Le couplé d'amis

Ma femme et moi avons rencontré ce couple il y a quelques mois. Tout de suite Carole, ma femme, et Muriel se sont très bien entendues et rapidement une certaine complicité s'est installée entre elles. De mon côté, je m'entendais très bien avec Bernard. On s'était vu une petite dizaine de fois jusqu'au jour où ma femme m'avoua qu'elle était très attirée physiquement par Muriel.
Je fus très surpris de cet aveu, ma femme n'ayant jamais exprimé de penchant lesbien et cela alimenta pendant quelques temps nos ébats, car je n'hésitais pas à intégrer ce nouveau fantasme lors de nos rapports.

Un jour où nous les recevions, Bernard me prit à part et m'avoua que sa femme ressentait la même attirance pour la mienne. On en discuta un moment et j'en parlais à Carole le soir dans le lit. Elle me dit qu'elle en avait effectivement discuté avec son amie et qu'elle avait très envie de tenter l'expérience. Muriel ne voulait par contre pas que ça se transforme en échangisme et elle n'était pas sur de vouloir que nous, les maris, nous puissions en profiter.

Un peu déçu, je m'étais déjà imaginé reluquer ma femme embrassant une autre surtout que d'imaginer les deux corps nus enlacés me donnait une trique du tonnerre !

Finalement, nos deux femmes se mirent d'accord pour un dîner le samedi suivant à la maison.

Carole passa une bonne partie de l'après midi à se pomponer tandis que je préparais un dîner léger que nous pourrions prendre au salon.

Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, rien qu'en la regardant, je me mis à bander.
Elle avait enfiler pour l'occasion une très jolie robe noire, achetée spécialement. Celle ci arrivait à mi-cuisses et était très décolletée en plus d'être échancrée dans le dos.
L'absence de dessous me sauta aux yeux. Ses seins livres de tout soutien pointaient sous le fin tissu.

Je l'embrassai, glissant mes mains sur ses fesses rebondies. Elle était magnifique et terriblement sexy dans cette tenue, perchée sur des escarpins.

À l'heure prévue, Muriel et Bernard arrivèrent. Notre amie avait rien à envier à ma femme pour le côté sexy. Elle portait une jupe courte et moulante avec un petit débardeur à bretelles qui moulait sa poitrine volumineuse.
Nos deux femmes étaient terriblement excitantes et Bernard tout comme moi, n'en perdait pas une miette !

On s'installa au salon et à peine la première coupe de champagne avalée, Muriel s'approcha de Carole et l'embrassa.
Le regard médusé, je voyais les langues des deux femmes se mêler dans un baiser sensuel et torride.
Bernard était dans le même état que moi devant cette scène oh combien érotique. Cela sembla durer une éternité. Elles se détachèrent enfin et presque gênée et timide avalèrent chacune une nouvelle coupe de Champagne.
Carole ne résista pas à la tentation et se jetta de nouveau sur son amie, la renversant sur le canapé.
Sa bouche se posa sur son cou puis descendit vers la naissance de ses seins.

Je n'en revenais pas de voir ma femme aussi entreprenante. Elles commencèrent à se déshabiller mutuellement et je découvris avec plaisir les seins parfaits de Muriel. Ma femme s'empressa de les embrasser et de les malaxer tandis que son amie faisait de même.
Bernard et moi nous regardâmes, tous les deux dans le même état d'excitation.
Je vis qu'il avait sa main posée sur son entrejambe et qu'il se tripotait à travers son pantalon.
Je bandais fort également et l'envie de leur sauter dessus me titillait !

Je tentais une approche mais Carole me repoussa gentiment.
Elle prit la main de son amie et toutes les deux quittèrent la pièce.
Je regardais s'éloigner les deux femmes à moitié dévêtues.
Elle montèrent à l'étage, sûrement pour se rendre dans notre chambre.

Bernard et moi restâmes seuls dans le salon, un peu bêtes...

- Carole est sacrément bien faite me dit il soudain, rompant le silence gêné...
- merci, Muriel n'est pas mal non plus lui répondis je, je serais curieux de les voir en ce moment...

Un silence s'installa de nouveau et au loin leurs gémissements commencèrent à se faire entendre.

Je me levais, me rapprochant de l'escalier pour mieux écouter. N'y tenant plus, je montais discrètement.
La porte de notre chambre était ouverte et je découvris les deux femmes entièrement nue, tête bêche entrain chacune de s'embrasser le sexe luisant.
D'où j'étais, j'avais une vie directe sur les fessées de Muriel, installée au dessus du visage de Carole.

Je bandais encore plus fort, sentant soudain Bernard qui m'avait rejoins pour observer la scène.

L'un et l'autre nous décidâmes de rentrer pour mieux regarder. On s'installa chacun dans un fauteuil, de part et d'autre du lit.
Elles étaient magnifiques !

Soudain Carole et Muriel changèrent de position et échangèrent un court instant.
L'une et l'autre nous firent signe de nous approcher.
Carole l'embrassa tandis que Muriel fit de même avec Bernard.
Elles constatèrent rapidement notre état d'excitation.
Carole me dégrafa mon pantalon et extirpa mon sexe bandé à l'extrême. Je vis que Muriel était entrain de faire de même et je découvris le sexe beaucoup plus gros de Bernard. Il était plus long, plus large, je n'avais jamais rien vu de tel!!

Je ne sais pas si je fis un complexe mais je me mis à débander d'un coup, inconsciemment je ne supportais pas la comparaison.
Ma femme essaya bien pendant quelques minutes de me faire retrouver de la vigueur mais rien n'y fit.
Je me reculais et me rassis dans le fauteuil laissant ma femme avec notre couplé d'amis.
Muriel était entrain de sucer son mari tandis que ma femme embrassait le cou de son amie.

Cette scène hyper excitante ne réveillait pas mon sexe endormi mais je jubilais intérieurement, excité cérébralement.

Carole me regarda et sans un mot me fit comprendre qu'elle voulait elle aussi profiter des attributs de Bernard. Je lui fis signe de la tête, je ne pouvais pas la priver d'un tel plaisir.

Pour la première fois, je la vis ainsi sucer un autre homme. Elle semblait se délecter de ce sexe imposant, m'humiliant un peu plus mais m'excitant au plus haut point !
Je me remis à bander mais je m'en cachais bien, profitant de ce spectacle incroyable qui se déroulait devant mes yeux.

Les deux femmes se relayaient sur la queue de notre ami. Il semblait encore avoir grossi. Le gland luisant entrait et sortait de la bouche de ma femme, glissant parfois dans celle de Muriel dont j'avais le petit cul bandant sous les yeux.

Je n'y tins plus et me relevais, le sexe au garde à vous et je vins me positionner derrière elle, la saisissant par les hanches.
Elle se tourna vers moi surprise. Bernard me regarda avec un grand sourire et me fit un petit clin d'œil comme pour me donner son aval.

- encules la, elle adore ça et avec moi c'est un peu compliqué !! Me dit il en faisant basculer ma femme sur le lit.

Je ne me fis pas prier et tandis que Muriel se tenait les fesses écartées, je vins me planter en elle, glissant toute ma queue dans son petit trou.

Bernard s'était installé entre les cuisses de ma femme et je le regardais frotter son gland énorme sur ses lèvres, attisant un peu plus le feu qui devait la consumer.
Elle s'aggrippa à ses hanches et il s'enfonça d'un coup jusqu'à la garde, la faisant hurler de plaisir.

Je me dechainais dans les fesses de ma partenaire, excité comme jamais par so' petit cul mais également par le fait de voir ma femme se faire prendre sous mes yeux.

Nos ébats durèrent un long moment. Je finis par me vider au fond des fesses de Muriel qui eut un orgasme très flatteur pour moi.

À côté Bernard et Carole avait plusieurs fois changé de position et elle avait eu au moins deux orgasmes. Il était très endurant et la besognait avec force.

Muriel partit les rejoindre et s'attela à faire jouir ma femme une nouvelle fois avec sa langue.
Bernard s'était retiré et je le voyais branler son pieu.
Il attendit que Carole jouissez pour se vider en de longs traits sur ses seins. Muriel vint nettoyer ma femme, léchant des gros nichons recouverts de sperme.

Ce fut le début d'une relation torride avec nos amis. Nous nous octroyons une soirée par mois pour pratiquer l'echangisme. Ils ont proposé de nous présenter à un autre couple d'amis adepte de ce genre de pratique, ce sera l'occasion d'un nouveau récit !