La vengeance de Greg 5

Après la partouze chez Bruno, Greg était rentré chez lui et avait attendu que la superbe Sabine se réveille doucement, il profita que ses parents dorment toujours pour la faire sortir et la raccompagner chez elle.
Il ne se doutait pas du tout de ce que sa mère avait découvert.
Mais même si sa nuit avait envahi de rêves incestueux, et qu’elle mourrait d’envie de se venger de son mari, elle se dit qu’avant de franchir la barrière de l’inceste, il fallait qu’elle soit sûre que son pervers de mari baise vraiment avec leur fille, elle l’avait bien vu couché avec la petite amie de leur fils, mais rien n’indiquait qu’il avait vraiment franchi le tabou de l’inceste.
Même si elle avait une très forte intuition, elle allait le surveiller de près avant de prendre une décision totalement immorale.
Elle surveillait son mari discrètement, mais elle n’eut pas à attendre longtemps avant d’assister à la déchéance de sa famille.
Alors qu’elle était en train de prendre son petit déjeuner tranquillement dans la salle à manger, elle vit Greg et Isa aller dans la cuisine pour préparer leur petit déjeuner, Patrick les rejoignit, soi-disant pour chercher du sucre, alors qu’il était sur la table.
Se doutant d’un truc louche, Monica se leva doucement et les épia en passant juste un œil dans l’ouverture de la porte.
Même si elle avait quelque doute, elle n’aurait jamais pu soupçonner ce qu’elle avait sous les yeux, Greg était en train de baiser la chatte de sa sœur, tandis que celle-ci était penchée sur la bite de son père, et lui pompait la queue comme une affamée.
Monica se dit qu’apparemment toute sa famille était devenue de véritables dépravés, et lorsqu’ils échangèrent de place, faisant pivoter Isa sur elle-même et que Patrick se mit à baiser sa fille tandis qu’elle pompait l’énorme bite de son frère.
Elle se dit que son fils tenait vraiment de son véritable géniteur.
Il faut savoir que Monica était une superbe brune, aux cheveux longs, d’1,65m pour 58kg, des seins lourds de 90D et un cul bien bombé et bien rond, elle avait toujours fait attention à son physique et ne laissait pas les hommes indifférents, en plus de 20 ans de mariage, elle n’avait fait qu’une seule entorse à ses vœux de fidélité, et même si elle était tombée enceinte à la suite de cet adultère, Patrick n’avait jamais été au courant, et avait toujours cru que Greg était son fils.
Mais en voyant Isa sucer son énorme bite, elle se rappela parfaitement le père génétique de Greg, un très bel homme, mais surtout une bite hors du commun, il l’avait fait jouir comme une folle, alors en glissant sa main dans sa culotte, elle se dit que Greg avait hérité des attributs sexuels de son père, et puisque son mari abusait de sa fille, elle n’allait pas se gêner pour profiter de cette énorme bite.
Elle se caressa le clito en les regardant baiser, et lorsque Patrick jouit dans la chatte de sa fille, elle se dépêcha de retourner à sa place, et essaya de reprendre ses esprits, mais elle était obnubilée par l’énorme bite de son fils, et se mit à échafauder un plan immoral, pour qu’elle puisse, elle aussi, y gouter.
Lorsque le trio incestueux sortit de la cuisine, Monica se retint de se jeter sur la queue de son fils, elle se leva et se rendit dans la cuisine, elle pouvait encore sentir les effluves de sperme et de cyprine à l’endroit où ces pervers venaient de baiser.
Elle n’arrivait plus à se raisonner, il fallait qu’elle goute à cette bite impressionnante.

Comme c’était un samedi matin, personne ne devait se rendre en cours, mais Patrick, qui était entraineur de l’équipe de volley, devait se rendre à l’entrainement.
Monica, se dit qu’il fallait dans un premier temps, qu’elle se débarrasse de son mari infidèle et incestueux.
Alors elle sortit de la cuisine et l’incita à aller accomplir son devoir auprès des jeunes en lui disant :
- Tu ne devrais pas trainer, tu vas être en retard à l’entrainement.
et elle se dit pour elle-même :
 Au moins, tu ne les baiseras pas celles-là.

Patrick entrainait aussi bien l’équipe des garçons que celle des filles, et même s’il fantasmait souvent sur certaines d’entre elles, il n’avait jamais eu de comportement déplacé.
Mais depuis qu’il avait baisé avec sa fille et Sabine, il se dit qu’il tenterait bien sa chance avec quelques-unes de ses joueuses, mais il venait de se vider les couilles dans la chatte de sa fille, alors sa libido était, pour le moment, apaisée.
Après avoir fini de se préparer, il partit donc en direction du gymnase, avec un certain bienêtre, mais il s’imaginait déjà en train de baiser les jeunes filles qu’il entrainait, et tout en marchant il chercha par quel moyen, il pourrait arriver à ses fins.

