Infidèle pendant ma lune de miel

Dans L’avion qui me ramène à Paris, je me remémore cette lune de miel, dont j’ai passé le plus clair de mon temps, dans les bras d’un autre homme que mon époux, à me faire baiser.
J’avais, après deux jours après le mariage, trahi le serment de fidélité, que j’avais fait devant Monsieur le maire.
Tout avait pourtant commencé sous les meilleurs hospices.
La réception à l’hôtel déjà, autour d’un pot de bienvenue, avait été très bien organisée. La direction s’employant à ce que les clients fassent connaissance. C’est peut être cette convivialité, qui a détourné l’attention, de certaines touristes.
Faut reconnaître aussi, que l’hôtel cinq étoiles, offrait des prestations hors normes. Casino, boîte de nuit, plage privé, activités de toutes sortes, activités multiples. Tout pour passer un séjour des plus agréables.
Le premier jour, tandis que Marc, mon époux, était parti faire une promenade en mer, je bronzais tranquillement sur un transat, quand je fus accosté par une serveur, d’une beauté à couper le souffle, vêtu d’une robe de plage. En effet, tout les employés réservé à la plage, étaient vêtus ainsi. Bien évidemment, ils portaient un short en dessous.

Comme j’étais placé, j’avais une vue imprenable sous son entre jambe. A travers mes lunettes, j’aperçus un truc bizarre, sans pouvoir dire quoi.
Quand le garçon apporta mon verre, je fus fixée. En fait, il ne portait rien dessous. Je pouvais voir sa queue balancer entre ses jambes. Comme pour me tester, le serveur resta un court instant dans cette position. C’était clair qu’il attendait un geste. Je lança un regard à droite et à gauche, et ni une, ni deux, envoya une main sous la jupe, saisit son sexe. Je le saisit discrètement, le décalotta. Le serveur s’accroupit, tout en baissant le parasol, pour diminuer le champ de vision aux autres clients. Je pris le queue en bouche, qui rentra aussitôt en activité.
Je me rendis compte de mon erreur, quand je sentis son sperme gicler dans ma bouche. Une fois obtenu ce qu’il était venu chercher en guise de pourboire, il disparu.
Je regagnais ma chambre vers dix huit heures, toute excitée de ce que je venais d’accomplir.
Rien de tel qu’une bonne douche, pour calmer mes ardeurs.
-Andy...ma chérie, t’es rentrée..
-Je suis à la chambre mon amour.
Marc arrive à la chambre, je suis entièrement nue, allongée sur le lit.. Il me prend par la taille, m’enlace, me couvre de baiser.
-Il faudrait bien penser à essayer ce lit ma chérie. C’est quand même nôtre lune de miel.
-Mais ça dépend de toi mon amour. Regarde, je suis toute offerte

Durant ce rapport, dans lequel je ne pris qu’un plaisir mitigé, j’avais la sensation de sentir la saveur de la queue du serveur se vidait dans ma bouche..J’imaginais cette queue se branler entre mes lèvres, son sperme se perdre au fond de ma gorge. D’autant, que c’était la première fois que je tailler une pipe. Mon mari n’a jamais eu droit à une telle faveur. Et là, je l’accordais à un inconnu.

Le soir, une soirée était prévue dans la boîte de nuit. La direction avait ouvert les grandes baies vitrées, pour pouvoir accès à la plage. Seul quelques flambeaux fixés sur le sable, diffusaient une faible lumière.
Bien évidemment, les tenues vestimentaires, étaient des plus sobres. Bermuda et maillot pour les homme, maillot pour les femmes. Par pudeur, j’enfilais une sortie de plage transparente.
Quant à mon mari, il opta pour le casino, ou avait lieu un tournoi de poker. C’est donc en célibataire que je me rendais à cette soirée.
L’accueil fut très convivial. Beaucoup de femmes seules, dont leurs époux devaient être eux aussi, au casino. Elles rivalisaient de beauté. Mais je n’avais rien à leur enviais.
La sono commença à diffuser quelques airs de musiques, dont un slow. Un jeune homme, vingt cinq ans environ, m’invita à danser. Tout près de nous, un couple de femmes s’embrassait à pleine bouche. Excité, mon jeune cavalier me prit par la taille, me murmura à l’oreille. Un de ce, qui voyant mon alliance au doigt, projetait de me choper, et se vanter auprès des petits copains, d’avoir épingler une femme mariée et la mener au lit. Suite à ça, je refusa la deuxième danses, et me rendit au bar.

La, je fus accoster par un homme très séduisant. La cinquantaine, cheveux grisonnant, très classe. Il m’offrit un verre, et me proposa d’aller le boire sur la plage, loin du tumulte de la soirée. J’acceptais.
Il me fit allonger sur un transat, et se contenta d’un fauteuil pliant. Il me dit s’appeler Pierre, qu’il était seul, et être là pour le week-end.
Je lui dis que je m’appeler Andy, et que j’étais en lune de miel.
Je le sentis sur la défensive, mais je le rassurais très vite, en lui disant que mon mari faisait un tournoi de poker, et qu’il en avait certainement pour la nuit.
En prenant mon verre pour le poser sur le sable, sa main effleura ma cuisse, et y resta. Devant le peu d’opposition, il commença à la caresser, tout en s’infiltrant sous la robe de plage.
C’est à ce moment là, que j’aurai du me lever, et partir. Au lieu de ça, je pris sa main, et l’encouragea à aller plus loin. Ce qu’il fit.
Un doigt écarta mon maillot, parcouru ma fente. Il quitta ma sortie de plage, et tira sur les cordelettes qui tenaient mon paillot. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouvais entièrement nue, devant un inconnu. Je fermais les yeux, quand d’une main, il me força à écarter mes jambes. Ma chatte était là, offerte, légèrement humide. Deux doigts écartèrent mes lèvres intimes, tandis qu’un autre excitait mon clitoris. Les premiers gémissements fusèrent, quand ses doigts rentrèrent en activité. Une chaleur intense envahit le creux de mon ventre. J’étais en train de me faire branler par un inconnu, après deux jours de mariage.
Le pire, c’est que j’étais attirée physiquement par cet homme, qui, sans en apercevoir, me donnait énormément de plaisir. Il mit une main devant ma bouche quand j’atteignais l’orgasme.

Ses mains, d’une incroyable douceur, parcouraient mon corps. Maladroitement, j’essayais d’ouvrir sa braguette. C’est lui même qui ôta son pantalon. Je soupesais les couilles, tirait la queue à moi, pour la prendre en bouche. C’est là qu’elle finit de grandir et grossir, pour atteindre des mensurations, plus que convenable. Il glissa une main entre mes jambes, décalotta mon petit bouton, qu’il se mit à doigter. Les caresses étaient sublimes. Je faisais tout pour retarder l’échéance d’un deuxième orgasme, quand je sentit un liquide chaud couler dans ma bouche. J’avais bien senti sa queue gonfler et vibrer dans ma bouche, mais pas au point de ne pas le sentir venir. Je gardais la queue en bouche un moment, le temps qu’il se soit bien vider les couilles, puis, d’une gorgée, j’avalais tout.
Pour nous rincer, il me proposa de prendre un bain.
On se retrouva dans l’eau, entièrement nu à chahuté Ses bras me prenaient par la taille, ses doigts investissaient ma chatte, tendis que ma main mesurait la raideur de sa queue.

Serrés un contre l’autre, je sentais sa queue pleine d’ardeur, contre ma chatte, elle n’avait pas varié d’un micron. Il passa ses mains sur mes fesses, descendit sur les cuisses, et me souleva. Mes seins se trouvaient à la hauteur de sa bouche. Il suça les bouts durcit par la désir, puis me laissa glisser contre lui, jusqu’à sentir sa queue contre ma chatte. Je sentis son gland décalotté contre mes lèvres intimes. D’une simple poussée, sa queue pris possession de mon ventre. Pendue à son cou, je lui pris les lèvres. C’était la première fois que je me faisais baiser, dans cette position, et j’en reçu un plaisir immense. Je gémissais de plus en plus, accompagnée par le clafoutis des vaguelettes. J’aurai voulu que le temps s’arrête, empalée sur cette queue, qui me donnait un plaisir intense.
Tout se figea, quand on atteignit la jouissance suprême, ensemble.

Après nous être rincés, il me prit dans ses bras, me ramena au transat. Je m’y allongeais sur le ventre. Délicatement, il m’essuya le dos, avec ma sortie de plage. Ses mains glissaient sous moi, caressaient la naissance d’un sein, avec une douceur extrême. Puis il passa ses mains sous mon ventre, me souleva légèrement par les hanches, pour faire ressortir ma croupe.
Il s’approcha de moi, s’accroupit. Je sentais son sexe se frayer un passage entre mes fesses, taquiner ma chatte.
Je me cambrais d’avantage, pour dévier la trajectoire, et l’orienter vers mon petit trou. Il murmura à mon oreille, pour savoir si c’était ça que je voulais. Je lui fis signe que oui d’un hochement de tête.
Lentement, le gland décalotté ouvrit mon petit trou, en éclaireur. Puis la bite toute entière, prit possession des lieux.
C’était la première fois que je me faisais sodomiser. Et ce n’est pas l’eau de mer qui calmait la douleur, qui envahissait mon corps.
Mon bel inconnu le comprit, aussi resta-t-il un moment sans bouger, le temps que sa queue se mette en place. C’est moi, en me cambrant d’avantage, qui donna le signal.
La douleur s’estompa, dès les premiers mouvement, pour laisser la place à une vague de plaisir. Je gémissais de plus en plus, sans retenu. Je sentais son souffle chaud sur mon cou, tandis que sa queue labourait mes entrailles. Je me cramponnas à l’armature du transat quand je jouis, suivis des près par des râles de mâle satisfait.
Il me retourna, m’offrit sa bite, pour que je récupère les dernières gouttes de nectar, que je pris plaisir d’avaler.
Il me proposa de prendre un dernier verre dans sa chambre.
Je lui offrit en boucle, toutes les faveurs que je lui ai offertes lors de nôtre tumultueuse soiré. Faveurs que je n’ai jamais accordés à mon époux.
Je quitta sa chambre à cinq heures du matin, après une nuit torride.

Mon mari rentra un quart d’heure plus tard. Je fis mine de dormir, en pensant à la virilité de mon bel inconnu, que je ne revis plus.