ACCUEIL > Divers > Récit : Le client

Le client

+111

Lue : 6869 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/03/2016

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Cette histoire, se passe deux années avant "courrier pas si anonyme", deux ans avant que ma boite fusionne, se sont les deux années, ou j'ai le plus multiplié les expériences coquines, cela, sans vraiment le rechercher non plus, je ne raconte que l'inhabituel, le peu commun, l'inattendu, et non le basique ou la routine des échanges ou trios dont le plaisir n'était que dérisoire.

Cette histoire est longue, puisque elle se passe sur deux ans, et aussi parce que j'ai eu plusieurs expériences et rebondissements, je pense qu'il y aura une douzaine de récit, ce sera aussi le dernier me concernant, même si j'ai eu aussi quelques petites anecdotes d'un jour.

Ce récit démarre, de la fois ou mon "copain privilégié" avait passé la nuit avec moi, pendant que mon mari était parti remonter un moteur d'ULM qu'il avait réparé, et qui en compensation, nous était prêté trois semaines en août avec la maison par le propriétaire.

Une semaine avant de partir, mon patron me demande de rester une journée de plus, pour un contrat important, c'est-à-dire qu'on devait partir le samedi, et ça me fait partir le lundi ou mardi, en dédommagement, j'ai le billet d'avion ou le train remboursé, ainsi que trois jours de vacances en plus, ce contrat étant l'aboutissement de mon travail, et j'ai trop de liberté dans cette boite, pour ne pas répondre présent, quand on me demande un petit effort.

Comme toujours, mon mari avait un plan de vacances, en gros, c'était, il avait remis à neuf un moteur pour un ULM, notre couple d'amis avec qui on partait, a payé la plus grosse partie des pièces, et le propriétaire de l'appareil, le prêtait trois semaines en août avec sa maison, il préférerait qu'elle soit occupée pendant les vacances.

Les amis partaient une semaine avant nous, pour remonter le moteur, ce changement de situation, a fait que mon mari est parti le mercredi pour aider au remontage et contrôle de la machine, de cette manière, il roule sans bouchon, et quand j'arriverais, tout serait prêt, il avait été convenu qu'on prenait l'appareil chacun son tour.

Il n'y a que deux places cote à cote, cela aurait permis à ma copine et à moi-même d'apprendre à piloter à moindre coût, mon mari m'avait appris sur un avion monomoteur, mais cela n'a pas été évident et au prix de l'heure, on n'a pas trop insisté.

Ce client, qui était patron de sa boite donc, était quelqu'un que j'appréciais beaucoup, un homme droit et de parole, à la première affaire, il avait la soixantaine passée, il était venu avec un jeune trou du cul, un cadre de sa boite, pas moche, mais très con, la cravate a dû lui empêcher le sang d'affluer suffisamment au cerveau, et son attaché-case servait surement à contenir des livres extrêmement intellectuel, genre new look ou penthouse.

Il n'a pas arrêté de me complimenter tout au long de notre réunion, j'étais avec mon patron et deux autres collègues, s'en était gênant, ce client, donc son patron, lui aussi semblait gêné de la situation, il me matait discrètement en faisant celui qui écoute, baissant les yeux par moment quand le trou de balle cravaté se ridiculisait.

Au bout d'une heure, j'en ai eu un peu marre, et je recadre ce cadre, que je commençais à ne plus pouvoir encadrer, de façon la plus polie qui soit, avec le sourire, et sans qu'il y ait de quoi être vexé, son patron, esquisse un petit sourire, mais le mufle, n'a pas supporté que son charme de gendre idéal en train de grimper n'opère pas, il me contredit sur un sujet ou bien sûr, il n'y a pas de réponse, pourquoi venir chez nous alors qu'ailleurs, c'est pareil.

La dessus, en effet, il n'y a pas beaucoup d'arguments à opposer, autre que les ringardises de vantard du genre, on est les plus beaux, les meilleurs, nous c'est bien, les autres, c'est mal, j'allais parler de notre expérience, de notre sérieux, mais il ne m'en laisse pas le temps, il m'attaque en disant, "si c'est pour vos charmes, à ce prix, on peut en avoir des plus jeunes", mes deux collègues ne disent rien, me connaissant, mon patron veut calmer le débat, avant que je ne réplique, ou lui saute à la gorge.

C'est à ce moment que le client se lève et lui dit séchement, Mr …., vous pouvez disposer, nous n'avons plus besoin de vous ici, vous pouvez retourner au bureau, ne rater pas votre train, le trouduc à voulu répondre, mais il lui a dit, en criant plus fort, "dehors, nous en rediscuterons dans mon bureau", vert de honte, il a commencé à partir, mais il lui a dit, "avant de partir, vous allez déjà vous excuser et saluer tout le monde".

Le trou duc ressemblait à une cocotte-minute prête à exploser, j'ai voulu dire que ce n'était pas grave, que ses mots ne traduisaient pas sa pensée, mais le client a dit, "il a jeté la honte sur notre société, et je vous pris de nous en excuser", le client était vraiment contrarié, le trou duc s'est excusé sans me regarder dans les yeux.

Il a salué tout le monde et est parti, la discussion a repris, dans une atmosphère pesante, à la fin, il a signé et m'a demandé ensuite, si pour se faire pardonner, il pouvait m'inviter à dîner en tête à tête en promettant que ça ne sera que professionnel.

La soirée s'est très bien passée, nous avons parlé un peu boulot et beaucoup avion, car il pilote, je lui ai dit que mon mari aussi, seul le type d'avion piloté diffère, ses moyens et les nôtres n'étaient pas les mêmes, il a été très content de sa soirée et moi également, il a dû demander à mon patron, mes goûts, car c'était un fruit de mer, ce que je préfère.

Ce qui fait que pour ne pas me gâcher mes vacances, le client avait proposé un rendez-vous le matin, j'avais dit oui, un peu avant l'heure fixée, j'arrive au bureau, mais il était déjà là, il s'excuse, et il me dit qu'il n'a pas pu venir avant, mais que cela ne va pas être long, qu'il ne va pas m'embêter sur des détails, juste des explications.

Depuis la première fois où il était venu avec son trou duc, on s'était revue sur des contrats, à chaque fois, je dînais avec lui, contrairement à la première fois, j'avais mis des robes fendues avec décolleté plus sexy, il était resté très correct, juste quelques compliments quand il fallait, il m'avait dit, "dîners avec vous est un vrai délice, vous avez de la conversation, et on a le plaisir des yeux".

Comme tout homme normal, je le surprenais des fois à lorgner dans mon décolleté, à la deuxième fois, il m'avait dit, "je suis un affreux pervers, je ne peux m'empêcher de vous admirer et vous avez le bon goût de ne rien laissé paraitre", ha, vous le reconnaissez, c'est bien dis-je, il me répond, "ça serrait vous faire affront de ne pas profiter de vos charmes, de tous vos charmes".

Ce qui me plaisait le plus en lui, c'est qu'il était franc et avait de l'humour, contrairement à beaucoup d'autres, avec lui ça fonctionnait comme ça, il y avait un premier dîner d'affaires avec mon patron et lui, mon patron payait le repas, et une fois le contrat signé, il m'invitait au restaurant, comme la première fois, on avait discuté de tout, un peu de boulot et surtout aviation.

Il était étonné que mon mari me laisse sortir le soir, surtout le deuxième soir, ou j'étais sexy, à notre troisième soirée, il m'avait apporté une caisse de 3 bouteilles de porto, pour compenser dérisoirement, le fait qu'il m'accapare la soirée, je ne suis pas très connaisseuse, je l'ai remercié en disant que c'était inutile, quand mon mari à vu les bouteilles, il ne s'était pas foutu de lui, je l'avais rappelé le surlendemain, quand il était à son bureau pour le remercier de sa part.

Ce que j'appréciais aussi, c'est qu'au boulot, il était détaché, il ne me matait presque pas et ne faisait aucune allusion, une fois le contrat signé, il m'invitait pour ma charmante compagnie et pour parler avion disait-il, il ne voulait pas que l'invitation, soit sous conditions d'une quelconque signature.

Par contre, une fois, hors travail, seuls tous les deux, ses yeux traînait souvent et quand il avait vu que je l'avais surprise lorgner, il me disait, "hommes et femmes sont fait pour s'entendre, nous aimons vous regarder et vous aimez qu'on vous regarde", j'ai fait un petit "non" signifiant qu'il exagérait.