Dès qu’il eut franchi la porte de la maison, Monica se précipita dans sa chambre, et chercha la tenue adéquate pour mettre en place son plan immoral.
Elle choisit une robe courte noire, très moulante, qui lui faisait un décolleté très plongeant, mettait en bien valeur sa grosse poitrine et son cul bien ferme, elle ne la mettait que lorsqu’elle était seule avec son mari, pour l’exciter et passer une soirée torride, c’était la première fois qu’elle envisageait de la porter en public.
Elle se maquilla de façon à être suffisamment provoquante, et enfila ses escarpins les plus haut, ce qui la faisait cambrer ses fesses et la rendait extrêmement séduisante.
Mais alors qu’habituellement ses enfants s’enfermaient chacun dans leur chambre, dès leur petit déjeuner avalé, lorsqu’elle redescendit, ils étaient toujours sur le canapé à attendre.
Comme s’ils attendaient qu’elle parte faire les courses hebdomadaires, et s’adonner à leurs pratiques incestueuses, mais Monica n’avait pas l’intention d’y aller seule, et en voyant sa mère habillée si sexy, Greg eut du mal à en croire ses yeux, il ne l’avait jamais vu aussi attirante.
Elle lui demanda :
- Tu viens avec moi, Greg, tu m’aideras à porter les sacs.
Tout en la mangeant des yeux, il répondit, en se levant :
- Oui, d’accord.
Isa fut contrariée de voir son frère partir, et de ne pas pouvoir profiter de sa grosse bite tranquillement, mais en voyant leur mère habillée si sexy, elle eut un étrange pressentiment, et alors qu’elle détestait ça, elle proposa :
- Je peux vous accompagner, si vous voulez.
Sans leur laisser le choix, elle se leva à son tour du canapé.
Mais Monica espérait bien pouvoir s’isoler avec son fils et le faire succomber à ses charmes, alors avant qu’Isa n’enfile à son tour ses chaussures, elle lui dit :
- Reste ici, ma chérie, je sais que tu n’aimes pas ça, et on sera assez de deux pour les courses.
Isabelle ne trouva pas de répliques assez rapidement, elle vit sa mère partir en faisant claquer ses hauts talons et alors que Greg avait les yeux rivés sur les fesses de sa mère, celle-ci se mit à rouler du cul pour bien l’exciter.
Greg la suivit de près, et Isa les regarda partir, frustrée et contrariée de ne pas pouvoir les accompagner.

Monica et Greg partirent donc en direction du centre commercial, et en essayant de se concentrer un minimum sur la route, elle sentait les yeux de Greg lui dévorer les cuisses.
Elle essaya de les écarter autant que la conduite le lui permettait, mais elle ne put offrir qu’un bref aperçu de son string trempé à son fils, elle mouillait tellement qu’elle crut que sa jupe allait être taché.
Mais alors qu’ils étaient presque arrivés, elle reçut un appel sur son téléphone, c’était sa collègue. Monica était infirmière à domicile et était souvent chargé de s’occuper de patients le week-end, mais aujourd’hui, elle était de repos, malheureusement sa collègue lui annonça qu’elle venait d’avoir un accident, et qu’elle ne pouvait pas finir la tournée des patients.
Monica comprit rapidement que ce serait à elle de s’en occuper, et elle fut tellement contrariée de ne pas pouvoir profiter de son fils comme elle le souhaitait, qu’elle ne prit même pas la peine de savoir si sa collègue n’avait rien de grave, sur un ton sec et énervé, elle lui demanda :
- Bon, ok, il restait qui à aller voir, je vais y aller puisque tu es incapable de conduire correctement.
Habituellement, Monica était toujours très arrangeante, et sa collègue fut très surprise de sa réponse, mais sentant qu’elle était très en colère, elle lui donna les noms des deux derniers patients, sans prolonger leur discussion.
Monica lui raccrocha presque au nez, et prit la direction du premier patient.
Son excitation était complètement retombée, elle se dépêcha d’arriver chez son patient, afin de pouvoir poursuivre son projet incestueux.
Elle ne se rendit compte de sa tenue inadéquate que lorsqu’elle se gara devant chez Maurice, habituellement, elle était toujours habillée en pantalon, pour faire ses tournées, et justement les deux derniers patients avaient les mains baladeuses, et comme son string était encore bien humide, elle espérait que Maurice serait raisonnable aujourd’hui, elle demanda à Greg de l’accompagner, espérant que la présence de son fils tempère la libido de Maurice.
Elle frappa à la porte, et lorsque Maurice lui ouvrit, il fut agréablement surpris de la tenue de Monica, il ne put se retenir de siffler l’air si connu lorsqu’un homme voyait une femme attirante, il n’avait pas fait attention à la présence de Greg, et faillit lui claquer la porte au nez, en disant à sa mère :
- Ouahou, c’est mon anniversaire, aujourd’hui ? tu es sacrément bandante ma jolie.
Monica tenta de calmer Maurice, en lui disant :
- Maurice, doucement, mon fils est là, c’est Sophie qui devait venir aujourd’hui.
- Oui je croyais aussi, mais j’aurais raté un sacré morceau, dis donc.
Sans se préoccuper de la présence de Greg, il mit sa main sur une fesse de Monica, celle-ci en avait l’habitude, et lui retira la main de ses fesses rapidement.
Mais lorsque Greg posa ses ustensiles sur la table pour la piqure de Maurice, elle se rendit compte que son fils bandait, elle sentit sa chatte se remettre à couler à flot.
Elle eut du mal à se concentrer sur le dosage de la piqure, et comme Maurice avait ce si joli cul bien moulé dans sa robe courte, il retenta sa chance, et reposa sa main sur le cul de Monica.
Excitée par la bosse qu’elle voyait dans le short de son fils, elle ne trouva pas la force de retirer la main de Maurice de son cul.
Ce dernier, trop content qu’on le laisse tripoter un si ravissant postèrieur, ne se gêna pas pour retrousser sa robe de Monica et lui mettre les fesses à l’air.
Malgré la présence de Greg, il lui tripota les fesses et lui dit :
- Putain, mais tu t’es vraiment habillée comme une pute, ma parole.
Alors qu’elle sentait les gros doigts de Maurice se glisser entre ses cuisses, elle vit Greg se pencher pour voir ce que Maurice faisait à sa mère.
Monica était tellement excitée par le regard de son fils et par la bosse qu’elle ne cessait de voir grossir, qu’elle abandonna la piqure, et écarta les cuisses pour laisser Maurice lui fouiller la chatte.
Elle le sentit écarter son string et lui enfoncer ses gros doigts dans sa chatte trempée, et alors que Greg la regardait se faire doigter par ce pervers, Maurice lui dit :
- Mais tu es trempée, salope, je vais être obligé de te baiser devant ton fils.
Monica ne put s’empêcher de pousser un long gémissement en sentant les vieux doigts rugueux de Maurice lui fouiller la chatte devant son fils.
Il la fit se pencher sur la table et tout en lui fouillant la chatte, il s’approcha de son cul et vint lui lécher l’anus, Monica gémissait de plus en plus fort, sous les coups de langue vicieux de Maurice.
Mais elle eut un orgasme lorsqu’elle vit Greg sortir sa bite énorme et commencer à se branler, en la regardant se faire bouffer le cul par ce vieux pervers.
Monica mourrait d’envie de la sucer, de se la prendre au fond de la chatte, et lorsque Maurice arrêta de lui bouffer le cul, pour lui retirer son string, il vit Greg à la bite à l’air, en train de se branler devant sa salope de mère.
Il glissa le string de Monica dans sa poche et se releva en lui disant :
- Eh ben dis donc, salope, on dirait que tu excites bien ton fils, et en plus il est sacrément bien monté le bougre.
Contrairement à Greg, la bite de Maurice avait un peu de mal à retrouver la raideur de sa jeunesse, mais il eut une idée particulièrement vicieuse.
Il envoya une violente claque sur les fesses de Monica et lui demanda :
- Dis-moi, salope, je suis sûr que tu meurs d’envie de te prendre sa grosse bite.
Monica fut surprise par la claque sur ses fesses, mais ce fut comme une délivrance, et elle cria :
- OUIIII, JE VEUX SA GROSSE BIIITE.
Maurice dit à Greg :
- Approche mon garçon, ta salope de mère est impatiente de gouter à ta grosse queue.
Greg ne se fit pas prier, Maurice lui laissa la place derrière les fesses de Monica, elle cambra les reins, écarta les cuisses et regarda son fils approcher son énorme queue de sa chatte en feu.
Maurice regarda l’énorme queue du fils s’enfoncer dans la chatte de la mère, et l’entendit pousser un long râle de plaisir et dire à son fils :
- Vas-y, mon chéri, défonce bien la chatte de maman, baise-moi, fourre-moi la chatte avec ta grosse bite
Maurice n’aurait jamais cru que Monica soit si salope, alors tandis que le fils commençait à la faire gueuler sous ses coups de bite, il se plaça de l’autre côté de la table et donna sa queue à sucer à Monica.
Celle-ci était tellement ivre de plaisir, qu’elle avala sans réfléchir la bite sale de Maurice, elle la pompa avec un appétit féroce, elle lui nettoya avec sa salive et tandis qu’elle sentait son vagin se faire remplir comme il ne l’avait pas été depuis longtemps, elle avala entièrement la queue de Maurice et se fit bientôt défoncer la bouche et la chatte par deux bites bien dures.

