ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Ma confession intime

Ma confession intime

+8

Lue : 34358 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 09/06/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Mon Pierre

Aujourd’hui j’ai envie de partager avec toi plus que la vie de tous les jours. Je veux partager avec toi un rêve, mon fantasme le plus érotique, celui qui me permet de vivre même quand je suis esseulée, sans amour, sans plaisir. Je ne puis plus le garder pour moi seule, j’ai envie que tu le saches, je veux que tu me connaisses vraiment que tu partages mon intimité ; lis moi mon chéri, tu vas connaître la vraie Elie, mes désirs les plus enfouis en moi, ceux que je gardais pour moi seule. Je veux t’étonner mon amour, mon amant, je veux t’exciter, te faire jouir pourquoi pas. Et que lorsque nous nous verrons enfin, pour de vrai, oh ! le beau jour que ce jour là nous puissions jouir sans réserve, sans tabous, débarrassés de la lourde gangue de la timidité et des convenances.

Lis-moi chéri et rêve avec moi, pense au plaisir que nous aurons quand je serais vraiment dans tes bras, je voudrais que cela soit comme cela.

Ce jour là, tu m’avais invité chez toi, nous nous connaissions à peine mais tu avais compris que tu me plaisais. Tu m’avais attiré à l’écart de la fête, la musique nous arrivait en sourdine et sans façon tu m’avais prise dans tes bras serrée contre le mur. Nous nous regardions dans la pénombre et tu me caressais les cheveux. Je sentais ton corps épouser le mien et je ne pouvais résister à ce mélange de force et de douceur. Quand tu te serra plus fort sur moi cela m’arracha un petit cri de bonheur et tu me fermas la bouche avec la tienne avec une telle fougue que tous mes sens furent en alerte. Je te donnais ma langue et durant de longues minutes nous nous donnèrent à fond pour ce premier baiser.

Quand tu me demandas de venir chez toi, j’allais parler, répondre, tu ne m’en donnas pas l’occasion me disant chut, un doigt sur ta bouche et en me serrant plus fort encore. Avais tu peur d’un refus, avais tu peur de me perdre, si tu avais su mon désir, mon envie de toi tu ne m’aurais pas bâillonnée avec ta bouche. Je devais entrer dans ton appartement, la porte serait ouverte et au bout du couloir je te retrouverais, tu serais dans ta chambre à m’attendre.

J’étais très excitée à l’idée de ce qui m’attendais dans ta chambre, j’échafaudais mille scénarios ; j’avais tellement imaginé une telle rencontre avec un homme que je désirais que je n’osais croire à la réaliser, avec toi, comme dans mon fantasme le plus fou. Ne serais je pas déçue ? Saurons- nous être à la hauteur de mon immense soif de plaisir, de la manière dont je l’envisageais.

Ta porte était ouverte en effet, tout mon corps tremblait, un frisson dans mon dos, au creux de mes reins…. le couloir….. ma main sur la poignée de la porte…. mon cœur battait la chamade dans ma poitrine ? J’entrais…..tu étais là, dans la pénombre de la chambre face à la fenêtre à contre jour, je voyais ta silhouette, de dos…. Je refermais la porte sur moi, je posais mon sac à terre et je m’avançais. La chambre était silencieuse seule ta respiration trahissait ton trouble. Tu étais seul comme promis.

Lentement je me suis avancée vers toi et j’ai mis mes mains sur tes hanches, ta respiration devint plus rapide tes aspirations plus profondes. Je me rapprochais de toi de sorte que nos deux corps soit si proches qu’ils ne pouvaient faire autrement que de se toucher, pourtant nous nous frôlions seulement. Je sentais ta chaleur rayonner sur moi.

Alors, doucement, tu te tournas vers moi; je vis ton regard, tu me souriais, rassurant, tes yeux dans les miens. Sans un mot tu passas une main dans mes cheveux et avec l’autre tu cala mes hanches contre les tiennes et très tendrement tu posas tes lèvres sur les miennes et dans un jeu de nos langues, timide au début nous trouvions un désir commun qui poussait nos mains à agir.

Puis tes lèvres glissèrent lentement dans mon cou s’attardant sur mes lobes d’oreilles ce qui me fit fondre. Si tu m’avais mieux connue tu aurais su que je n’allais pas me livrer de suite, que je j’allais essayer de résister pour garder le contrôle, pour ne pas me rendre si vite. Qu’il faudrait que tu me pousses à bout pour me faire lâcher prise, que tu me rendes folle d’envie de toi. Quand je sentis tes dents mordiller à pleine bouche le gras d’une de mes épaules je ne pus retenir un gémissement de surprise et tu t’acharnas en douceur sur la chair si tendre de cette zone si érogène.

Tu avais décidé semble t’il de pousser ces caresses au paroxysme du supportable pour moi et tu pris tout ton temps, ta bouche refaisant inlassablement le chemin qui va de ma bouche à mes épaules. Tu baisais, tu léchais, tu mordais la chair tendre, une main dans mes longs cheveux l’autre enfin sur mon chemisier, je n’opposais plus aucune résistance et te laissais déboutonner les boutons un à un , c’était un caresse supplémentaire qui s’ajoutait à celles de ta bouche dans mon cou et de ta main dans mes cheveux défaits. Tes yeux rivés sur ma peau qui se dévoilait, tes doigts caressant chacune des formes de mon buste que le chemisier tombé à terre avait laissé nues.

Tu regardais ta main épouser chaque courbe, chaque volume avec une attention soutenue comme un ado ébloui qui découvrirait le corps d’une femme pour la première fois. Ton regard croisait le mien quêtant mon approbation, je te souriais, mes yeux t’encourageaient à poursuivre tes délicates attentions. Alors sans hésitation, d’un geste sur et doux tu me fis basculer sur le lit. Je tremblais tant j’étais excitée, lentement tu t’étendis près de moi qui t’observais Tu me mis presque nue avec ma complicité, je facilitais le glissement de mes sous vêtements par de savantes reptations, me tournant, soulevant mes fesses. Et quand penché sur moi je sentis ton souffle sur mon ventre plat mis à nu, je perdis pied, je fermais les yeux pour m’abandonner totalement à ta bouche, à tes bras, à tes envies, tes désirs.

Alors tu me laissas faire, à mon tour du bout des doigts, en prenant mon temps je fis moi aussi glisser tes vêtements allant à la découverte , émerveillée de ton corps de rêve, ta peau douce, tes muscles longs de tes bras et de tes jambes, ton ventre dur et si doux pourtant, tes fesses bien rondes comme je les aime. Que j’ai aimé ce moment où tu me laissais faire ; Nos émois partagés, notre respiration rapide presque haletante. Nous étions allongés l’un à côté de l’autre dans la pénombre de la chambre j’entendais ton souffle près de mon oreille. J’avais envie que tu te colles à moi, de sentir ta peau contre la mienne, que tu me caresses avec ton corps.

Je suis sur le dos et tu commences à m’embrasser tendrement me faisant retrouver les sensations de mes premiers baisers, tant ta bouche, tes lèvres sont douces, j’éprouve la même découverte des premières caresses de mon adolescence, celles que l’on ne peut oublier et qui servent toute notre vie amoureuse de référence. Mais déjà ta bouche ouverte descend insensiblement par le chemin qu’elle a déjà exploré, après le cou, les épaules, je sens ta langue sur mes bras bien ronds, que tu écartes et je dois me retenir de ne pas hurler quand tu me lèches le dessous des bras, mes aisselles si tendres si délicates.

Puis ta bouche revient sur mon corps sur mes seins, chaque centimètre de mon torse est visité avant que ta langue me lèche la poitrine, je sens la pointe de ta langue frôler mes mamelons durcis par le désir qui m’envahit et ce sont comme des décharges qui m’électrisent. Entre caresses et baisers ma poitrine se tend, devient dure et sensible, je suis aux anges et je me tortille sous toi. Tu laisses tes mains en place mais ta bouche poursuit sa descente en goûtant la saveur de mon ventre, tu mords ma taille gracile. Ce festin est un délice pour moi, je voudrais que cela ne s’arrête pas, mon souffle devient plus court. Je résiste encore pour ne pas jouir mais je sens que je m’inonde.

Je sais où ce chemin va mener ta bouche, tu ne prends pas le chemin le plus court, tu prends le chemin des écoliers, tu passes par mes hanches et par mes jambes, je m’ouvre, je n’en peux plus, ton visage s’insèrent entre mes cuisses dont tu mordilles la chair tendre. Mon souffle est de plus en plus fort et il trahit mon excitation, tu commences petit à petit à effleurer mon sexe, tu es ému toi aussi, ton corps se tend, se raidit, je vois que tu bandes, ta verge arquée tendue vers moi déforme ton boxer. Je commence à gémir, je frotte une de mes cuisses sut ta tête pendant que tu continue de butiner ma vulve chaude et humide. Ta langue est en moi tandis que tes mains ne se lassent pas de me caresser les seins et les fesses. Je continue de gémir et je serre mes cuisses sur ton visage, le plaisir monte, je n’en peux plus et je m’abandonne jusqu’à la jouissance, que c’est bon, je plane.

Ton savoir faire me maintien dans le plaisir, je frissonne, je tremble, je ne peux retenir mes cris et j’en redemande, Des doigts rejoignent ta langue pour me pénétrer, ta bouche soigne mon clitoris bandé à l’extrême, un de tes doigts cherche ses racines dans mon ventre et fait rouler ce corps dur comme un nerf. Tu t’y connais vraiment mon amour, mon ventre est irradié par le plaisir. Je suis inondée et cela semble te plaire car tu me bois entre mes grosses lèvres grandes ouvertes.

Au bout de quelques minutes je finis par retrouver mes esprits aux rythmes de tes caresses, de tes baisers, de ta tendresse et pourtant l’odeur de ton corps m’enivre et me conduit à d’autres désirs. Plus ma conscience me revient plus les courbes de ton torse attirent mes doigt puis mes lèvres et je me surprends à suivre du bout de la langue chaque mouvement en commençant par le creux de ton cou puis de ton épaule de tes pectoraux je descends lentement sur ton ventre.

J’aime ton souffle qui me décoiffe, ta respiration qui me donne le rythme, ton ventre frémit et tes hanches ondulent, les muscles de tes cuisses se contractent et j’adore ça je frôle du bout des doigts les bords de ton caleçon moulant bien trop étroit à un certain endroit. Plus je te caresse plus mes doigts glissent sous ce petit bout de tissu à la limite de toucher cette virilité qui me fait tant saliver.

Je te couche sur le dos et je me mets à califourchon sur tes cuisses pour mieux pouvoir déguster ton corps je retire dans un souffle ce dernier rempart entre toi et moi entre toi et mes envie entre tes désirs et mon corps. Lentement très lentement je dépose sur ta peau mes lèvres à hauteur de ton nombril et je descends, encore encore et encore…. Jusqu’à la toucher, enfin, l’embrasser la lécher et l’engloutir … je veux te faire jouir…..tu as l’air d’aimer ; je t’entends respirer de plus en plus fort, tes mains qui se contractent sur les draps je me cambre pour pouvoir te regarder dans les yeux quand ton gland titille mes amygdales.

Je joue de ma langue sur toute la longueur, mes doigts serrés sur la base, à la racine près de ton ventre, des va-et-vient lents dans un premier temps, et le rythme s’accélère. Elle est chaude, et humide, elle a si bon goût, je ne peux me détourner, je ne peux arrêter de la lécher, l’embrasser, l’aspirer.

Tes mains se glissent dans mes cheveux et me donnent le tempo, tes hanches bougent et dansent, ta respiration se fait plus forte, plus intense, tes mains tremblent. Je suis chaque nervure, chaque veinule de ta hampe, je fouille chaque recoin de ton intimité, du bout des lèvres, avec ma langue, c’est si bon !! Quand tout en te suçant je prends délicatement tes testicules entre mes doigts, tu deviens fou et tu gémis, je crie mon plaisir.

Loin de moi l’envie que ça se finisse déjà !

je te sens transporté, ailleurs, sorti de la réalité, le temps s'est arrêté mon envie de toi grandit sans cesse, tu t'allonges sur moi , frotte ta poitrine contre la mienne ton sexe caresse doucement le mien dans des petits vas et viens délicieux pour petit a petit me pénétrer lentement mais. jusqu'au bout....c'est bon et chaud, mes gémissements viennent augmenter ton excitation...commencent alors des allers et retours plus importants mais toujours lents et sensuels , tout en m'embrassant la bouche , le cou , la poitrine , tu me dévores tout en m'enfourchant tu me soulèves une jambe pour me la caresser à l'intérieur des cuisses, et pour aller plus profond en moi, tu accélères ces pénétrations torrides qui vont et viennent en moi, tu me retournes alors sur le ventre pour revenir en moi mais en levrette cette fois, tes mains qui sont sous mes seins les caressent, je sens ton ventre dur contre mes fesses , j'avais oublié a quel point c'était si bon.....tu me fais subir d'autres pénétrations en me tenant par mes hanches et donnant ainsi par ce mouvement un plaisir insupportable à la limite de la folie furieuse…....j’en veux encore et avec toi je ne veux pas encore finir...

Bien que nous ayons toute la nuit devant nous, je n’ai pas envie non plus que ca finisse,

Ces mouvements si lents si doux me font gémir de plus en plus fort je commence même a trembler signe que je ne suis plus très loin de l’orgasme tu l’as très vite deviné et me faire jouir n’est pas ton objectif pour cette première fois ce que tu veux de moi c’est un orgasme violent sonore et libre de toute entrave ou à priori. Si tu savais comme j’en suis proche.

Tu alternes les va viens entre rythme et profondeur allant au plus profond de moi certaines fois et restant timide à d’autres, tes mains sur mes hanches, mes seins, mon dos ou encore dans mes cheveux me rendent dingue au point de me faire oublier que mon seul objectif était de te faire jouir je voulais que tu es autant de plaisir que moi autant de sensations.

Dans un cri je me suis relevée et avec un sourire qui laisser transparaître mes intentions, Je te pris au creux de ma main et lentement en te regardent droit dans les yeux je dirige l’objet de tous mes désirs et plaisirs légèrement plus haut l’appuyant contre un orifice plus étroit plus sensible aussi et j’attendis de lire dans tes yeux ton approbation, tu avais l’air toi aussi attiré par mon petit gouffre.

Tu sembles ému au possible par ce cadeau que je te fais, avec une infinie tendresse tu me pénètres lentement de peur de me faire mal et ce fut si bon qu’un gémissement de bonheur m’échappa déjà, la tète sur ton épaule je m’abandonne totalement, je m’ouvre et me serre sur toi, tu me remplis et je m’adapte sur la grosseur de ta verge.

Chaque respiration se terminer dans un gémissement et tu continues ces va et viens qui me font tellement de bien, tes gémissements m’excitent, entraînent mes cris, je jouis une première fois puis une seconde quand tes mains jouèrent sur mon corps. Dans un souffle tu m’entendis te dire

« Encore……. prend moi ……encore ……. »

Et là en un instant tu compris que ce dernier rempart cette dernière douve été enfin tombée que mon désir été si grand et ma confiance tel que enfin j’allai me libérer de toute entrave tabou ou autre qui handicape tant d’autres femmes.

Ma voix se fit plus dure plus grave plus sonore quand je te commandais de te déchaîner jusqu'au bout de mon orgasme. Ce que tu fis !! Dans un contrôle incroyable tu me donnas ce que j’exigeais sans pour autant perdre la moindre image de mes fesses qui s’agitaient grandes ouvertes sous tes yeux exorbités et sans te permettre de jouir à ton tour car d’instinct tu savais que ce n’était là qu’un début !! Qu’il te fallait tenir pour m’épuiser, me faire mourir de plaisir.

Tu ne me lasses pas de cette pénétration , de mes soupirs et gémissements , tes mains caressent mon corps brûlant et mes fesses en essayant de les suivre dans mes déhanchements erratiques, ces vas et viens t'excitent au plus haut point, une main passée par devant me caresse le sexe tout en continuant de servir mon petit orifice si sensible jusqu'à mon ultime jouissance , tu adores m'entendre gémir , me voilà allongée sur le ventre reprenant mon souffle . passant une main entre mes jambes je te caresse alors ton sexe entre mes fesses , ainsi que tes testicules et l'intérieur de tes cuisses , c'est si doux et chaud , une sorte de masturbation pré éjaculatrice comme pour te faire prendre ton élan vers le bonheur , et tu me poses la question « dis moi où veux tu que je jouisse ?....

Bien que la position soit très très agréable pour nous deux et que tu te laisses enfin aller, si tu venais là où tu te trouvais dans mon étroit conduit cela me donnerait certainement une ultime part de pur bonheur, le point d’orgue à notre rencontre si réussie. Et pour toi ce serait bon aussi, la récompense de tout ce que tu faisais pour me donner du plaisir. Mais j’avais une autre envie un fantasme ultime, celui de te goûter, de sentir cette semence douce et chaude sur mon visage, dans mon cou entre mes seins, en connaître le goût, me délecter de ton plaisir tant visuellement que dégustativement , voir ton visage quand je te ferais jouir à mon tour, sentir tes jets puissants fuser de ton gland.

Alors dans un souffle, sans perdre une seconde je te demandais de sortir de mon puits, ce que tu fis obligeamment, je me tournais vers toi et je vis dans quel état j’avais mis ton sexe. Il était énorme, dressé, arqué vers le haut, le gland décalotté. Une envie de le reprendre dans ma bouche m’envahit, je me penchais sur lui pour le plaisir de le caresser, de l’embrasser, le cajoler, de l’enduire de ma salive et à ta grande surprise je glissais ton membres entre mes seins que je serrais sur lui à deux mains. Tu compris vite quand complices par des mouvements biens orchestrés nous vîmes ton sexe coulisser grassement entres mes seins lubrifiés ? Rien de plus doux pour une verge d’homme que cette vallée au grain de peau si fin.

Triomphante je te vis ahaner, t’essouffler, haleter en t’agitant comme un diable sur moi, je voyais ton gland émerger de mes deux volumes, avec la pointe de ma langue je le titillais à chaque passages. Tu devenais comme fou, le regard perdu, le miroir me renvoyait l’image de tes fesses serrées qui s’agitaient de bas en haut, de plus en plus vite de plus en plus fort. Tu te mis à gémir de plus en plus fort, le corps raidi, sur la pointe des pieds et quand tu hurla je vis, je sentis ta semence gicler en jets puissants et inonder ma bouche grande ouverte. Elle coulait sur mes lèvres sur mon buste, entre mes seins. Je la sortis de ce lieu de délice qui l’avait fait tant jouir et la prenant à pleine main je la branlais pour la purger de toute sa liqueur. Tu étais pantelant anéanti de fatigue. Moi j’étais heureuse de t’avoir rendu en une fraction de minute le plaisir que tu m’avais donné et su faire durer.

Le lit était comme un champ de bataille, nous y étions bien pour nous calmer doucement serrés l’un contre l’autre et après la furie de notre jouissance, des baisers, des câlins, des gestes de tendresses nous apaisèrent. Je m’éclipsais dans la douche où quelques minutes plus tard tu me rejoignis tout fringant, bannière au vent.

Encore ???
8 vote(s)


Histoire de elie

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Ma confession intime

Le 03/08/2010 - 15:18 par mysterjuju
hummmm voila un doux fantasme je suis fanne de tes écris !!!
Le 09/06/2010 - 16:42 par elie
Merci, venant de toi j'en suis flatter
Le 09/06/2010 - 10:49 par Pierre le Grand
Oui, encore et encore. !!! Jamais fantasme exprimé par une femme ne m'a fait jouir à ce point. Heureux Pierre ,mon Homonyme, comme j'aurais voulu être à sa place. Bravo Elie continue

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :