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Le CV sexy

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Lue : 19464 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/06/2010

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La secrétaire m’appelle à mon bureau, une candidate est à la réception. J’ai pris l’habitude de toujours recevoir en main propre les C.V. Ca me permet de jauger la candidature et comme ils font l’effort de venir je crois que c’est la moindre des choses que le patron se donne la peine des recevoir. De plus, depuis quelques temps il est de plus en plus dur de faire du recrutement alors aussi bien montrer notre professionnalisme.

Je lui sourie, elle est très belle mais je lui serre la main de façon très professionnelle et je prends son C.V. Je jette un coup d’œil rapide et je recommence, car je crois avoir la berlue. Il est des plus originaux. Il y avait d’inscrit non des expériences de travail mais des expériences de relation. Il y était indiqué quatre prénoms de gars avec des années indiquant la durée de la relation et au lieu des tâches et responsabilités, il y avait des expériences sexuelles et des trips de culs. Je devais être figée et rouge. J’essaie de faire semblant de rien et de lire la lettre de présentation.

Je m’attendais à quelque chose du genre : « On t’a eu, c’est une attrape » et signé de mes amis ou des employés. Mais non, c’était une lettre des plus officielles qui ressemblait à ceci :

Monsieur Martin,

Je vous remets mon C.V., car je voudrais postuler pour un poste dans votre vie sexuelle. Que ce soit un poste à temps pleins ou partiel, je sais que vous offrez tout ce dont une femme de mon expérience à besoin. Je veux relever de nouveau défis et à ce que j’ai appris sur vous, je sais que je pourrai les vivre si mon C.V. retient votre attention.
Je suis une femme qui a de belles expériences et qui n’a pas beaucoup de tabous. Même qui, grâce à vous, j’espère en avoir encore moins. Juste à vous écrire je me sens déjà toute en chaleur et ne rêve que de pouvoir avoir le poste.
Vous avez déjà toute mon estime et mon désir et j’espère que vous pourrez voir à travers mon C.V. que je suis celle qu’il vous faut. Veuillez recevoir M. Martin, mes désirs les plus intenses.

Mademoiselle Valérie

Je dois avouer qu’à la lecture de cette lettre, mon pantalon était de plus en plus étroit. Je lui dis le plus sérieusement et calme possible de venir avec moi dans mon bureau j’aimerais discuter plus en détails de son C.V. Le but était de rester le plus professionnel possible, il ne faut surtout pas que la secrétaire, ou les employés qui passaient par là, voit l’anormalité de la situation. De plus, j’étais toujours sur que c’était un mauvais tour et que bientôt on me crierait « SURPRISE ». Alors elle me précède dans mon bureau et je dois avouer que mon regard vient se poser sur son petit cul. Elle était canon, sérieusement c’était vraiment trop beau pour être vrai.

Je l’invitai à s’asseoir et je lui demandai qui lui avait dit de faire cette farce ? Mon sourire diminua après chaque seconde qui suivi sa moue. Elle m’indiqua que je n’étais pas gentil de rire d’elle, que ça lui avait prit tout son petit change pour oser venir se présenter à moi. Que bien sûr elle s’imagina bien qu’elle n’était pas assez bien pour moi, qu’elle était niaiseuse d’espérer que ça marcherait, que je voudrais d’elle. Je lui dit que c’était pas ça mais que franchement, son C.V. et sa lettre m’avait impressionné. Son sourire réapparu, alors j’osai attaquer.
- Tu es sérieuse là, tu veux être ma maîtresse où même devenir ma copine ?
- M. Martin, ce que vous voudrez mais laisser moi ma chance, c’est un poste de rêve pour moi.
- Alors, pourquoi le poste t’intéresse-t-il ?
- J’ai fait des recherches et on m’a dit que vous étiez imaginatif, chaud, dominant et que vous saviez donner du plaisir.
- Quelles sont les qualités nécessaires pour le poste selon vous ?
- Il faut être disponible, dévouée, perverse, à l’écoute et obéissante. Bien sûr ouverte d’esprit et avec moi vous ne serez pas déçu. Je sais que j’ai besoin d’un patron, un vrai, qui saura me guider.
- Mademoiselle Valérie, c’est ça ?
- Oui Monsieur.
- Comment croire….

Elle m’arrêta en me coupant la parole. Elle chercha dans sa chemise et sortie un téléphone sans fil. Elle l’ouvrit pitonna et me le donna. Elle avait ouvert une vidéo. C’était elle couchée sur un lit qui se masturbait avec un dildo. Elle gémissait tout en continuant de faire des aller et viens. Elle était superbe, nue. De beaux seins et une chatte rasée bien mouillée d’excitation qui semblait avaler complètement le dildo et qui ressortait tout humide. Elle gémissait de plus en plus fort se caressant les seins et devant moi je la regardais. Elle me regardait, comme inquiète de savoir ce que j’en pensais. J’hésitais entre la prendre pour une folle et la jeter hors de mon bureau où de continuer le jeu. C’était l’entrevue de rêve…. Je devais rêver oui c’est ça et je me pinçais.
- Monsieur, est-ce que vous croyez que vous pourriez m’aider. J’ai essayé ailleurs mais ils manquaient toujours quelque chose où il était à plat d’imagination. Je veux un vrai patron, un défi pour une femme comme moi qui veut découvrir l’art de la luxure.
- Mademoiselle Valérie, je crois que j’en ai vu assez pour l’instant. On vous contactera, à moins que vous ayez des questions ?
- Monsieur je veux vous dire que j’aimerais tellement avoir le poste, que…..
- Taisez-vous, vous l’avez déjà dit cela, j’ai entendu et le redire ne nous donneras rien de neuf.
- Laissez moi pas ainsi…. Je suis à vous, faites ce que vous voulez de moi, je vous en prie.

Elle avait les larmes aux yeux et je lui demandai de venir demain à 17h00, lorsque le bureau serait fermé j’aurais du temps pour une 2e entrevue, car pour l’instant bien qu’elle semble une candidate intéressante je n’avais pas le temps d’aller plus loin. Elle sourit à nouveau et me serra la main en me remerciant de lui laissé la chance de se prouver et que je le regretterais pas.

Elle sorta de mon bureau et me dit que je pouvais garder son C.V. et qu’elle espérait que j’aurais le temps de le lire tranquille. Ce que je fis le soir même en savourant d’avance toutes les rencontres que nous oserons dans les semaines à venir.

Le lendemain elle arriva à 16h50 et se présenta à la secrétaire en disant qu’elle venait me rencontrer. La secrétaire m’appela et je la reçu la porte laissé ouverte. Ce qui sembla la décontenancer. On discuta de l’organisme et de l’avenir. Tranquillement le bureau se vida et à 17h10 on était seul. Je lui expliquai qu’elle doit apprendre à être professionnel et asexué devant les autres mais dès qu’on est seul elle doit reprendre son rôle de soumise. Que sa première mission est de trouver un mot de passe pour tout arrêter si ca va trop loin pour elle, un mot qu’elle n’utiliserait pas normalement car pour moi non ou arrête, ça m’excite. Elle choisi le mot « scoubidou » ce que j’acceptai.

Je lui demande alors de se lever et de marcher sensuellement si elle était capable. Elle se leva et commença à marcher, de façon un peu gênée. Je lui fis comprendre que son CV sembla indiquer que j’avais affaire à une salope en devenir et que là je voyais une amateur. Qu’elle avait des courbes, des formes sensuelles et qu’elle devait avec moi toujours les mettre en valeur quand on était seule et entre autre quand elle marche. Elle recommença et marchait avec sensualité. Je sentais qu’elle voulait plaire, me plaire. Elle était ravissante et si désirable, que si ce n’était que je voulais y aller par étape, je l’aurais prise immédiatement et je l’aurais baisé sauvagement mais à la place je lui dis qu’elle était délicieuse, une délicieuse femme qui deviendrait délicieusement salope et perverse. Qu’elle doit à tout moment faire monter mon désir et qu’elle avait tout pour y réussir.

Maintenant Mademoiselle Valérie vous savez vous ne pourrez être ma soumise sans un petit training. Vous semblez avoir toutes les qualifications requises mais j’aimerais tester vos diverses capacités et alors quand je serai satisfait de vous, et seulement à ce moment, vous pourrez profiter de la luxure. Vous êtes d’accord ?
- Oui
- Oui quoi ? Vous devez toujours parler quand tu es dans ton rôle de soumise en disant Monsieur ou Maître à chacune de tes phrases en signe de soumission.
- Désolé Monsieur, ça n’arrivera plus. Que dois-je faire pour vous démontrer mon désir de vous satisfaire maître ?
- Je veux que tu m’envoies des photos de toi, de plus en plus sexy durant le reste de la semaine et la semaine prochaine, je vais aller chez toi, tu dois me recevoir habillée comme tu crois que tu le dois. Si ce n’est pas à mon goût tu le sauras et le sentiras.
- Parfait Monsieur, je vais faire de mon mieux.
- Maintenant on va se quitter tu vas venir ici à mes pieds et écris moi ton adresse.

Elle vient à mes pieds et je l’assois à mes pieds en lui tendant un papier et un crayon. Elle commence à écrire et je lui joue dans les cheveux et lui disant qu’elle était une bonne fille et qu’elle serait traitée comme elle le mérite, comme le mérite une salope de la pire espèce comme elle. Quand elle eut fini d’écrire je la pris par les cheveux et lui mis les yeux a quelques centimètres de ma fourche. Je me caressais et elle fit un geste pour la caresser elle aussi et je lui dis non, pas le droit de rien faire avant que je te le dise.

Je baissai la fermeture éclair et elle pouvait maintenant voir la bosse à travers mon boxer. Ma queue devenait de plus en plus dure et je lui dis que ça serait sa récompense si elle était pour moi la pute vicieuse que je recherche. Elle me dit : « Je le serai, je la veux ! » Je la pris par les cheveux et la coucha sur mes genoux, sur le ventre. Je remontai sa jupe et découvrit son petit cul. Je le caressai quelques secondes et je lui frappai une fesse par une claque, qui la surpris: « Quand tu seras impolie comme tu viens de le faire où que tu ne m’obéiras pas tu auras une punition et les claques sont un style de punition. Ce n’est pas la pire sorte tu sais. Maintenant tu vas avoir ta punition et après chacun des coup tu diras « merci maître ou merci Monsieur » et tu auras la punition assez longtemps pour que tu n’oublies plus d’être polie. Tu dis dans ton C.V. que tu as appris à aimer la fessée on va voir si tu es une frimeuse. »

Je commence alors la punition par une claque moyenne qui est répondu de façon nonchalante comme si par son « merci monsieur » elle me disait c’est tout ? Alors je lui donnai cinq autres claques de cette force. Je voyais ces fesses qui commençaient alors à devenir roses, je savais alors que je pouvais aller à la deuxième étape et six autres claques plus fortes venait lui claquer le cul et je sentais sa surprise aux deux première claques et maintenant je sentais du respect dans ces remerciement. Je la laissai souffler après la dernières claque je lui caressai les fesses tout doucement en lui disant qu’elle était une bonne fille et que la punition s’arrêtait quelques seconde et qu’elle pouvait respirer un peu. J’écartais ses fesses et ma main alla caresser sa chatte. La salope était humide et excitée. Je lui dis que ce n’était pas une punition pour elle que ça l’excitait : « Hé bien si ça t’excite et que tu crois que c’est pour jouer tu ne comprendras pas la leçon, je dois alors y allez plus fort on arrêtera quand tu me montras que tu as comprise. »

Ma main commença alors de lui claquer les fesses et le rythme était fixer par le temps qu’elle prenait pour dire son « merci maître ». Elle sembla comprendre et prenait parfois son temps pour me remercier pour reprendre son souffle. Alors pour lui montrer que je comprenais son petit jeu, quand je trouvais qu’elle prenait trop son temps la claque qui suivait était encore plus forte. Son petit cul devenait de plus en plus rouge et elle devait sentir ma queue qui était maintenant toute dure contre elle. De mon côté je sentais sa chatte contre ma cuisse qui était inondée. Lorsque j’arrêtais je la sentais excitée et contente d’avoir été au-delà des limites qu’elle avait jamais atteint. Elle se sentait femme, salope et vraiment perverse de mouiller autant parce qu’elle se sentait mon objet. Je le lève alors debout et lui dit de bien se rappeler de la leçon car j’aimerais bien profiter de son corps et pas juste la punir à chaque rencontre. Qui arriverait la semaine suivante.
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Histoire de bestknight

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