Il me demanda, "alors pourquoi êtes-vous à chaque fois plus sexy et me laisser, vous regardez", j'allais répondre, mais il enchaîne en disant, "non, ne répondez pas, mon intention n'était pas de vous mettre mal à l'aise, je sais bien qu'une femme de qualité, ne peux pas répondre comme elle voudrait".

Il continue et me dit, "vous seriez avec moi à cette table en guenille, je ne vous échangerais pas contre une autre, avec vous, j'ai le beurre, et avec votre physique, j'ai l'argent du beurre, je ne peux rien demander de plus", j'enchaîne en disant, "certains demanderaient de hum hum la crémière, (sous-entendre se taper la crémière).

Il me dit, "alors là ma chère, je n'y pense même pas, ça serait donné du beurre à un cochon, il me plait de vous séduire pour votre compagnie, mais loin de moi l'idée d'autre chose, je serais plus que piètre amant, le ridicule ne me tuerait peut être pas, mais ce n'est pas sur, je puis vous assurez que seuls mes yeux sur vous sont les seuls espoirs que je nourris ainsi que votre compagnie à ma table".

Il me faisait rire, je lui dis que j'apprécie aussi sa compagnie, que ça me change des clients, qui bien souvent pensent, que du fait que je déjeune avec eux, ont presque déjà retenu la chambre d'hôtel en arrivant.

Il me dit, "oui, des imbéciles comme celui qui est venu à notre premier rendez-vous, quelle honte il m'avait fait", je lui dis qu'il n'y est pour rien, que maintenant que je le connais mieux, je l'aurais remis à sa place en lui faisant la honte, il me dit, qu'il aurait applaudi, et lui aurait dit de partir pareillement.

Il me dit qu'il lui en avait remis une couche dans son bureau, je remarque à chaque fois son regard dans mon décolleté, je lui dis qu'il est terrible, il me répond que comme tous les hommes, la grande question quand on voit le décolleté d'une femme, c'est qu'on essaie toujours de connaitre la couleur de son soutien-gorge, je lui dis, et si je vous le dis, après vous ne regarderez plus.

Disant, "pour être franc avec vous, non, ce qui est beau attire, mais j'aurais peut-être dû mentir en disant oui, et vous me l'auriez montré", je réponds que non, je lui aurais dit la couleur, répondant, ha oui, mais ça ne compte pas cela, nous, on aime voir nous-mêmes, nous voulons être sur, et c'est là que contre toute attente, après avoir demandé un thé et un café.

Il me dit, "je suis sûr que vous êtes une femme audacieuse et que vous êtes capable de tirer un petit peu sur votre robe, pour en écarter les pans, juste le temps que j'aperçoive ce qu'il faut, pour me rendre compte de la couleur", vous doutez de rien dis-je, il répond qu'il n'a rien demandé, qu'il me signale juste que je suis audacieuse.

Il n'insiste pas, on parle d'autre chose, on prend notre boisson chaude, il demande l'addition, paie et avant de quitter la table, j'écarte un peu ma robe sans que personne ne voie, il fait assortie à la robe (noire), bien évidemment, on se lève ensuite pour partir, dehors, il me dit, je l'avais dit que vous avez de l'audace, et du courage, il me ramène en taxi ensuite, ou nous discutons avion, disant qu'un jour, il faudrait qu'il m'emmène faire un tour, etc.

Ce lundi donc, ou je devrais être en vacances, comme je sais que mon physique joue un peu sur les contrats, sur la détente de l'atmosphère, autant mettre les chances de mon côté, surtout qu'à la boite, il y a eu des jours meilleurs, louper ce beau contrat n'arrangera rien.

Connaissant le client, j'ai mis une robe très courte, avec un beau décolleté qui sommes toute reste raisonnable, il me pose les questions auxquelles il voulait des réponses, il demande les explications sur des points équivoques, puis quand cela est fait, alors que c'était à moi d'aller donner les modifications à la secrétaire, c'est mon patron qui y va.

