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Le copain privilégié 1/3

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Lue : 6659 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/03/2016

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Comme indiqué dans le titre, cette histoire sera en 3 récits.
Le copain privilégié, comme il s'appelait lui-même, lorsque l'on était seuls, était un copain d'enfance à mon mari, connu en même temps que lui, et avec qui j'ai beaucoup sympathisé.

Étant toujours célibataire, il n'a eu que des coups d'un soir pour l'hygiène disait-il, j'ai appris bien après, que je lui en ai fait perdre pas mal des coups.

À mesure qu'on se connaissait, au fil des ans, de façon très longue, il a fini par m'accompagner dans les endroits ou mon mari n'aimait pas aller, comme au théâtre, au musée, au spectacle, et même au cinéma.

Mon mari, si ça ne bouge pas, il ne tient pas en place, ce copain le remplaçait, comme garde du corps, disant qu'il aimait nos sorties, mais cela reste incertain et j'en doute, je pense que c'est plutôt ma compagnie des cinq premières années.

Le temps passant, ma confiance en lui, lui était acquise, jamais de gestes déplacés, beaucoup de compliments directs, comme indirects, mais sans le cacher, du genre, "la seule femme qui me fera marier, elle est déjà prise", "je suis à paris, tu es à Nice, tu ne trouves personne pour te sortir, j'arrive", "tu passes à côté de la maison à 3 heures du matin, tu veux savoir l'heure, tu sonnes et me la demande".

J'ai appris plus tard qu'il était amoureux de moi, mais je ne m'en suis pas aperçue à ce point, pour moi, il m'aimait bien, comme moi, je l'aimais bien, il aurait voulu me sauter, comme tout le monde.

J'ai appris par la suite aussi, que si un soir, il avait un rendez-vous sexe avec une fille, si à la dernière minute, je lui demandais s'il était dispos pour aller au ciné ou autre sortie, il me disait qu'il n'avait rien de prévu.

Un soir, dans un cinéma, le chauffage devait être en panne, j'avais les doigts gelés, et je n'arrivais pas à me les réchauffer, il me dit, fait voir, je lui donne ma main, la sienne était chaude, ça me faisait du bien, j'ai donné l'autre aussi, c'était une vraie bouillotte, aucun gestes déplacés non plus, il m'a avoué très longtemps après qu'il avait bandé ce soir-là.

Comme j'ai souvent les mains froides, pas autant que ce fameux soir, il me les demandait et me les réchauffait, j'appréciais cela, au fil des années, on était presque devenu un couple, se tenant par le bras quand on se promenait, on se tenait les mains au ciné, au théâtre ou tout autre sortie de ce genre.

On dansait ensemble, en se tenant comme un couple, il me disait, ça évitera aux autres de te croire seule, la dessus, il avait raison, plus d'un me l'a demandé, pour moi, je ne voyais qu'un bon copain de confiance, et je ne pensais à rien d'autre.

Petit à petit, on se disait tout, pour moi, c'est comme si c'était ma meilleure copine, pour lui, j'étais son confident, cela était vrai aussi, mais pas seulement, une fois, je lui dis comme cela sans arrière-pensée, que je n'aimais pas aller chercher du pain chez tel boulanger, car je dois passer devant un hall d'immeuble, que souvent, des types m'ennuyaient, il sait que ce genre de chose, je ne peux pas le dire à mon mari, car il est trop expéditif, sa devise, c'est "un problème, ça s'élimine par n'importe quel moyen".

Ce copain privilégié, est plus modéré, je pensais qu'il allait me proposer de m'accompagner, je lui dis non, que quand ils en auront marre, ils arrêteront, en fait, ils ont arrêté de m'importuner dés le lendemain, car je ne les ai plus vus pendant quinze jours, et quand ils sont revenus, ils rentraient dans le hall pour m'éviter, j'ai su longtemps après, par un autre copain complice, que mes emmerdeurs avaient été faire "un stage" très hard pour apprendre les bonnes manières.

