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La vengeance de Greg 12-1

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Lue : 926 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/11/2021

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La vengeance de Greg 12
Partie 1/2

Greg approchait de son but ultime, il ne lui restait plus qu’une seule femme à dépraver pour accomplir totalement sa vengeance, Camille, la mère de Carole, et qui n’était autre que la proviseur du lycée, il se doutait que ce serait délicat de l’approcher et de la dépraver, mais il avait un atout de taille.
Il avait toute confiance en son programme, dont la nouvelle version lui permettait de cibler ses victimes, il était certain qu’il allait grandement l’aider à la faire plonger dans la luxure.
Camille était une femme de 40 ans, avec une très forte autorité, elle savait se faire respecter de tous les hommes qui étaient sous sa responsabilité, et personne n’osait la contredire.
Pourtant beaucoup d’hommes et même d’élèves de son lycée fantasmaient sur elle, surtout lorsqu’elle était habillée en tailleur moulant, qui épousait ses courbes alléchantes.
Camille était une ravissante femme aux cheveux châtains, long et bouclés, elle mesurait 1,60m pour 53kg, mais ce qui attirait le plus la gente masculine, c’étaient ses mensurations séduisantes, elle possédait une magnifique poitrine de 90D, toujours aussi ferme qu’à 20 ans, malgré sa grossesse, elle avait retrouvé un tour de taille de 62cm et pour parfaire sa silhouette, son fessier parfaitement bombé atteignait tout juste les 88 cm.
Elle savait qu’elle plaisait beaucoup aux hommes et elle avait su jouer de son charme pour gravir les échelons et s’ouvrir des portes closes.
Elle était mariée depuis 20 ans à Robert, un riche homme d’affaire à la tête de plusieurs grands hôtels de luxe, elle ne l’avait jamais trompé, même si elle en avait souvent eu l’occasion.
Il aimait la faire participer à ses diners d’affaire et sentir les regards envieux de ses confrères, jaloux qu’il soit marié à une femme si attirante.
Contrairement à sa femme, Robert ne résistait pas à l’appel de la chair, et dès qu’il pouvait profiter d’une femme à la cuisse un peu trop légère, il n’avait aucun scrupule à faire quelques entailles à son mariage.
Camille avait bien quelques doutes, mais elle était trop vénale et tenait plus que tout à maintenir son rang social, pour chercher à vérifier si son mari lui était fidèle ou non, même lorsqu’il rentrait avec des cheveux blonds sur la veste ou encore avec une marque de rouge à lèvres dans le cou, elle n’y prêtait pas attention.

Mais depuis que sa fille, Carole, avait succombé au programme et à la grosse bite de Greg, sa petite vie de bourgeoise tranquille commençait déjà à prendre une direction imprévue.
Carole participait maintenant à toutes les partouzes que Bruno organisait et les participants augmentaient un peu plus à chaque fois, elle s’y était d’ailleurs découvert un petit faible pour les hommes bien murs, plus ils étaient âgés et plus elle aimait prendre soin de leur vieille bite.
Elle avait fini par changer complètement de garde-robe, et était passé des tenues sages et discrètes aux tenues beaucoup plus sexy, très courtes et très échancrées.
Elle ne portait plus que des strings ou le plus souvent rien du tout.
Ce changement de comportement et de tenue avait été remarqué par sa mère, Camille avait tenté de la raisonner, mais elle s’était retrouvée face à un mur qui ne voulait rien entendre.
Elle avait bien tenté d’être soutenue par son mari, mais celui-ci était en plein projet de construction d’un nouvel hôtel, et ses réunions avec les élus locaux ne semblaient pas se dérouler comme il le souhaitait.
Alors quand Camille lui demanda son soutien pour sermonner leur fille, il ne trouva rien d’autre à lui répondre que :
- Je suis trop occupé pour m’occuper d’elle, il faut que je clôture ce projet d’abord.
- Mais Robert, il faut agir maintenant, Carole est en train de prendre un chemin dangereux.
D’un seul coup, Robert eut une idée qui lui permettrait sans doute de faire signer les derniers élus réticents, et à la fois de sermonner sa fille.
Il proposa à Camille d’organiser un diner en fin de semaine, où il inviterait les élus afin qu’elle joue de son charme sur eux, et tandis qu’elle discuterait avec eux, il passerait un savon à Carole.
Cela faisait longtemps que Camille n’avait pas été l’objet de toutes les attentions des invités de son mari, et cela lui manquait, alors elle accepta et rdv fut pris pour le jeudi soir suivant.
Robert proposa donc aux 3 élus réticents de discuter du projet autour d’un diner d’affaire chez lui, afin de rester dans un cadre intime.
Il comptait surtout sur le charme naturel de sa femme pour leur faire tourner la tête et les faire signer le projet, mais tout ne se passa pas comme il l’avait prévu.

Une fois les invitations acceptées, Camille prévint sa fille qu’ils allaient avoir des invités de son père, le jeudi soir.
Habituellement, Carole était invisible pendant les repas d’affaires de son père, mais depuis qu’elle était devenue une petite salope au service de Greg, et surtout accroc aux vieilles bites, elle se dit qu’elle pourrait essayer d’en profiter.
Alors elle s’apprêta et s’habilla en conséquence, elle choisit une longue robe fendue jusqu’à la hanche, dont le haut s’accrochait derrière son cou, ce qui lui faisait un décolleté jusqu’au nombril et lui laissait le dos totalement nu.
Elle se maquilla de façon à être suffisamment provocante pour être certaine d’attirer les regards des hommes.
Lorsqu’elle descendit rejoindre les invités, sa mère était l’attraction de la soirée, dans sa longue robe de soirée avec son décolleté pigeonnant, deux des invités de son père n’avaient d’yeux que pour ses superbes seins.
Camille avait l’habitude de ce genre de réception, et elle aimait sentir les hommes lui dévorer les seins des yeux.
Mais lorsque Carole apparut dans sa longue robe sexy à souhait, faisant claquer ses talons aiguilles sur le carrelage, tous les hommes se tournèrent vers elle.
Même Robert eut du mal à reconnaitre sa fille, ce n’est que lorsque l’élu avec qui il discutait, juste avant cette magnifique apparition, lui dit :
- Eh bien, votre fille a bien changé, elle est splendide.
Robert se rendit compte qu’il avait un début d’érection pour sa propre fille, il en eut un peu honte, et répondit :
- Euh, oui, oui, elle nous surprend tous les jours, en ce moment.
Camille était tout aussi déconcertée que son mari, mais en voyant les hommes s’intéresser à sa fille plus qu’à elle, elle ressentit une profonde jalousie.
Elle ne dit rien, regardant Carole rejoindre son père, accompagné des deux vieux croulants qui lui mangeaient les seins des yeux quelques secondes auparavant.
Ils s’agglutinèrent tous autour d’elle, ils la complimentèrent sur sa beauté et sur sa tenue ensorcelante, abandonnant la belle Camille.
Robert reçut les compliments de ses invités pour avoir une fille aussi ravissante, et il ne sut quoi dire, en voyant sa femme seule, délaissée par ses invités.
Il la voyait un peu perdue, isolée, alors il abandonna sa fille aux 3 vieux élus et rejoignit sa femme pour essayer de la consoler.
Mais il n’avait pas fait un mètre que Carole sentait déjà une main sur ses fesses, bien entendu elle ne dit rien et continua de rire aux mauvaises blagues des vieux pervers, en laissant la main en place, et lorsque Robert arriva auprès de sa femme, il tenta de la consoler en lui disant :
- Je suis désolé, chérie, elle ne fait jamais ça d’habitude.
Camille avait continué d’observer sa fille et les vieux croulants, elle fut encore plus bouleversée, en voyant les mains des vieux se poser sur les fesses de sa fille sans qu’elle n’essaie, ne serait qu’une seule fois, de les retirer.
Lorsque Robert arriva à ses côtés, Carole se faisait pétrir le cul devant tout le monde, alors devenant de plus en plus blanche, Camille répondit à son mari :
- Regarde-la, elle se fait peloter les fesses sans rien dire.
Robert, un peu surpris, se retourna et constata qu’effectivement deux élus avaient leur main sur les fesses de sa fille, sans que celle-ci ne cherche à les retirer.
Alors que sa femme se sentait défaillir, Robert sentait sa queue se redresser peu à peu.
Mais le coup fatal pour Camille, fut lorsque le troisième élu commença à tirer sur le décolleté de sa fille et dévoila à tous, ses superbes seins.
Encore une fois, Carole le laissa faire en riant et se retrouva les seins à l’air devant tout le monde.
Camille eut tout juste le temps d’attraper son mari par l’épaule et s’évanouit dans ses bras, Robert la rattrapa juste à temps, et comme tous les vieux pervers avaient les yeux rivés sur les seins de sa fille, il les laissa et emmena sa femme jusque dans leur chambre.
Il n’arrivait pas à comprendre le comportement de sa fille, il déposa Camille sur leur lit, il la déshabilla et la laissa se remettre de ses émotions.

Il sortit de la chambre et sentant encore son érection dans son pantalon, il ne put qu’admettre que Carole était fabuleusement sexy, mais il n’arrivait pas à expliquer, pourquoi elle laissait ces vieillards lui peloter le cul et lui sortir les seins de la robe.
Il redescendit encore perdu dans ses pensées, son érection semblait se calmer doucement, mais lorsqu’il retrouva ses invités et sa fille dans le salon, tout semblait avoir été trop vite pour lui.
Carole était maintenant complètement nue, elle était assise sur le canapé et pompait les bites de deux des élus, tandis que le troisième était à genou entre ses cuisses grandes ouvertes et lui bouffait la chatte.
Robert fut tellement abasourdi, qu’il ne trouva rien de mieux que de se cacher derrière un mur, il entendait les vieux traiter sa fille de petite salope, de bonne suceuse de bite, ou de chienne en chaleur.
Mais au lieu d’intervenir et de retirer sa fille d’entre leurs vieilles mains, ou plutôt d’entre les bites de ces trois vieux pervers, il resta caché et sentit la sienne se redresser dans son pantalon.
Il essaya de se justifier en se disant que s’il intervenait, cela signifierait sans doute la fin définitive de son projet, et comme sa fille semblait consentante, il préféra les élus abuser de sa fille.
Il se contenta de les épier discrètement, il put ainsi voir le vieux entre les cuisses de sa fille se redresser et lui fourrer sa vieille bite dans la chatte, il fut surpris d’entendre sa fille lui dire :
- Oui, allez-y, fourrez-moi bien la chatte, j’adore les vieilles queues.
Elle se mit à gémir de plaisir tout en pompant les deux autres bites.
Ils changèrent souvent de place, tous les trois, afin qu’ils puissent tous fourrer cette jeune chatte en chaleur.
Malgré l’aspect immoral de la chose, Robert ne put s’empêcher de sortir sa queue et de se branler en regardant ces trois vieux baiser sa fille, l’un après l’autre, mais lorsqu’il l’entendit leur dire :
- Vous pouvez aussi me la mettre dans le cul, j’adore me faire enculer.
Robert n’en crut pas ses oreilles, et en voyant Carole leur tendre son cul, il attrapa son téléphone et commença à filmer la scène.
Mais un des vieux proposa aux autres :
- Si cette petite salope aime se prendre une bite par tous les trous, on n’a qu’à les lui remplir.
Robert assista à une scène des plus lubrique, dont sa fille était l’actrice principale, il vit un des vieux s’allonger sur le tapis du salon, sa fille venir s’empaler la chatte sur sa queue, et une fois sa bite bien au fond de sa chatte, elle se pencha en avant et vint s’écarter les fesses, en disant :
- Allez, qui sera le premier à m’enculer ?
Il vit alors un deuxième invité s’agenouiller derrière sa fille, lui planter sa bite entre les fesses, en l’entendant grogner :
- Putain, elle a le cul souple, cette petite pute.
Robert n’en revenait toujours pas, sa fille se faisait fourrer le cul et la chatte en même temps, et pour couronner le tout, il la vit attraper la troisième bite et se mettre à la pomper tandis que les autres se mettaient à coulisser en elle.
Il y avait une véritable scène de film porno qui se déroulait dans son salon et sa fille avait le rôle principal.
Il la regarda se faire baiser et enculer par les trois vieux, et l’entendait gémir de plaisir, et alors qu’il les vit lui fourrer le cul, la chatte et la bouche avec leur sperme, il ne put résister plus longtemps et jouit à son tour sur le carrelage.
Les trois vieux étaient épuisés, ils s’étaient assis sur le canapé, la bite encore luisante des fluides corporels de sa fille.
Celle-ci reprenait doucement son souffle de son dernier orgasme avec les trois vieux, Robert sut qu’il fallait agir maintenant, il remballa sa queue et attrapa les contrats qu’il devait leur faire signer et se rapprocha d’eux rapidement.
Ils furent tous surpris de le voir débouler, ils essayèrent tous de récupérer leurs affaires pour se rhabiller, mais Robert leur dit :
- Inutile de paniquer, messieurs, j’ai tout filmé, donc il ne vous reste plus qu’à signer.
Il leur mit les contrats sous les yeux, comprenant bien qu’ils n’avaient plus tellement le choix, ils signèrent tous et se dépêchèrent de se rhabiller avant de partir.
Une fois seul avec sa fille, toujours complètement nue, Robert semblait en proie à la tentation, il l’avait vu se faire prendre par tous les trous, et se faire remplir comme la dernière des putes, il avait à la fois très envie de la baiser et de l’enculer à son tour, mais une petite voix, lui rappela qu’il s’agissait de sa fille, et qu’il ne devait pas succomber à une telle infamie.
Heureusement pour sa petite voix, sa fille avait eu sa dose de jouissance et n’était plus en état de faire succomber son père, elle le laissa la porter jusque dans sa chambre et s’endormit profondément.
Robert aéra la maison qui sentait le sperme de partout, et nettoya avant qu’un employé de maison ou même, sa femme ne s’aperçoive de ce qu’il s’était passé au milieu du salon.
Après avoir grignoté un peu le buffet, que sa femme avait commandé pour la soirée, il partit prendre une douche et alla se coucher.
Il passa une nuit agitée, emplie de songes érotiques, où il revoyait sa fille se faire prendre par les trois vieux, et où il les rejoignait pour fourrer sa bite dans le cul de celle-ci.
Il se réveilla au petit matin avec une érection exceptionnelle, il voulut en faire profiter sa femme, et comme elle était encore à moitié endormie, il se colla à elle pour bien lui faire sentir sa bite dure contre sa cuisse et se glissa sous les draps pour aller lui lécher les seins et les tétons.
Camille se réveilla en douceur, elle n’avait pas très bien dormi, elle avait rêvé que sa fille se faisait peloter par trois vieux pervers dans son salon, et lorsqu’elle sentit la langue de son mari sur ses seins.
Elle se rappela qu’elle n’avait pas rêvé, Carole s’était bel et bien laissée peloter par les trois invités de son père, mais la langue habile de Robert sur ses seins et sa bite en pleine érection contre sa cuisse, l’excitait doucement, alors elle attrapa la bite de son mari et commença à la branler en lui disant :
- Chéri, il faut vraiment parler à Carole, il ne faut pas qu’elle laisse les hommes la peloter comme ils l’ont fait, ils pourraient abuser d’elle.
Robert n’osa pas lui avouer que leur fille leur avait demandé de la prendre par tous les trous, et qu’elle leur avait vidé les couilles à tous les trois.
Mais repenser à cette scène hallucinante l’excita davantage, alors il se glissa entre les cuisses de sa femme, et Camille, excitée par la langue de son mari et secrètement par les images de sa fille entourée de ces trois pervers, elle s’imagina à sa place, écarta les cuisses pour placer la queue de son mari à l’entrée de sa chatte trempée.
Robert s’enfonça dans le vagin brulant de sa femme tout en s’imaginant fourré celui de sa fille, tandis que Camille ferma les yeux et commença à gémir sous les coups de queue de son mari, qu’elle imagina honteusement remplacé par les trois vieux pervers, les uns après les autres.
Ils jouirent tous les deux rapidement, chacun fantasmant baiser avec une ou plusieurs autres.
Robert jouit dans la chatte de sa femme et s’écroula sur le lit, en ayant encore les images de sa fille avec le cul et la chatte débordant de sperme.
Carole venait de rêver en secret, se faire prendre par les trois vieux, les uns après les autres, et alors qu’elle était encore sur son petit nuage de plaisir, infidèle et lubrique.
Elle tourna la tête et réalisa qu’elle était déjà très en retard, elle sauta du lit et s’habilla précipitamment.
Elle demanda à son mari de réveiller Carole afin qu’elle se prépare pour le lycée.
Tandis qu’elle fonçait dans le dressing pour choisir sa tenue de la journée, Robert se rendait dans la chambre de Carole pour la réveiller, il la trouva comme il l’avait laissé la veille, totalement nue, heureusement qu’il venait de jouir dans la chatte de sa femme, sinon il se serait sans doute jeté sur elle.
Il la couvrit d’un drap avant de la réveiller, et lui dire :
- Dépêche-toi de t’habiller, tu vas être en retard au lycée.
Robert ne put s’empêcher de rester un peu pour la regarder s’étirer, découvrant par la même, ses superbes seins.
Encore dans son petit monde de songes dépravés, elle ne se rendit compte de la présence de son père, bien après avoir soulevé le drap, se retrouvant complètement nue devant lui.
Mais contrairement à l’ancienne Carole, pudique et discrète, qui aurait eu honte de se retrouver nue devant son père, la nouvelle Carole le laissa la manger des yeux pendant de longues minutes, et finit même par se caresser les seins, en lui disant :
- Tu les trouves comment mes seins, papa ?
Robert sursauta, surpris d’être encore là, alors que sa fille était allongée, totalement nue devant lui, mais il sentit encore une fois sa bite se redresser pour elle, alors il n’osa pas interrompre ce moment fabuleusement immoral, et lui répondit en se léchant les lèvres d’envie :
- Superbe, ma chérie, ils sont parfaits.
Il la vit alors glisser sa main sur son ventre, descendre jusqu’à sa chatte totalement épilée, et tout en écartant les cuisses, elle lui demanda :
- Et ma petite chatte, elle ne te fait pas envie, papa ?
Carole avait parfaitement remarqué la bosse qui s’était formé dans le pyjama de son père, et elle mourrait d’envie de gouter à sa bite.
Mais alors que Robert allait succomber à la tentation, ils entendirent les bruits de pas de Camille dans le couloir, Robert se précipita à l’extérieur de la chambre, et tout en essayant de dissimuler son impressionnante érection, il dit à sa femme :
- Elle s’habille, elle arrive.
Carole était toute excitée par la petite scène avec son père, alors elle ne mit ni culotte, ni soutien-gorge pour se rendre au lycée, elle avait envie de bite, et elle comptait s’en prendre un maximum aujourd’hui.
Toutefois Camille était à peine mieux, encore confuse par sa récente jouissance lubrique et infidèle, elle avait enfilé rapidement un de ses petits strings qu’elle réservait habituellement aux soirées d’affaire de son mari, afin de faire fantasmer les mâles quand ils ne voyaient pas de marque sur ses fesses, à travers sa robe, mais elle avait pris également le soutien-gorge assorti, qui ne faisait que soutenir sa superbe poitrine et laissait ses tétons libres, ils avaient souvent tendance à durcir et à pointer à force de frotter sur le tissu de sa robe.
Mais elle ne se rendit compte que ses tétons se voyaient à travers son chemisier que lorsqu’elle les sentit durcir en voyant un vieux la dévorer des yeux, alors qu’elle était arrêtée à un feu au volant de sa voiture, elle se revit en train de se faire baiser par les trois vieux invités de son mari, et elle sentit son entrecuisse s’humidifier rapidement.
Elle ne sortit de ses songes obscènes que lorsqu’on la klaxonna car elle n’avançait pas au feu vert, et Carole, à l’arrière de la voiture, lui demanda :
- Ça va bien, maman ?
Camille accéléra et lui répondit :
- Oui, oui, j’étais un peu ailleurs.
Elle sentait ses tétons pointés tellement fort qu’ils poussaient sur le tissu de son chemisier, et étaient parfaitement visible à travers le tissu, mais elle ne chercha pas à la dissimuler sous sa veste, elle continua de rouler et à chaque fois qu’elle s’arrêtait à un feu, elle se surprit à gonfler la poitrine pour les exhiber davantage.
La plupart du temps, personne ne faisait attention à elle, mais il y eut tout de même un motard qui s’arrêta à coté de sa voiture, et un jeune lycéen qui traversa au feu, qui purent profiter du spectacle que leur offrait Camille.
A chaque fois, elle sentit son entrecuisse s’humidifier dangereusement, et alors qu’elle se rendit compte que les boutons de son chemisier commençaient à s’étirer, elle osa déboutonner les deux premiers boutons afin de détendre le tissu.

Cela découvrit une bonne partie de sa poitrine, et comme les pans de son chemisier s’ouvraient tout juste au niveau de ses tétons, le bord supérieur de ses aréoles étaient maintenant parfaitement visible.
Lorsqu’elle vit le jeune traverser devant sa voiture, en lui dévorant les seins des yeux, elle eut peur que ce soit un élève de son lycée, mais cela ne l’empêcha pas de gonfler encore la poitrine et de sentir sa chatte imbiber encore plus son petit string de sa mouille indécente.
Elles arrivèrent enfin au lycée, et comme d’habitude, Camille déposa sa fille à une centaine de mètre du lycée, même si tout le monde savait qu’elle était la fille du proviseur, elle voulait éviter d’être vu avec sa mère.
Camille laissa sa fille partir et maintenant qu’elle était arrivée au lycée, elle essaya de reprendre le contrôle de ses sens, elle referma les boutons de son chemisier, mais il y eut une bourrasque de vent dehors, et la jupe de sa fille se souleva, dévoilant à tout le monde qu’elle était complètement nue en dessous.
Camille revit à peu près la même scène que la veille au soir, Carole se retrouva vite entourée de deux garçons, qui glissèrent chacun leur main sous sa jupe et lui empoignèrent les fesses.
Elle se souvenait s’être évanouie en voyant sa fille se faire peloter et montrer ses seins aux trois vieux pervers, mais elle voyait maintenant sa fille laisser deux jeunes lycéens lui peloter les fesses sans broncher.
Pour la première fois, elle réalisa que sa fille était devenue une sacrée salope, et elle se demanda comment avait bien pu finir la soirée avec les trois vieux pervers, elle avait totalement oublié de le demander à son mari.
Elle se surprit à imaginer les trois vieux vicieux abuser de sa fille, devant son mari, et le connaissant parfaitement, elle savait qu’il ne les aurait pas interrompu et en aurait même profiter pour les faire signer ses fameux contrats.
Elle n’était pas loin de la vérité, mais alors qu’elle allait repartir pour aller se garer sur le parking du lycée, elle vit approcher Linda, habillée d’une minijupe moulante très courte, qui lui arrivait tout juste sous les fesses, ainsi qu’un ridicule petit haut qui laissait son ventre et son dos nu.
Camille avait du mal à la reconnaitre, elle aussi, avait complètement changé en quelques jours, passant de la femme timide et réservée à une femme impudique, presqu’obscène.
Elle avait cru la voir partir avec un jeune homme, quelques jours auparavant, alors elle profita d’être dissimulée dans sa voiture pour l’épier de plus près.
Elle fut totalement outrée lorsqu’elle vit un jeune élève grassouillet, un certain Greg, si elle ne se trompait pas, s’approcher de Linda avec une certaine assurance, et lui mettre la main aux fesses pour lui rouler une pelle, tandis qu’il glissait son autre main sous le petit haut pour lui peloter les seins.
Camille fut sidérée de voir sa bibliothécaire et surtout son amie, se laisser faire, et offrir ainsi son corps à ce jeune homme qui aurait pu être son fils.
Elle le vit même glisser sa main dans son string, devant tout le monde, et à voir l’expression sur le visage de Linda, elle y prenait beaucoup de plaisir et n’en avait pas du tout honte.
Après sa fille, c’était son amie qui succombait à la débauche, Camille n’arrivait pas à croire ce qui se déroulait sous ses yeux.
Ne voulant pas mettre son amie dans l’embarras, elle n’osa pas intervenir et se contenta de regarder Linda se faire fouiller le sexe par Greg, qui lui avait sorti un sein de sous son petit haut, et la pelotait fermement en lui roulant une pelle.
La stupéfaction passée, Camille se rendit compte que son entrecuisse s’échauffait de nouveau, tandis que ses tétons se remettaient à pointer fortement, alors profitant qu’elle était à l’abri des regards, elle glissa une main sous sa jupe et se mit à se caresser tandis que son amie semblait jouir intensément.
Camille ne put retenir sa main de se glisser dans son string et alors que Linda jouissait sous les yeux de plusieurs lycéens, elle se caressa son clitoris et se mit à gémir de plaisir.
Mais alors qu’elle était scandalisée d’une telle attitude quelques secondes auparavant, là, cachée dans son gros 4x4, tout comme elle l’avait fait pour sa fille, elle se mit à s’imaginer à la place de Linda, elle ferma les yeux et se vit en train de se faire fouiller la chatte par ce Greg devant tous les élèves du lycée.
Son sexe était tellement trempé, qu’elle s’enfonça directement deux doigts au fond de la chatte et commença à les faire coulisser, en gémissant de plaisir.
Son autre main ouvrit son chemisier et alla peloter ses seins dont les tétons étaient durs comme de la pierre.
Heureusement pour elle, personne ne fut suffisamment proche de sa voiture pour la voir, la jupe retroussée, les cuisses grandes ouvertes, avec la main dans son string et trois doigts dans la chatte, tandis que son chemisier était ouvert, ses seins étaient complètement offerts, mais c’étaient surtout ses tétons qui réclamaient une langue pour les apaiser.
Alors elle souleva ses seins et porta ses tétons jusqu’à sa bouche pour les lécher, cela sembla les apaiser, mais l’excita davantage
Elle jouit quasiment en même temps que son amie, et en reprenant doucement ses esprits, elle se rendit compte qu’elle était dans une posture des plus obscènes, elle en eut un peu honte, et se dépêcha de remettre de l’ordre dans sa tenue.
Elle se redressa et vit Linda entrer dans le lycée, accompagnée de ce Greg qui lui pelotait toujours le cul.
Mais même si elle trouvait cela scandaleux, Camille ressentit également une profonde jalousie et se surprit à dire à haute voix :
- Pourquoi pas moi ?
Elle démarra et se dirigea vers le parking.
Elle évita de passer par la salle des professeurs pour rejoindre son bureau, afin que personne ne s’aperçoive de son trouble, et s’assit dans son fauteuil et en repensant à tous les derniers évènements, depuis la veille au soir.
Elle avait l’étrange impression que la dépravation commençait à envahir sa vie, et avait déjà infecté ses proches, elle se demanda si elle aurait la force de lui résister, mais après ce qu’elle avait fait dans sa voiture, elle en doutait fortement.
Elle sursauta lorsqu’on frappa à la porte de son bureau, et avant de recevoir son interlocuteur, elle vérifia que sa tenue était convenable et malgré qu’elle sentît encore ses tétons durs frotter contre son chemisier, tout semblait correcte, elle ferma sa veste afin que ses tétons ne soient pas trop visibles, et autorisa la personne à entrer.
Elle fut très troublée de voir le fameux Greg entrer dans son bureau, elle revit la scène avec Linda dans la rue et sentit de nouveau sa chatte s’échauffer dangereusement.
Elle ne fit pas attention qu’il tenait son téléphone dans la main et attendait qu’elle réponde à sa question.
Trop perdue dans ses pensées sensuelles et voluptueuses, elle n’avait pas du tout écouté ce qu’il lui avait demandé, alors n’écoutant plus du tout sa raison, elle défit les boutons de sa veste et la posa sur le dossier de son fauteuil, en lui demandant :
- Désolé, je n’ai pas compris ce que vous désiriez ?
Elle vit parfaitement le sourire vicieux sur le visage de Greg, lorsqu’il découvrit ses tétons, qui pointaient outrageusement à travers son fin chemisier.
Mais alors qu’il ne disait rien et semblait manger ses seins des yeux, il s’installa un lourd silence dans son bureau, elle ne trouva rien de mieux que de gonfler la poitrine pour l’exhiber encore un peu plus.
Sans quitter ses seins des yeux, elle le vit ranger son téléphone et fut désemparée en l’entendant lui dire :
- Montrez-moi vos seins, je sens qu’ils ne demandent que ça.
Bien qu’elle fût offusquée par cette demande odieuse, elle posa ses mains sur ses seins et tandis que ses doigts effleurèrent les boutons de son chemisier, elle lui répondit d’un ton trop suave pour être sincère :
- Non, mais, ça ne va pas, vous êtes malade, pour qui me prenez-vous.
Le temps sembla se suspendre dans son bureau, elle mourrait d’envie de lui offrir ses seins, elle sentait sa chatte frétiller de désir, alors lorsqu’il insista en lui disant :
- Ouvrez votre chemisier, je veux voir vos seins.
Elle obéit sans hésiter, et commença à défaire un à un les boutons de son chemisier, elle se retrouva en soutien-gorge sexy devant un élève, dans son bureau.
L’instant lui sembla totalement irréel, mais terriblement excitant, et lorsqu’il se rapprocha d’elle et commença à lui caresser les seins en lui disant :
- Vous avez de très beaux seins, on dirait que vos tétons attendent une langue pour s’occuper d’eux
Camille resta sans bouger, et le laissa effleurer ses tétons avec ses doigts, elle poussa alors un long soupir d’enchantement, et le vit se pencher sur sa poitrine pour commencer à lui lécher les tétons.
Elle passa ses mains dans ses cheveux et se mit à gémir de plaisir.
Elle sentit ses mains passées dans son dos et dégrafer son soutien-gorge, elle le laissa faire, et l’aida même à lui retirer ce sous-vêtement devenu gênant.
Sa langue sur ses tétons durs la rendait folle de plaisir, alors lorsqu’il se recula et lui demanda :
- Retirez votre jupe.
Elle n’hésita pas, et fit aussitôt glisser la fermeture éclair, s’attaqua ensuite au bouton et lorsque sa jupe tomba sur le sol, on frappa à la porte, elle reconnut la voix d’Elodie, sa secrétaire et ne sut comment réagir.
Elle était en string, les seins nus devant un élève dans son bureau, elle commença alors à paniquer.
Greg semblait rester serein, mais Camille était tellement excitée, elle avait tellement envie de se faire baiser, qu’elle semblait hésiter entre se rhabiller, ou dire à Elodie de revenir plus tard, mais lorsqu’elle entendit Greg répondre à sa place :
- Entrez, Elodie.
Elle faillit défaillir.

Depuis que Greg baisait régulièrement avec Lucie, l’infirmière du lycée, il s’était également occupé de toutes les plus jolies femmes qui composaient l’administration du lycée, et Elodie en faisait partie.
Elodie était une ravissante black de 27 ans, célibataire, elle passait tellement d'heures à travailler, qu’elle n’avait pas le temps pour batifoler, alors lorsqu’elle avait surpris Greg et Lucie en pleine séance de baise dans l’infirmerie, Greg n’avait pas eu besoin de son programme pour la convaincre de lui sucer sa grosse bite, et depuis, elle les rejoignait souvent pour soulager sa libido et participait même aux partouzes.

Lorsqu’elle entra dans le bureau de Camille et la trouva à moitié nue devant Greg, elle fut à moitié surprise, mais fit un sourire coquin à son amant préféré, elle se dépêcha de verrouiller la porte, et tout en commençant à défaire à son tour la veste de son tailleur, elle dit à Greg :
- Il te les faut toutes, mon cochon.
Camille ne comprit pas tout de suite la réaction de sa secrétaire, ce n’est que lorsqu’elle la vit rouler une pelle à Greg, qu’elle comprit qu’ils devaient baiser ensemble, également.
Elle se détendit, mais ressentit encore une fois, une étrange jalousie, et alors qu’Elodie s’agenouillait devant Greg, et s’attaquait à sa braguette, elle se demanda si elle était la seule dans ce lycée, à ne pas se faire baiser par ce jeune homme.
Alors lorsqu’il lui demanda :
- Retirez votre string
Elle lui obéit, et regarda Elodie sortir une bite énorme de son caleçon et commencer à la sucer.
Elle la voyait grossir rapidement sous les coups de langue efficaces de sa secrétaire, elle sentait sa chatte se mettre à mouiller abondamment, elle avait l’impression qu’elle réclamait cette énorme bite.
Alors qu’elle acceptait rarement de sucer son mari, en voyant sa secrétaire commencer à pomper cette bite impressionnante, elle se surprit à avoir envie d’y gouter également.
Alors lorsqu’elle entendit :
- A genou et suce.
Le ton était cette fois, plus autoritaire, et étrangement, cela l’excita encore plus, alors elle obéit aussitôt et se retrouva à coté de sa secrétaire, qui lui tendit la grosse bite de Greg pour qu’elle la suce à son tour, en lui disant :
- Si c’est votre première fois, évitez la sodomie, on a du mal à se remettre d’un tel calibre.
Camille attrapa la grosse bite et se mit à lécher avec envie ce spectre majestueux, elle avait déjà entendu parler de sodomie, mais n’avait jamais osé imaginer qu’une femme puisse accepter une telle chose.
Pourtant, alors qu’elle avalait avec une certaine difficulté la grosse bite de Greg, elle imagina Elodie, sa secrétaire et son amie Linda, se prendre un tel colosse dans le cul, cette vision d’une totale obscénité l’excita fabuleusement.
Elle se mit à pomper avec envie cette bite énorme, en s’imaginant déjà la sentir s’enfoncer entre ses fesses.
Elodie finit de se déshabiller complètement, et trop occupée à pomper la bite de son futur jeune amant, Camille ne remarqua pas la petite chaine qui pendait entre ses seins, où était accroché un petit pendentif.
Elle vit simplement Greg tendre un étrange bijou à Elodie, et lui dire :
- Accroche-lui, elle va bientôt le mériter.
- Oui je pense aussi, répondit Elodie.
Elle se pencha et accrocha une sorte de petit lien autour d’un téton de Camille, celle-ci se recula pour voir ce qu’elle lui faisait, et Elodie accrocha l’autre bout de la chaine à son deuxième téton avec un autre lien.
Etrangement, sentir ses tétons se faire attacher par cet étrange bijou l’excita énormément, elle le laissa en place et regarda l’inscription sur le pendentif, qui disait :
 Salope de Greg.
Elle ressentit une profonde extase à devenir la propriété de ce jeune homme, alors lorsqu’il lui dit :
- Si vous souhaitez m’appartenir totalement, il vous faudra recevoir ma bite par tous les orifices
Prise dans une étrange ivresse de débauche, elle se releva, s’assit sur le bord de son bureau, et tout en écartant les cuisses pour offrir sa chatte à son futur amant, elle lui dit :
- Allez-y, mettez-la moi, où vous voulez.
Greg se plaça entre les cuisses de Camille et elle plaça elle-même cette énorme bite à l’entrée de sa chatte.
Lorsqu’il s’agrippa à ses hanches et qu’il enfonça sa queue hors norme au fond de son ventre, elle poussa un long râle de plaisir et s’allongea sur son bureau pour offrir son corps tout entier à son nouveau propriétaire.
Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation de plénitude, elle sentait cette bite fabuleuse lui remplir le vagin comme jamais il ne l’avait été, et elle se sentait plonger avec délice dans la débauche la plus totale, elle se faisait baiser nue sur son bureau par un élève, alors que sa secrétaire lui léchait les tétons, et cela la faisait jouir prodigieusement.
Elle gémissait de plaisir sans se préoccuper si on pouvait l’entendre jouir, sous les coups de queue d’un élève, elle s’abandonnait complètement et lorsqu’elle sentit les doigts de sa secrétaire venir jouer avec son clitoris gonflé, elle eut un orgasme incroyable, Greg sentit les muscles de son vagin se contracter autour de sa bite.
Il mourrait tellement d’envie de lui fourrer la chatte, que dans un dernier coup de queue, il lui gicla tout son sperme au fond de la chatte.
Lorsqu’elle sentit ce liquide brulant lui remplir le vagin, elle écarquilla les yeux, et jouit si fort, qu’elle en eut le souffle coupé.
Lorsque les giclées se tarirent, Greg retira sa queue et Elodie, en bonne salope, vint lécher la chatte de Camille.
Celle-ci avait encore du mal à reprendre son souffle après toute cette jouissance, et la langue vicieuse de sa secrétaire qui lui bouffait la chatte, ne faisait que maintenir son excitation encore trop forte pour qu’elle réalise pleinement ce qu’elle venait de faire.
Elle entendit Greg lui dire :
- Je reviendrais dans la journée, restez le cul à l’air et Elodie va vous préparer le cul, pour que je puisse vous enculer comme toutes mes salopes.
Sous les coups de langue vicieux de sa secrétaire, elle ne put répondre que par un gémissement de contentement, mais elle vit Greg tendre un objet étrange à Elodie, et sentit la langue descendre entre ses fesses.
La sensation était nouvelle pour Camille, mais pas du tout désagréable, elle l’aurait trouvé scandaleuse quelques jours auparavant, et elle se serait indignée qu’on lui fasse une telle chose, mais là, totalement nue sur son bureau, avec la langue vicieuse de sa secrétaire qui lui titillait maintenant l’anus, elle ne fit que gémir de plaisir et la laissa lui enfoncer sa langue dans le cul.
Elle vit Greg les regarder, et sentit qu’Elodie lui glissait quelque chose entre les fesses, elle la sentit tenter de lui introduire dans le cul.
Contrairement à tout ce à quoi elle aurait pu s’attendre, elle sentit cette chose lui ouvrir doucement le rectum, et cela lui procura un plaisir nouveau et intense, alors quand elle sentit son cul se faire remplir par cette chose, et qu’elle sentit la langue d’Elodie reprendre possession de son clitoris, elle vint s’écarter les fesses et s’entendit lui dire :
- Vas-y, enfonce-le jusqu’au fond.
Elle gémit longuement en sentant cet objet étrange s’enfoncer profondément dans son cul.
Lorsqu’elle sentit enfin les doigts de sa secrétaire contre ses fesses, elle sut qu’elle lui avait tout enfoncé, et la sensation était terriblement jouissive.
Elodie le laissa en place, et Camille entendit Greg lui dire :
- Vous ne devez pas y toucher, ou essayer de le retirer, si vous avez des besoins pressants, vous demanderez à Elodie de le retirer et de le remettre, quand je reviendrais, je veux que votre cul de salope soit prêt à recevoir ma bite.
Camille était en pleine extase anale, lorsque Greg la laissa avec Elodie, toutes les deux nues dans son bureau.
Elle avait parfaitement compris les consignes qu’il lui imposait, et alors qu’Elodie se rhabillait, elle se releva de son bureau, et maintenant qu’elle était un peu redescendue de son petit nuage, elle trouva un peu étrange de se retrouver nue dans son bureau, devant sa secrétaire.
Elle chercha ses sous-vêtements, mais Elodie les ramassa et lui dit :
- Ah non, tu restes à poil sous ton tailleur, comme moi tous les jours, tu vas voir, c’est hyper excitant, et avec ce que tu as dans le cul, tu vas jouir comme une folle.
Camille sentait parfaitement cet objet planté dans son cul, et Elodie n’avait pas tort, cela l’excitait énormément, alors elle prit sa jupe et son chemisier et se rhabilla doucement.
Avant de la laisser seule, Elodie lui dit :
- Assieds-toi doucement, ça peut surprendre la première fois, moi j’en ai toujours un plus petit dans le cul, et ça m’excite toute la journée.
Elle souleva sa jupe et lui montra ses fesses avec un petit objet brillant planté entre les fesses.
Camile n’en revenait toujours pas, mais elle s’assieds sur son bureau et poussa un long râle de jouissance en sentant l’objet dans son cul s'enfoncer encore un peu plus.
Au fil de la matinée, elle essaya de ne pas trop bouger pour essayer de calmer un peu ses sens, mais à chaque fois qu’elle faisait un mouvement, elle sentait l’objet bougé dans son cul et cela la maintenait excitée constamment.
Elle avait totalement oublié qu’elle avait un rdv avec Olivier, un des profs de sport du lycée, dans la matinée, et lorsque Elodie lui annonça son arrivée, elle lui demanda de l’annuler, ne s’estimant pas capable de recevoir quelqu’un dans un tel état d’excitation, mais Elodie lui annonça qu’il attendait à côté, et qu’elle devait le recevoir.

Elodie connaissait bien Olivier, depuis qu’il avait baisé Sabine dans l’annexe de la piscine, il avait pu baiser la plupart des salopes de Greg, et il participait souvent aux orgies qui se déroulaient à l’infirmerie.
Greg lui avait demandé de prendre rdv avec la proviseur ce matin-là, et même s’il ne savait pas tellement à quoi s’attendre, il savait que lorsque ça venait de Greg, il pouvait être sûr que sa bite serait mise à contribution, et il s’imaginait déjà fourré la ravissante Camille.

Camille prit plusieurs inspirations profondes afin de calmer ses sens, et s’estimant apte à le recevoir, elle dit à Elodie de le faire rentrer.
Elle n’osa pas se lever pour le saluer et resta le plus immobile possible sur son fauteuil, le laissant s’assoir, et lui exposer son problème, qui apparemment concernait un thème récurrent : le manque de matériel sportif.
Elle le laissa exprimer ses besoins, en se détendant, car elle avait la solution pour se débarrasser de ce sujet, mais alors qu’il venait de finir ses doléances, elle allait lui proposer de résoudre son problème, lorsqu’elle vit Elodie à la porte de son bureau avec une petite télécommande à la main, elle la vit appuyer dessus et eut le souffle coupé en sentant l’objet dans son cul, commencer à grossir et à vibrer.
Olivier avait parfaitement remarqué les tétons bien visibles de Camille à travers son chemisier, prouvant qu’elle était nue en dessous, et il eut un mal fou à se concentrer sur son exposé, en les voyant pointer fièrement.
Il avait toutefois réussi à finir sans se jeter sur ses superbes seins et alors que Camille allait lui répondre, il la vit écarquiller les yeux, et commencer à suffoquer, il se leva d’un bond et contourna le bureau pour essayer de l’aider.
Mais les seins et les tétons de Camille s’étaient tellement gonflés d’un seul coup, qu’ils tiraient sur le tissu du chemisier, le rendant presque transparent.
Alors Olivier abandonna l’idée de lui faire la manœuvre d’Heimlich, choisit une toute autre méthode, il s’attaqua aux boutons de son chemisier en lui disant :
- Vous avez trop chaud, il faut vous aérer.
Camille se sentait partir encore une fois, l’objet dans son cul ne cessait de grossir et de vibrer, la rendant folle de plaisir, elle sentait ses seins et ses tétons se remettre à pointer outrageusement, alors lorsqu’Olivier s’attaqua aux boutons de son chemisier, elle le laissa faire et se retrouva rapidement, les seins à l’air devant lui.
Elle le vit découvrir la petite chaine accrochée à ses tétons, alors n’y tenant plus, et maintenant qu’il savait qu’elle était la salope de Greg, elle passa ses mains derrière sa tète et plaqua sa bouche contre ses tétons.
Elle poussa alors un long râle de jouissance et sentit l’objet dans son cul cesser de grossir, mais les mains d’Olivier ne restèrent pas inactives, l’une se glissa entre ses cuisses et vint fouiller sa chatte complètement trempée, tandis que l’autre empoignait le sein qu’il ne suçait pas.
Camille écarta les cuisses et s’abandonna aux caresses d’Olivier.
Elle le vit abandonner son sein pour faire sortir sa bite bien dure, et en la voyant jaillir de son short, Camille sut qu’elle allait se faire baiser par une nouvelle queue, certes plus modeste que celle de Greg, mais elle avait une envie furieuse de la sentir s’enfoncer dans son ventre.
Alors elle retroussa sa jupe et glissa sa chatte au bord de son fauteuil, en lui disant :
- Prends-moi, allez, baise-moi.
- Je savais que tu étais une bonne salope, toi aussi.
Dans un puissant coup de rein, Camille sentit la bite d’Olivier s’enfoncer dans son vagin et alors qu’elle avait le cul encore bien rempli par l’objet, elle eut l’impression de se faire prendre des deux côtés.
Elle partit dans un tourbillon de plaisir, et alors qu’Olivier la soulevait du fauteuil pour la plaquer contre le mur, elle referma ses jambes dans son dos et ses mains derrière son cou, en lui criant :
- OUIII, DEFONCEEEEE-MOIIIII, FAIS MOI JOUIIIRRR.

Il la soutint par les fesses et sentit qu’elle avait le cul bien rempli, alors il la besogna contre le mur, la faisant crier de plaisir, et lui dit :
- Tu es une vraie chienne en chaleur, tu te fais remplir le cul et la chatte comme toutes les petites salopes de ton lycée.
Elle partit sur son petit nuage de jouissance, en criant de plaisir sous les coups de queue violents d’Olivier.
Il la baisa un bon moment contre le mur, et elle jouit plusieurs fois, avant qu’Olivier ne finisse par lui remplir la chatte avec son sperme, elle était plaquée contre le mur, empalée sur sa bite, et elle sentait ses giclées de sperme lui remplir la chatte.
C’était la deuxième fois, aujourd’hui, qu’elle se faisait fourrer la chatte avec du sperme qui n’était pas celui de son mari, mais étrangement, elle s’en moquait éperdument et laissa Olivier lui inonder la chatte, en lui roulant une pelle langoureuse.
Une fois qu’il s’eut bien vidé les couilles, il reposa Camille, qui s’affala sur son fauteuil, elle était complètement amorphe, les cuisses grandes ouvertes, et le sperme d’Olivier suintait doucement de sa chatte.
Il se refroqua et lui dit avant de la quitter :
- Le petit salaud, il a fait de toi, une bonne salope.
Camille ne répondit rien, elle ne pouvait qu’admettre qu’elle était véritablement devenue une femme dépravée et licencieuse, mais alors qu’elle sentait l’objet qui avait grossi entre ses fesses, elle se dit qu’elle avait hâte de sentir une vraie bite s’enfoncer par là.
Elle mit un moment à reprendre ses esprits, et à se rhabiller, pour reprendre une attitude plus convenable, du moins autant que le lui permettait l’objet qu’elle avait dans le cul.
Mais il était l’heure de déjeuner, habituellement, elle déjeunait à la cantine avec les professeurs, mais même si elle venait de se faire baiser par Olivier, elle ne s’imaginait pas succomber à ses désirs en plein milieu de la cantine.
Elle choisit alors de retourner chez elle pour déjeuner, elle eut un peu de mal à marcher jusqu’à sa voiture avec cet objet dans le cul, mais alors qu’elle s’installait au volant, en essayant de trouver une position qui lui permettait de conduire avec cette chose entre les fesses, Elodie, qui l’avait suivi, frappa à la vitre du côté passager.



À suivre...
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Histoire de bobby28

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