Une fois seuls, il me dit, "vous embellissez à chaque fois davantage, et vous me gâtez aussi à chaque fois, j'ai une proposition à vous faire, mais nous allons attendre que votre patron soit là, je ne voudrais pas qu'il y ait de malentendu", vous m'intriguez dis-je, mon patron revient, et là, il me propose de m'emmener sur mon lieu de vacances.

Il me raconte qu'il n'a pas pu venir avant, l'avion loué était en révision, je regarde mon patron, ne sachant quoi faire, il me dit d'attendre avant de répondre, quand la secrétaire revient, je lui fais signer et parapher les contrats, mon patron fait de même, une fois terminé, il me dit, voilà, maintenant ma demande n'est pas sous condition de signature, elle reste votre choix.

Mon patron est appelé au téléphone, pendant ce temps, il me dit, " faites-moi plaisir, acceptez, c'est le bimoteur que je vous avais parlé la dernière fois, plus vite que l'avion de ligne, car il n'y a pas d'embarquement et il y a un terrain plus prés d’où vous êtes, plus rapide que le TGV aussi", cela vous fait un détour dis-je, moins d'une demi-heure dit-il et je vous ai fait louper des jours de vacances, allez dites oui.

En moi-même, je suis tentée, un bimoteur, c'est la classe supérieure, confort, vitesse, l'aller-retour lui a coûté plus de dix mille francs de location plus les taxes d'atterrissages et la hangarisation, je fais celle gênée, il argumente que de toute façon, que je vienne ou pas, ça sera le même prix, j'accepte donc, mon patron revient, le client lui dit, "voilà, elle accepte, nous allons vous laisser, nous déjeunerons une autre fois, je vais déjeuner avec cette adorable personne, nous discuterons aviation".

Mon patron venait d'avoir une grosse bouteille d'oxygène lui permettant de mieux respirer, le repas, il s'en fout, je suis venue en voiture, il voulait m'emmener en taxi, je lui ai dit que je peux l'emmener jusqu'à la maison où je dois prendre mes affaires, et nous prendrons le taxi là-bas, si vous m'acceptez dans votre voiture dit-il, je lui réponds, "si vous n'avez pas peur".

Pendant le trajet, sur un point d'une discussion anodine, il pose paternellement sa main sur mon genou en disant, "vous avez bien fait d'accepter, je vous ai réservé une surprise qui va vous faire plaisir", j'allais lui demander si c'était normal sa main sur mon genou, main qui s'y trouve toujours, il continue sa phrase en disant que je devrais m'en douter, qu'on en avait parlé ensemble, à chaque fois que je veux lui demander ce que sa main fait là, il ne m'en laisse pas le temps, sa main est sur mon genou.

Son contact est léger, il ne me la serre pas, quand je réalise le temps que sa main me tient, je me demande comment je pourrais lui dire de la retirer, alors que je n'ai rien dit jusque-là, de plus, je n'ai pas envie de le fâcher pour si peu, faire le voyage en moins de 3 heures au lieu de 9 heures en voiture, 6 heures en train avec le changement, et plus de 3 heures en avion en étant loin d’où on est.

Arrivé à la maison, il me dit, vous ne vous changez pas, j'espère, je dis non en faisant l'étonnée, j'appelle un taxi, ma valise était prête, le reste de mes affaires a été emmené par mon mari, je vais aux toilettes, et je vais à la salle de bains, je me rince le sexe et change de culotte, j'en avais une blanche pour au cas où mes collègues verraient dessous, et je mets un string de couleur chair, je propose par politesse une boisson, il me dit non, le taxi arrive.

Pendant le trajet et au restaurant, tout s'est déroulé normalement, nous remontons dans un taxi pour rejoindre l'aérodrome, il fait sortir l'avion du hangar, sans être un airbus, la différence entre le monomoteur et le bimoteur, c'est la même qu'entre une Smart et une Audi A8.

Il me fait passer la première, je me doute pourquoi, car je sais que c'est au pilote de monter le premier, je me dis que c'était pour mater, il fait celui qui ne se rappelait plus et monte en passant devant moi, avant de monter, j'avais mis des chaussures plus pratiques que ceux à talon, bien évidemment ceux ayant aidé à sortir l'avion son restés.

Une fois installée, déjà dans un DR400 ou Cesna, je m'y perds avec tous ces cadrans, là, il y en a le double, voir le triple avec des boutons partout, surtout de son côté, enfin, tout ça pour dire que je suis impressionnée, il a le triple d'heure de vol que mon mari, il connaît bien cet avion, ça me rassure, car malgré tout, je monte avec un inconnu.

Je n'ai pas prévenu mon mari de mon heure d'arrivée, le terrain est proche de la maison, après les appels radio, les essais moteurs, puis l'autorisation de la tour, nous décollons, l'inconvénient des Piper, c'est qu'on ne voit rien devant, surtout au décollage, le tableau de bord est haut, et je ne suis pas grande, malgré plusieurs coussins, après avoir quitté la région parisienne, nous montons plus haut.

En montant dans l'avion, j'avais apprécié qu'il me mate, ainsi que les autres types, et quand ma robe, en m'asseyant est remontés sur mes cuisses, je l'ai laissée telle quelle, me disant qu'en avion, il ne va pas s'arrêter à une aire de repos pour me culbuter, j'avoue aussi, que j'avais envie qu'il me remette sa main sur ma cuisse, l'avion, c'est bien, c'est rapide, mais on s'ennuie en voyage, on a l'impression d'être une tortue.

Alors s'il y a un peu de piquant, je suis preneuse, on venait de dépasser fontainebleau qu'il me dit, voilà la surprise, vous allez piloter, je fais celle qui dit non, mais j'espérais qu'il me le demande, je suis doublement comblée, en me disant, "mais si, vous allez voir, c'est très facile, je vais vous apprendre, dans le même temps, il me tient la cuisse et dit, voilà, je coupe le pilote auto", mon mari m'a appris à piloter un peu, même si j'ai du mal à garder un palier, je ne pique pas du nez non plus.

Je n'ai toujours pas pu lui dire, pour sa main sur ma cuisse, puisqu'il a coupé le pilote auto en même temps, j'ai dû me concentrer sur le pilotage, dans la voiture, sa main était sur mon genou, là, elle est juste à mi-cuisse, à ras de ma robe, contrairement à mon mari qui est plus sec dans ses ordres, "tu descends, maintenant, tu montes, garde ton cap, ton cap, écoute, tu descends, redresse, mais redresse, met du pied à droite, regarde la bille, ton cap", à force, j'ai peur de ne plus savoir quoi faire.

Le client-là, c'est, "regardez l'instrument, il vous indique que vous descendez, redressez un tout petit peu, voilà comme ça, l'instrument ici, s'appelle un VOR, si vous ne gardez pas le cap, l'aiguille va s'éloigner, alors regardez la boussole……", ma cuisse rendrait elle les hommes plus doux verbalement.

Il a toujours sa main sur ma cuisse, et à chaque reprise de ce que je devrais faire pour aller droit, sa main appuis sur ma cuisse, comme je règle à mesure le compensateur, l'avion reste plus en palier, et je peux me focaliser sur le cap, l'avion va vite, il faut déjà inverser le VOR, prendre un cap d'éloignement, il me montre la manip pour plus tard.

Je me sens bien dans cet avion, quand avec ses copains pilotes, on discutera, je dirais, "moi, j'ai piloté un bimoteur et vous, un petit monomoteur, bof", j'ai de la chance, il n'y a pas de vent, une bonne visibilité, même s'il y a un peu de brume de chaleur, je réussi en étant concentrée, à maintenir au bon cap et en palier, j'en profite pour lui dire, votre main sur ma cuisse, c'est pour vous tenir.

Comme je ne l'ai pas repoussé, rassuré, il me répond en la laissant, "ça fait une demi-heure et vous n'avez rien dit", je réponds, "oui, mais je…", il me dit, "et dans la voiture non plus", je lui dis que je n'ai pas pu, qu'il me parlait à chaque fois.

Il me rappelle, vous vous souvenez la première fois, vous aviez une robe sexy certes, mais elle vous cachait, la seconde fois, vous en aviez mise une plus sexy encore, dégageant bien une de vos jambes, la troisième fois, on voyait encore votre jambes, avec en plus, un magnifique décolleté.