Quand j'ai appris, j'ai demandé si ce "stage" n'était pas dangereux, le copain m'a dit "oui très dangereux, pour eux, il y a beaucoup d'accidents et les candidats ne s'inscrivent pas pour le suivant", à l'époque, naïvement, je m'étais dit, il a dû leur dire qu'il me connaissait et qu'il fallait me laisser tranquille.

Ce copain était devenu un complice, on se disait tout, on chahutait, on en était venus à se donner une claque aux fesses pour dire de se dépêcher, ou tout autre excuse, mes claques étaient plus fortes que celles que lui me donnait, des fois, avec un parapluie en chahutant, je lui mettait au derrière, il en faisait de même quand c'était moi qui était en situation propice.

Une autre fois, il était sorti en pyjama dans le jardin où j'étais, et blagueuse, je lui mets un petit piquet en bois dans le pyjama, à l'arrière, j'attrape le tuyau d'arrosage, il croit que je vais l'arroser, il court, mais l'autre piquet est accroché à terre et la ficelle enroulée autour, son pyjama se déchire, je vois ses fesses et rigole comme jamais de la scène.

Une semaine peut être après, il m'arrose avec le jet d'eau, mon teeshirt étant devenu transparent, je me retrouve les seins visibles devant lui, on chahutait sans arrêt, mais uniquement seuls ou avec mon mari.

Une année, il nous demande si on veut venir avec lui en vacance à la mer, on accepte, on va rarement à la plage bronzer, mais cela arrivait, en principe, je suis seins nus, mais là, j'étais réticente, j'évite quand je suis avec des amis, mon mari me dit, vas-y, puis il part se baigner, le copain le suit, puis en revenant, le copain me dit, "aller, seins nus", il insiste plusieurs fois.

Je lui dis, "toi, c'est pour me mater" il dit, " ça, c'est sur, je ne vais pas te mentir", je lui dis, chiche que je te fasse cette vacherie, soit très vache dit-il, je retire soutif, il complimente en disant "wouaa, je me sens vraiment con", je dis oui en lui montrant son slip, on voyait ses poils au-dessus, farceuse, je lui dis, on va se baigner, il dit "attend un peu".

Mais moi, pour me venger, je prends des poses sensuelles, en disant vient pour l'exciter encore plus, tout haut, je disais "viens, même si tu ne sais pas nager", les hommes autour regardaient discrètement en se disant, "il n'est pas fufute le type, moi à sa place même en ne sachant pas nager, je plonge", il se lève d'un coup, m'attrape, me soulève me jetant sur son épaule, court et va me jeter dans l'eau.

Mon mari jubilait, car si lui, il m'avait fait cela, je l'aurais engueulé, là comme c'est un autre que je chahutais également, je ne pouvais rien dire, mon mari déteste avoir les mains pleines de crème, je lui en mets sur le corps, mais moi, il faut que je me débrouille pour me le faire.

Quand nous n'étions que tous les deux, je demandais à un homme à côté, un homme sans sa femme, ou seul, aucun ne rechignait à la tâche, surtout que mon mari ne restait pas, et ils en profitaient tous plus ou moins, mais là, avec ce copain, ce n'était pas possible.

Alors après le bain, me remettant de la crème, mon mari me dit, "vas-y, demande lui", le copain dit "quoi", mon mari dit, "de lui mettre de la crème dans le dos", je n'ai même pas le temps de répondre, qu'il a déjà pris le tube, mon mari n'aime pas le farniente, il retourne à l'eau, le copain m'enduit le dos, s'il y a une chose sur, c'est qu'il était consciencieux, et aussi raisonnable, il s'arrêtait à la limite de ce qui était décent, le dos, mais pas au de là du slip et sur les côtés, pas au-delà des aisselles, me disant, tu as vu, je suis sérieux.

Je dis oui, c'est bien, il me dit, "est-ce que mon sérieux peut continuer sur le reste", je lui demande, " c'est-à-dire", il me répond, "sur le reste de ce qui est raisonnable, les jambes, les cuisses, le ventre", je lui dis "non", tant pis dit-il sans faire la tête.

Les deux fois suivantes, quand nous avons été à la plage, j'avais redit non, mais la troisième fois, j'ai dit, " le ventre ok, les jambes ok, mais c'est tout, mais attention, j'ai confiance", il me dit, "tu peux", après le dos, il me fait le ventre où j'ai juste mis mon haut de maillot posé, je bouquinais pendant ce temps, surement qu'il matait ce que mon soutif ne cachait pas.

Mais la limite étant respectée, je ne disais rien, quand il a fait les jambes, ça allait aussi, pareillement que tous les hommes, durs de distinguer entre la caresse et l'étalement de la crème, les années d'avant, avec mes voisins de serviettes, l'étalage de crème était plus tripotage et caresses accompagnées d'étalement de crème.

Au moins, je ne craignais pas les coups de soleil, ne voulant pas lâcher mon livre, je lui dis, tu as été sage, tu peux aller jusqu'à mi-cuisses, il fait donc cela, et comme il n'en profite pas plus, et aussi que cela fait partie des choses que j'apprécie, je lui dis, "aller comme tu es vraiment sage, je te laisse toutes les cuisses, mais attention, tu sais ce que je veux dire", il dit que je ne dois pas m'inquiéter.

Il me fait donc les cuisses également, en respectant la limite du slip, il a été bien plus sage que les autres hommes des années précédentes, mais cela avait été voulue, et comme eux, son slip était aussi tendu, les trois ou quatre autres journées plages suivantes, il m'a crémé pareillement, sagement.

De retour à la maison, je me promenais en culotte et soutif devant lui, lorsque je m'habillais, sauf quand j'étais en string, un autre jour, sans le soutif, il matait bien sur, mais sous la plaisanterie, nos sorties étaient pareilles, nous nous tenions les mains l'hiver, pour me les réchauffer, c'était devenu une habitude, il me tenait aussi la main l'été, quand on se promenait tous les deux.

Quand mon mari était là, je leur tenais le bras, aux vacances, mon mari avait un plan, mais celui-ci a foiré et on s'est retrouvé à ne pas savoir ou aller, entre des propositions d'accompagner d'autres copains, et ce copain privilégié, on a dit pour ne pas les vexer, que ce copain avait déjà retenu une location pour nous, il est des copains qu'on aime bien, mais à faible dose, passé un mois avec certains, ça relève du sadisme.

Alors que ce copain privilégié, quoi qu'on demande ou plutôt, quoi que je demande, c'est oui et tout va toujours bien, de plus, appréciant sa compagnie aussi, mon mari également, tout allait pour le mieux, les seuls moments de bagarre, c'était pour payer, au début, on avait dit cela pour justifier notre refus aux autres.

Mais ce copain a profité de l'aubaine pour nous inviter, il n'avait rien de prévu, on a dit oui pour le rejoindre, le premier après midi plage, c'était crème obligatoire, le tube, il a sauté dessus, il en a mis sur le dos et les épaules de mon mari, qui lui a dit, "dépêche, c'est horrible les mains d'un homme", il ne s'attardait pas non plus en moins de 10 secondes, c'était fait.

Contrairement à moi, ou ça durait un bon quart heure, comme l'année passée, le dos puis le reste, mais là, sans le haut, comme il m'avait vu plusieurs fois aussi, sans rien à la maison, rien ne servait à la plage de faire du chichi, il me dit pour le ventre, " j'imagine que la limite, c'est au soutif imaginaire, voilà dis-je, et tu feras aussi au-dessous du cou, pour cette partie, je l'ai guidé genre, plus bas oui voilà, stop, à droite stop, à gauche stop, après il m'a fait les cuisses et les jambes très minutieusement.

Nous avons été très peu à la plage, car il avait pris avec piscine, nous avons même été gênés, car il avait pris cette location assez luxueuse en pleine saison, mais à un très bon prix disait-il, au dernier moment, nous y avons reçu nos enfants une semaine, mon mari avait trouver le prix louche, et après renseignements chez celui qui loue cette villa, il s'est avéré que comme on avait demandé à partager, il nous avait demandés en fait, que la moitié d'une semaine et non du mois, il avait vidé son compte épargne pour nous payer cette villa.

Apprenant cela, mon mari le soir lui dit, "on paie, on reste, tu paies seul, on part, "et sur ce, il s'en va, il essaie de négocier avec moi, mais je suis intraitable aussi, je l'amadoue en disant que si on s'en va, il va se trouver seul ici, et moi plus personne pour me mettre de la crème, disant que c'est toujours lui le pique-assiette le reste de l'année, que quand on sort, on paie toujours.

Je lui réponds, et alors, nous, on claque des doigts quand on a besoin d'un service et tu arrives, ne sachant quoi dire, je lui dis, si tu ne le fais pas pour toi, fait le pour moi, qui va être assez compétant et minutieux pour me crémer ?, il répond "tous ceux autour", je dis non, moi je n'en connais qu'un capable vraiment, lui faisant comme dit mon mari, "mes yeux qui rendent les hommes idiots", vaincu, il me répond, "mais comment ça se fait qu'a chaque fois, c'est toi qui me baise", je lui dis, "parce que tu aimes ça" et il répond "elle a raison en plus".

Je fais "je t'ai vaincu, " il répond", sans condition et jusqu'à la garde", je lui dis, "bien, pour la peine de nous avoir menti, je te condamne à me mettre de la crème à chaque fois que j'en aurais besoin, et ce n'est pas négociable".

Mon mari est revenu une demi-heure après, ou j'ai dit, ça y est tout est arrangé, on reste, il a même eu une punition, mon mari dit, j'espère que tu n'as pas été trop sévère, je dis, non, juste une corvée quand je le déciderais, il le regarde et dit "ça t'apprendra à faire le con", copain dit, "ça c'est sûr que je vais la retenir la leçon".

Quand nous sommes en vacances, mon mari avait un code avec le copain, pour lui dire d'aller se promener une bonne heure, afin de faire nos galipettes tranquilles quand ça lui prenait en journée, sans se dire qu'il se masturbe surement en nous écoutant, ce jour-là, il nous dit, "bon, je dois aller au phare, j'ai un truc à faire, vous voulez venir".
Mon mari lui dit "non, on va rester en amoureux", le copain s'en va et je passe à la casserole, les autres journées passent, et je lui dis, "allez ta punition", le copain me crème, il répond en me faisant au-dessus des seins, "quelque part, c'est aussi inhumain comme punition, le supplice de tantale", je lui dis que ma sévérité est méritée.

Avant on en était arrivé à ce qu'il me mette de la crème au-dessus des seins avec la main et entre les seins avec 2 doigts seulement, et là, je lui dis, "d'ailleurs, à partir de maintenant, je t'oblige à passer ta main entière au lieu des doigts", à vos ordres madame répond-il, comme à chaque fois, le slip est tendu et je le lui dis, il répond, "il n'y aurait qu'un robot qui resterait de marbre dans ma "corvée".

J'ai fait la bêtise de lui dire, "parce que tu ne sais pas te contrôler", et là, il me dit, "et toi, tu te contrôles des fois la nuit, je n'en ai pas l'impression", merde dit il, il venait de m'avouer qu'il entendait tout, car si des fois, mon mari lui disait de nous laisser, il y avait aussi les urgences nocturnes du moment, on se retenait au niveau bruit, mais les portes n'était pas phonique, je fus surprise, gênée, lui, il se traitait de con.

Tout en continuant de me crémer, toujours aussi bêtement, je lui dis, "ça t'a réveillé", il répond, ça, ce n'est rien, c'est la bête surtout, et sans arrière-pensées, je dis sans réfléchir", mais tu fais comment", il répond, "ben comme je ne suis pas manchot….", je dis stop, ça ne me regarde pas, il dit, je ne vais pas te mentir, ca serait te prendre pour une conne et je ne pense pas cela du tout.

Quand ta cocotte-minute a trop de pression, la vapeur s'échappe en sifflant, moi, je ne siffle pas, c'est tout, en me racontant cela, il continuait à me faire pénétrer la crème, mais à force, elle était déjà dans la peau et ça ne glissait plus, il a voulu en remettre, mais je lui ai dit que je ne voulais pas ressembler à un beignet des plages, ni à une frite grasse, il a arrêté.

Je lui ai dit que j'étais désolée, égoïste de ne pas voir au delà de mon intérêt, celui de sa compagnie, je ne voyais pas cela sous cet angle, disant que je devrais arrêter les séances crème, tout, mais pas ça dit-il, je dis oui, mais ça te fait mal quelque part, il répond, non, car s'il n'y avait pas ça, te voir ici sans toucher, ça me fait pareil de te voir habillée aussi, de penser à toi, c'est la même chose, il faudrait que je me suicide pour que ça change.

Je lui demande, tu ferais quoi à ma place, il répond, "quitter ton mari et m'épouser", enchainant aussitôt, non ça te rendrait malheureuse et je ne le supporterais pas, il continue en disant, il ne faut rien changer, il me regarde et dit "s'il te plaît", je dis, "si ça ne te rend pas malheureux, c'est ok", il répond, si cela c'est du malheur, je vais souvent passer sous les échelles.

Comme souvent, on se baigne, mon mari lui, va, vient, repart, revient, se baigne, repart, s'allonge à côté de moi puis bande, il fait un code au copain, une fois parti, je lui dis tout, il me dit qu'il s'en doute, mais il s'ennuie tout seul, alors de moins le fréquenter, il sera aussi malheureux même plus, on fait notre partie de jambes en l'air puis on rediscute, il me dit "ça t'ennuie qu'il te passe la crème et te sorte", je dis, "non mais je ne voudrais pas attiser le feu qui couve".

Mon mari me dit que de ce que disent d'autres copains, que si mettons l'un venait à dire du mal de moi, ou de ce qui y ressemblait, il montait au créneau pour me défendre de façon virulente, après plusieurs échanges de points de vue, on décide de ne rien changer à nos habitudes, le soir, on sort comme tous les soirs, les hommes ne veulent pas que je cuisine pour profiter des vacances, je m'habille comme ils aiment, et ils apprécient tous les deux.

Pendant notre sortie, des camelots vendaient de tout et de rien, dont des huiles essentielles, mon mari regarde si ce n'est pas des contrefaçons et prend l'adresse de la vendeuse, sur sa patente en disant que si c'est du toc, qu'il la retrouvera et ne s'occupera pas qu'elle est une femme, après avoir juré de son honnêteté, je prends plusieurs parfums.

Le lendemain, en faisant quelques courses, en grande surface, on a vu les mêmes huiles à un prix à peine moins chères, le copain dit, elle nous a volé, mon mari dit, "non, elle les paie surement plus cher qu'eux, c'est ici qu'on se fait voler.

L'après-midi, après une galipette, avec le copain resté dehors, mon mari ressort en ville ou à la plage, il profite que le copain soit là pour que je ne sois pas seule, il m'étale la crème solaire, je suis topless, je me mets sur le dos, j'avais vu dans la glace que ma lune est blanche, je n'aime pas trop, ça ne fait pas beau, je lui dis, attend et me lève, et je reviens en string.

Lui disant comme tu es sérieux, j'augmente ton territoire, donc ta corvée également, je me mets sur le ventre et lui dis, " la limite, c'est le tissu", il répond, " il est ou le tissu", je dis, "de l'autre côté, mais attention, étalage de crème pas caresse comme les jambes", il répond, "ha, tu te laissais caresser les jambes, tu aimais ça" j'avais beau dire que ce n'est pas ce que je voulais dire, mais j'avais déjà trop parlé".

Je coupe court en disant, "aller au boulot", il me passe la crème sur le dos et bien sûr, les fesses, en, disant, ça va là, ce n'est pas caressé ça, je dis, là non, mais si tu continues, ça va le devenir, il retourne sur mon dos et le reste, revient furtivement aux fesses, mais dans l'ensemble, il reste raisonnable, il me fait le devant en disant, "ha oui, il y a du tissu, tu es vraiment une fille aux poils alors qu'il n'y en a pas".

Depuis quelques minutes, je le voyais "danser", je lui dis, "tu as des puces", il dit, "non, qu'il a envie d'uriner, je demande pourquoi il n'y va pas, il me dit "si je dis que je vais aux toilettes, tu vas croire que j'y vais pour autre chose", je lui dis, " et alors, ça ne me regarde pas ce que tu fais, et puis si tu ne le fais pas pour moi, fais le pour DIM (c'était une autre marque de slip, mais je n'ai plus souvenir), aller va dis-je, si tu reviens moins tendu, je t'accorde dix minutes de plus.

Il revient ensuite, après avoir tout fait, mais je ne le regarde pas ouvertement, son slip va mieux, il me fait les jambes et les cuisses, il me caresse de façon plus flagrante qu'avant, je lui dis, mais tu caresses là, il dit oui comme avant, je dis après tout, c'est toi qui les paies tes slips, il n'en fond pas en acier qu'il répond, il me crème les jambes, moi, je bouquine et profite aussi, c'est comme un massage, je lui dis que si j'ai un coup de soleil, je ne pourrais pas lui dire que c'est de sa faute.

Après les jambes, le ventre, puis au-dessus des seins, puis entre, une fois bien grasse, pendant une heure, je bouquine, lui, il fait de même en alternant le bain puis un bouquin, je vais me baigner, on chahute dans l'eau, mon string déjà transparent, une fois mouillé devenait presque invisible, on s'amuse, on se fait des coups en douce avec soit un ballon, soit une frite, ou le tuyau aspirateur que je lui mets sur le slip et qui l'aspire.

La fois d'après, c'est moi qui en fait les frais, sauf qu'en me débattant, mon string reste aspiré au tuyau, s'arrache et fini dedans, je me retrouve complètement nue, et celui qui entretien la piscine doit passer demain ou après demain, la situation est tellement folle, que même lui qui en est ennuyé, en rigole à ne plus pouvoir bouger, une fois la folie passé, mon mari arrive, me voit nue et rire tous les deux, on raconte l'incident.

Que mon slip a été aspiré, il va le récupérer dans un filtre en disant, c'est ça, je dis oui, il me dit, autant rien mettre, je réponds, oui, c'est ce qu'on se disait aussi, on repart dans un fou rire, je retourne m'allonger, lire, mon mari et le copain font les idiots dans la piscine, ils m'éclaboussent exprès, ils m'attrapent, me jettent à l'eau et jouent avec moi en me lançant comme un ballon, comme je suis nue, je sens un peu les mains baladeuses du copain, mais cela reste raisonnable.

À mon tour, je me venge, je baisse leur slip quand j'arrive à en attraper un, après plusieurs essais, je parviens à baisser celui du copain, lui frôlant fortement le sexe, avec l'effet qu'on imagine, mon mari rigole en disant, "elle t'a baisé et bien profond", ensuite, j'ai dit stop, car j'étais crevée

Ils m'ont laissée tranquille, mon mari nous redemande si on veut sortir, je lui dis non, dans une heure, je vais essayer une huile, mon mari dit, bon et bien, moi, je vais aller voir ailleurs, mon mari dit au copain, tu fais quoi, tu viens avec moi ou sinon tu auras la corvée de l'huile, le copain dit," je me sens maso d'un coup, et puis il y a ma punition méritée" mon mari va se rincer puis s'en va.

La chaleur devient moins étouffante, je vais me rincer à mon tour, je reviens nue avec juste ma serviette autour de moi, le copain va se rincer aussi, il revient en short, je bouquine encore un peu puis lui dis, "peux-tu me rendre un grand service", il dit quoi, je réponds "aller me chercher l'huile et me l'étaler", quand il me demande laquelle, je lui dis, "celle que tu préfères, de toute façon, je les essayerai toutes.

Quand il revient, je lui dis que je préfère être au sol, je retire ma serviette et l'allonge sur le tour de la piscine et m'allonge, avant qu'il commence, je lui dis, voilà, je vais te faire confiance, il répond oui avant que j'ai terminé, je l'arrête et dit, je n'ai pas fini, je te fais confiance, je t'aime beaucoup comme copain, j'ai super confiance en toi, mais, si tu me trahis, si tu en profites, et si tu le racontes à tout le monde, ma maison te sera fermée définitivement, et il n'y aura jamais de pardon.

Il me dit qu'il préférerait mourir que de me nuire, que jamais il ne retrouvera ça ailleurs, que ma haine lui sera insupportable, et aussi d'autre qualificatif, dont je n'ai plus souvenir, je dis, bon, maintenant, inutile de jouer les vierges effarouchée, quand on sera seuls, comme là l'huile, c'est partout où il n'y a pas de tissus, il me dit, mais il y en a nulle part, je réponds, bien, tu as compris, je regarde son short et dit, oui très bien compris même.

Il dit donc tu me fais confiance et il ne faut pas que je…. ? Je dis que tu en profites plus qu'il ne faut, il me dit que même sur les jambes, il en profite, je parle de profiter façon hard sur certains endroits très sensibles que mon string ne cache plus, lèvres intimes et clito si tu préfères, sinon tout le reste, je peux dit-il, je dis oui, il fait wouaaa et commence.

Comme je suis sur le dos, il commence par les jambes, cuisses, il étale l'huile, il tripote pas mal, mais ou est la ligne entre masser et tripoter, quoi qu'il en soit, il aime cela, et je trouve cela agréable aussi, alors au diable les limites, les quandiratons et toutes ces conneries, il masse le haut des cuisses, passe à ras du minou, mais sans le toucher, bien sûr, je frémis et lui dis, "j'ai confiance, pas plus", non t'inquiète dit-il.

Il poursuit, il fait le ventre puis les seins, mes tetons se dressent de suite et il me dit que je démarre au quart de tour, continu, ne t'en occupe pas dis-je, il continu et j'ai beau lutter, l'excitation arrive, il n'ose pas toucher les bouts, je lui dis, tous les seins, quand il fait les bouts, j'ai un gémissement, il arrête, mais je dis non, continu, j'ai dis ou était la limite, et là, ça ne l'est pas, je me trémoussais et il continuait, je mouillais, il s'en était aperçu.

À un moment donné, il me dit "tu ne veux pas que j'en parle à personne, mais si je disais cela à quelqu'un, ce que je fais en ce moment et que je ne fais rien d'autre, c'est de moi qu'on se foutrait", j'arrive à lâcher prise et me reprendre, je lui dis "le dos maintenant", oui dit il, j'ai besoin moi aussi de respirer, il me masse le dos, les fesses, je l'arrête un peu avant qu'il ne termine de lui-même en disant, "on stoppe pour aujourd'hui".

Il dit dommage, je dis, on reprendra demain, il me dit, "la dessus, tu ordonnes et j'obéis, y a pas de mal à se faire plaisir", ironiquement, je lui dis, c'est pour te rendre service, il répond, "oui, j'ai bien vu que toi, ça te saoulait", je dis, "c'est mon côté serviable", je me lève prend mon transat et le met décalé par rapport à la piscine, c'est-à-dire devant la salle de bains, et je lui dis d'y aller se laver les mains, sinon qu'il va sentir la cocotte.

Le temps qu'il a mis ne me permet pas de savoir s'il s'est soulagé, il me voyait nue de dos, je ne lui ai pas demandé pour ne pas le gêner, et il ne m'en a pas parlé, quand il est revenu, il me dit, dire que je devais aller m'emmerder au Seychelles avec (des copains).

Les jours suivants, ce fut la même chose, crème plus huile en fin de journée, une fois, à la plage, il me mettait de la crème avec mon mari à côté, qui a voulu jouer le jaloux (pour plaisanter), disant, "mais, mais, il tripote ma femme", le copain dit, "je fais ta corvée", mon mari réplique en disant, "le plus à plaindre, c'est ton slip", devant moi maintenant, le copain n'est plus gêné et il répond, "ça c'est un dommage collatéral".

Je leur dis d'arrêter, car cela perturbe mon masseur, mon mari répond encore, "ça c'est sur, même vu d'avion, on la verrait "sa pertuberance" (protubérance)", mon mari ayant du mal à tenir en place, il va se baigner, le copain me crème, mais avec mon slip et sans le haut, en tournant la tête à cause du soleil, je vois notre voisin de serviette, qui avait discrètement suivi les plaisanteries et qui me regardait.

Pris, l'œil dans le sac, ne se démontant pas, il dit "il y en a qui on des bons jobs", comme mon mari, le copain est toujours à plaisanter et dit au type, "ne croyez pas ça, c'est terriblement éprouvant comme boulot, regardez, c'est comme à vélo, il y a des grandes lignes droites, et quand c'est plat ça va, mais quand il y a des cotes, on peine", ce faisant, il me faisait les jambes pour parler des lignes droites, du ventre pour dire que c'était plat, puis les seins pour parler des cotes".

Le type répond, "qu'est-ce que j'aimerais peiner dans les cotes", si c'était mon mari à la place du copain, il lui aurait dit de prendre sa place, que ça lui apprendra, mais le copain, non, il ne sait pas que nous libertinons, après cela, on s'est baigné plusieurs fois puis nous sommes rentrés tous les deux, moi et le copain, mon mari avait trouvé des jeunes pour jouer au ballon dans l'eau, comme cela, il en profite pour promener ses mains sur les jeunes femmes qui rarement l'arrête quand il sait être discret.

Douche tous les deux une fois rentré, puis huile ensuite nue, il reste toujours aussi sage, il sent que je suis réceptive à ses caresses, mais il n'en profite pas plus que ce qui est raisonnable, il se doute que s'il voulait, quand par moment, j'ai le bassin qui se retient pour ne pas demander plus, il rebrousse chemin.

Il me maintient volontairement à la limite du supportable, au pic de l'équilibre, j'en discute avec lui après coup, je lui demande comment il fait pour résister, et si ce n'est pas du sadisme de ma part, il répond que c'est dur dans les deux sens en me montrant son slip, mais je sais que si je voulais, je t'aurais sans soucis, mais je sais qu'après, je te perdrais, je perdrais tout ce que à quoi j'ai droit.

J'ai 99 % de ton corps, si je prends le 1% qui reste, je perds tout, toi et mon copain, alors, ne t'inquiète pas dit-il, dans la balance le diable du 1% pèse peu, un copain qui laisse sa femme à ce point, je ferais tout pour le garder, et une femme comme toi, je ferais tout pour ne jamais la perdre, je l'embrasse sur la joue en lui disant que de le perdre, je n'y pense même pas.

Mon mari rentre et nous trouve à bouquiner en disant, vous ne vous tripotez pas, le copain dit, "tu me prends pour qui, je ne fais ça que professionnellement", il se douche et nous indique ou on va dîner, ce qui est chiant, c'est qu'on doit s'éloigner de la cote pour trouver un restau valable.

Les vacances se sont terminées de la même façon, sur le retour, à un arrêt repas, le copain dit, "il faut que je vous dise une chose, j'avais décidé de vous laissez plus d'intimités que l'année dernière, et puis cela a été le contraire", mon mari dit, " t'inquiète, si on en avait eu besoin, tu me connais, je te l'aurais dit".

Moi, je dis pareil, mon mari rajoute, en plus, tu me retire une corvée d'huile, le copain dit pour ça, au besoin, il n'y a pas d'horaire, même la journée au boulot, je quitte avec ou sans permission.

Comme le resto était un routier au prix raisonnable, mon mari dit, "tient, comme tu en as tiré du plaisir, à toi l'addition", le copain dit "enfin, je peux oxygéner mes billets (on ne le laissait payer que les glaces ou crêpes), le retour se passe bien, le copain nous laisse tranquille le dimanche et la semaine.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Le copain privilégié 1/3

Le 22/09/2022 - 18:05 par frcamalu
Prometteur, merciii, tout en sensualité ,

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