Greg se cramponna aux hanches de sa mère, et se mit à lui envoyer de puissant coup de queue au fond de la chatte, si elle n’avait pas une bite profondément enfoncé dans sa gorge, elle aurait crier de jouissance, et tandis que Greg sentait les parois du vagin de sa mère se contracter autour de sa bite, il ne put se retenir de lui gicler au fond de la chatte.
Même si Maurice aurait bien baisé cette salope à son tour, Monica lui pompait si bien la bite, qu’il ne put se retenir plus longtemps, il lui gicla au fond de la gorge, et cette salope eut un orgasme intense en sentant les deux bites lui gicler dans la chatte et dans la bouche en même temps.

Une fois qu’elle eut avalé tout le sperme de Maurice, et que Greg se soit bien vidé les couilles au fond de sa chatte.
Ils retirèrent leurs queues, et alors qu’elle reprenait doucement son souffle, Maurice lui dit :
- Eh bien, à partir d’aujourd’hui, on va bien s’amuser tous les deux, et je compte sur toi pour convertir ta collègue.
Monica venait de jouir si fort, qu’elle lui répondit sans réfléchir :
- D’accord, j’essaierai convaincre Irène.
Alors que Greg remballait sa bite en regardant son sperme suinter de la chatte de sa mère, Maurice lui donna une claque dans le dos en lui disant :
- Eh bien, ta mère est une sacrée salope, je suis sûr qu’elle rêvait de se prendre ta grosse bite, tu as une sacrée queue, mon garçon.
- Merci, Monsieur
- De rien, c’est peut-être grâce à toi, que je vais pouvoir baiser ta mère désormais.
Monica se redressa et remit sa robe en place, elle reprit ses esprits, et fit ce pourquoi elle était venue au départ.
Elle fit la piqure de Maurice, et alors qu’il recevait son injection quotidienne, il lui demanda :
- Dis-moi, salope, tu ne pourrais pas me mettre un peu de viagra dans ta seringue, comme ça, je pourrais te défoncer comme ton fils vient de le faire.
- Euh, je ne sais pas, faudrait demander à votre médecin.
- Rhooo, tu dois bien pouvoir me trouver ça.
Monica avait effectivement réussi à récupérer ce genre de produit, mais elle ne s’en servait qu’avec son mari, et à chaque fois, elle jouissait comme une folle.
Alors, encore sur son petit nuage de plaisir, elle lui répondit :
- Ok mais, il faudra être prudent, c’est dangereux pour votre cœur.
- Oh si je meurs en te défonçant la chatte, ce sera une belle mort.
Monica rangea ses affaires et partit avec Greg, pour aller voir le deuxième patient, oubliant son string dans la poche de Maurice.
Celui-ci le garda en trophée, et le huma tout le reste de la journée en se branlant, pressé de pouvoir baiser de nouveau cette salope de Monica.

