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Le cri des loups

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Lue : 10118 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/05/2012

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20 Novembre 2010. Journal d'un amoureux

Cette nuit-là, je l’avoue, j’étais particulièrement excité à l’idée de la savoir nue, dans le même lit que moi.
Je sentais la chaleur de sa peau se dégager sur la mienne, l’odeur enivrante de son corps, parcourir mes narines pour s’amuser à affoler mon pauvre cœur.
Elle était contre moi, nu aussi, et ce n’était pas la première fois que cela arrivait.
En revanche, il s’agissait du premier attouchement nocturne que je voulais lui faire, alors qu’elle serait encore endormie ou assoupie, en costume d’Eve…
Je n’en pouvais plus, je rêvais d’en profiter ; je me dégageais un peu de cette étreinte amoureuse.

Ma main, timide, se glissa doucement sur une de ses cuisses. Pas de réaction. Je continuais, quelque peu gêné ; je commençais à caresser l’intérieur de sa cuisse, la pressant un peu, comme pour évacuer le désir qui me gagnait peu à peu. Je m’essoufflais, mon petit soldat entamant discrètement un garde à vous.

Ma main remontait sur un de ses flancs, caressa doucement sa taille. La belle jeune femme m’interrogea d’un petit gémissement, encore assoupie.
Je n’arrêtais pas pour autant, cela ne me donnait qu’envie de poursuivre mon méfait. Je sentais mon sexe s’allonger au fil des caresses que je lui faisais, mon cœur cognait dans ma poitrine, encore un peu plus… Ma main sillonnait son ventre, passait sur ses courbes sensuelles, puis caressait finalement, doucement sa poitrine rebondie et vigoureuse ; la jeune femme bougea un peu, davantage tirée de son sommeil. Satisfait de mes actes, j’enchainais ; le revers de ma main, frôlait, caressait avec plaisir une de ses petites pointes naissante, je me sentais rougir au fil de ce jeu incognito, amoureux. Malgré l’obscurité qui tapissait son corps, elle était magnifique...

La belle convoitée extériorisa un nouveau gémissement, plus affirmé que le précédent, se réveillant petit à petit.
Comme pour l’aider à émerger de son sommeil, je continuais les caresses sur son sein, pinçant doucement la petite pointe, la faisant rouler entre mes doigts, profitant de cette petite bosse durcie qui se formait lentement.
Elle gigotait, ouvrit un œil faiblement.

D’une attitude féline, je me déplaçai sur le lit, de manière à être au-dessus d’elle. Je dévorais son visage du regard ; elle ouvrit finalement les yeux, et passa ses mains sur ma taille, m’embrassant timidement.
Je poursuivais le baiser, heureux, en suspension au-dessus de ma belle. Mon torse frôlait le sien ; de ma poitrine, je pouvais comprendre, que la belle jeune femme pointait toujours, et jouait de cela, comme proposant une invitation.

Nos baisers se virent plus fougueux, nous nous essoufflions de manière fulgurante, je me collais plus à elle à chaque jeu de lèvres, désireux de connaître le plaisir charnel.
Mon sexe tendu et gonflé, touchait malencontreusement le sien, je la sentais se lubrifier, alors que mon gland tapotait, frôlait innocemment son clitoris encore timide.
Elle gémit, je la rejoins dans ce petit cri, comme heureux de me soulager de ce désir naissant.
Mes baisers mêlés aux « je t’aime », bifurquèrent vers sa mâchoire, passaient sous son cou, remontaient sur ses lèvres, puis dévoraient avec plaisir le creux de son cou à l’odeur si enchanteresse.

La belle jeune femme caressait mon torse, doucement, tendrement, comme l’amante parfaite qu’elle était.
De contentement, j’échappais un râle amoureux ; elle me sourit, provocante, puis griffa doucement ma poitrine. Un second râle, un peu plus gémis cette fois-ci, satisfaite, elle sourit à nouveau depuis ses yeux pétillants de malice.

Partant pour ce petit jeu érotique, je descendais mes baisers vers son sternum, lécha doucement ce creux, puis jouait d’une fausse hésitation sur un de ses seins ; mes baisers passaient sur sa petite aréole rosée, repassaient dessus. Ma langue, timide, sortait à son tour pour se joindre au jeu, évitant le plus possible, de frôler ou taquiner le petit bouton rosé ; la jeune femme gigotait, ne savait où poser son regard, décidément gênée.

