusé cette faveur. Elle glissa vers le bas, finit d’ouvrir mon peignoir, et s’agenouilla sur le coussin.
Cindy semblait étudier attentivement ma queue en érection. Ses doigts glissaient légèrement de haut en bas. Doucement, l’un des doigt fit des petits cercles autour de mon gland. Elle leva les yeux, me sourit d’un air méchant. Alors qu’elle commençait à me caresser, elle pencha la tête. J’ai senti sa langue lécher mes couilles, jouer avec elles. Je me pencha en arrière, ferma les yeux, tendant la main pour caresser sa tête de manière encourageante.
Après avoir donné à mes testicules, l’attention dont elles avaient besoin, elle porta son attention vers ma queue. En commençant par la base, elle a léché longuement le dessous de ma hampe. Sa langue sortit, fit des mouvements circulaires autour de mon gland. Pendant un moment, elle le taquina, puis elle sut que le moment était venu. Elle embrassa mon bout décalotté, et le fit disparaître dans sa bouche.
Le résultat était divin. Elle suçait, créant un vide qui me tenait chaud comme un gant. Sa bouche était tiède et humide, ses lèvres douces et pulpeuses. Je vivais un instant incroyable.
De temps en temps, elle levait ses yeux bleus pétillant, évaluant mon niveau de plaisir. Je sentis vibrer ma bite, quand elle accéléra. Elle avait une capacité remarquable de m’emmener jusqu’au bout, et le faisait à chaque succion. Je suivait la scène avec admiration. Cindy, jusque là réticente, me taillait une pipe d’enfer, digne d’un meilleur porno.
J’adorais regarder sa tête bouger de bas en haut, ses cheveux bruns frôlant mes cuisses. C’est comme si elle me faisait l’amour avec sa bouche. A ce rythme, je n’allais pas tenir longtemps. Je sentis la jouissance monter en moi, et Cindy le senti aussi. Un train de plaisir envahit tout mon corps, ma queue resta figée dans sa bouche, se vidant abondemment. Tout mon être prit une décharge électrique. Elle me suça profondément, avalant tout mon sperme.
Je pouvais sentir les mouvements de sa gorge lorsqu’elle avaler. Mon corps convulsa une, deux fois, je sais plu. ’Elle se releva, essuyant ses lèvres sur les miennes.

-Tu te sens mieux mon chéri.
-Oh...si tu savais.
-Je pense que je devrais te sucer plus souvent, dit-elle en souriant.
-Tout à fait d’accord, mon amour.
-Tu sais quoi, je vais te baiser comme jamais...toute la nuit..

Sur ces mots, elle ôta caraco et culotte, m’enfourcha, et s’empala sur ma queue toujours en érection. Elle ne put retenir un soupir de plaisir.
Cindy se transforma en bête de sexe, se cambra sous les coups de boutoirs, qua ma queue propulsait en elle. Elle atteignit rapidement l’orgasme, mais continua sa chevauché frénétique, rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Profitant de son hystérie, je voulais lui avouer mon fantasme, de la voir soumise à Sydney. Mais je ne voulais pas briser cet instant de bonheur intense.

-Putain...que c’est bon de se faire enfiler...oh oui mon amour.
-T’aimes ça, hein...t’aimes ma queue…
-Oh oui...baises moi...encules moi.

La nuit fut torride, au point de ne plus reconnaître ma femme. Que lui est-il arrivé, pour s’offrir comme ça. Un doute sur ma relation avec ma secrétaire peut être, au quel cas, elle se donnerait à fond pour me récupérer.
Le lendemain, nous prenons le petit déjeuner sur la terrasse.

-Tu peux m’expliquer ma chérie. Je t’ai senti très vicieuse ma chéri, très en vorace. Tu ne m’as jamais fait çà auparavant.
-C’est vrai mon amour...j’ai tout simplement reproduit l’après-midi que j’ai passé au lit avec ton frère. Il m’a tout appris...un super coup au lit, hyper monté, performant, créatif. Tu sais quoi...tu devrais le présenter à ta secrétaire...Sydney, je crois...ça pourrai l’intéresser. Surtout si elle aime les grosses queues. Tchao...

Je reste sans voix quand Cindy quitte la table d’une démarche chaloupée, pour aller prendre sa douche. Finalement, elle savait.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : La vengeance d'une brune

Le 06/07/2021 - 16:56 par sizaxe
Bien écrit, et une fin originale...

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