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La vengeance des cocus. 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 19/10/2022

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La femme de Paul l'a quitté pour un jeunot, il y a quelques semaines. Donc, pour se changer les idées. Il invite son frère Marc et sa femme Lucie à la fête du village. La soirée est très chaude, les tenues légères sont conseillées. Marc, très volage, n'hésite pas à laisser son frère et sa femme en plan, pour draguer une femme, a la buvette du dancing improvisé sur la place. Il l'invite souvent à danser, Lucie sait que son mari la cocufie à tour de bras, c'est une femme amoureuse qui dit que cela lui passera bien un jour. Mais en attendant, elle est mal heureuse. Paul, lui aussi cocu, tente de lui remonter le moral. Il lui raconte de blagues qui la font rire, petit à petit, elle semble remonter la pente en oubliant un instant son mari.

Paul l'invite, à danser, elle accepte. Il l'enlace et les deux évoluent sur la piste, au rythme lent du slow.
Les visages sont si prêts, que Lucie sens le souffle chaud de son beau-frère sur sa joue. Elle épie du coin de l'œil son mari, qui de son côté baratine l'inconnue en lui souriant. Il lui parle à l'oreille, la femme éclate de rire. Le cœur de Lucie se serre, comme par vengeance, elle se plaque contre Paul, et appuie son bassin, contre celui de son cavalier. Les deux se frottent le bas ventre en cadence. Paul ne croit pas que c'est son charme qui agit sur Lucie, mais c'est en regardant son frère, qu'il comprend que c'est un réflexe de jalousie de sa belle-sœur.

Le bougre en profite, il accentue la pression de son bas ventre, Lucie pousse un profond soupir puis plaque sa joue contre celle de Paul. Avec douceur, il lui donne un doux baiser sur la joue et lui titille le lobe de l'oreille, avec la pointe de sa langue, Lucie frissonne. La danse se termine, Paul reconduit Lucie à la table en lui tenant la main. Elle ne pense même pas à lui lâcher, les deux se sourient en s'asseyant. Rapidement Paul lui verse un verre, les deux parlent de tout et de rien. Paul saisit délicatement la main de sa belle-sœur, la caresse puis l'embrasse tendrement. Lucie frissonne, ses yeux brillent. Cela fait une éternité qu'une personne ne s'est intéressée à elle. Elle est émue, ses yeux se remplissent de larmes. Il est vrai que Paul a toujours été très délicat.

Une autre danse commence, les deux se sourient, se lèvent et s'enlacent sur la piste, Lucie ronronne comme une chatte. Elle semble heureuse, elle se plaque contre le torse de Paul. La main de Paul se pose sur le bas des reins de Lucie. Il sent sous ses doigts l'élastique de la culotte, sa main descend lentement sur le début du lobe charnu. Lucie lui saisit la main et la bloque, elle lui murmure à l'oreille :

-Soit sage Paul, je t'en prie !

Paul retire sa main et donne un petit baiser sur le cou de sa belle-sœur qui frémit. Les corps enlacés ondulent, Les mains de Paul se placent sur les hanches et tire doucement dessus. Lucie sent contre son bas-ventre l'érection naissante de son beau-frère. Très gênée, elle se raidit, Paul tire plus fort, en agitant doucement son bassin. La verge glisse sur le ventre de Lucie à chaque ondulation des corps. Elle murmure :

-Paul, je t'en prie, cesse, nous allons nous faire remarquer !

Il répond avec une voix douce :

-C'est toi qui me fais un effet terrible, je ne peux me contrôler, excuse-moi Lucie !

Il ajoute en soupirant :

-Si seulement je t'avais connu plutôt !

Elle répond faiblement :

-allons nous assoir, s'il te plait, tu divagues !

C'est avec regret qu'ils rejoignent leur table. Ils ne se quittent pas des yeux, Paul reverse un verre et s'assied près de Lucie. Il lève son verre et dit en bondant le torse :

-À nous !

Elle sourit et répond :

-Eh bien à nous !

La discussion devient très sentimentale, Paul se fait tendre, il lui parle d'elle, de lui. Lucie l'écoute avec attention, très émue, des larmes coulent sur ses joues.

Heureusement, la lumière des lampions éclaire mal les tables autour de la piste. Délicatement Lucie s'essuie les yeux, elle pousse un gros soupir et dit :

-Tu es fou Paul !

Il se fait plus hardi, il pose sa main sur la cuisse de sa belle-sœur, elle se cabre légèrement en ne quittant pas des yeux Paul. La main avec une douceur incontestable passe sous la jupe et monte sous le fin tissu. Lucie le stoppe :

-Non Paul, ce n'est pas sérieux, arrête, je suis la femme de ton frère !

Il la regarde et lui dit toujours avec tact :

- Il ne te mérite pas, regarde comme il agit avec toi !

Elle sait que Paul a raison, elle opine de la tête en poussant un soupir bruyant. Lucie relâche sa vigilance, la main en profite pour reprend la caresse de sa cuisse. Lucie ravale sa salive, pose sa main sur celle de son beau-frère et la presse plusieurs fois fortement. Paul approche dangereusement sa main de l'aine. Ses doigts tentent de s'infiltrer sous la culotte, qui est le seul rempart qui protège son intimité. Lucie devient fébrile, ses mains deviennent moites, elles saisissent la main libre de Paul et la presse si fort qu'il gémit. Deux doigts glissent sur sa fente qui ne cesse de s'humidifier, Lucie inconsciemment écarte légèrement les cuisses.

Les doigts habiles pressent sans brusquerie son petit bouton d'amour. La musique, bruyante, étouffe le cri que pousse Lucie :

-Paul, Paul !

Avant de se faire repérer, Paul retire sa main, il regarde intensément Lucie et lui dit :

- Rentrant, veux-tu !

Paul va voir son frère et lui dit que Lucie et lui rentrent, car il est très tard et que la fatigue les gagne. Marc ne demande pas mieux, comme cela, il a le champ libre. pendant le retour, Lucie et Paul marchent en se tenant par la taille. De temps en temps, le coquin lui donne un petit baiser sur la joue qui quelques fois dérape et atteint la commissure des lèvres. Lucie se serre contre lui, elle semble heureuse. Enfin, ils arrivent à la maison. Une fois la porte franchit, Paul lui saisit les mains et les embrasse, il la regarde amoureusement et lui dit :

-Je sais que ce n'est pas bien, mais je te désire si fort que je ne peux pas me contrôler !

La gorge de Lucie se noue, elle reste sans voix. Elle ne comprend pas ce qui se passe, ses jambes flageolent. Paul l'enlace et la regarde tendrement avant de poser ses lèvres sur les siennes. Lucie frémit, pousse un soupir, et accepte timidement le baiser. Les langues se nouent, les mains tremblantes de Paul parcourent maladroitement, le corps fébrile de Lucie.
Le baiser cesse enfin, Paul entraine Lucie vers le canapé, elle le suit comme un automate, et s'assied. Paul lui déboutonne le corsage, et d'un geste habile, lui dégrafe le soutien-gorge. Les seins jaillissent enfin libérés du carcan de tissu. Paul caresse les deux lobes qui enflent sous ses douces palpations. Les mamelons
plantés au centre, des cercles bruns se dressent fièrement. La bouche se pose sur les petits mats de chair et les aspire doucement. Lucie soupire en grommelant :

-Non Paul, il ne faut pas, mon Dieu, non, non, arrête, je t'en prie !

Pour toute réponse, le bougre lui suce encore plus fort les mamelons. Chaque aspiration sur ses mamelons la fait geindre, elle grince des dents en soufflant comme un animal. Les bouts sensibles deviennent larges et épais. La respiration de Lucie s'accélère, son cœur bat la chamade, elle fond de plaisir. Paul change de position, il se place à genoux face à Lucie, et lui retrousse la jupe, honteuse, elle ferme les yeux, mais ne repousse pas son beau-frère. Il saisit la culotte et la fait lentement descendre sur ses jambes, inconsciemment, Lucie se tortille comme pour faciliter la descente de la culotte.

Une fois la culotte sur le sol, Paul lui ouvre avec douceur les jambes. Il place sa tête entre les cuisses et hume avec force les effluves odorantes que la vulve trempée dégage. Dès qu'il pose sa bouche sur son intimité, Lucie se cabre. La vulve suinte comme un fruit trop mûr, Paul aspire le nectar que lui offre si généreusement sa belle-sœur. Sa langue s'enfonce dans la gaine qui déborde de cyprine et en fouille chaque recoin. Lucie gémit bruyamment, elle agite son bassin. Soudain, elle se cabre en poussant un cri qu'elle ne peut retenir et jouit fortement.

Paul lui aspire le clito et le tète férocement, c'en est trop pour Lucie, elle jouit une seconde fois aussi intensément, en grognant de plaisir. Paul se redresse, il baisse son pantalon et son slip, sa verge se détend d'un coup et oscille un moment sur son bas-ventre avant de se stabiliser. Lucie regarde le membre, elle est impressionnée par la grosseur de l'engin. Paul s'avance, il reste un court instant sans bouger devant elle. Timidement, Lucie tend la main et saisit la verge. Elle la branle doucement sans quitter des yeux le gland qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet. Paul râle comme une bête, Lucie ouvre la bouche et gobe le cèpe violacé. Elle suce et tète du mieux qu'elle peut, elle ne veut pas décevoir son beau-frère. Sa bouche fait des miracles, la verge devient monstrueuse, elle sent le sang battre dans les grosses veines apparentes qui parcourent la hampe.

Paul couine de plus en plus fort, il serre les dents, se raidit et remplit la bouche de son amante avec sa semence visqueuse. Lucie fait un gros effort pour avaler la totalité de la décharge. Paul prend place entre les cuisses de Lucie, il frotte son gland gluant sur la fente dégoulinante de jus. Il saisit Lucie par les hanches et pousse. Les lèvres s'écartent et le gland s'engage dans le conduit vaginal. La grosseur de l'engin qui lui dilate le vagin, fait gémir Lucie. Elle s'accroche à lui en agitant son bassin.

Les bourses velues frappent la vulve à chaque pénétration, Lucie pousse de gémissements, elle donne des coups de reins en geignant :

-Oh Paul, Paul mon chéri, tu me fais mourir !

Encouragé, par ce mot d'amour, Paul l'active avec une ardeur terrible, sa belle-sœur ne cesse de pousser des râles de plaisir. Elle dit des mots inaudibles, en s'accrochant à son amant. le pilonnage violent fait cabrer Lucie, elle jouit plusieurs fois, comme jamais elle ne l'avait fait jusqu'à present. Ses cris sont presques inhumains. Paul veut la faire mourir de jouissance, il la ramone avec une intensité remarquable. Lucie jouit encore en hurlant, ses cris sont monstrueux. Paul se cabre en rugissant, il remplit la chatte de
son amante de plusieurs jets de sperme. Lucie ressemble à une poupée désarticulée, elle halete fortement, elle dit entre deux souffles :

-Paul mon amour c'est merveillleux, jamais j'ai joui aussi fort, oh comme je t'aime !

Soudain la porte d'entrée s"ouvre c'est Marc qui rentre.

à suivre
























































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Histoire de valeriane

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Commentaires du récit : La vengeance des cocus. 1

Le 22/11/2022 - 15:05 par Iron69
Wouah très chaud récit comme tout les autres que tu écris...Merci à toi.
Le 20/10/2022 - 14:05 par Thierrydu13
Encore un superbe récits, valériane, tu enflammes tous mes fantasmes! lol
Le 19/10/2022 - 21:56 par OlgaT
Le mari volage est bien puni. Jusqu'où iront les amants?

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