Le Coach 2, SA FEMME

«On dirait que t’aime ça, je me disais bien que tu étais une petite tapette soumise!»dit il avec une voix ironique, les yeux sur mon sexe d’où coulait un filet.

«Heu! Non.. heu…je…» dis-je d’une voix à peine audible je suis tellement préoccupé de savoir qui était cette femme? que vas elle faire des photos ?»

fouillant dans un tiroir de la salle de bain.

«J’ai demandé à Audrey de te préparer des vêtements plus adéquats pour ton séjour ici !»dit il en me tendant une serviette et un plug

Me voyant hésiter, les yeux ronds et la bouche ouverte.

«Tu veux que je te le mette moi même» joignant le geste à la parole il me courbe en deux et force l’objets à rentrer Bien que de bonnes dimension il rentre sans trop de peine, ni trop de douleur, vue que Max m’avait bien dilaté. Il s’amuse à le faire entrer et sortir plusieurs fois mon souffle s’accélère mais il arrête, je suis presque déçu.

La femme de Max est dans le couloir, elle est jeune, 35 ans maximum, de long cheveux noir bouclée, de grand yeux d’un bleu profond, bronzée, elle est très bien dessiné presque musclée, vêtu simplement d’un string noir, ses petits seins à l’aire dansent au rythme de ses pas accentué par une démarche volontairement chaloupé. Elle m’hypnotise , je ne peux pas décrocher mon regard de son corps. J’esquisse un timide bonjour, je me sent rougir comme une pivoine, la main sur mon sexe qui essaie de sortir de son écrin. Elle, très à l’aise, et consciente de la gêne qu’elle provoque sur moi, me décroche un grand sourire.

«vas dans ta chambre et pas un mot ou j’en parle à Max et ça n’ira pas bien pour toi!»dit elle sèchement.

Elle m’emboîte le pas, je sent un regard appuyé sur mes fesses et sur le bijou anal que Max m’a insérer. Le plug appui sur ma prostate à chaque pas, et m’oblige à me déhancher. Elle me dit que les vêtements qu’elle a choisi vont m’aller à merveille. Je deviens cramoisi en rentrant dans la chambre, un string en dentelle noir, des bas noir, une mini jupe plissée blanche ainsi qu’une brassière noir presque transparente à fine bretelle et des ballerines noires brillantes m’attendaient sur le lit. Je lui demande si c’est ça que je dois mettre.

«oui, comme je te l’ai dit, ça t’irait très bien, ça va souligner ta féminité! Mais d’abord je veux profiter de toi, ça m’a chauffé de t’entendre baiser avec mon mari.»dit elle avec un large sourire

Audrey a son téléphone à la main et je pense qu’elle veut encore prendre des photos mais une violente vibration dans mon fondement me fait vite comprendre que se jouet est en fait un instrument de torture. Elle me dit de m’allonger sur le lit, tout en enlevant son string. Elle se met à califourchon sur ma tête comme pour un 69 et commence doucement à se frotter. Déjà un liquide lubrifie mes lèvres et mon nez, son souffle s’accélère. Elle me rentre les doigts profondément dans la bouche, les faisant entrer et sortir puis caresse elle-même son intimité, laissant ses doigts la pénétrer, remonte vers sa poitrine et se malaxe les seins frotte puis pince ses mamelons, j’entends de doux gémissements. Elle me tord les tétons, passe ses ongles sur mon torse. Elle me fais crier de douleur. Sa doit l’excité car ce sont de véritables coups de reins qu’elle donne et sa cyprine coule abondamment de son vagin dans ma bouche. Elle me donne des ordres pour que je la pénètre plus ou moins avec ma langue, que je m’attarde sur son clito, sur ses lèvres ou dans son anus. Elle écarte au maximum ses fesses pour que je puisse la pénétrer plus profond. Si je m’exécute tardivement, elle augmente les vibrations du plug, bien qu’elle les augmente de toute façon à mesure de son excitation. Je lui écarte les grandes lèvres pour faire ressortir son bouton d’amour que je gobe, suce, aspire, lèche comme si c’était une queue. Il faut dire qu’elle est dotée d’un énorme clito d’au moins 5 cm de long sur 1cm d’épaisseur. Elle attrape mon paquet fermement et me sert les boules, les torturent me faisant bouger comme un vers de terre. Dans un crie, ses mouvements de vas et viens deviennent désordonnés, s’assied de tout son poids sur ma bouche, ma langue tendu dans son vagin et mon nez pénétrant son cul dilaté. Elle m’étouffe, me coince la tête entre ses jambes. Je ne sent plus que ces contractions et une grande quantité de liquide coule dans ma bouche. Mon vibrateur est au maximum de ça puissance, les vibrations se font ressentir dans tout mon ventre et au même moment qu’elle, j’éjacule sur mon ventre en trois ou quatre jets incontrôlés bien que mon sexe na jamais été en érection. Elle desserre l’étau de ses cuisses et s’affale sur le lit à mes côtés. Je n’ai pas le temps de reprendre ma respiration, elle me fait nettoyer ses doigts de mon sperme qu’elle récupère consciencieusement sur mon ventre et mon torse.

«Tu va être très belle pour le repas de ce soir et tu as intérêt d’être très gentille aussi, habille toi et assis toi ici que je te prépare »me dit elle toujours avec son sourire malgré les traits tirés dû à la jouissance.

Je ne sait pour quelle raison, je suis excité est-ce l’autorite qu’elle a sur moi ou le fait de me transformer en femme mais je me laisse faire sans rien dire.
Nous passons tout l’après-midi à me préparer, Audrey commence par me faire un lavement, une fois propre, épilation des sourcils, maquillage des ongles en nacré ,des yeux, des cils, les lèvres, des pommettes elle me maquille même les auréoles des seins pour qu’ils paressent plus larges. Elle me mets des rajouts dans les cheveux, me coiffe , me parfume. Je suis étonné de sa douceur et de l’application qu’elle mets à me transformer. Elles me rajoute quelques accessoires : des créoles, plusieurs bracelets et une chaîne qui fait le tour mes hanches jusqu’à un faux piercing de nombril et remonte jusqu’à mes tétons tenant grâce des anneaux et de petites visses très douloureux à mettre mais Audrey insiste car ils font ressortir mes mamelon et trouve cela sexy. Après l’habillage, je ne me reconnais plus dans la glace. La coupe au carré est parfaite tout comme le maquillage, la tenue est plus que sexy voir très provocante, on voit l’élastique en dentelle des bas résilles tellement la jupe est courte ainsi que le string et bien sûr le plug par transparence , le haut moulant ne cache rien et fait ressortir les pointes de mes seins.
Max, me siffle quand je le rejoins dans le salon. Il m’explique qu’ils reçoivent des amis un peu spéciaux et je serai leurs serveuse. Il tire sur la chaînette, et la douleur de ma poitrine est immédiate, je réponds par l’affirmative pour qu’il me libère.