Le coloc de mon petit copain

Mon copain vivait dans un petit appartement, en colocation avec un mec qui s'appelait Antoine. C'était un mec plutôt beau, un beau brun ténébreux, qui avait attiré mon regard la première fois que je l'avais croisé, mais comme cela arrive souvent quand on rencontre un bel homme dans la rue. L'envie qui aurait sans doute pu naître à force de se côtoyer, je dois l'avouer, s'était éteinte tout de suite quand j'avais appris qu'il était homo, puis bon je n'avais pas trop à me plaindre de mon côté. Au contraire on était devenu plutôt pote et on se faisait souvent des bouffes à quatre avec nos copains respectifs, du moins jusqu'à cette matinée. J'avais dormis à l'appartement avec mon copain, comme cela arrivait souvent. Ce jour-là, il était parti de bonne heure pour passer un entretien dans une ville à deux, trois heures de route. Je me réveillais donc toute seule dans le lit et après avoir dissipé ce qu'il restait de sommeil, me dirigeais vers la cuisine. Je fis comme chez moi, d'autant plus que me je croyais seul. J'étais tranquillement en train de boire un café dans la cuisine, en nuisette quand un bruit de porte me fit sursauter.

Antoine ??

Pas de réponse.

Je me levai et après avoir traversé le salon me dirigeait vers la salle de bain. La douche était en marche et la porte très légèrement entre ouverte, tout juste de quoi voir ce qu'il se passait à l'intérieur. A ce moment-là je ne sais pas qu'il m'est arrivé, je suis resté figé derrière la porte profitant de l'interstice pour regarder le spectacle. Antoine était nu sous la douche, se frottant la moindre parcelle de son corps, un corps divin et terriblement musclé. Ses abdominaux étaient saillants, ses épaules et ses bras donnaient une impression de force alors que ses fesses volumineuses vous donnais envie de croquer dedans. Je sentis une chaleur gagner le bas de mon ventre alors que je le regardais maintenant frotter son corps avec du gel couche. Il pivota légèrement et je pus enfin voir son sexe, long, épais, avec une petite toison de poils brun à la base. C'était un véritable appel au sexe, je me disais que c'était un véritable gâchis qu'un tel mec puisse être homo. Mon copain était plutôt bien foutu lui aussi mais là c'était encore autre chose. J'étais maintenant au sommet de l'excitation, je sentais la mouille couler le long de mes cuisses alors que je caressais mon sexe en regardant ce dieu grec. Antoine décalotta son sexe recouvert de mousse et mon cerveau fut alors saturé d'images où il me prenait sauvagement dans toutes les positions. J'enfonçais maintenant deux doigts dans mon vagin tout en soupirant quand une main se posa sur mon épaule.

Et bien voilà quelque chose d'intéressant …

Eric !....

Sur le moment j'ai eu la frousse de ma vie croyant que c'était mon copain qui était revenu pour je ne sais quel raison mais il s'agissait en fait du petit ami d'Antoine. Ils se fréquentaient depuis deux ou trois mois et je l'avais juste croisé rapidement, sans jamais faire plus ample connaissance. La peur m'avait quitté, j'étais maintenant juste très embarrassé. Eric qui lui aussi était plutôt bien foutu, blond aux yeux, bleu me fit un grand sourire avant de me susurrer à l'oreille.

Je comprends l'effet que ça peut faire, profite du spectacle et si t'en as envie n'hésite pas... on aime bien se taper des meufs de temps en temps !

Il passa sa main dans mon dos, frôla mes fesses puis entra dans la salle de bain et repoussa la porte juste de manière à ce que je puisse voir ce qu'il se passait à l'intérieur. Je ne sais pas pourquoi après être prise en flagrant délit, je suis resté mais je suis resté. Eric enleva son débardeur et son caleçon me montrant aussi un dos et des fesses super musclés. Il entra sous la douche et rejoignit Antoine. Il ne fallut pas longtemps avant que les deux « dieux du stade » ne se caressent et n'explorent les parties du corps de l'autre. Eric se positionna en face de telle sorte que je puisse bien le voir. Son sexe était légèrement moins long que celui d'Antoine mais il était plus large et totalement rasé. Je croisai son regard alors qu'il commençait à se branler faisant doubler sa queue de volume. Il chuchota quelque chose à l'oreille d'Antoine qui éclata de rire. Ce dernier se baissa puis commença à sucer Eric avec application. D'ici je ne voyais plus que les mouvements de tête d'Antoine d'avant en arrière alors que Eric le maintenait par les cheveux. J'aurais aimé être à la place de l'un ou de l'autre peu importe, sucer le blond ou me faire lécher la chatte par le brun.
Je vis Eric se crisper légèrement et retirer sa queue bien droit et épaisse, le gland violacé, de la bouche d'Antoine, sans doute pour éviter l'éjaculation. Il se tourna posa les mains contre le mur, écarta les jambes prêt à se faire prendre à Antoine. Je n'en pouvais plus, je me masturbais maintenant comme une adolescente qui n'avait jamais couché, la mouille coulait le long de mes jambes alors que je me pinçais légèrement le clitoris. Je poussai la porte de la salle de bain ce qui les fit se retourner. Il me regardèrent en rigolant.