Je lui réponds, que c'est parce que j'ai vu en lui un vrai gentleman, il continue à me parler tout en me caressant la cuisse de là où il est, jusqu'aux genoux, avec les commandes entre nous, il est penché vers moi, la position pour lui est peu pratique, il me dit, "vous savez, tout à l'heure quand vous êtes montée, ceux qui ont sorti l'avion vous regardaient", j'ai répondu, "eux oui, mais pas vous", ne se dégonflant pas, il répond, "ho moi si, j'étais à la meilleure loge", vous en avez eu quoi de plus dis-je.

Il me dit, "voulez-vous une réponse de gentlemen ou la vérité", je lui dis, ha, "il y a deux versions", oui dit il, la vérité peut choquer, elle ternira mon image de gentlemen, il marque un temps d'arrêt pendant que je réfléchis, et il me dit, "je suis certain que vous allez vouloir la vérité, je vous connais bien", je dis, c'est exact, je vous écoute.

Vous avez des dessous de fort jolie couleur chair, je donne un à-coup, au volant, en tirant dessus, ce qui me fait monter, je le repousse et stabilise, au moins vous êtes franc dis-je, il répond, vous voyez, il n'y a rien de méchant, nous avons tous apprécié, et je devrais aussi vous avouer autre chose, mais c'est délicat, je dis comment ça, il répond, "ça peut être gênant et j'ai peur que vous me demandiez de retirer ma main.

Je dis, "pourquoi vous comptez la laisser encore", bien sûr dit-il, je demande ce que c'est, il me pose la condition qu'il laisse sa main, je fais la prude, même si ce n'est pas l'image que je donne, et lui promets qu'il pourra laisser sa main si ce qu'il me dit est intéressant, et là, contre toute attente, il me dit que ce matin, j'avais une culotte blanche, je retire sur le volant, mais il anticipe en maintenant celui de son côté, je ne sais pas quoi répondre.

Je cherche comment il a pu le voir, il me demande, donc je laisse ma main maintenant, vous me l'aviez promis, ce qui me chagrine le plus, c'est que de me raconter tout cela, ça m'excite, il n'a rien inventé, mon string chair, je me doute qu'en montant dans l'avion, il a pu le voir, mais ma culotte, ça m'intrigue et je lui demande, il me répond que pour savoir, je dois faire quelque chose pour lui, il répète faire et non pas me faire, je le précise.

Nous avons survolé la Loire, il me montre les différents endroits au sol, puis la discussion revient sur ma culotte, je lui demande, il me redit la même chose, je lui demande quoi, et là, il me dit, remonter votre robe jusqu'à votre magnifique string, je dis ha non, puis deux minutes après, je négocie de la remonter qu'un petit peu plus, il me dit, "non, après je n'aurai plus rien à vous apprendre pour arriver là.

Je dis alors tant pis, je laisse encore passer du temps, sa main qui me caresse, sa voix et son verbe si doux, mon string commence à être bien humide, je tente d'écarter d'un petit millimètre mes genoux, puis un autre et encore un autre, une petite secousse prés du massif central me fait écarter un peu plus, ce qui fait que ses doigts sont entre mes cuisses.

J'ai une super envie de les écarter complètement, mais pour qui vais-je passer, je finis par dire, "ha, la vilaine curiosité, ok, je marche, dites-moi, il me dit qu'il l'a vu dans le bureau et aussi en descendant de voiture.

Comme je tarde à "payer" mon info, il me dit, aller, il faut respecter votre parole, pendant qu'on parle, il corrige aussi dés que je fais un petit écart afin de rester dans la direction et au même niveau trois secondes à regarder devant et dix secondes à regarder vers moi.

Je lui dis, vous êtes un gentleman, vous n'allez pas m'obliger à faire ça, il me répond toujours aussi poliment, je serais un goujat si je ne profitais pas de cela, vous saviez que nous aurions été que tous les deux en avions et vous avez mis votre string pour moi, sinon pour qui d'autre, je fais "ha et bien, vous y allez fort".

Il me dit, "écoutez, nous sommes loin de tout, et quand nous atterrirons, nous ferons comme si ce voyage n'aura jamais eu lieu, il sortira de ma mémoire, je peux vous donnez ma parole, que ce qui se passe pendant ce voyage restera secret, de plus, je ne ferais rien qui vous déplairait et dans l'avion, nous sommes très limités.

