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Courrier pas si anonyme 10

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Lue : 1596 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/02/2016

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Comme je le pensais, la semaine suivante, j'ai un mot qui me dit de regarder et prendre sous le paillasson, c'était une cravache, le mot disait comme vous faites du cheval, trouvez une excuse pour l'avoir ramené là, il avait été à décathlon, en rentrant, je lui dis qu'un fournisseur qui sait que je fais du cheval m'a offert cela pour me remercier des bottes que j'avais données pour sa femme, il me dit, c'est quoi, je dis une cravache d'équitation en lui tendant.

Il me demande à quoi ça sert exactement avec le cheval, je lui dis qu'il en a peur, donc il obéit mieux et quand on lui met des coups, il s'active plus à obéir plus vite comme tu vois au tiercé des fois, il me demande si ça fonctionne, je dis oui, il me dit, "retirez votre chemisier et jupe", j'allais partir à la salle de bains, mais me donnant un petit coup, il dit, non ici, il me fait mettre sur le côté, je retire mon chemisier et il me met un coup pour que je retire les boutons plus vite, bien sûr, je n'obéit pas, mais je ne réprimande pas non plus, alors j'en prend un autre et là, je m'active, il avait compris que j'étais à sa merci.

Quoi qu'il en soit, depuis ce soir, tout a changé, il est devenue plus confiant en lui, il s'est dit, ça y est, elle est a moi, il me commandait sans parler, du bout de la cravache, on a été se libérer de nos taches au bureau, ensuite, j'ai cuisiné, on a mangé comme d'habitude, il s'est installé ensuite sur le canapé pendant que je débarrassais, je suis allé le rejoindre mais avant que je ne m'assois, il me dit de rester debout, que je me tourne sur le coté, et là pour la première fois, il m'a caressé les seins avec la cravache, tenez-vous droite dit-il, en tapant sur un téton, puis continuant à faire durcir les bouts.

Ensuite, il me fait lui tourner le dos puis avec la cravache, il me parcourt les fesses et s'approchant de plus en plus pour voir ma réaction, il finit par me frotter le sexe, j'ai un frisson en même temps que je gémis, ce qu'il voit sans peine, appuyez-vous sur la table basse dit il, j'obéit, il me fait écarter les jambes, j'obéit aussi et il me masturbe avec la cravache, je suis complètement a sa merci, je n'aurais rien pu lui refuser.

Après cela, sans avoir été soulagée, il me demande de m'asseoir entre ses jambes sur le canapé et de m'adosser sur lui, il me fait remettre droite en restant assis en disant, le soutif vous gêne, il le défait, ses gestes son lent, il me laisse le temps de réaction, voyant que je ne dis rien, il défait celui-ci, je me laisse faire, il me redemande de m'adosser encore sur lui et là, ses mains avancent sur mes bras pour finalement me prendre les seins à pleines mains, encouragé par ma passivité, il les malaxe et les tripote comme un fou, il me repousse et me dit, au lit, je vais dans sa chambre en me tenant les seins et il me dit, non, la vôtre.

Il me suit et me dit de rester droite et me retire la culotte en se baissant, il se remet debout et me dit de me pencher sur mon lit, ou là, il me masturbe avec la cravache en ayant les yeux a la hauteur de mon sexe, quand je gémis, il me dit, tu aimes cela, hein dit le que tu aimes", pour la première fois, il m'avait tutoyée, j'ai répondu, oui, j'aime, continu, là, il m'a donné un coup en disant, "c'est moi qui décide, allonge-toi sur le lit et sur le dos cuisses ouvertes", je lui obéit, j'étais dans un de ces états d'excitation.

Je sentais qu'il avait des petites craintes, les événements le dépassaient, tout allait trop vite, plus vite qu'il n'était préparé, il se dirige vers mon tiroir, en me regardant dans les yeux, moi, je le fixe aussi, il l'ouvre, voyant que je ne l'en empêche pas, là, il me lance le gode et le Plug, accentuant encore mon excitation, après cela, il fouille dans l'armoire, en sort un foulard et me bande les yeux avec, j'avais deviné son intention de se masturber en me regardant, j'aurais préféré qu'il le fasse devant moi, mais sa timidité l'emportait, je me suis mise le plug et me suis godée ensuite, il s'est masturbé en me tripotant les seins d'une main, comme les autres soirs, j'ai joui en informant mon état ainsi que le moment.

Après cela nous sommes passé à la douche, moi la première, lui ensuite et sommes allé dans son lit où nous avons analysés tout ce qui s'était passé, avant de me toucher, il m'a vouvoyé en me demandant s'il pouvait encore toucher, je lui ai dit qu'il n'avait pas besoin de demander quoi que ce soit, qu'il pouvait me faire tout ce qu'il avait envie, que je lui appartenait complètement, lorsqu'on est seuls, je lui ai dit que demain, on va aller passer un test HIV, me demandant pour quoi faire, je lui dis pour faire l'amour, il répond "mais je croyais que vous ne vouliez pas, que j'étais trop jeune.
Il venait de se vendre, j'ai dit cela au correspondant, pas à lui, j'ai répondu, je ne veux pas, mais avec toi, j'en ai envie, il me demande ce qu'il n'aura pas le droit de faire avec moi, je réponds "me crever les yeux, me couper les doigts", il dit, non, je parlais de choses sexuelles, je réponds, tout, tu as tous les droits du moins quand on aura les résultats des tests, il demande et en attendant, à part vous pénétrez avec mon sexe, j'ai droit a quoi, je dis tout le reste.
Après avoir dit cela, il me tripote les seins d'une main et de l'autre se dirige vers mon sexe où il dit même ça, je fais un hum et dis, oui, tu peux tout me faire, tout me voir, tout me demander, tout me dire, je suis ton esclave ou jouet sexuel, comme il me touchait le clito, le plaisir revenait, il était un peu maladroit, je le guidais, je lui disais comment faire, ne tenant plus, je lui ai dit de me doigter et il m'a fait jouir avec ses doigts.