Greg et sa mère prirent donc la direction du deuxième patient, et alors qu’ils avaient déjà fait plusieurs kilomètres, elle s’écria :
- Mince, j’ai oublié mon string chez Maurice
Greg ria de surprise, jamais il n’aurait pu imaginer vivre ce qu’il venait de vivre chez Maurice, et il repensa à ce qu’il avait dit et demanda à sa mère :
- Maman, c’est vrai ce qu’a dit Maurice ?
- Euh, quoi donc ?
Il posa sa main sur la cuisse nue de sa mère et la glissa doucement vers sa chatte encore gluante de son sperme, en lui disant :
- Que tu rêvais de te prendre ma bite.
Alors que Monica écartait les cuisses afin de lui laisser le libre accès à sa chatte, elle lui répondit honnêtement :
- Mon garçon, il faut que je te dise un secret, Patrick n’est pas ton père, j’ai été infidèle, ton géniteur avait une bite incroyable, un peu comme la tienne, on a baisé plusieurs fois, et j’ai fini par tomber enceinte de toi.
- Ah bon, et Isa est quand même ma sœur ?
- Ta demi-sœur, en quelque sorte, et depuis que je vous ai vu baisé ensemble avec Patrick, j’ai voulu me venger avec toi, mais je n’avais pas prévu que ça se passerait chez Maurice.
Greg enfonça ses doigts dans la chatte gluante de sa mère et lui dit :
- Il risque de vouloir recommencer, ce vicieux.
Monica poussa un gémissement de plaisir, elle essayait de se concentrer sur la route et lui répondit :
- Ouiiii, ….
Alors qu’elle se garait rapidement devant la maison de Norbert, le second patient, elle écarta les cuisses, offrant complètement sa chatte aux doigts agiles de son fils, tandis qu’il lui demandait :
- Et tu as envie de baiser avec ce vieux pervers ?
Sous les caresses incestueuses de son fils, Monica se sentait partir encore une fois, sa chatte encore gluante de son sperme, ses tétons pointaient fièrement à travers sa robe, alors elle lui répondit :
- Oui, j’ai envie qu’il me baise.
Accélérant les mouvements de ses doigts dans la chatte de sa mère, il insista en lui demandant :
- A chaque fois, que tu iras le voir, tu baiseras avec lui ?
Gémissant comme une folle, elle répondit :
- Ouiiii, il me défoncera à chaque fois.
- Et tu vas vraiment essayer de convaincre ta collègue de devenir une grosse salope comme toi ?
Se faire traiter de salope par son fils, fit jouir Monica intensément, et elle cria :
- Ouiiiiii, je ferais tout ce qu’il m’a demandé.
Greg retira ses doigts gluants de la chatte de sa mère et lui demanda :
- J’aimerais être là, quand tu compteras pervertir Irène.
Reprenant doucement son souffle, Monica lui répondit :
- D’accord mon garçon, ce sera sans doute même plus facile si tu es là.
- Ah bon ?
- Oui, mon garçon, on a eu quelques discussions entre filles avec Irène et je sais qu’elle aime les hommes bien montés, alors avec ta grosse bite, elle ne sera pas déçue.
- D’accord, tu comptes faire ça où ?
- Je n’en sais rien, mais connaissant Maurice, je suppose qu’il voudra faire ça chez lui.
- Oui, et tu comptes vraiment le doper au viagra ?
- Non, ce serait trop dangereux, mais un bon placebo fera sans doute très bien l’affaire.
Greg ria et alors que sa mère remettait sa robe en place, elle lui dit :
- Bon, alors le prochain c’est Norbert, pas méchant, mais il a les mains baladeuses, lui aussi.
- Tu comptes baiser avec lui.
- Euh, je ne pense pas qu’il osera, devant toi, il est plus timide que Maurice
- Tu veux que je te laisse seule avec lui ?
- Eh, mais je n’y crois pas, tu veux que ta mère baise avec tous ses patients ?
- Ben pourquoi pas, si tu es vraiment une salope, il ne faut pas refouler tes envies.
- Arrête, ça m’excite quand tu me traites de salope.
- Donc pour Norbert ?
- Viens avec moi, gros pervers.
Monica sortit de la voiture, et prit ses affaires, elle sentait l’air frais lui glisser sur sa chatte encore trempée de sa récente jouissance avec les doigts de son fils, et alors qu’elle sonna à la porte de Norbert, elle se sentait prête à tout.
Ce dernier n’en crut pas ses yeux en voyant Monica habillée en grosse salope, et il le pensa si fort, qu’il sentit sa vieille bite se mettre au garde à vous.
Il la fit rentrer et fut contrarié de voir qu’elle était accompagnée par son fils.
Alors même s’il bandait comme un âne, il n’osa pas lui effleurer les fesses, comme à son habitude.
Il s’assit sagement sur son fauteuil et la détailla des pieds à la tête, il la trouvait fabuleusement excitante, sa robe lui moulait si bien les seins et les fesses, il remarqua d’ailleurs qu’il ne voyait aucune démarcation de culotte ou de string.
Tandis que Monica préparait la piqure, Norbert avait les yeux rivés sur son cul, même si elle lui tournait le dos, elle pouvait sentir son regard lui dévorer les fesses, et cela l’excitait énormément, elle se demandait s’il pouvait voir le sperme de son fils lui couler sur les cuisses.
Alors que Greg se glissait doucement derrière Norbert, elle se mit à cambrer les fesses et sa robe était tellement courte que Norbert put apercevoir sa chatte luisante.
Il était tellement à l’étroit, qu’il ne put s’empêcher de se caresser la queue par-dessus son pantalon, il était certain que cette salope avait la chatte trempée, il mourrait d’envie de la baiser, mais il était tellement hypnotisé par la chatte de Monica, qu’il ne vit pas Greg s’approcher de lui et sursauta quand il l’entendit lui chuchoter :
- Elle vous plait la chatte de ma mère ?
- Euh, …. Mais …. Euh …
- Ne faites pas votre timide, regardez comment elle mouille cette salope, je suis sûr qu’elle meurt d’envie de se faire baiser.
Norbert fut surpris d’entendre un fils parler ainsi de sa mère, mais il ne put qu’admettre que la chatte de Monica avait l’air bien humide et répondit :
- Oui, vous avez peut-être raison.
- J’en suis sûr, vous voulez qu’elle soulève encore plus sa robe ?
Encore une fois très surpris par la proposition de Greg, Norbert lui répondit :
- Euh, …., et bien, …., ce ne serait pas très convenable.
- Pas besoin d’être convenable avec elle, ma mère est une grosse salope, regardez.
Sous les yeux ébahis de Norbert, Greg leva la voix et dit à sa mère :
- Maman, tu pourrais soulever ta robe, Norbert et moi, on voudrait voir ton cul de salope.
Son cœur battait à cent à l’heure, mais sans pouvoir s’en empêcher, elle posa la seringue sur la table et remonta sa robe, dévoilant ses superbes fesses à son fils et à Norbert.
Ce dernier n’en croyait pas ses yeux, la belle Monica lui montrait son cul si charmant et cela devant son fils.
Mais alors qu’elle allait arrêter de remonter sa robe et la retrousser jusqu’à ses hanches, Greg lui dit :
- Non, non, Maman, continue, Norbert a très envie de voir tes gros nichons, n’est-ce pas Norbert ?
Celui-ci n’arrivait toujours pas à y croire et répondit :
- Oui, oui, continuez, j’aimerais tellement les voir.
Alors toute soumise aux désirs de son fils et de ce vieux pervers, elle continua de remonter sa robe et se retrouva bientôt complètement nue au milieu du salon.
Greg lui dit alors :
- Retourne-toi, maman et viens nous montrer de plus près tes gros nichons de salope.
Monica obéit encore une fois, et se retourna dévoilant sa chatte finement taillée et ses gros seins bien lourds.
Norbert était tellement à l‘étroit dans son pantalon, que sa bite lui faisait un mal de chien, alors ne pouvant plus se contenir, il dit à Monica :
- Approche salope, et viens t’occuper de ma bite.
Monica était totalement soumise à ces deux males, elle s’approcha de Norbert et s’agenouilla entre ses jambes, elle entreprit aussitôt de lui ouvrir la braguette et fit jaillir une bite bien dure, et d’une très belle taille, pas aussi grosse que celle de son fils, mais tout de même très appétissante.
Norbert fut soulagé de sentir sa queue enfin à l’air libre et coulisser entre les doigts fins de Monica, mais ses gros seins étaient tellement tentants, qu’il lui dit :
- Mets-la entre tes gros nibars, salope et branle moi avec.
Monica obéit, et commença à lui faire une belle branlette espagnole, avec ses gros nichons.


Pendant ce temps, après que Monica lui ait raccroché au nez, Irène, qui avait eu un léger accident de voiture, avait fait son possible pour faire un constat rapide, elle venait tout juste de réussir à redémarrer sa voiture, elle regarda sa montre, et vu l’heure, elle se dit que Monica était sans doute déjà passé chez Maurice, alors elle lui envoya un texto pour la prévenir qu’elle allait pouvoir s’occuper de la piqure de Norbert.
Mais sa collègue était trop occupée à branler la bite de son patient entre ses gros seins, pour avoir entendu le message, Irène prit donc la route et se dépêcha d’arriver, afin de ne pas trop déranger Monica.
Il faisait lourd ce jour de printemps, la météo avait même prévu des orages violents dans la journée, alors avec cette chaleur étouffante, Irène avait choisi de porter une robe légère blanche qui lui arrivait juste en dessous des genoux, elle ne voulait pas trop être attirante quand elle se rendait chez les patients.
Irène plaisait beaucoup aux hommes, une ravissante brune aux yeux bleus, qui venait de fêter ses 32ans, mesurait 1,62 pour 56 kg, elle avait un charme naturel, en plus de son imposante poitrine de 95E, elle essayait toujours de la dissimuler sous des vêtements amples lorsqu’elle faisait ses tournées.
Toutefois aujourd’hui il faisait vraiment trop chaud, alors dans sa jolie robe blanche, elle attirait le regard des hommes dans la rue, elle se dit que sa robe moulait peut-être un peu trop sa grosse poitrine, mais elle aimait plaire aux hommes et se dit que même si Norbert avait les mains baladeuses, elle saurait calmer ses pulsions.

Elle arriva quelques minutes après, le ciel était devenu noir, Irène constata que la voiture de sa collègue était déjà là, espérant ne pas arriver trop tard, elle chercha une place pour se garer, comme il n’y avait plus de place devant la maison, elle se gara un peu plus loin.
Elle se dépêcha de récupérer ses affaires dans le coffre, en sentant les premières grosses gouttes de pluie tomber sur ses épaules.
Elle avait à peine fait 10m, qu’un déluge lui tomba dessus, elle se mit à courir jusqu’à chez Norbert, mais elle fut complètement trempée des pieds à la tête, en arrivant devant la porte.
Il pleuvait tellement, qu’elle ne prit pas le temps de sonner, et rentra comme une trombe.
Alors qu’elle allait maudire cette satanée pluie :
- Mais, qu’est-ce ….
Elle se pétrifia en découvrant Monica, complètement nue, chevaucher la grosse bite de Norbert, tout en suçant l’énorme queue de son fils.
Irène dégoulinait de pluie, mais en voyant sa collègue jouir avec deux belles bites, elle sentit sa chatte se mettre à couler également.
Ce fut Greg, qui remarqua sa présence, il rêvait de pouvoir la baiser depuis longtemps, à cause de l’orage, elle était trempée dans l’entrée, sa robe lui collait à la peau, et était devenue complètement transparente.
Il retira sa grosse queue de la bouche avide de sa mère et se dirigea vers Irène, celle-ci n’arrivait toujours pas à bouger, elle n’arrivait pas à croire ce qu’il se passait sous ses yeux, et lorsque Greg et sa bite hallucinante s’approchèrent d’elle, elle ne sut dire si ses tétons se mettaient à pointer à cause du désir ou du froid qu’elle ressentait.
Mais elle était fascinée par cette bite énorme, il faut dire qu’Irène avait toujours eu un faible pour les bites de grande taille et même si certaines femmes lui disaient que ce n’était pas la taille qui importait, elle leur répliquait souvent que c’était comme l’argent qui ne faisait pas le bonheur mais y contribuait, les grosses bites ne faisaient pas le plaisir, mais y contribuaient fortement.
Durant son adolescence tumultueuse, où elle avait couché avec beaucoup de garçons, tous attirés par son énorme poitrine, elle avait pu ainsi gouter à de nombreuses bites de taille, de forme et de couleur différente, elle avait donc porté sa préférence sur les bites bien épaisse et bien longue.
Pourtant au fil des années, elle avait réussi à tempérer ses pulsions, avait fini ses études d’infirmières et s’était marié à un homme charmant et attentionné, mais loin des critères sexuels de sa jeunesse.
Elle avait su s’en contenter, et même si elle était parfois tentée par une petite aventure, elle avait su rester fidèle à son mari, du moins jusqu’à aujourd’hui.
Sans pouvoir résister cette envie implacable, dès que la grosse bite de Greg fut à portée de main, elle l’attrapa et se mit à la branler doucement, ça faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas senti une si grosse queue entre ses doigts, qu’elle laissa Greg s’attaquer aux boutons de sa robe, en l’entendant lui dire :
- Eh bien, tu es toute trempée, va falloir enlever tout ça, pour te sécher et éviter que tu n’attrapes froid.
Sa robe tomba rapidement sur le sol, Greg se mit à lui soupeser ses énormes seins en disant ;
- Eh bien, je crois que je n’en ai jamais vu d’aussi gros, faut les libérer pour les faire sécher eux aussi.
Elle le laissa dégrafer son soutien-gorge, qui rejoignit rapidement sa robe sur le sol, dès que ses seins furent libérés, elle sentit la langue chaude de Greg venir lécher ses tétons bien durs, elle poussa un long gémissement de plaisir, tandis qu’elle sentait la main de Greg se glisser dans sa culotte.
Elle releva la tête, et tandis qu’elle se faisait caresser la chatte par les doigts chauds de Greg, elle regarda Monica continuer sa chevauchée fantastique sur la belle bite de Norbert.
A cet instant précis, elle sut que les prochaines visites chez Norbert allaient être beaucoup plus torrides que d’habitude, mais à voir et à entendre jouir Monica sur sa vieille bite, elle soupçonnait aisément qu’elle y prendrait, elle aussi, beaucoup de plaisir.
A contrecœur, elle dut lâcher la grosse bite de Greg, car celui-ci s’agenouillait devant elle pour lui retirer sa culotte, elle souleva les pieds pour l’aider à se débarrasser de ce sous-vêtements gênant, et se retrouva dans la même tenue que sa collègue, complètement nue.
Greg se releva et lui posa un main sur les fesses pour la faire avancer vers les deux autres baiseurs en lui disant :
- Allez, on va rejoindre les deux autres, ça te réchauffera plus rapidement.
Irène avança donc, et Norbert qui n’avait rien manqué de sa mise à nu, abandonna un des gros seins de Monica pour glisser ses doigts entre les cuisses de sa collègue, elle le laissa jouer avec son clito, tandis qu’elle sentait Greg passer dans son dos, et placer son énorme queue entre ses fesses, sans qu’il n’ait à le lui demander, elle se pencha en avant, et se cambra, offrant sans aucune pudeur, sa chatte à son jeune amant et ses gros seins à Norbert, celui-ci avait maintenant 2 grosses paires de nichons devant lui, il ne savait plus trop où donner de la tête.
Lorsque Greg enfonça enfin sa grosse queue dans la chatte trempée d’Irène, elle poussa un long râle de plaisir, elle retrouvait enfin cette sensation incroyable de se faire entièrement remplir la chatte, lorsqu’elle sentit les poils de Greg lui chatouiller les fesses, elle ne put se retenir de dire :
- Oh putain, ce que c’est bon, une grosse bite.
Monica continuait de chevaucher la queue de Norbert, elle attrapa sa collègue par le cou, et avant de lui rouler une pelle langoureuse, lui dit :
- Elle est bonne, la bite de mon fils, salope !
Irène ne put lui répondre que par un gémissement, elle sentit la langue de Monica lui envahir la bouche et tout naturellement, elle envoya la sienne dans celle de sa collègue.
Elles gémirent toutes les deux, sous les coups de queue qu’elles se prenaient simultanément, Norbert leur bouffait ou leur pétrissait leur gros seins, mais il n’en pouvait plus de se retenir, même s’il avait une bonne endurance pour son âge, ces 4 gros nichons pour lui seul, s’en était trop, il finit par jouir au fond de la chatte de Monica, en se cramponnant à 2 gros seins, tout en, en suçant un troisième.
Monica jouit comme une folle en sentant le sperme de Norbert lui remplir la chatte, et se mélanger à celui de son fils qu’elle s’était prise quelques minutes auparavant.
Greg laissa sa mère et Norbert finir de jouir ensemble et emmena Irène sur le canapé du salon, il la fit mettre à 4 pattes, et commença à la défoncer en levrette, elle se mit à pousser de grands cris de jouissance à chaque fois qu’il enfonçait complètement sa bite au fond de sa chatte.
La sensation n’était pas nouvelle pour Irène, mais elle retrouvait la jouissance et l’extase de sa jeunesse, cette grosse queue qui lui défonçait la chatte, la faisait revenir des années en arrière, où elle n’était qu’une jeune salope, prête à satisfaire les moindres désirs des garçons qui la baisaient.
Alors lorsque Greg se pencha sur elle, et lui dit à l’oreille en lui pétrissant ses gros nichons :
- A partir de maintenant, tu seras une bonne salope.
Elle sut qu’elle ne pourrait plus refreiner ses pulsions, elle redeviendrait la jeune salope qu’elle avait été, et ouvrirait ses cuisses à n’importe quel male qui aurait envie de la baiser.
Elle fut parcourue par un intense orgasme, les parois de son vagin se contractèrent si fort autour de la bite de Greg qu’il fut bloqué à l’intérieur, la sensation était tellement délicieuse, qu’il ne put se retenir de jouir à l’intérieur, et même s’il avait déjà joui une bonne quantité de sperme dans la chatte de sa mère, il propulsa de longues giclées au fond du vagin d’Irène.
Celle-ci les sentit percuter les parois de son utérus, et à chaque giclée qui heurtait le fond de sa chatte, elle se sentait replonger de plus en plus loin dans le vice et la luxure, lorsque Greg eut fini de se vider les couilles, elle sentit son vagin se relâcher et alors qu’il retirait sa grosse bite de sa chatte remplie de son sperme, elle ressentit un grand vide, un énorme manque, elle avait beau être épuisée, elle en voulait encore.
Malheureusement pour elle, tous les males présents avaient besoin de reprendre des forces pour pouvoir la satisfaire de nouveau.
Monica s’était dégagée de la bite ramollie de Norbert, et avait rejoint son fils et sa collègue sur le canapé.
Ne sachant comment leur collègue venait de vivre cette expérience, un peu particulière, aucune des deux n’osa prendre la parole, ce fut Greg qui lança la discussion, en disant à Irène :
- Eh bien, moi qui rêvais de pouvoir te baiser, un jour.
Monica fut à peine surprise de la réponse de sa collègue, qui répondit à Greg :
- Ne t’inquiète pas, mon cochon, maintenant que je sais que tu as une grosse bite, tu pourras me défoncer autant que tu veux.
Norbert rajouta :
- En tout cas, je sens que vos visites vont devenir beaucoup plus agréables
Monica pressentait que la situation allait lui échapper, mais elle venait de jouir comme une folle sur la bite de Norbert et sentait encore son sperme chaud suinter doucement de sa chatte, alors elle abandonna tout espoir de retrouver sa petite vie paisible, et en regardant son fils se rhabiller et remballer sa grosse queue, elle se dit qu’elle n’en avait pas vraiment envie après tout.
Tout le monde se rhabilla, Norbert eut droit à sa piqure quotidienne, il raccompagna les deux belles salopes et leur claqua les fesses, en leur souhaitant une bonne fin de journée.

Monica et Irène se dirent au revoir, et tandis que sa mère montait dans la voiture, Irène roulait une pelle langoureuse à Greg et lui dit :
- Tu sais où j’habite, n’hésite surtout pas à venir me donner un bon coup de bite, ma chatte sera toujours prête à te recevoir.
Toute cette petite bande de débauché se sépara, Monica et Greg firent les courses sereinement, même si beaucoup d’hommes louchaient sur ses seins et sur son cul, elle venait de se prendre deux bonnes bites, et sa libido était calmée pour un petit moment.

Sa tournée des patients terminée, Irène rentra chez elle, mais contrairement à Monica, son appétit sexuel était de nouveau très exigeant, elle essaya de le satisfaire avec son mari, mais elle se rendit vite compte qu’il lui en fallait plus.

En rentrant chez lui, Greg se dit que sa vie avait complètement changé depuis quelques jours, il pouvait maintenant baiser avec n’importe quelle femme, son programme lui avait permis de découvrir les désirs cachés des femmes qu’il convoitait, sa vengeance sur la vie était totale.

A partir d’aujourd’hui, il allait en profiter au maximum.
Mais ils venaient à peine d’arriver et ils s’apprêtaient à décharger les courses avec sa mère et sa sœur, qu’Aurélie, habillée en petite pute, vint les saluer.
Greg devina facilement qu’elle voulait se prendre un bon coup de queue, et alors que Greg roulait une pelle à sa femme, en lui pelotant le cul et les seins en public, Gilles alla aider Aurélie et Monica à décharger les courses.
Monica ne fut pas surprise que son fils baise avec la voisine, mais elle demanda à Gilles :
- Ça ne vous dérange pas que votre femme couche avec un autre homme ?
Finissant de décharger les courses, ils regardèrent Aurélie suivre Greg à l’intérieur de la maison, et alors qu’il sortait sa grosse bite, il s’assit sur le fauteuil et lui dit :
- Allez, salope, vient t’assoir sur ma queue,
Monica fut impressionnée de voir l’anus d’Aurélie s’ouvrir doucement pour s’enfoncer l’énorme bite de son fils.
Et alors qu’elle sentait une main se poser sur ses fesses, elle entendit Gilles lui répondre :
- Non, ça ne me dérange pas du tout, et j’ai largement de quoi m’amuser.
Monica ne retira pas la main de Gilles de son cul, et découvrit sa fille à genou devant lui, en train de lui pomper la queue.
Elle se colla alors à lui et tandis qu’il soulevait sa robe pour dévoiler son cul nu, elle lui roula une pelle langoureuse.

Bientôt tout ce petit monde se retrouva à poil dans le salon, et lorsque Patrick rentra de l’entrainement, il fut à moitié surpris de retrouver sa femme complètement nue, en train de chevaucher la bite de son fils, tandis que Gilles l’enculait profondément.
Il se dit que sa famille avait maintenant complètement plongé dans l’inceste et la débauche, et tandis qu’Isa et Aurélie était en 69 sur le canapé, il se rapprocha d’elles, et donna sa bite à sucer à sa salope de fille.
Lorsque Monica remarqua la présence de son mari, elle ne ressentit aucune honte et continua de jouir en criant de plaisir avec les deux bites qu’elle se prenait dans la chatte et dans le cul.
Elle regarda Patrick venir s’agenouiller derrière Isa et lui fourrer sa bite dans la chatte, et tandis qu’elle jouissait comme une folle, la fille et la mère se mirent à jouir de concert.
Monica se dit que sa famille était complètement dépravée, mais elle prenait tellement de plaisir, qu’elle ne dit rien, et accepta que la vie familiale devienne totalement immorale.
La fille et la mère finirent par recevoir le sperme des bites qu’elles avaient au fond de leurs orifices, et s’évanouirent de jouissance.
Quand les garçons eurent les couilles vidées, et que tout le monde eut reprit un peu leur esprit Monica se releva et s’assit sur les genoux de son fils, le laissant lui caresser les seins, tandis que Patrick et Gilles s’asseyaient avec Isa et Aurélie, sur le canapé

Dans cette ambiance, un peu étrange, à la fois, lubrique et immorale, ce fut Monica qui prit la parole en premier et dit :
- Bon, eh bien, vu ce qu’il se passe dans cette famille, il va falloir qu’on discute un peu.
Patrick était encore essoufflé de sa dernière baise avec sa fille, et il ne put répondre que :
- Oui, …
- Puisque tu as envie de satisfaire ta libido avec ta fille et la voisine, à partir d’aujourd’hui, je baiserai avec qui je veux, moi aussi.
Même si Patrick prenait un plaisir fou avec sa fille et la voisine, il était un peu dépassé par les évènements, il ne s’attendait pas à une telle déclaration de la part de sa femme, même si après ce qu’ils venaient de vivre, il aurait peut-être dû l’envisager.
Mais Monica continua et lui dit :
- Donc à partir de maintenant, chaque membre de cette famille est désormais libre de baiser avec qui il veut et où il veut.
Elle se leva et se rapprocha d’Aurélie et lui dit :
- Et bien sûr, ma belle, nous serons toujours ravis de vous accueillir toi et ton mari, pour entretenir de bonnes relations de voisinage.
Pour confirmer sa proposition, Monica se pencha vers Aurélie et lui roula une pelle langoureuse, celle-ci envoya sa langue dans la bouche de sa voisine comme pour accepter son invitation dépravée.

Tout ce petit monde passa le reste de la soirée, complètement nu, à baiser.
Monica passa la nuit avec la bite de son fils plantée dans la chatte, tandis que Gilles fourrait celle d’Isa et Patrick celle d’Aurélie.


A SUIVRE.