Le bistrot

Ce n'était pas par hasard que j'étais là, un amant m'en avait parlé 15 jours auparavant.
Nous étions le 14 juin, il faisait un temps merveilleux et je m'étais décidée tôt le matin de m'y rendre en début d'après-midi.
Où ? Dans un bistrot du centre de Liège.
D'après ce que m'avait dit mon amant d'un soir, j'aurai beaucoup de chance de pouvoir y faire mes "emplettes particulières".
Je m'y suis donc rendue habillée d'une petite jupe courte et d'un t-shirt, très sexy mais pas outrageusement provocante (je ne voulais pas passer pour une p... à la recherche d'un client).
Je suis entrée et ai directement pris place à une table où je ne pouvais échapper aux regards. Je n'espérais qu'une chose, ne pas rencontrer l'amant qui m'avait recommandé cet endroit car il aurait tout gâché. Mais ce ne fut pas le cas.
Il y avait un petit temps que j'étais là et rien de bien intéressant concernant la clientèle. Des jeunes, des femmes, des entre-deux âges, rien ne ressemblant à mes désirs.
Entra alors un homme d'une soixantaine d'années au physique très agréable (selon mes goûts). Il se dirigea vers le comptoir et s'assit sur un tabouret. Il semblait assez connu du serveur car ils discutèrent beaucoup ensemble.
Enfin, au bout de 5 bonnes minutes il pivota sur son siège et me remarqua. Nos yeux se croisèrent et un petit sourire s'échangea entre nous. Son regard allait et venait de sur mes cuisses, dont j'offrais une belle partie, à mes yeux. Il fit signe au serveur qui s'approcha de lui et lui murmura quelque chose à l'oreille. Le serveur sortit du comptoir et vint vers moi pour me dire: "Monsieur (il me le désigna) veut vous offrir un verre". J'ai accepté et demandé un rosé. Ce n'est pas le serveur qui me l'a apporté, mais l'homme en question.
Il tenait son verre et le mien en main et, tout en déposant le mien devant moi, me demanda si il pouvait s'asseoir.
- "Bien sûr" répondis-je en me déplaçant sur la chaise d'à côté.
Tout en changeant de place je pris soin à ce que ma jupe soit remontée assez haut afin qu'il profite un maximum et que...
Tout d'abord ce furent des banalités du style "Je ne vous ai jamais vue ici", "vous êtes de Liège ?",...
Mais ses yeux ne quittaient presque jamais mes cuisses, sauf pour s'attarder sur ma poitrine dont les tétons pointaient vu mon excitation.
Puis tout à coup:
Lui: vous avez froid ?
Moi: non, pourquoi ?
Lui, regardant ma poitrine: une partie de votre corps réagit comme si vous aviez froid.
Moi, hardie: qui vous dit que c'est le froid, il y a peut-être une autre raison.
Il m'a regardée droit dans les yeux et presqu'aussitôt une de ses mains s'est posée sur moi, plus exactement sur ma cuisse gauche et assez haut.
Pendant tout un temps nous avons parlé, sa main ne cessait d'aller et venir, montant parfois jusqu'à hauteur de mon minou qu'il gratouillait d'un doigt.
Il se pencha à mon oreille et me dit: "tu es bien humide, ça te dirait d'aller chez moi ?".
Effectivement, les caresses de son doigt avaient stimulé une réaction entre mes cuisses et j'avais bien ressenti ma mouille s'écouler.
Moi: Si tu veux.
Il se leva et régla l'addition, j'ai vu à ce moment-là que le serveur lui faisait un petit clin d'oeil.
Il était stationné dans un parking souterrain non loin de là et me prit par la taille pour faire le chemin. Arrivés au parking nous sommes descendus jusqu'au "- 2" et sommes allés jusqu'à sa voiture. Avant de m'ouvrir la portière il m'a plaquée contre la carrosserie et m'a embrassée fougueusement tout en me tripotant dans ma culotte.
Ensuite nous sommes montés dans l'auto et durant le trajet jusque chez lui il n'a cessé de me caresser l'entrejambes.
Arrivés chez lui, à Herstal, dans l'ascenseur il me dit: "je vis avec un copain qui est peut-être là, ne te tracasse pas je vais lui faire comprendre de nous laisser seuls".
J'ai un peu paniqué, je venais de le rencontrer et j'ai eu peur d'un piège.
Effectivement, lorsque nous sommes entrés dans l'appartement la musique allait et un homme était assis à la table de salle à manger.
Christophe (l'homme du café et futur amant) m'a présentée à lui (Luc) et m'a proposé de m'asseoir sur le canapé. Tandis que je prenais place il a entraîné Luc dans la cuisine puis ils sont revenus quelques instants plus tard.
Christophe: "mon copain va partir dans 10 minutes, il ne veut pas déranger".
Moi, stupidement: "Il n'y a pas de problème, je ne suis pas pressée".
Je venais innocemment d'ouvrir une porte à bien des choses, je ne l'avais pas fait exprès mais n'en ai aucun regret !
Christophe est venu s'asseoir à côté de moi et a demandé à Luc de nous servir quelque-chose, j'ai demandé du vin blanc ou rosé.
Pendant que Luc s'affairait dans la cuisine Christophe m'embrassait et me caressait les seins sous mon t-shirt.
Nous étions ainsi occupés quand Luc est revenu avec les verres et a dit: "je vois qu'on s'amuse bien".
Christophe a décollé ses lèvres des miennes et s'est exprimé: "comment ne pas s'amuser avec une aussi jolie demoiselle, elle a un corps parfait et est très sociable".
Puis il a soulevé mon t-shirt et a continué en disant: "regarde ses seins, quel homme n'aurait pas envie de les caresser ?".
A cet instant j'ai compris que Christophe désirait que Luc se joigne à nous et je me suis dit "pourquoi pas".
Et c'est ce qui s'est passé ! Christophe s'est reculé dans le coin du canapé et m'a attirée près de lui, Luc a alors pris place à ma gauche, tout contre moi.
Christophe m'a à nouveau embrassée et sa main est allée dans ma culotte, quelques secondes plus tard j'ai senti la main de Luc me caresser les seins.
A suivre dans quelques jours (je pars travailler).
Lucrèce