J'ai voulu ensuite le masturber, il a eu un moment de recul, puis j'ai senti qu'il avait un peu peur, je l'ai rassuré en lui disant que des jeunes avec expérience, ça n'existe pas, alors il n'a pas à chercher à être un super mâle, mais juste à prendre du plaisir, il était nu et bandait, malgré qu'il se soit soulagé avant, je n'ai eu aucune peine à le faire éjaculer, je lui ai tout mis sur le ventre, après s'être repris, il a été se nettoyer, nous avons papoté puis nous sommes endormis.

Le lendemain matin, mes affaires sont prêtes sauf que cette fois, il me regarde m'habiller complètement en me touchant, nous sommes partis de bonne heure pour aller au labo, lui le premier, je suis rentré quand lui, il sortait, nous avons fait ceux qui ne se connaissent pas, le soir, il m'a fait mettre nue dés que je suis arrivée, en me tripotant, après manger, direct la douche et ma chambre où il m'a fait mettre a 4 pattes sur mon lit, matant mon anus et m'enfilant le Plug après m'avoir godé pour lubrifier, il ne s'est pas masturbé, préférant ma main, mais en fait, il avait pris des capotes, nous avons fait l'amour ensuite, le pauvre n'a pas tenu longtemps et était gêné, je l'ai rassuré encore.

Le weekend, nous l'avons passés ensemble tous les deux, en amoureux comme mon mari travaillait loin, je lui apprenais ce que les femmes aiment et plus particulièrement moi, les positions préférées, nous n'avions toujours pas nos tests et les capotes étaient obligatoires, le copain artisan est venu en coup de vent le samedi matin pour que je contrôle un contrat, pendant ce temps, ayant besoin de cours sur Excel, mon neveu lui a montré ce qu'il voulait savoir, le copain me jette des coups d'œil, mais comme il connaît mon mari, il ne tente rien, il est reparti ensuite.

La semaine passe et le jeudi, mon mari me dit qu'il retourne sur le chantier prés des parents, qu'il rentrera le samedi en fin d'après-midi, pour l'apéro avait-il dit à nos amis pour demander s'il pouvait dormir chez eux, comme il avait eu son lundi, il me demandait de prendre cette journée, les parents avaient insisté pour que je vienne avec leur fils en disant qu'il peut repartir en train le dimanche.

En fait, nous sommes venus avec la voiture de mon mari, il l'a gardé, mon neveu est reparti en train le dimanche soir et moi le lundi soir, les parents avaient insisté pour payer le billet de leur fils, mais le train du neveu a été payé par la boite de mon mari et le mien par la mienne, sa mère elle-même avait insisté auprès de mon mari et de moi ensuite pour qu'on vienne, je me doutais pourquoi.

Nous arrivons le vendredi soir, tard, mais ils nous attendaient, j'avais gardé mon tailleur mis au travail, nous mangeons tous, puis discutons, leur fils fait comme d'habitude, il se met en retrait, il va dans sa chambre jusqu'à vingt-trois heures, il prend sa douche et se couche dans une autre pièce qui sert pour son repassage ou un convertible est mis, nous, nous prenons la chambre du fiston, nous discutons jusqu'à minuit passé, puis ils me laissent passer à la salle de bains la première.

Je reviens dans la pièce, elle dit à son mari d'y aller avant elle, nous parlons dans la cuisine pendant qu'elle range et elle me dit à voix basse, alors toujours d'accord pour lui mettre un petit coup de fouet, je lui dis qu'elle exagère, mais elle réplique que ça n'a pas l'air de me déplaire non plus et que je dois avoir plus qu'envie du fait que mon mari ne m'a rien fait depuis 15 jours, elle ne se doute pas que son fils m'a contenté.

Quand il revient, après m'avoir fait un clin d'œil en douce, elle y va à son tour, la maison est plus petite, il n'y a pas de salon et la salle est petite aussi, la salle de bains est mitoyenne avec la cuisine, il me dit de venir dans la salle, je dis que je peux rester là et quand il entend la porte de la salle de bains se refermer, il m'y entraîne presque de force en me tirant par le bras, je proteste un peu en chuchotant "hé doucement", il me chuchote aussi "je ne pensais pas que tu reviendrais seule.

Mais si tu es là, c'est que ça t'a plu, tu aimes ça te faire bousculer un peu comme une salope, aller ouvre ton peignoir", ce salaud avait deviné à mon air que j'aimais cela et que j'en avais plus qu'envie, son comportement m'excitait aussi, j'ouvre mon peignoir et il me demande d'écarter les jambes et de me pétrir les seins, j'obéit avec plaisir d'autant que ses doigts me caressent le sexe, en me disant, "hein que tu aimes ça petite salope, bourge et coincée pour la galerie, mais chaude salope en réalité" ce salaud m'excitait, je ne répondais pas, mais je lui disais de continuer.

