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Le client 4

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Lue : 2077 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/04/2016

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Mon mari m'a baisé ensuite, puis s'est endormi, je me suis endormi aussi en me disant que demain matin à 6 heures, je le rejoignais dans son lit, lui laissant le temps de se laver, se brosser les dents, d'aérer et aussi, de ne pas le dire à mon mari, même s'il sait qu'il le sait, c'est psychologique qu'il disait, je lui annonce qu'il ne pourra pas rentrer dans le magasin de lingerie cet après-midi, j'explique le stress qui la bloque, je lui dis que pour cela, j'accepterais tout ce qu'il voudra, il m'a fait jouir, je l'ai soulagé, nous nous sommes promenés, nous avons mangé dans un petit restaurant et l'après-midi, il s'est promené seul.

Quand je suis arrivé à la boutique, elle s'était habillée très sexy, avec un décolleté plongeant, elle avait un foulard léger sur elle, pour ne pas que les clientes voient du changement, elle en terminait avec une, elle me dit, "je m'occupe de vous tout de suite madame", la cliente regarde encore un modèle de déshabiller, elle lui dit qu'elle revient de suite, elle vient me voir, et à voix basse me dit, "aller mettez-vous à poil, je ferme derrière elle", j'ai répondu, "oui madame".

À son air, j'ai vu qu'elle a apprécié ma réponse, la cliente fini par sortir, elle attend un peu et ferme la porte à clef en mettant un panneau tout prêt avec un horaire rotatif, (Je reviens à …..), je suis nue et j'attends, elle arrive, elle me tripote les seins direct, sans rien dire, sa main descend sur mon ventre lentement, elle fixe mon regard, quand elle atteint mon sexe, j'ouvre la bouche en gémissant.

Autant, je n'embrasse jamais un homme sur la bouche, sauf vraiment exceptionnellement, autant avec une femme cela ne me gêne pas, elle me fait gémir en me frottant le sexe et m'embrasse, je réponds positivement à son baiser, elle me lâche les lèvres et me dit, "hier quand tu es entré, j'en ai mouillé ma culotte, et après que j'ai vu que tu n'étais pas hostile, je me suis dit, celle-là, il me la faut, je te plais".

Elle continue en disant, "j'ai vu aussi que tu aimais obéir, tu es bien tombée avec moi, suis-moi", je la suis dans la réserve, où il y a une autre porte avec une pièce toute petite, avec un lit et un lavabo, les "on dit" ne mentionne que les effleurements des clientes, pas de cette pièce, le secret est bien gardé me dis-je.

Une fois devant le lit, elle prend le dessus, "aller, déshabille-moi, tu vas me montrer ce que tu sais faire", je la déshabille, elle me regarde faire, je la mets en dessous, elle est pulpeuse, mais elle a une belle peau, elle s'entretient, suce mes seins dit-elle, je m'exécute, je la téte tel un bébé, passant de l'un à l'autre, son souffle s'accélère, elle me félicite, tu sais y faire dit-elle, continue à me déshabiller.

Une fois nue, elle s'allonge sur le lit en laissant ses pieds au sol, fais-moi du bien dit-elle, j'attrape sa jambe que j'embrasse en remontant doucement, elle s'impatiente en ondulant son bassin, oui prend ton temps, c'est bien, je n'ai pas encore touché sa chatte, juste approchée, attend dit-elle, elle se met en levrette sur le lit, et me dit, lèche-moi le cul, je me suis exécutée, je l'avais bien jugée la première fois, elle est très propre, elle avait comme moi, pris sa douche à l'heure du déjeuner.

J'écarte ses fesses, étant moi-même dans ce genre de situation quand on me le fait, je sais exactement ce qu'elle ressent, elle gémit de mes caresses, par moment, avec un coup de langue plus grand, je lèche sa chatte, elle gémit encore plus, elle me dépasse de 10 cm en faisant 20 kg de plus, elle se lève et me pousse sur le lit pour prendre ma place.

Elle me suce l'anus et la chatte, elle me la bouffe même, si bien qu'au bout d'un moment, l'orgasme arrive, je le lui dis, mais elle continue dans ce but, et c'est l'explosion, elle continue encore un peu puis elle vient se frotter contre moi, nous nous embrassons fougueusement en se caressant, ensuite, elle s'allonge sur le dos, pour que je vienne en 69, elle jouit presque aussitôt, je continue, et moins de cinq minutes après, je repars dans un orgasme qu'elle fait durer.

Nous nous enlaçons à nouveau, embrassons, caressons, puis vient le moment où elle sort la panoplie de lesbiennes, dont le gode ceinture, elle me suce à nouveau et quand je suis a point, elle me baise, elle s'arrête avant que je ne jouisse, puis plaçant le gode au bord de mon petit trou, elle le pousse et comme c'est tellement gras que ça rentre sans aucun problème, une fois bien à fond et habitué à l'intrus, elle me lime, je gémis, mais mes deux orgasmes précédant m'empêchent de jouir de sa caresse anale.

Vibre-toi me dit-elle, prend le vibro, je me vibre le clito, et l'orgasme m'arrive, je ne sais pas exactement d’où je jouis, cela est intense, une fois l'orgasme en court, je lâche le vibro et je donne des coups de cul sur son gode en lui disant, "encore, plus vite, plus fort, défonce-moi".

Nous nous accordons un peu de répit, elle fatiguée par ses va-et-vient, moi par mes orgasmes successifs, nous sommes cote à cote à nous caresser les seins, elle me complimente à plusieurs reprises que la modestie ne veut pas que je répète, sauf quand elle me dit que je suis une bonne petite salope, une bonne jouisseuse, et une bonne brouteuse de chatte, en souriant, je dis, merci madame.

On parle un peu, elle a dix ans de plus que moi, elle m'en donnait dix de moins, je comprends mieux dit-elle, déjà, j'ai été étonné de votre comportement hier, qu'une jeune fille "m'allume", les jeunes n'aiment que les jeunes, c'est très rare celles comme vous, il y en a très peu, une fois son souffle reprit, elle m'embrasse partout je la caresse a mon tour, elle se trémousse, j'enfile le gode ceinture en lui souriant.

Elle se met en levrette aussi, et je lui sers le même menu, quand je devine qu'elle prend le chemin de l'orgasme, je sors l'engin et le place sur sa rondelle, elle dit, "ho non, pas par là", mais je connais la musique, le "ho non pas par là", signifie ce dont on a envie sans oser le demander, mon mari m'a souvent dit, "si à chaque fois que vous dites "non", en restant comme vous êtes, dans la même position, et qu'on arrêtait, vous nous feriez souvent la gueule".

A part les bigotes et autres coincées du cul, force est de savoir qu'il a entièrement raison, d'autre part, dans mon exemple, on peut aussi se demander ce que ferait une bigote et autre coincées du cul en levrette, et pourtant, elle verrait la vie autrement qu'en noir et gris sombre.

Si dans la vie, je suis une sainte, dans les jeux sexuelle, je suis la reine des salopes, et ce titre, je le défends chaque fois que j'en ai l'occasion, j'assume autant que j'emmerde les biens pensant qui comme disait Coluche, ces messieurs deviennent rigides sur la morale, quand le reste ne l'est plus (rigide).

Si dans le cochon, tout est bon, pour la cochonne (que je suis), tout est aussi bon aussi, tant que ceux présents sont consentants et savent ce qu'ils font, même si certaines pratiques m'échappent quant à leur pouvoir excitant, comme la scatophilie entre autres, je me dis, pourquoi pas, tant qu'on ne m'y oblige pas ni comme participante, ni observatrice.

Pour l'instant, je pénètre l'anus de ma partenaire, qui vient de me dire non en tendant ses fesses au maximum, j'ai plus forcée à me retenir pour ne pas tomber sur elle, qu'a pousser pour que ça rentre, c'était ma première sodomie avec un gode ceinture, les copines de jeu d'alors, on se baisait seulement, la sodo n'était que pour mon homme, mais cela, je ne leur disais pas, à l'époque, c'était comme ça.

Quand je baisais mes copines libertines, c'était après les avoir sucées et emmenées aux portes du plaisir, elles, tout comme moi, on jouissait au bout de quelques secondes de pénétration, pour la sodomie, le chemin de l'orgasme est plus tortueux de ce côté-là, c'est un parcours de sportif quand les premiers orgasmes ont déjà eu lieu, je lime en reconnaissant que les hommes qui se dépensent sur nous dans cette pratique, son méritant, j'évapore mon croissant de ce matin, et je fais de la place pour le restau probable de ce soir.

J'allais presque jeter l'éponge que je la vois qu'elle attrape le gode et se vibre le clito, je rassemble mes dernières réserves d'énergie pour continuer et finalement, les grognements m'annonce que la bête agonise, elle jouit enfin, me donnant des coups de cul dans le gode ceinture, repus, elle s'écroule sur le côté en me tendant les bras pour que je vienne dedans, nous sommes en sueur toutes les deux, peu sexy.

Après un bon repos de plus de cinq minutes, elle me caresse, elle sait y faire, elle connaît le corps d'une femme mieux que personne, elle appuie sur le bon bouton, (sans jeu de mots) elle frappe à la bonne porte, je me dis que c'est parti pour un nouveau tour, vais-je aller au bout me dis-je, car si je peux jouir trois fois facilement, quatre, c'est vraiment exceptionnel.

Mes orgasmes sont violents, les échanges entre couples qu'on a pu faire, m'ont montrés que certaines femmes peuvent en avoir dix, mais leur orgasme qu'elles trouvent super, en fait, son dérisoire, et elles pensaient que quand je prenais mon pied, je faisais du cinéma, mon mari, poète toujours, me dit qu'un jour, je vais lui claquer dans les pattes d'une crise cardiaque à jouir comme cela.

Il m'arrivait lors de trio ou mon mari ne restait pas, venant juste pour être sûr que le type n'est pas un malade, de m'ennuyer à mourir, j'ai ainsi appris à mimer, cela était moins grandiose qu'un vrai orgasme, mais c'était bien plus spectaculaire que celui que ces "multi-orgasmeuses" prenaient.

A force de caresses, notre plaisir montait, et là, elle me dit, "au tour de Gaston de faire, (jeu de mots avec Gaston de ferre, un ancien député), en moi-même, je me dis, ha non, je n'ai pas envie qu'un type vienne, mais le Gaston en question, c'est un rond de silicone transparent de 40 cm dont chaque bout à l'aspect d'une bite, nous nous baisions mutuellement en tirant chacune sur notre jambe pour frotter nos minous sur celui de l'autre.

Elle avait un orgasme de retard, qu'elle a pu combler de cette façon, de mon côté, je n'ai pas joui, mais j'en avais envie, c'est elle qui a fait ce qu'il faut avec le vibro et sa bouche, nous nous sommes bécotées pendant 15 minutes en discutant, elle a posé plein de questions, du genre si je pratiquais beaucoup, si je préférais homme ou femme, si j'étais loin, j'ai demandé si elle aimait aussi les hommes, j'aurais proposé de se revoir avec mon mari, mais elle a dit, "non".

L'heure qu'elle avait indiquée et que j'avais indiquée pour mon client était là, on s'est rincée au lavabo, et en sortant, elle m'a demandé si on se reverra, j'ai dit, j'espère, je suis sortie avec un sac de sa boutique contenant les dessous déjà payés qui servaient de prétexte à ce que je revienne.

Mon client m'attendait pas loin, il me demande si cela s'est bien passé, je fais, "très bien, et vous, pas trop ennuyé", il me dit que sans moi, si, je lui dis, maintenant, je suis à votre entière disposition, il avait un petit sac aussi, des jouets achetés pour passer le temps et ou je lui avais fait comprendre que je suis prête à tout.

En arrivant à la maison, j'allais me mettre à son entière disposition, ses mains me parcouraient déjà, son répondeur clignote, il écoute le message, c'est la voix de mon mari, les deux jeunes ont chuté dans un dénivelé en contrebas, l'un a la jambe fracturée et l'autre a le genou qui a cogné contre un rocher, nous avons été les voir à l'hôpital.

Mon mari n'avait que des éraflures, faites en les remontants, les jeunes étaient en soins, leur famille étaient déjà là, nous avons été avec lui le lendemain, aider à aller chercher les motos avec un autre copain à eux qui avait un 4x4 avec un plateau, mon client lui, avait emprunté un 4x4 à un voisin qui était son ami.

Mon mari les avait remontés jusqu'à sur le chemin en faisant la cinquantaine de mètres plus bas, en les portants sur son dos, les jeunes hurlaient de douleur à chaque pas, leur camionnette était 3 km plus bas, il les a pris sur son dos derrière la moto et les a emmenés un par un à la camionnette puis à l'hôpital, au plus prés de chez eux en faisant une attelle avec la rampe servant à monter les motos.

Une moto était roulante, mon mari l'a remonté au moteur en étant à coté, le finissant au treuil du véhicule du jeune, l'autre moto avait la roue en huit, le câble trop court, mon mari, inventif, le Mac gyver de la combine, avec la rampe alu pour monter les motos, il a fait comme un skate sous la roue avant, tenu pas des bouts de ficelle que le jeune avait, et il a remonter la moto comme la première, finissant au treuil les derniers mètres.

Le jeune a été ramené les motos et l'après-midi, nous avons été à l'hôpital avec mon mari, le jeune me dit, "madame, c'est Rambo votre mari, il est ouf, il est ouf", les parents des deux étaient là et ils ont remercié mon mari en voulant nous inviter quand ils sortiraient, mais n'habitant pas la région, nous n'avons pas pu.

En sortant, connaissant des histoires eues avec mon mari, le client me dit, avec votre mari, la routine, vous ne devez pas connaitre, mon mari est peiné pour les jeunes, je n'ose pas lui demander de nous laisser, le client n'a pas eu sa "récompense" la veille, il passe l'après-midi avec nous, à la piscine en chahutant tous les trois, peu avant 19 heures, il demande s'il peut prendre la voiture, en faisant un clin d'œil, le client répond avec un sourire.

Sitôt parti, le client me rappelle ma promesse de la veille, je réponds, "enfin, je me demandais quand est-ce que j'allais enfin l'honorer", mon dernier orgasme remonte de la veille, avec la femme de la lingerie, soit 26 heures, une bonne dizaine de minutes et quelques secondes, depuis le début, je jouis à tout-va, ce qui est arrivé a couper l'envie sexe de mon mari et hier soir comme ce matin, rien de sexuel, le sexe, c'est une drogue, il y a un rythme que l'on a, et qu'il est difficile de modérer.

Je n'ai pas vu l'accident et les jeunes, je ne les connais pas, je n'ai rien qui me coupe la libido, et la promesse de me laisser complètement à la merci du client, m'avait excité au plus haut point, chahuter dans l'eau avait accentué cela, dans tout homme, il y a un cochon qui sommeille, il y a le petit cochon, celui qui pendant la mi-temps d'un match de foot baise bobonne parce que son équipe a marqué un but et qui se sent une bête de sexe.

Il y a le cochon moyen qui baise ou doigte bobonne pendant qu'elle téléphone au boulot ou à sa sœur, il y a enfin le gros cochon, qui aimerait faire, ou fait toutes ses perversions, insérant dans les orifices de sa partenaire, toutes sortes d'objets, des plus usuels aux plus insolites ayant pour but de la faire hurler de plaisir, le client est en ce moment, celui qui aimerait faire et qui se dit qu'il a trouvé celle qu'il faut pour cela, il est celui qui n'osait pas et qui va oser en sachant qu'on va le laisser faire.

Pour situer mon mari la dedans, c'est l'énorme cochon, qui ose dés le premier soir, celui qui baise la femme dans la cuisine pendant que son mari regarde un mach, ou alors se fait sucer, c'est aussi celui qui gode la femme installée sur le canapé, allongée sur son mari qui cuve son repas de chasse.

Pour anecdote, qui s'est passé une dizaine d'années après, mon mari, c'est celui qui pour me faire plaisir, lorsque qu'il avait levé une superbe créature de trente ans, et qui au bout de la troisième fois, à ma demande lui propose un trio, elle dit non, car elle n'est pas bi du tout et qu'elle serait dégoutée d'être touchée par une autre femme, à la cinquième fois, il lui propose après avoir enfilé des bas, de l'attacher, de lui bander les yeux, en imaginant qu'il est une femme, et qu'il va la caresser de façon très douce.

La sachant partante à toutes sortes de jeux de ce genre, il m'avait dit de passer par le jardin, et que dés que la fenêtre s'ouvrira, de venir sans bruit, le matin, je ne devais pas mettre de parfum et porter des bas, ainsi qu'avoir les cheveux attachés, il m'avait dit, qu'elle voulait bien que je m'occupe d'elle, mais elle ne voulait pas que moi, je sache qu'elle voulait bien, ce qui était faux, car je n'y aurais pas été sinon.

J'arrive sans bruit, la chaîne hi-fi était allumée dans la salle, couvrant mes pas, elle était nue, attaché sur son lit, bras et jambes écartées, mon mari avait déjà commencé à l'exciter avec un espèce de napperon, il me fait chut et me donne le napperon, il dit en se mettant a cote de moi, bon, maintenant, plus un mot, imagine que je suis (une actrice qu'elle aimait bien).

En entrant dans la chambre, mon mari en collant, c'était quelque chose, un véritable bromure, ça lui allait aussi bien que moi la barbe, par contre, la femme, un régal pour les yeux, on se demande ce qu'elle fout avec un plouc qui va assassiner de pauvres bêtes et qui va rentrer complètement bourrée pour commencer à vouloir la baiser et s'endormir, cela n'est pas un mythe, elle le lui a dit, et il l'a vu de ses yeux en matant par la fenêtre.

Mon fou rire silencieux passé, la contemplation de cette beauté, je fais tomber ma jupe et remplace mon mari aux caresses, ensuite, je suis maître de mes envies, je ne peux hélas pas l'embrasser, mais je la caresse un peu plus fermement qu'il ne faut, n'oublions pas que je dois être un homme qui caresse comme une femme, encore une fois, je suis dans un plan qu'on ne voit dans aucun manuel, du "made in mari".

Quoi qu'il en soit, je me régale, sa peau est très douce, pendant que son porc chasse le sanglier, je me dis, que je vais la faire gueuler comme une truie, passant ses jambes, elle sent mes collants dont elle sait que mon mari en a mis, je lui caresse le clito, je l'agace, elle ondule, je prodigue ma caresse de femme, je découvre qu'elle a une espèce de ficelle qui sort de sa chatte, je panique une fraction de seconde, mais je l'imagine mal laisser mon mari l'attacher avec ses règles.

Je suis rassurée, c'est un câble électrique, il est relié à un petit boitier contenant certainement des piles, se sont des boules vibrantes à l'autre bout, reconnaissant bien là mon énorme cochon, elle gémit entre mes doigts, elle me supplie, elle implore, je descends plus bas, en faisant attention que mes seins ne la frotte pas, mon mari aurait du mal à lui dire que se sont ses pectoraux.

Je caresse ses cuisses et remonte a sa chatte, je découvre également un plug, ça me rassure, celui qui me tripote derrière moi, c'est bien mon mari, et non un autre déguisé, la chatte de ma suppliciée, est à ma grande satisfaction toute dégoulinante, ma langue effleure sa cuisse et remonte, je souffle sur sa chatte qui se lève, elle cambre du dos, je me dis en moi-même, attend ma petite salope, la main d'une femme qui te caresse te dégoûterait, pour l'instant j'en doute.

Je souffle ma tiédeur sur sa chatte, je caresse autour, mes doigts effleurent son entrecuisse, elle implore que je la bouffe, mes bras sont sur ses cuisses, elle ne se rend même plus compte de ce qui l'entoure, elle ne demande qu'a exploser de plaisir, c'est une bouteille de gaz sur les flammes, je la torture encore un peu, mon mari derrière, me fait la même chose, ce que je vois devant, m'excite, ce que je sens derrière, m'excite aussi.

Ne voulant pas être celle qui jouis la première, je porte l'estocade, ma bouche happe sa chatte, elle hurle de plaisir, elle se frotte frénétiquement la chatte sur ma bouche, quand je sens que son plaisir est assouvi, j'allume les boules vibrantes, je monte doucement en puissance, une fois les boules au maxi, j'alterne entre la sucer et faire rouler son clito entre mes dents, elle recommence la danse du bassin, les boules sont à fond, j'augmente la cadence avec ma bouche, et j'ai droit à une deuxième slave, qui associé à ce que mon mari me fait avec un gode, me fait partir aussi, sa chatte sur ma bouche me fait jouir en silence.

Après avoir joui pleinement, je me retire d'entre ses jambes, pendant que je me rhabille, mon mari lui a retiré les boules et pris la place, oui bourre moi, bourre moi disait-elle, je me suis éclipsée au moment où elle criait sa jouissance, passant par la fenêtre, j'ai été à la voiture l'attendre, après mon départ, il l'a sodomisé et éjaculé à l'intérieur avec capote.

Ce cornard, ne pouvait pas voir mon mari, et mon mari avait envie de voir sa femme, il avait une fourgonnette à essence, pour aller à la chasse dont il se rendait, mon mari a inversé des fils d'allumage ou quelque chose de ce genre, faisant celui qui passe par hasard, il l'entend tirer sur le démarreur, (pas au fusil bien sûr), mon mari lui dit, un problème, il dit oui, elle ne veut pas démarrer, il lui dit, ouvre, je regarde, il ouvre, il veut venir voir, mais il lui dit, attend, reste au contact, va-y et là, essai, ça ne démarre pas, il trifouille et dit, "et là, va-y essais", et la voiture démarre.

Il dit merci et mon mari s'en va, le lendemain, avant midi, il repasse "par hasard", un bonjour et il lui offre l'apéro, il venait de faire rentrer le loup dans sa bergerie, mon mari ne m'a pas raconté le reste, secret professionnel dit-il toujours, ça ne se transmet que de bouche de vicieux à oreille de vicieux, voilà, ça, c'est mon mari, quand dans une assemblée, une femme crie parce qu'elle est surprise d'avoir une main entre les cuisses, à l'autre bout de cette main, il y a mon mari.

Revenons à mon cochon qui va oser, mon client, celui-ci a acheté la panoplie du vicelard, je lui avais dit lorsqu'il m'avait dit être très vicelard, j'avais répondu, que s'il y était dix fois plus, je trouverais toujours que ce n'est pas assez, je dis ce que je pense et je pense ce que je dis.

Après tripotage, déshabillage, tri fouillage, il calque son langage et humour sur mon mari, il me monte sur la table préparée avec plusieurs couvertures pour ne pas me faire mal aux genoux, position levrette, puis il m'insère une à une, un chapelet de boules en silicone dans l'anus en disant, "voilà votre pénitence sœur Annie", l'humiliation devant mon client est telle, que je sens que je suis en train de sentir que ça coule sur ma cuisse, écarte tes genoux me dit-il.

Il passe sa main dessous et me fait remarquer que je suis trempée, il m'embrasse les fesses, caresse les cuisses, il me fait mettre sur le dos, m'embrasse les seins, il prend un gode et me vibre le clito en mettant son bras et corps au niveau de mon ventre, pour ne pas que je repousse le vibro ou que je soulève mon bassin.

Je jouis en moins de deux minutes de ce traitement, par le manque depuis hier et par l'humiliation, quand je sais qui me fait cela, je vois le client à la boite, celui à qui je montrais une image de femme rigide et coincée.

Il me retire le chapelet et me met un plug, le gros, en m'enduisant de vaseline, la honte m'envahit à nouveau, car il me regarde en même temps, une fois passé, il m'essuie, car il n'a pas lésiné sur le gras, il me met le même genre de boules vibrantes que la veille, j'avais eu avec la femme de la boutique.

Mettant à très petite vitesse, il m'embrasse et me caresse partout, j'ondule de plaisir, j'adore être parcourue et embrassée, avec en plus les boules qui me titille un petit peu, l'excitation s'intensifie rapidement, il se met en bout de table, me tire les jambes pour se les mettre sur les épaules, et me suce après avoir mis les boules au maxi.

Me tenant également les mains pour ne pas que je le repousse quand cela devient insupportablement bon, l'expérience m'a appris que tous les hommes se ressemblent dans leur pratique, dans le sens qu'ils font les mêmes choses aux mêmes genres de femmes.

Le deuxième orgasme m'arrive à nouveau, oublié la honte excitante, je ne suis plus qu'un morceau de viande qui ne demande qu'à jouir en s'abandonnant complètement a celui qui parodique ce plaisir, le plaisir est tellement extrême, qu'il peine à me tenir les mains, la jouissance décuplant mes forces, le pic de la jouissance passé, il continue à me boire, j'ai encore quelques soubresauts, l'amant de la première heure excite plus vite, mais le vieil amant devient plus compétent.

Extraction des corps étrangers, quelques longueurs dans la piscine pour me rafraîchir, douche puis préparation pour sortir, c'est moi qui décide dit-il, il me met un plug, celui moins gros que tout à l'heure, ma robe fendue sexy et nous allons dans un restaurant assez loin, moins classe que celui presque habituel, mais de très bonne pitance ainsi qu'un beau cadre.

Le plug, est plus gênant qu'excitant, mais on s'y fait, ce qui l'est, excitant, c'est que l'autre sait qu'on l'a, je connais la cote, du moins le bord de mer pour y avoir navigué, mais je ne connais que très peu l'arrière-pays, parisienne, je croyais que seul Paris, Lyon; Marseille (PLM) avaient des endroits coquins, ce qui est faux, PLM en a beaucoup plus, c'est tout.

Après avoir bien mangé, nous avons été dansé, je me doutais qu'il me préparait quelque chose, il savait que je n'aimais pas les boites où ça hurle, ébloui, avec une musique à la con et ou les chiottes étaient des salles de shoot, celle-ci était beaucoup plus feutrée, aux toilettes, il n'y avait que des femmes qui se réajustaient, se maquillaient ou allaient soulager un besoin naturel.

Évidement, il n'y avait pas de moins de 35 ans, je n'y ai pas vu de gâteux séniles non plus, je n'ai pas vu le prix d'entrée, mais je me doute que les ouvriers ou employés, ne devaient pas être les plus nombreux, en tout cas, ceux avec qui j'ai dansé étaient sympathiques et pas prétentieux, tous plus ou moins séducteurs, mais l'endroit sert à cela s'il n'y avait pas d'ouvriers, ça n'empêchait pas qu'ils étaient manuels quand même, et tant mieux pour moi, je contraire m'aurait contrarié.

Comme partout, plus d'hommes que de femmes, mais la proportion était raisonnable, le client me dit comme toujours, qu'ici, c'est juste un ami qui m'accompagne, beaucoup de slows, il a dansé avec moi, mais il m'a beaucoup laissé entre les mains des autres, ma robe ainsi que mon décolleté a beaucoup plu, mon comportement peu farouche également, je n'ai repris personne, le pelotage malgré la docilité que je montrais, était presque raisonnable, pointu, mais raisonnable.

Je faisais des séries de deux slows avec le même, j'avais leurs mains sur mes fesses, ou ils ont senti que je ne portais rien dessous, j'ai eu des mains sur les seins furtivement, ainsi qu'une main sur un sein, uniquement quand personne ne pouvait le voir, j'appréciais et regrettais que mon client ne me l'ait pas fait retirer, il faisait chaud, par la température, et par le contact.

L'un, un homme de la cinquantaine, pas encore grisonnant, à moins qu'il ait eu une teinture, m'a demandé s'il pouvait me payer le champagne à la table de celui qui m'accompagne, j'ai accepté, sauf que je n'ai pris qu'un soda, les compliments ont fusé, seule contre deux, j'ai dansé à nouveau avec, et c'est là qu'il m'a touché le sein, comme si cela était naturel, il avait eu la permission.

J'ai dansé avec d'autres, et quand j'ai voulu y retourner, afin d'être tripotée, j'ai cherché mon danseur m'ayant offert a boire, il n'était pas loin, ne pouvant me lever au risque d'être entreprise mon attitude l'a renseigné sur ce don a quoi je pensais.

On a fait deux danses, et j'en ai encore fait ensuite avec d'autres hommes qui étaient charmants aussi, mon danseur était resté discuté le temps d'une danse avec mon client, puis il a fallu partir, arrivé à la voiture, il me dit de monter derrière en m'ouvrant la porte, il démarre, il roule 20 minutes.

Il prend comme un chemin empierré, il roule sur cent mètres et fait le tour d'une maison, tous volets fermés, une autre voiture arrive, il me dit, tout ce que je demande, je dis oui, tout, je n'ai aucun doute sur ce qui m'attend, un type monte à côté de moi, je reconnais mon danseur.

A suivre.
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Histoire de annizette

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