Le bougre a raison, de plus, il est vrai qu'il est de parole, la peur qu'il raconte ça au boulot est quasi nulle, et sa main sur ma cuisse qu'il caresse, ne m'enclin pas à ne pas m'exécuter, je finis par dire, "vous avez de la chance que je sois de parole, mais bon, j'aurais essayée", il tient le volant et en me raidissant, je lève mes fesses pour me rasseoir dessus, ma robe est ras de la moule.

Il m'annonce avoir vu ma culotte quand j'ai ramassé une feuille à terre, j'ai bien serré les cuisses en me baissant, mais pas en me remettant debout, ce fut bref dit-il et ne vous inquiétez pas, il n'y a que moi qui aie eu la chance de s'en apercevoir, j'étais dans le bon angle, vous voyez, c'était déjà un signe, sa main bien sûr, profite du dégagement, il remonte jusqu'en haut, je peine maintenant à ne pas écarter mes cuisses pour lui laisser le passage.

Depuis, il s'est aperçu que je suis très joueuse et que je n'ai pas froid aux yeux, que je suis de parole aussi, il me propose un jeu, je dois aller passer au-dessus d'une ville sans me servir du VOR et en restant en palier avec une marge de 20 pieds comme la distance est courte.

Je gagne, je baisse ma robe, je perds, il me demande plus, je fais celle choquée, mais en fait, sa proposition me plaît, je dis ok, et j'arrive à la ville proche sans faute, je remets ma robe bien, en fait, j'ai gagné, mais en réalité, j'ai perdu, s'il a retiré sa main le temps que je me remette, il ne la remise qu'a mi-cuisse.

Deuxième ville, je suis tiraillé entre le fait de réussir, mais je n'ai pas envie de gagner, mais il a la parade, il me donne une ville plus éloignée et sur un angle différent, ne rallongeant même pas de 50 km, une broutille en avion, mon palier est bon, mais je suis à l'extérieur de la ville, je remets ma robe comme la première fois, à ras.

Il me montre la carte et me dit, à partir de la prochaine petite ville, il faut rejoindre celle-ci, 182°, je fais ok, la petite ville arrive, je prend 182° à la boussole et au compas, je sais que je vais perdre, car il y a le vent, lui aussi le sait, il ne m'en parle pas, moi, je veux perdre et il veut gagner, et bien sûr, je suis comme la première fois, bien trop à l'est, je fais "ha mon dieu".

Il me dit, "j'ai gagné, le gage, il faut payer, vous êtes d'accord", je tarde à répondre et je dis, "j'ai perdu, vous voulez quoi", il me dit, "je vous laisse choisir, il n'y a plus beaucoup de …. Choix", je lui dis que non, c'est à lui de le dire, timidement, il dit, "le …. String".

J'ouvre la bouche pour faire celle surprise, il me dit, c'est vous qui m'avez demandé de choisir, je hoche la tête de gauche à droite, et montrant que je ne me dégonfle pas, d'un geste décidé, je le retire, à chaque fois, je fais quelque chose, il retire sa main et tient le volant.

Quand je reprends les gouvernes, il remet aussitôt sa main, je lui dis, une autre ville, il regarde sa carte, il me donne une ville, et là, je lui montre que je ne cherche pas du tout à gagner, je garde le même cap, il ne me le fait pas remarquer, quand c'est le moment, il me dit, "perdu, la robe maintenant.

Je détache ma ceinture, je défais ma robe puis me rattache, malgré qu'il mate, il pense aussi qu'on vole, il est souvent à regarder devant, quand je reprends les commandes, c'est moi qui surveille et il me mate plus intensément, il se penche à nouveau pour mettre sa main sur ma cuisse qu'il caresse, il a compris qu'au point où j'en suis, je ne le regarde pas, je fixe dehors.

Après m'avoir chauffée en me caressant la cuisse et aperçu qu'a chaque fois, j'écartais un peu plus, il a défait sa ceinture, sans rien dire, il a continué à me caresser avec son autre main, sa gauche et avec la droite, il la passe derrière mon dos, et me défait mon soutien-gorge sans que je résiste, il m'attrape les seins, les soupèse, les malaxe, je peine à maintenir l'appareil, il me lâche et met le pilote auto.