Pendant qu'il me donnait du plaisir, il était attentif au bruit du reste de la maison, me laissant sur ma faim quand il entendit la porte s'ouvrir, sans parler, juste en remuant les lèvres, il me fait comprendre de refermer mon peignoir, il bandait et cherchait à cacher cela, en s'asseyant et lisant une revue qui traînait, elle me dit bonne nuit en m'accompagnant dans ma chambre pendant que lui, il rejoint la sienne, une fois dans la chambre avec moi et qu'elle a vu qu'il est parti au lit, elle me dit "alors", je répond qu'il est a point, et qu'elle n'a plus qu'a se mettre les pieds sous la table.

Elle me demande ce qu'il a vu, je dis ce qu'il m'a demandé, d'ouvrir mon peignoir, et elle me demande de lui faire voir, je fais celle réticente, mais au fond de moi, excitée comme je suis, j'en ai envie, elle fait hummm en souriant et me pince le bout du sein en disant "mais c'est tout dur ça", j'ouvre la bouche de surprise et aussi de frissonnement, l'a telle devinée, je ne sais pas, mais elle est partie aussitôt en disant "aller bonne nuit", je me suis couchée, la maison de qualité médiocre et les murs en carton ne me rassurerait pas assez pour risquer de rejoindre leur fils, je me suis d'ailleurs masturbée en les entendant, les veinards, faiblement, mais suffisamment audible pour savoir ce qu'ils faisaient.

Le lendemain, petit déjeuner au lit où je reste seule avec elle pour discuter et ou elle me dit qu'elle a du dur le soir et qu'il est plus innovateur, je n'ai pas demandé en quel sens, après cela j'ai été m'habiller après une douche, leur fils m'a mis une main aux fesses à un moment ou personne n'aurait pu le voir puis est parti voir ses copains.

Après je me suis levée, je voulais aller au marché avec elle, mais elle a dit non sous prétexte qu'elle veut payer, je la regarde en faisant les gros yeux, car me laisser seule avec son mari, elle sait ce que cela signifie, son sourire en disait long, une fois qu'il a vu sa femme par la fenêtre se diriger là où elle avait dit, malgré ma fausse protestation, il m'allonge sur le canapé en me traitant de salope, et me disant, qu'il sait ce que j'aime, après avoir remonté ma jupe, il me fait une langue avec un doigt dans l'anus.

Bien sûr, ce traitement me met dans tous mes états, une fois que je suis presque à jouir, il va chercher je ne sais où dans ses affaires, une capote et me fait mettre en levrette sur le canapé ou là, à ma grande surprise, il me baise et sodomise ensuite, son mari que je trouvais fade, routinier, pépère, se révèle en fait être le genre d'homme qui m'attire, non pas physiquement, mais mentalement, me donnant des à-coups, me traitant comme un salope, j'étais tellement excitée que j'ai joui sans retenue en lui donnant des "oui" et des "encore", en plus il était raisonnablement dimensionné.

Je n'ai jamais su s'il était du genre revanchard ou était-ce par jeu, il avait une patronne pas commode, pendant qu'il me besognait, il me disait "prend ça sale bourge, prend une bite d'ouvrier dans ton cul", par contre, une fois le plaisir parti, il redevenait respectueux comme si rien ne s'était passé, en fin de compte, il s'est révélé bon amant.

Quand ma copine est revenu, j'ai rouspété en cherchant à me justifier de ce qu'il s'est passé, je lui ai avoué avec crainte, elle m'a répondu, tu as eu raison, ça t'a fait du bien, à lui aussi et c'est moi qui vais en récolter les fruits, quand je lui ai demandé si cela ne la gênait pas, elle a répondu qu'elle aussi aimerait bien essayer avec un autre, mais le problème est que se sont les autres qui ne se manifestent pas, disant aussi qu'avec moi, elle n'a pas l'impression d'être trompée et qu'elle regrette de ne pas être lesbienne.

Elle m'a souvent demandé de me montrer nue, elle m'a effleurée, mais jamais il n'y a eu plus entre nous, le midi, on mange tous les quatre, à la fin du repas, son fils retourne avec ses copains, après le repas, j'ai entendu qu'il devait aller à un endroit pour acheter des huîtres et autre fruit de mer, connaissant mes goûts, j'ai aussitôt pris les devants en disant, que mon mari, là ou il travaille, a eu en cadeaux, une bourriche d'huîtres ainsi que des crevettes roses et homard, je téléphone donc à mon mari devant eux et je lui demande s'il a bien eu ses huîtres homards et crevettes, mon mari comprenant pourquoi je demande cela, me dit oui tout est dans le frigo de la boite, ce qui fait qu'il sait ce qu'il doit acheter en arrivant, faire dépenser à des amis une semaine de salaire pour nous recevoir n'est pas dans nos mœurs.

Par moment, entre elle et lui, je me demandais s'ils n'étaient pas complices, mais non, seule elle, savait, sa trouille d'être découvert n'était pas feinte, ce qui m'embêtait le plus, c'est qu'elle savait que j'y prenais plaisir plus que pour lui rendre service, ainsi que le fait que lui savait que j'aimais son comportement, je passais de madame la marquise à salope, même si l'étiquette marquise n'était pas réjouissante, salope ne l'était pas plus, mais j'ai toujours eu leur respect, il était aussi avenant qu'avant.