Il était temps !

Le sourire d'Antoine me fit craquer mais c'était surtout sa bite, fièrement dressée, la plus longue que j'avais vu jusqu'à ce jour, qui me donnait terriblement envie. J'enlevai ma nuisette, mon string et les rejoignis sous la douche. Il n'y eut pas de préliminaires, Antoine se posa devant moi, m'embrassant et me caressant la chatte de sa main droite alors qu'Eric lui se positionna derrière m'embrassant dans le cou. Il s'amusait par de petits mouvements à faire glisser sa queue le long de mes fesses et cette sensation ne fit encore qu'augmenter mon excitation, je n'étais plus la même femme, je n'étais plus qu'une chienne voulant être prise violemment.

Allez y prenez moi, baisez moi !

T'inquiète pas , on va bien s'occuper de toi murmura Antoine.

Il présenta son gros chibre au bord de ma chatte, la frotta sur mon pubis rasé, caressa mon bijou avec puis mes lèvres avant de me pénétrer d'un seul coup alors que je m'y attendais pas. Je me sentis vraiment transpercé mais la douleur céda rapidement la place au plaisir, je me sentais vraiment comblé avec cette belle queue au fond de moi. Au même moment Eric me caressait l'anus avec un doigt, puis deux puis trois me dilatant l'orifice au maximum. Il fit couler une bonne dose de gel douche entre mes fesse puis présenta son gland à l'entrée arrière. Il poussa progressivement, passa les premiers centimètres, et commença progressivement des allers retours pour élargir le passage. Les deux mecs me prenaient en sandwich, debout sous la douche. C'était une sensation divine, non seulement je me sentais vraiment serré entre leur bras et leur abdos musclé et comblé par leur deux grosses bites qui me remplissaient des deux côtés. Ils y allaient lentement au début puis de plus en plus violemment rentrant leur queue de plus en plus profondément notamment Eric qui avait maintenant les deux tiers de son sexe dans mon cul.

Oh oui Allez y !!! plus fort

Ils alternèrent les coups de queues, Antoine devant, Eric derrière, comme un balancier puis ils décidèrent d'y aller simultanément en y mettant toute leur force. Je n'étais plus qu'une poupée désarticulée, la chatte et le cul en feu, au bord de l'évanouissement.

Quelle salope t'aime ça !!

Je ne pouvais plus réponde, juste gémir. Cela dura encore une ou deux minutes avant qu'ils ne me fassent m'asseoir et qu’ils me demandent de les sucer, ce que je faisais avec plaisir. Je plongeais leurs bites dans ma bouche, jusqu'au fond de la gorge passant de l'une à l'autre avec gourmandise. J'aimais branler ces deux énormes morceaux de chairs, longs et épais, sentir ma langue glisser sur la surface de leur gland.

Ca viens chérie prépare toi ….oh oui !

Eric fut le premier à décharger son foutre, j'avalais sans broncher, continuant à le pomper jusqu'à la dernière goutte. J'avais encore sa bite en bouche quand Antoine se lâcha sur mon visage, frottant son sexe contre ma joue. Je n'avais jamais autant pris de plaisir que lors de cette partie de baise qui restera dans ma mémoire. Ils m'aidèrent ensuite à me relever pour qu'on prenne vraiment une douche et pour masquer les traces du crime, même si je risquais d'avoir un peu de mal à marcher les prochains jours. Le moment qui suivit fut plus tendre, fait de caresses, d'embrassades, d'effleurements mais ce fut tout aussi agréable.
Chacun reprit sa vie par la suite et je suis toujours avec mon copain il n'a jamais rien su de cette histoire bien qu'on ait remis plusieurs fois remis le couvercle avec Antoine.