Il me reprend en main ensuite et continue à me caresser les seins, personne ne parle, mes bras sont sur les côtés et en arrière, j'adore ce moment où il découvre que je suis toute à lui, quand j'ai retiré ma robe, on était au-dessus des centrales nucléaire entre Lyon et valence, il m'a retiré mon soutif, à celle du Tricastin, sa main descend, il me caresse la cuisse puis en remontant, il me touche le sexe, j'ai presque honte, je suis toute humide.

Pendant tous les compliments, il me caresse le sexe pendant que je continue à regarder dehors, s'il n'y a pas d'avion qui arrive vers nous, ou qu'on rattraperait, à la hauteur que nous sommes, les plus gros sont plus hauts et les monomoteurs bien souvent plus bas, quand sa main m'a touché le sexe, j'ai reçu comme une décharge électrique.

Le gentleman s'est transformé en vicelard pervers, il ne me vouvoie plus, il me tutoie, me disant que je m'habillais exprès pour en arriver là, que j'ai changé de culotte pour lui, que je l'ai allumé exprès, il me dit de reculer le siège et de m'avancer, il ne me le dit pas deux fois, une fois que mes fesses sont au bord, il me rentre deux doigts et me chatouille le clito de l'autre main.

Je fais un effort surhumain pour continuer de surveiller, je ne suis pas longue à jouir, il me fixe en me faisant des compliments à nouveau, en jouissant, le lui attrape la tête d'une main et de l'autre, j'appuie sur sa main qui me doigte pour accompagner mon plaisir.


Une fois remise de mes émotions, j'ai un peu honte, le vouvoiement est revenu, il me traite galamment, bêtement, ne sachant quoi dire, je lui demande comment le remercier, il me répond qu'il l'a été, les fois où il m'emmenait au restaurant, je n'ose pas lui demander s'il veut une branlette, il continue à me caresser les seins, je le laisse faire, sa position n'est pas confortable, il dit, on va redevenir raisonnable.

À plus de 300 km/h, les 900 km par la route donc moins en ligne presque droite, ça va très vite, je commence à descendre, il appelle la tour pour prévenir, et une fois arrivé, il me fait intégrer le vent arrière, l'étape de base, sortir le train que j'aurais oublié avec l'habitude des DR400, en finale, il me dit que comme il y a un peu de vent de travers, qu'il préfère prendre la main, me disant que je peux tenir le volant, mais ne pas l'entraver, en fait, je préfère également.

Une fois au sol, je passe à l'arrière et me change, je me mets en jeans, puis je vais téléphoner, mon mari est surpris que je sois déjà là et au terrain, je lui demande s'il n'est pas en retard pour ramener l'avion, il dit que non, il l'a pris pour jusqu'au lendemain.

Je m'étais mise en jeans, car je me suis dit, que si les copains venaient aussi, qu'ils ne me voient pas habillée ainsi, mais mon mari arrive seul, quand il voit l'avion, il est impressionné aussi, je fais les présentations, ils se serrent la main, mon mari le remercie pour le porto en disant que c'était inutile, il répond que de me laisser sa charmante femme comme compagnie méritait une récompense.

Je dis à mon mari que c'est moi qui ai piloté et qu'il est meilleur pédagogue que lui, mon mari demande s'il peut aller voir l'appareil, il lui dit oui, nous, on discute, il ne fait aucune allusion à ce qui s'est passé, tel un enfant, il bave aux commandes de l'appareil, il redescend, j'explique à mon mari pourquoi il m'a raccompagné.

Mon mari lui dit, vous passez la soirée avec nous, il dit non, qu'il doit rentrer, je dis, que ce n'est pas vrai, qu'il m'a dit qu'il ne rendait l'avion que demain, nous insistons tous les deux pour qu'il reste, il finit par dire oui, plus pour ne pas vexer que pour rester, il me dira après, qu'il avait peur d'avoir un regard sur moi qui trahisse ce qui s'est passé, pendant qu'il va chercher ses affaires, je dis ce qu'il m'a fait dans l'avion.

A suivre.
111 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Le client


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :