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Sylvie porte des bas

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2022

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SYLVIE PORTE DES BAS

Quand on noue une relation avec une femme, qu'on l'admette ou non, pour nous les hommes, le physique est un élément important. Après bien sûr arrive le fait de pouvoir s'entendre. Si on a des valeurs qui ne sont pas forcément proches, on a des conflits rédhibitoires, difficile d'aller avec quelqu'un.
En tout cas, je sais bien que l'une des raisons qui m'a attiré vers Sylvie, ca a été qu'elle avait des jambes vraiment magnifiques. Si vous regardez attentivement des femmes dans la rue, et si vous observez leurs jambes, vous vous rendrez vite compte que des jambes vraiment bien dessinées, il n'y en a pas beaucoup. Il y a toujours un défaut de-ci, de là.
Sylvie, elle, avait des jambes parfaitement dessinées. Sans un défaut.
Elle en était d'ailleurs totalement consciente, et elle les mettait en valeur. Une grande partie de ses tenues, c'étaient des robes et des jupes qui s'arrêtaient très haut sur la cuisse et qui dégageaient ainsi au maximum le charme de ses jambes longues et fines, parfaitement galbées, qui étaient souvent magnifiées par des collants.
C'est d'ailleurs comme ça que je l'ai regardée, souvent.
Assez ironiquement, je ne la voyais pas très longtemps comme cela. En effet, elle était au même club sportif que moi, et je la voyais arriver en tenue de ville, puis elle basculait sur un équipement sportif. C'était autre chose, mais qui avait aussi largement son charme. Aujourd'hui, les tenues de sport, avec de nouveaux matériaux, sont extrêmement collantes, comme une seconde peau, dévoilant plutôt que de masquer, et elles soulignaient AUSSI le charme de ses jambes, mais pas que, collant à ses fesses charnues, et dessinant son sexe de manière très précise.
Et puis...Un soir, je lui ai proposé qu'on aille boire un café ensemble...Elle a accepté...On s'est donc revus hors du sport. Des moments ensemble, jusqu'au soir où elle m'a dit:
'Si tu passais la nuit chez moi?'
Et depuis ce moment, on se voit chez elle ou chez moi.
Je lui avais clairement dit que j'étais fou de ses jambes. 'Je suis bien consciente que c'est l'un de mes atouts', m'avait-elle répondu. Elle me laissait les regarder, les caresser, nues ou quand elle portait des collants, et glisser mes mains sur le nylon. Ce que je trouvais extrêmement troublant, c'était qu'il lui arrivait de porter une petite culotte dessous, mais aussi de ne rien mettre sous son collant, de l'avoir à même la peau. Et dans ce cas, c'était sacrément perturbant que de surprendre le relief et le dessin de son sexe, les rondeurs de ses fesses, directement au contact du lycra. C'était d'autant plus excitant que si, dans l'intimité, je découvrais son intimité quand elle se penchait, s'asseyait subrepticement, quelques secondes ou un peu plus longtemps, je ne devais pas être le seul à être aussi troublé, puisque, quand j'étais avec elle, elle rentrait du travail ou y allait. J'imaginais bien la scène, les perturbations chez des collègues pas forcément masculins...
On est heureux parfois pour peu de choses. Mais ce peu de choses peut signifier beaucoup pour vous.
J'avais une autre envie, pourtant. Pas seulement un fantasme, mais j'étais troublé, et je n'étais pas le seul, je le savais bien, par les femmes qui portaient des bas.
C'était une autre conception du nylon. Si j'avais du d'ailleurs choisir entre bas et collants, je ne sais pas ce qui l'aurait emporté.
Vous le savez certainement, les collants ne tiennent pas très longtemps. Les premiers collants étaient increvables. Les fabricants ont fait en sorte, en modifiant leur structure chimique, qu'au bout de quelques utilisations, ils filent ou se déchirent, et qu'il faille en acheter d'autres. Il fallait imposer un rythme de consommation. De toute invention, on fait un commerce.
Je lui en rachetais donc de temps en temps. Des modèles qui me plaisaient, et que je glissais dans son tiroir à collants. Dont j'aimais les teintes et les motifs. Et elle les portait,
C'était devenu une habitude pour moi de regarder au supermarché quels types de collants on pouvait trouver. Il y avait toujours des nouveautés.
C'est comme ça que j'ai porté mon attention sur les bas stay-up. Ils étaient un peu à l'écart des collants classiques, et je me suis dit qu'ils orneraient parfaitement ses jambes et qu'ils les orneraient différemment. Ca serait un autre trouble, une autre excitation.
J'ai donc fait l'emplette d'une boite de bas stay-up et je les ai glissés dans son tiroir, en rentrant des courses. Et je n'y ai plus pensé.
Jusqu'à ce jour férié. On a traîné le matin en petite tenue.
Après la douche, elle est apparue avec une robe noire, simple et courte. Elle s'est posée sur le canapé.
Pauvre naif que je suis. Je ne me suis même pas rendu compte qu'elle s'était parée, et parée différemment.
La robe est remontée quand elle s'est assise, elle l'a sans doute un peu aidée. Et elle m'a clairement offert de nouvelles perspectives. Finalement, je n'avais rien à regretter, et surtout pas mon achat. J'avais de nouvelles perspectives sous les yeux. Le nylon des bas arrivait à mi-cuisses. Son point d'arrêt,c'était une jarretière élastiquée de dentelle noire, qui permettait au bas de tenir sans autre soutien. Bien pratique, finalement. Au-delà, il y avait de la chair nue, et un slip blanc dont le tissu était tendu par le renflement de son sexe.
--Le tableau te plait?
--J'en rêvais, mais je n'osais l'espérer.
--Aujourd'hui, on a du temps, C'était le moment de les essayer. Tu peux regarder, mais tu pourras aussi toucher quand tu voudras.
--Il ne faut pas me le dire deux fois.
J'avais rêvé la sensation du nylon au bout de mes doigts, couplée à celle de la chaleur montant de son corps. Elle est devenue réalité quand j'ai posé les doigts sur elle.
--J'aime quand tu me caresses.
Et moi j'aimais sa franchise, et qu'elle me dise et m'offre ce que d'autres ne me disaient pas et ne m'offraient pas.
Elle avait bien raison. On avait la journée pour nous, et tout le temps pour en profiter. Sans penser qu'il allait falloir partir travailler. Le temps avait une autre consistance, une autre épaisseur, et on s'inscrivait dans cette durée différente.
Je suis resté longtemps sur ses jambes. Je savais que pour elle, c'était une zone érogène, et je pouvais imaginer qu'elle y prenait autant de plaisir que moi. Elle se laissait aller, les jambes offertes, et le tissu de la culotte blanche, d'abord sec, était à présent marqué par une tache d'humidité qui s'agrandissait de seconde en seconde.
Je suis remonté au-delà des bas. Elle avait une peau douce, agréable à caresser, quelle que soit la zone caressée. Je suis passé sur ses aines, sans aller au-delà de la lisière de son slip. Était-ce un effet d'optique, ou bien la réalité ? Plus je me rapprochais de la culotte, plus le tissu semblait s'humidifier. Elle avait en tout cas basculé indubitablement dans un moment intermédiaire, entre la réalité et le plaisir, pas totalement dans l'un, pas totalement dans l'autre, les yeux mi-clos et le regard ailleurs, la respiration lourde, elle semblait avoir de plus en plus de plaisir, et je n'avais pas imaginé que ce puisse être le cas. Il y avait toujours un moment, quand on faisait l'amour, où elle me guidait, et ça a bien été le cas.
--Je veux que tu me caresses à travers ma culotte, ensuite que tu l'enlèves, et que tu me caresses sans obstacle.
C'était au moins clair.
Mes doigts ont glissé sur le coton lisse, qui portait sa chaleur, tendu par la forme de son sexe. C'était excitant de la caresser ainsi, peut-être plus que si son sexe avait été nu, et de le sentir sans le voir. La pente de son pubis, la masse de son sexe, l'ouverture au milieu, qui, semblait-il, s'accentuait nettement alors que je la caressais, et le jaillissement de liquide qui venait mouiller le coton, et s'ajouter à la tâche d'humidité, la faisant s'élargir...Je l'ai massée très doucement, la faisant gémir. Le tissu s'enfonçait entre ses lèvres.
--Pousse le tissu à l'intérieur, elle m'a proposé. Ca me frotte, c'est bon. Va aussi loin que tu peux...C'est très bon...Je crois que je vais jouir...
Elle a effectivement eu le corps agité par des spasmes, se tendant, et une grande quantité de liquide a jailli, trop importante pour que le coton absorbe tout, venant encore élargir l'auréole, mais coulant aussi à ses aines, trempant sa chair, et le canapé.
--Embrasse-moi maintenant.
Je suis venu prendre sa bouche, et j'ai mordillé ses lèvres, avant de partir à la rencontre de sa langue. Nous les avons frottées l'une contre l'autre.
Je m'étais redressé pour l'embrasser. Je me suis laisser descendre un peu, glissant les mains au niveau de sa taille, la robe avait remonté pendant qu'elle se trémoussait sur le divan, il y avait juste un ou deux centimètres encore couverts, de la sorte j'ai pu attraper son slip au niveau de son élastique, et j'ai entrepris de le tirer vers le bas, sans qu'elle s'y oppose. Je l'ai tiré jusqu'à ses genoux, puis, me laissant glisser à nouveau sur le sol, à ses chevilles. Elle a dégagé une de ses jambes, le slip n'étant plus qu'une boule de tissu accrochée à une cheville et a écarté plus encore ses jambes pour se donner à moi. Son sexe était bien ouvert, laissant voir son intérieur rose. Même si elle venait d'éjaculer et de cracher des jets de liquide, elle continuait de ruisseler avec régularité et abondance. Les bas de nylon représentaient un écrin pour son sexe.
--Je voudrais que tu mettes une main en moi et que tu me caresses à l'intérieur.
En lui glissant une boite de bas stay-up dans son tiroir à collants, j'avais rêvé d'un moment exceptionnel. Je n'avais pas imaginé que ça serait à ce point, ni que je serais mis à contribution. C'était de l'inédit pour moi, mais je me sentais tout à fait partant. Ces derniers temps, nous avions sans doute trop été dans la routine. Une paire de bas avait radicalement changé la donne.
C'est sans doute parce qu'elle était aussi lubrifiée et ouverte que ça a été facile. Un doigt, puis un autre...J'ai instinctivement replié le pouce à l'intérieur de ma main, et je n'ai même pas eu à pousser ma main en elle. Ca a glissé tout naturellement, avec la vision de ma main disparue en elle. Avalée, engloutie, un peu comme si on m'avait coupé la main. Mais c'était en même temps tout le contraire, car ma main se remplissait de sensations intenses, et nouvelles, je sentais autour de moi son intérieur, dans toute sa complexité, sa richesse. La chaleur, l'humidité, et le relief riche de son ventre, son dessin tortueux et complexe. Un instant figé, je me suis mis à la caresser, avec la volonté de lui donner le meilleur de moi-même mais aussi en même temps de cartographier son intérieur pour pouvoir y repenser plus tard.
Souvent, quand j'étais seul, je me donnais du plaisir en pensant à elle, à des détails, à ce qu'on avait vécu ensemble. Une expression, une sensation, un élément de son corps, et je partais très vite vers le plaisir.
Je m'efforçais de tout mémoriser parce que je vivais dans la crainte de la perdre. Je n'avais pas eu des moments positifs avec d'autres femmes, et j'étais habité par cette hantise. Que du jour au lendemain, tout soit fini.
J'ai amené mes doigts sur son gland clitoridien, qui s'était décalotté, et je l'ai caressé, en même temps que je continuais à la fouiller. Elle a eu un sourire qui m'a fait penser que j'avais eu une bonne initiative et que son plaisir était au maximum.
Je savais déjà comment ça finirait. Cela faisant deux ans qu'on était ensemble. Dans les premiers temps, on utilisait des préservatifs, puis des tests nous avaient permis de nous en passer.
Ce qu'elle aimait le plus que tout, elle me l'avait clairement dit, c'était de sentir mon sperme jaillir en elle, jet après jet, sans l'obstacle du préservatif et ensuite de garder ma semence en elle, en basculant en arrière un moment pour qu'il dégouline plus profond, en contractant ses muscles vaginaux pour le fermer pour ensuite le sentir sortir et couler d'elle, dans sa culotte. Un plaisir dont elle ne se lassait pas, et qu'elle aimait faire durer.
J'avais mis ma queue à nu, j'étais très dur, la queue raide à en être douloureuse. Je me caressais pour soulager la tension qui m'habitait, en évitant de me faire jouir.
--Viens, maintenant, j'en peux plus, j'ai envie de te sentir en moi.
Elle était certainement proche d'un nouvel orgasme, et moi aussi. On était sur une même ligne, nous nous y étions rejoints, et c'était seulement avec elle que j'avais cette expérience de jouir quasiment ensemble, en symbiose. Elle faisait en sorte de faire que je la rejoigne quand elle sentait qu'elle allait jouir, ou qu'à l'inverse, quand elle sentait que j'allais jouir, elle me rejoigne dans le plaisir.
Je me suis redressé et rapproché d'elle. Elle m'a caressé doucement de la main.
--Tu es très gros...C'est parce que j'ai mis des bas, ou parce que tu m'as caressée à l'intérieur ?
--C'est un tout.
Je suis rentré en elle, accueilli par le sexe qui m'a enveloppé comme un gant, doux et chaud. Des moments comme celui-là valaient tout l'or du monde. J'ai glissé en elle jusqu'à être totalement avalé.
--Ca me rend folle de sentir ta queue en moi, chaude et dure, de sentir qu'elle me caresse, et qu'elle crache ton sperme brûlant...Je crois que je ne pourrai plus m'en passer.
Elle s'est laissée aller au plaisir, totalement abandonnée, alors que je bougeais en elle. Elle se mordait le doigt, alanguie contre le dossier du divan, ses liquides intimes coulant autour de ma queue, comme pour mieux faciliter mes mouvements en elle.
Elle a commencé à jouir quelques secondes avant que le premier jet de sperme ne vienne taper contre ses parois internes, suivi par d'autres qui l'ont faite se tordre et gémir.
Pourtant, et je pouvais me le permettre parce que j'avais des éjaculations copieuses, exceptionnellement, je ne voulais pas balancer tout mon sperme en elle. Les choses étaient différentes. J'ai sorti ma queue d'elle. En plein trip, elle ne s'en est pas rendue compte. J'ai dirigé mon gland dilaté vers ses cuisses, et un premier trait de sperme, le blanc crémeux contrastant avec le noir des bas, a atterri sur le lycra. J'ai maculé ses deux cuisses de semence, avant de finir en me frottant contre la matière. C'était électrique et excitant contre mes mains, ça l'était encore plus contre mon gland, et j'ai à ma grande surprise eu un nouvel orgasme, crachant encore quelques traits de semence.
Elle a commencé de ramasser les traits de sperme pour les avaler.
--J'ai bien fait de mettre tes bas. Ca t'a inspiré. Quel bon moment! C'est bien d'habitude, là, ça a été...Exceptionnel.
J'ai pensé en mon for intérieur qu'il faudrait que j'en achète d'autres paires.
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