Appuyé sur un bras, je continuais mon jeu buccal, alors que ma main libre, caressait volontairement son autre sein.
Les extrémités de ses seins, hirsutes, me provoquaient presque, m’invitant à me joindre à de doux mordillements sur l’un d’entre eux ; je m’exécutais, sans prévenir d’un baiser ou d’un lapement, mes dents saisirent délicatement le petit bouton rose, puis le mangèrent tendrement, assez doucement pour la lubrifier encore un peu plus.

De ses gémissements, je sentais distinctement le plaisir nous gagner, aussi bien moi, de jouer ainsi de son corps, qu’elle, à endurer mes tortures érotiques. De mon autre main, libre, je caressais longuement son sein, la faisant languir, sans pour autant préciser les caresses.
Mon sexe, à son paroxysme de désir, s’était lubrifié à son tour, gonflé à souhait. Je sentais le moment propice arriver ; sans dire un mot, je me remis bien au-dessus d’elle, puis frôla son sexe humide, du mien. Un couinement ne se fit pas attendre, elle tremblait presque, tandis que mon sexe, parfaitement tendu, caressait une nouvelle fois le fruit de la belle étudiante. Les griffements reprirent ; elle prenait un malin plaisir à caresser du bout de ses ongles, ma poitrine, dressant un peu plus mes tétons ; je ne pu retenir un nouveau râle.

Telle une punition, je caressais sa vulve de mon gland, feignant une entrée en elle ; ma belle gémit de nouveau. Amusé et très excité, je m’octroyais à nouveau ce petit plaisir ; d’un lent coup de bassin, mon sexe, aidé par nos lubrifications, entra juste un peu en elle. Amoureuse, elle saisit mon visage entre ses mains, puis comme une nécessité, m’embrassa tendrement, alors que mon membre glissait progressivement en elle.

Alors que nos lèvres jouaient, que nos cœurs s’emballaient, et que je savourais chaque baiser d’elle, je fis un petit coup de bassin joueur ; un petit cri étonné et désiré ne se fit pas prier, elle rougissait, je continuais ; ma verge tendue, un peu plus en elle, suivait les petits mouvements de bassin. J’entrais en elle, en sortait doucement, puis continuait ces lents va et viens. Sa respiration était de plus en plus saccadée, je m’essoufflais, ma belle gémissait de plus en plus, mais je ne voulais pas lui accorder le plaisir d’un orgasme. Pas maintenant.

Alors qu’elle crut naïvement que j’allais à nouveau entrer en elle, je sortis définitivement, la subtilisant d’une douce frustration. Ses jambes tremblotaient, elle me regardait d’un air froid, alors que le teint de ses joues, accordé au miennes, la trahissait.
Mon sexe coulait un peu, j’avais aussi frôlé la jouissance, mais je tenais absolument à faire durer ce jeu, toute la nuit...

Je repris : j’embrassais son buste, prenait soin de passer sur sa poitrine, descendis mes baisers jusqu'à son ventre, puis leva la tête, la regardant d’un air satisfait, et quelque peu sadique.
Du bout de mes lèvres, je caressais une de ses cuisses, l’embrassant par moments, jusqu'à m’aventurer vers l’intérieur de celle-ci. Zone plus sensible, ces caresses lui firent lâcher un petit pouffement, amusé, je lui souris timidement, puis embrassa son sexe encore fermé.
La jeune femme me murmura un « je t’aime... » Confiant auquel je m'empressai de répondre d’une réciprocité évidente, amoureux, avant de reprendre béatement.

Ma belle couinait de mes baisers, je n’hésitais pas à caresser de mes lèvres, sa petite fente. Elle appréciait ; ses gémissements répétés le confirmaient.
Pour pousser le plaisir plus loin, une langue timide s’interposa entre la douce vallée charnelle, caressant l’intérieur de la petite fente. Je poursuivais ; les coups de langues se virent plus profonds, plus insistés. Caressant doucement la petite graine de la jeune femme, qui n’eut d’autre recours que les gémissements.

Pris d’une folie, j’ouvris doucement son sexe des lèvres qui le cachaient, puis tapissa celui-ci de coups de langues tout autant gourmets les uns que les autres. Je me délectais de cette douceur incomparable, de ce goût délicat et de ses gémissements insupportés. Ma langue passait et repassait sur sa vulve, tentait d’essuyer ce nectar qui n’en finissait pas de couler. Finalement, mes lèvres picorèrent doucement le doux fruit réjoui, alors que ma langue, alternativement, ne cessait de caresser la petite graine alerte tout en pénétrant langoureusement la jeune femme docile.

Cette dernière entra doucement en elle, finalement. En sortit, lécha délicatement et assidument le pourtour, puis entra à nouveau, longuement.
La jeune femme, insupportée et indécise, caressait ma tête tout en la repoussant. Décidé à lui faire l’amour tel le soupirant passionné que j’étais, je me redressai, la redressa à son tour, puis l’invita à s’assoir sur mes jambes, face à moi. Ma convoitée refusa, m’allongea fermement sur le lit tout en me maintenant avec autorité. Étonné, j’attendis ; la belle jeune femme caressa mon torse de ses douces lèvres, me laissant sujet à de très agréables frissons déployés. Ses lèvres embrassaient soigneusement mon torse vigoureux, passaient sur ma poitrine assurée, déposaient de délicieux baisers sur mes timides pointes ; une électrisation me gagna, la jeune femme aspirait doucement un de mes tétons tout en le mordillant longuement, la vilaine joueuse s’assit finalement sur moi, me faisant la pénétrer de toute ma longueur.

La situation était subtilement intenable, la belle étudiante continuait de jouer avec mon corps, malaxait doucement mes pointes de ses doigts tout en m’embrassant fougueusement, se libéra de ma verge réceptive, puis me fit de nouveau la harponner tout en se délivrant instantanément.
L’envie dominante qui me parcourait était celle de la faire gémir toute la nuit, de l’assagir en la punissant comme elle le méritait. Elle s’arrêta, embrassant finalement mon ventre bien dessiné, puis me regarda d’un air malicieux avant de fondre sur mon sexe pleurant.

La magnifique jeune femme embrassa timidement mon gland luisant d’humidité, l’enveloppa de ses lèvres, puis l’aspira tout doucement, suçant goulument l’extrémité teintée de plaisir, une bonne dizaine de minutes ; je râlai, seul, délaissé à mon sort érectile, plutôt bien amplifié, frôlant difficilement le sommet du plaisir. Ses jeux buccaux continuaient, une de ses mains fureta vers mes bourses, puis tâta doucement la marchandise avant de les caresser désirablement, tandis que ses lèvres dévoraient tendrement ma verge tendue, de petits baisers ravis. Mon sexe n’arrêtait pas de pleurer, et elle ne s’en délectait que plus ; d’un énième sourire coquin, la jeune femme lapa consciencieusement le nectar coulant, tout en glissant consciencieusement sa langue sur le frein de mon sexe.

Presque enragé, le visage véritablement rouge, et résolu à lui faire payer, je me redressai, saisis fermement la jeune femme, puis la força d’un doux murmure menaçant, à se glisser dans le complémentarisme charnel.
Mon sexe, douloureusement étiré, entra en elle sans peine, alors que cela nous fit échanger un même gémissement conquis.

Un rodéo amoureux débuta ; elle face à moi, moi en elle, nous ne faisions qu’un, amoureux, désireux. Les frottements internes, délectables, s’intensifiaient au fil des coups de bassin. La jeune femme griffait mon torse, tandis que mes lèvres se ravissaient de la douceur de son cou. Sa pâleur me rendait dingue, ne me donnant que plus envie encore, de dévorer son corps tout entier, de baisers affamés. Ma belle libéra quelques couinements éloquents ; la lenteur de mes pénétrations ne rendait l’acte que plus savoureux encore, mon membre allait et venait en elle, doucement mais profondément, tandis qu’elle m’agrippait affectueusement, charmée des sensations.
Les baisers continuaient, confus. Les secondes s’évanouirent, l’état d’apesanteur s’exclamait ; l’exacerbation charnelle nous submergea, consumant nos deux corps d’un innommable plaisir exclamé, nous inondant inlassablement de ce frisson mythique.

Je me libéra finalement en elle tout en déposant de doux baisers sur une de ses épaules, alors que nos gémissements nous liaient dans la nuit, et que nos mains finirent croisées, ensembles.
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