Autant, il me traitait pendant nos moments seuls, autant, il me respectait devant tout le monde, ma copine elle, était aussi gentille et ouverte que reconnaissante, longtemps, je me suis dite que je vais coquiner avec la famille entière, mais non, elle n'a jamais manifestée cette intention, souvent quand nous sortions entre femmes, il arrivait que des types s'empressaient de ramasser ce que je n'avais pas encore fait tomber pour me le rendre avec un sourire et regard qui en disait long, ou elle me disait, "wouha, tu as vu comme il t'a regardé, moi à ta place, je le violais sur place".

D'ailleurs, une fois, c'était un type de l'âge de son fils, ou elle me dit, "tu l'as vu, ça pourrait être mon fils, tu te vois faire des galipettes avec, il doit avoir le même âge ", j'ai répondu que son fils préfère les jeunes et il a raison, qu'il me voyait plus comme quelqu'un qui va lui recoudre une chaussette et là, elle me répond que non, qu'elle l'a remarqué à plusieurs reprises, me regarder de façon autre, ce jour-là, j'aurais voulu être à des kilomètres.

Pour en revenir à ce weekend, son fils avec ses copains, mon mari sur la route jusqu'à l'apéro, elle, a la cuisine où j'avais interdiction de toucher à quoi que ce soit, me demandant d'aller à coté avec son mari, je ne me suis pas faite prier, il m'a tripoté de partout puis doigté, aussi vicieux que son fils, l'après-midi se passe ainsi et le soir, nous dînons tous les cinq, bien sûr mon mari n'avait pas vu l'étiquette resté sur le dessous de la bourriche, il leur a donné comme excuse, que c'est là que partait les huitres.

La soirée est calme au niveau sexe, sauf une fois couché, les couples s'activent, je raconte tout à mon mari, ce qui a pour effet de nous exciter tous les deux, le dimanche, c'est la même chose, leur fils va avec ses copains, et mon mari qui encourage cela, demande si c'est lui qui va en course avec elle, ou si c'est son mari avec moi, bien sûr, je dis à mon mari, que c'est lui et qu'il veille à ne pas qu'elle dépense trop.

Sans se concerter ensembles, tous les trois font en sorte que je reste seule avec lui, l'idée n'est pas pour me déplaire, il m'avait déjà demandé une fellation, mais j'avais dit non à cause du sida, il m'avait donné raison, dés qu'ils sont partis, sachant ce qui allait arriver, je lui dis qu'avec mon mari, ils en ont pour plus d'une heure, ça tombe bien dit il, viens là, je vais te traiter comme tu mérite, il me traite comme une salope a son service, me demandant de tout enlever et me mettant dans des positions humiliantes mais tellement excitantes.

M'attrapant et me doigtant tout en maintenant ma tête pour que je le regarde, il m'a baisée et sodomisé en me claquant les fesses ensuite, j'ai joui en l'encourageant dans tout ce qu'il me faisait et demandait.
Le soir au lit, j'avais peur d'être trop rassasiée, mais en fait non, cela m'excitait encore plus et lui aussi d'après elle, en somme, tout le monde y trouvait son compte, j'avais le fils et le père comme amant.

J'avais dit à mon mari que s'il voulait avoir en douce, les mains baladeuses avec elle, qu'il ne se gène pas, je lui avais répété ce qu'elle m'avait dit, en lui disant de ne surtout pas lui répéter, avec mon mari, on est très complice, on se dit tout, et on ne répète rien.

Il n'a jamais rien fait ce jour-là, mais une ou deux semaines après, lorsqu'il est revenu sur un autre chantier dans le coin, après un apéro et un bon repas arrosé, un peu chaud, il lui avait mis la main aux seins, alors qu'elle lui montrait sa chambre, elle s'était un peu débattue, car surprise, mais n'était pas partie pour autant, elle lui ouvrait le lit pendant qu'il la tripotait.

Mon mari dit qu'elle était restée en parlant de choses qu'il savait déjà, du genre que le bouton du chevet se trouve là, que s'il avait besoin de quelque chose, elle est dans la pièce à cote, etc., pendant qu'elle parlait, il l'a tripotait et elle se débattait de moins en moins, comme son mari l'attendait, elle ne pouvait pas rester.

Le lendemain, comme a chaque fois, il part chercher des croissants, et une fois sortie, elle a été rejoindre mon mari dans sa chambre en robe de chambre, s'asseyant sur le bord du milieu du lit en disant qu'elle voulait savoir s'il dormait pour lui préparer le petit-déjeuner, disant aussi que son mari venait de partir au boulanger, l'échancrure de sa robe de chambre était un peu lâche et un genou était apparent, mon mari, très poète et surtout en manque,.

Sachant aussi ce qui se passait entre son mari avec moi, a ouvert les draps en disant, dormir en camping ce n'est pas mon truc, comme il dort nu, quand elle est rentrée, il savait le motif, il lui a attrapé la main pour lui mettre dessus et de l'autre lui a attrape les cuisses, elle a dit non, il va revenir, il a répondu en lui ouvrant le peignoir, fais moi cracher alors, elle ne s'est pas fait prier et lui a tout mis sur le ventre juste à temps, mon mari puis elle, me l'ont raconté en me disant que quand il a commencé à la tripoter, elle n'a opposé qu'une résistance de principe.

Pour finir, le weekend s'est bien passé, le neveu est parti le dimanche, moi le lendemain soir, son mari était au boulot, on s'est juste vu quand mon mari m'emmenait à la gare.

De retour le lundi soir très tard mon neveu m'a baisée avec capote, nous n'avons eu en retard les résultats HIV, que la semaine suivante, le matin, il me prépare les vêtements et m'habille également, me mettant string soutif et bas, la porte de la salle de bains ne doit jamais être ferme à clef, il rentre à sa guise, souvent, il me savonne, des fois, il me fait mettre à genou sur le lit anus tendu vers lui, il regarde, me caresse le sexe et m'insère le Plug, la honte de la situation ma soumission intégrale à ses désirs m'excitent au plus haut point.

Quand il me fait ce genre de chose, je pense à son père, nous les connaissons depuis plus de cinq ans et jamais je n'aurais imaginé au départ notre entente, je me disais qu'après les vacances, deux ou trois échanges de courrier, un coup de fil pour la bonne année, puis après, le silence comme bien souvent, c'est le cas.

La semaine se passe au lit avec capote, puis la semaine suivante, chacun va chercher son test négatif, depuis nos premiers ébats, ou je lui disais quoi faire et comment le faire, il est devenu plus sur de lui, il n'est plus timide à m'exposer son sexe, il ne me demande plus indirectement, il se sert carrément, il m'utilise à sa guise, rien n'est programmé, il peut très bien rentrer dans la salle de bains et me prendre sous la douche, ou alors rentrer du resto et me demander une pipe au parking, il est devenu mon maître et moi sa soumise, jamais je ne lui refuse quoi que se soit, juste conseillé à cause du froid, ou d'une possibilité de rencontrer quelqu'un que je connais.

Jusqu'en avril, les semaines se ressemblent, avec des séances au cinéma, nous changeons souvent de salle pour ne pas être repérés, une fois, je suis sortie nue sous mon imper, cela était trop visible et il ne me la plus demandée, après, c'était jupe plissée sans rien dessous et pull sans soutif, une fois le papy vicelard est revenu, sans avoir été prévenu, il s'est directement assis à côté de moi.

Trois samedis de suite ou le temps était beau, comme mon mari ne voulait pas sortir, nous sommes allé au lac, son but était de retrouver le type de la première fois, ce qui n'arriva que le troisième samedi, ou plutôt c'est lui qui nous aperçu sur le fameux banc, ou on restait longtemps, je me doutais un peu.

Il a dit au type qu'il pouvait toucher tout ce qu'il voulait, il ne s'en est pas privé, le type a dit que le soir, c'était plus propice à cela, qu'il y avait des voyeurs venants exprès, nous ne venions que quand il avait cours, tard le lendemain, choisissant les voyeurs, jamais plus de deux et il les jugeait en discutant avec eux avant, il me matait avec leur pile et me tripotait.

Ils me disaient juste bonsoir madame, puis ensuite s'adressaient à lui en demandant par exemple, "vous pouvez lui dire de se mettre debout penchée sur le dossier", l'un m'embrassait ou tripotait les seins en levant mon pull et l'autre derrière me mettait un doigt dans l'anus, j'ai eu beaucoup de plaisir dans ces moments, une fois à la maison, il redevenait mon amant, quand je racontais cela à mon mari, il était tout excité, il me demandait de faire attention quand même aux types, il m'avait donné deux bombes de défenses fabrication maison par un copain, j'avais dit au neveu qu'un copain me les avait donné.

Début mai, en semaine, au boulot, son père m'appelle, je demande s'il n'y a rien de grave, il me dit non et me demande, si je peux l'appeler ce soir, comprenant plus ou moins pourquoi, je lui demande s'il ne préfère pas plutôt dans moins de dix minutes, il me dit préférer dans une heure et me donne un numéro de cabine téléphonique, je l'appelle à l'heure synchronisée d'une cabine aussi, à sa sortie de travail, comme je peux quitter quand je veux, je l'ai en ligne à l'heure dite où il me demande si cela est possible et ne nous dérange pas qu'ils reviennent au pont de l'ascension.

Je lui dis d'un air hautain, que je ne sais pas, du fait que nous sommes que tous les deux, comprenant l'allusion, il répond, "tu as intérêt à savoir petite pute, j'ai envie de m'occuper de ton cul sans capote, mais j'aimerais aussi une pipe, alors comment peut-on faire", je lui réponds test HIV, mais qu'il se dépêche pour l'avoir quand il vient,>, disant "tu en as envie petite chienne", je lui dis que je ne sais pas, avant de raccrocher, il me dit, "j'y vais maintenant morue, ça doit être encore ouvert".

Le soir, je téléphone à sa femme quand il est là pour la convaincre de venir, et que son fils soit à la douche, cela n'a pas été compliqué, il s'était arrangé pour avoir son mercredi après midi en travaillant le samedi d'avant, comme cela, le soir, ils étaient là pour dîner, apprenant cela, mon mari travaille et n'arrivera que le vendredi soir, ils arrivent donc ce mercredi soir.

On a tous pris une douche et nous sommes sortis ensuite, leur fils a conduit et au moment de monter dans la voiture, elle dit qu'elle monte avec son gars, quand je parle avec elle qui est devant, je me mets entre les deux sièges, comme cela, j'indique aussi la route, son mari en profite sans se gêner et je me laisse faire en facilitant même ses gestes, il me tripote le long du chemin, je suis en robe, mais pas trop fendue, habillement soft quand ses parents sont là.

Nous avons été sur l'île St louis manger une glace et sommes allé nous promener au quartier latin, il y avait des petites animations d'amateurs, quand nous sommes en public, ni le fils, ni le père n'ont de gestes déplacés, je tiens le bras à ma copine et les deux hommes nous suivent en regardant ailleurs, chacun ne voulant pas montrer qu'il me portait de l'intérêt, du temps ou avec le père, rien n'était, il ne se gênait pas pour me mater plus.

Nous sommes rentrés ensuite, ou j'ai eu droit au même tripotage qu'a l'aller, à la maison, leur fils est parti aussitôt se coucher, sachant que je le rejoindrais comme d'habitude, nous discutons, mais comme notre douche est déjà prise, pas moyen d'être seuls, c'était sans compter sur elle qui me dit, tout bas en regardant que son gars est bien parti au lit, "restez là, je vais te montrer ce que j'ai acheté", dés qu'elle quitte la salle pour sa chambre, il me tripote partout en me disant "j'ai le papier".

Je grimace sous ses caresses, faisant juste un léger hochement de tête, sachant ce qui se passe, elle prend son temps, lui, il me doigte, elle revient en nuisette sexy sous sa robe de chambre qu'elle retire, me demandant ce que j'en pense, je réponds que si j'étais un homme, je lui saute dessus, je lui dis, tu vois quand tu veux, tu peux te mettre en valeur.

Elle demande à son mari qui ne la contrarie pas, elle a des jambes qui manquent de finesse, une façon de se tenir et des gestes qui ne sont pas sexy, des seins qui ne sont pas énormes, 95B, mais comme je lui ai déjà dit, elle n'est ni laide, ni repoussante, en soignant sa pose, elle serait déjà plus attirante, on va tous se coucher ensuite, je rejoins leur fils qui me baise à loisir puis direct dans ma chambre.

Le matin, petit déjeuner au lit, le neveu comme toujours, sort pour aller voir des copains d'école afin de montrer que quand il ne vient pas les voir, il n'est pas fourré à la maison, pendant que je déjeune, une idée me vient, je lui dis à elle, j'ai un programme pour aujourd'hui, habille-toi lui dis-je, je m'isole dans le bureau, je téléphone au salon de coiffure ou je suis cliente, je demande si celle qui me coiffe d'habitude est là, on me dit non, mais suivant ce que je veux, elle peut venir.

J'explique, je reste en ligne, elle l'appelle et lui dit mon nom, puis me dit pour qu'elle heure, je veux, je dis dans quarante-cinq minutes, elle lui confirme, je dis à ma copine, voilà, tu as rendez-vous à dix heures, à quinze minutes d'ici à pied, elle demande pour quoi faire, je lui dis que j'ai un bon gratuit pour une personne de mon choix pour une coupe de cheveux, une épilation et un soin du visage, réticente, elle hésite, mais j'insiste en disant, vas-y, tu sauras pourquoi c'est nécessaire cet après-midi.

Elle finit par dire oui, se douche et s'habille, pendant ce temps, je retéléphone pour expliquer le plan que j'ai fait à ma copine, a la patronne du salon, je lui indique aussi ce qu'elle doit faire, je demande par la même occasion ou habite ma coiffeuse et si elle peut passer devant la maison pour la prendre, elle la rappelle et elle dit oui (un bon pourboire, chaque fois qu'elle me coiffe, ca aide.


À l'heure dite, la coiffeuse sonne à la porte, ma copine descend la rejoindre, elle se doute aussi de ce qui m'attend, par contre, pour elle, son mari va me baiser, me caresser, mais elle n'en sait pas comment il pratique avec moi, afin qu'il n'y ait pas d'ambiguïté sur le fait qu'on a une cravache à la maison, ni dans notre chambre, ni dans celle de son fils, je lui avais dit de la laisser dans le porte-parapluie à l'entrée, avec les parapluies et le chausse-pied et j'ai fait en sorte qu'il la voit.

Quand sa femme quitte la maison, il me demande combien de temps ça va durer, je réponds plus de deux heures, et la patronne me rappelle sans qu'elle le sache, après qu'elle soit partie du salon, tu es maligne dit-il, il se dirige vers l'entrée et revient avec la cravache en disant, tu vas être deux heures dans mes pattes, sale pute, (j'avais super envie d'être entre ses pattes comme il dit), tout en me traitant à chaque demande, il me fait mettre nue, et dans toutes positions, mettant mes seins, mon sexe et anus à sa vue, après m'avoir caressé avec la cravache, il me demande d'aller m'habiller de la même façon que j'étais la fois où je lui ai fait croire qu'il était aux poubelles et ou il m'a vue en sous-vêtement.

Quand je vais pour faire ce qu'il demande, il me met un léger coup de cravache, j'ai fait deux pas vers ma chambre et il me dit revient putain, il se lève, me fait m'appuyer sur l'accoudoir du canapé et tendre les fesses en écartant les jambes, il remet un coup de cravache plus fort, puis un autre et encore un autre.

À chaque fois plus marquant, et à chaque fois testant mon acceptation, à un moment, il entant à mon" hou", que la force est suffisante, il me dit, " tu es exactement celle qu'il m'aurait fallu", il m'en donne encore quelques coups moins forts, de deux crans en dessous, et me met sa main sur mon sexe, ce qui me fait frissonner et gémir.

Après cela, il me dit, "je t'enculerais bien maintenant salope, mais comme on a encore le temps, je préfère m'amuser encore, aller va t'habiller comme j'ai dit", je vais dans ma chambre m'habiller, j'ai presque terminé quand il rentre, il me demande," une salope comme toi doit avoir des godes, montre moi ça", je lui dis que non, je n'ai pas cela, penche-toi sur le pied de lit dit il, je m'exécute, un grand coup s'abat sur mes fesses, alors tu n'as pas de godes, non, je n'ai pas ça redis-je, un autre grand coup s'abat me sortant un "houa", il va pour m'en redonner un autre, mais je lui dis, "si, si, j'en ai", bien dit-il, montre moi ça.

J'étais super excitée, j'avais eu un copain qui me dominait, mais il a dû arrêter, cela me manquait, son fils était très soft, lui, il était comme j'aimais, il avait toutes les qualités demandées, sévère, vicieux, pervers, humiliant, revanchard aussi, la copine me l'avait dit, que de sa responsable, elle en bouffait souvent, il était souvent de mauvais poil à cause d'elle, et la suite me l'a confirmée.

Je vais à mon armoire, car si je laisse ça quand je suis seule avec son fils, quand on a du monde, je planque mes jouets derrière mon linge, la honte de lui montrer ce que j'ai est préférable aux coups, même si ceux-ci m'excitent, je vais pour prendre le gode, mais il me dit "laisse", et il fouille derrière les draps et bien sûr, il sort le gode, le Plug et les boules, je m'en doutais dit-il, salope comme tu es, et tu ne serais pas équipée, il me dit de mettre aussi mes chaussures à talons, ensuite, on retourne dans la salle, je lui dis, attend, je ferme la porte pour pas qu'on puisse rentrer avec la clef.

Il m'allonge sur le canapé, retire mon string, remonte ma jupe et me suce, quand je suis dégoulinante, il m'introduit les boules et le Plug ensuite, il me tend le gode et me demande de me masturber, il est assis, face à moi sur la table basse, j'ai les pieds de chaque côté de lui, la situation est excitante au possible, je me masturbe en le fixant à sa demande, par deux fois, j'approche l'orgasme et il me demande d'arrêter en me mettant un coup de cravache si je ne stoppe pas net, il m'entraîne derrière le canapé et me fait mettre sur le ventre, sur le dossier du canapé.

Il retire le Plug et fait des va-et-vient avec, il m'attrape les jambes ensuite et me met le cul en l'air, mes seins sont posé sur le siège du canapé, mes mains sont au sol, pour me tenir, il fait le tour du canapé et me refait des vas et vient, s'arrêtant toujours avant que je ne commence a partir vers l'orgasme, il repasse derrière et me lèche l'anus, j'ondule du bassin, l'envie de jouir me tient et je commence à lui demander de me baiser.

Ne répondant pas à mes demandes, au bout d'un moment, il me dit debout, je me relève, et là, il me dit, "au boulot, la secrétaire, la mère "Dupond", moins belle que toi, mais bandante et sexy quand même, elle passe et repasse dans l'atelier en tortillant son cul, le patron à surement déjà du se la taper cette salope, mais nous, on n'est pas assez classe pour elle, j'ai toujours rêvé de me taper une salope comme ça et aujourd'hui, c'est le jour ou mon rêve se réalise", moi, je suis super excitée, je n'attend que ça, il poursuit disant "et toi, tu as envie qu'il se réalise mon rêve", je dis oui.

Alors suce moi salope, sers-toi, je lui retire ses boutons de pantalon, je lui sors le sexe et le suce, il s'affale en arrière et dit, hum, ça, c'est la vie, continue putain, et regarde moi quand tu suce, j'obéis à ses ordres, je vais pour me toucher, mais un coup de cravache me stoppe, tu suce et tu ne fais rien d'autre, chaque succion, c'est une insulte, allez Dupont, suce salope, hummm, oui, après je t'enculerais.

Lui assis sur le canapé, je dois m'empaler sur lui en mettant mes genoux de chaque côté, je suis chauffée à blanc, je jouis honteusement presque aussitôt, il me le dit, "holà ma salope, ça devenait urgent", il n'est pas mieux non plus, il me fait arrêter, il me retourne et me sodomise, il lime quelques coups et arrête à nouveau, le maître peine à retenir sa trique qui ne demande qu'à pleurer.

Il cesse et m'allonge sur le canapé pour me goder, il me bouffe ma chatte comme un crevard, me donnant un autre orgasme, il demande une autre pipe, quand il est à point il me dis d'arrêter, mais je continue, quand il voit que je n'arrête pas, il force pour que j'arrête, mais je continue, le dernier coup de pompe lui a été fatale, il hurle, "haaa salope, tu m'as eu putain, sale petite pute, continu pompe maintenant salope", il me baise la bouche et se vide complètement, je vais tout recracher à l'évier ensuite.

Ça fait ½ heure que sa femme est au salon, il me dit que je l'ai baisé, je suis resté sur le canapé avec lui ou il me fait le couplet lu dans les livres, qu'il est un complément à mon mari, qui lui ne peut pas me traiter de cette façon, que dans un couple, ça ne le fait pas, là-dessus, je le sais bien, comme beaucoup d'hommes, il en vient aux confidences, disant qu'il a eu envie de moi dés le premier jour, je lui dis, que je le savais, que ses coups d'œil n'étaient pas bien discrets.

Il m'avoue ensuite que souvent, en baisant sa femme, c'est moi qu'il avait dans sa tête, là aussi, je le rejoins, nous en sommes tous là, le fantasme est le moteur de la libido, on fantasme jamais sur ce qu'on a à volonté, tout en parlant, il me caresse, mon fantasme à ce moment-là, c'était d'être à sa merci et celle de son fils, mais en même temps, cela ne sera qu'un fantasme.

Comme je recommençais à onduler sous ses caresses, il prend le gode et me le manipule, me mettant dans des positions ou mon intimité était à sa vue, accentuant mon excitation, l'orgasme arrive, il me fait mettre allongé sur le dos, me gode l'anus et me suce, je repars à nouveau, il me suce pendant que je jouis en lui pressant la tête.

Nous rediscutons, une heure est déjà passée, son sexe est toujours en berne, je ne le lui fais pas remarquer, quand on discute, il est poli, il embrasse mes seins, il m'embrasse partout, je vois popol reprendre un peu de volume, mais pas suffisant pour une pénétration, je le sens gêné, on discute encore, l'heure avance, j'appelle le salon, elle me dis encore ¾ d'heure minimum.

La demi-heure d'après, il me fait mettre en levrette et me suce l'anus, la forme revient et il me sodomise après m'avoir baisé pour humidifier, il me lime, me claque une fesse puis l'autre, je sens qu'il devient plus dur, il m'insulte, disant, "tient, voilà ce que je lui ferais a l'autre salope", l'excitation me gagne et je l'encourage, " oui bourre là cette putain, montre lui qui tu es", et là, il me bourre violemment en passant sa rancœur sur l'autre, les insultes fusent.

Il lime de plus en plus vite, je l'encourage en disant, "oui, vas-y encule une bourge, venge-toi", oui salope, prend ça dans ton cul sale pute, je suis au bord de l'explosion, je lui dis que je vais venir, il me dit, oui va y putain, je vais te remplir, je lui indique mon départ pour le grand frisson, il m'encourage, et je pars, il accélère la cadence, et jouit à son tour en m'insultant.

Crevé, je lui dis que je vais à la douche, il m'a suivi et savonné puis doigtée, il a arrêté pour que je m'habille avant qu'elle revienne, pendant que je m'habillais sous son regard, le téléphone sonne, c'est le salon, je lui dis de sortir et ne rentrer que dans 20 mn pour justifier qu'il a voulu se promener, il m'a dit, "tu as raison".

Elle est arrivée dans le ¼ d'heure, me demandant étonnée ou il était, je lui ai dit que je l'ai envoyé promener pour ne pas que tu penses qu'on a été seule, elle me demande comment ça s'est passé, je ne lui parle que de la baise basic, cunni, caresses, doigtés, disant aussi que je l'ai vidé et qu'elle risque de faire ceinture ce soir, on verra dit elle, le fiston arrive à son tour, suivi de son mari 5 minutes plus tard.

Le fiston dit, "wouaa", tu as changé de tête, et répond qu'il préfère, quand elle le lui demande, son mari fait de même en arrivant, satisfait de sa matinée et du changement, nous allons au restaurant malgré qu'elle ne voulait pas, il ne me tripote pas dans la voiture, il fait jour, après le repas, le fiston repart, et nous, on fait les boutiques pendant que son mari va se promener.

Je l'emmène dans les boutiques de lingerie sexy, sans qu'elle s'en rende compte, pour elle, je regarde ce qui lui plaît et lui va, et en douce, je mets cela dans mes achats, car elle ne prend rien, de retour à la maison, je lui sors trois ensembles, elle rouspète, mais comme je la rudoie, elle les essais, je lui dis que son mari ce soir, il va la mettre sur les genoux.

Elle en essaie, puis me demande aussi de les essayer, n'étant pas pudique, cela ne me dérange pas, après en avoir mit un, elle me détaille et me fait des attouchements, du genre en faisant "pouet pouet" avec mes seins, ou me mettant ses deux mains aux fesses, elle me complimente, elle me soupèse les seins quand j'en essaie un autre, je lui dit arrête mais elle continu, en plaisantant, elle me dit, "mon mari y a bien droit, alors moi aussi".

Le pire, c'est que si un homme remarque plus difficilement l'effet ressenti, entre femmes, on le voit de suite, je ne veux pas prendre le risque, de dévoiler ma bissexualité si elle n'y est pas, j'en suis même à me demander si elle ne me teste pas, quoi qu'il en soit, à force, je me laisse faire, une fois tout essayé, on s'installe sur le canapé et on discute de son mari, elle me dit, si tu as envie, ne te gêne pas, pour moi, ça sera tout bénef.

A suivre.
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Histoire de annizette

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