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Le feu et la glace

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/08/2022

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Le travail au bureau est dur, avec cette chaleur caniculaire. On se rend souvent au distributeur de boissons, ou sans aucune retenue, mes collègues de travail ne se gênent pas pour admirer mon superbe corps à travers ma robe légère, ou seul, en transparence, on peut apercevoir un soutien-gorge, et un string rouge.
Faut dire aussi que j’en rajoute un peu, quand je regagne mon bureau dans une démarche chaloupé. Mais jamais aucun d’eux, ne m’a manqué de respect.
C’est l’été. L’’occasion d’organiser des journées entre amis, autour d’un barbecue, sont légions. Ce week-end, par exemple, c’est Céline qui nous reçoit.
Nous sommes toujours le même groupe d’amis, sauf que cette année, il y a Marc, un cousin de Céline. Il parait plutôt sympa, très séduisant en tous cas. Il doit avoir la cinquantaine.
Pendant que nous papotons entre femmes, les hommes servent à boire, tandis que Romain, mon mari, aide Henry, au barbecue. Je vois mon époux en grande discussion avec ce Marc. Il me fais signe.
- Lucie, ma chérie, tu peux venir.
Je serre la main à Marc, qui me renvoie un sourire courtois.
- Tu sais que le week-end prochain, c’est à nous d’organiser le barbecue, et j’ai proposé à Marc, de se joindre à nous. T’en penses quoi ?
- Heu...oui, pourquoi pas.
Pendant tout l’apéritif, Marc ne m’a pas lâchait pas d’une semelle. Ça en était gênant. Il vantait ma beauté à chaque conversation. Il me tardait que la journée se termine, pour échapper à ses allusions sur une éventuelle relation.
Sur le chemin du retour, Romain me fit remarquer qu’il avait l’impression que ce Marc me rodait autour. Il me demandait s’il devait s’en inquiéter. Je lui répondit qu’il n’était pas envisageable qu’une autre queue que la sienne pénètre ma chatte, ou ma bouche, et qu’il est, et restera l’homme de ma vie.
Je vis un sourire éclairer son visage, puis fixer la route.
- Et est-ce que tu peux confirmer ça en rentrant.
Arrivé à la maison, on prit une bonne douche, pour chasser la sueur, mais aussi les odeurs d’alcools et des grillades.
Nous étions assis sur le canapé à boire du pétillant, quand soudain, je glissais une main dans son peignoir, lui saisit la queue. L’alcool de la journée avait laissé des traces. C’est une bite ramolli que je tenais entre mes doigts, arrivant tout juste à la décalotter. Ah...l’alcool...Je n’insistais pas, et montais me coucher.
Il fait une super journée en ce week-end de juillet. Aussi, Romain et moi en avons, profité, comme convenu, pour conviés quelques amis, à un barbecue dans le parc.
Nous serons une dizaine de personnes, toujours le même groupe d’amis qui nous connaissons bien, et avec qui il n’y a aucune arrière pensée.
Vers onze heures, nous commençons, mon mari et moi, à préparer pour les accueillir. On nettoie et mettons en place les tables et les chaises, les nappes en papiers. On apporte assiettes, couverts, verres, serviettes pleines de couleurs.
Je coupe quelques fleurs, fraîches dans le parc, pour que de jolies bouquets trônent au milieux des deux tables réunies.
Dans une immense bassine, Romain verse des sacs de glaçons.
Pendant que je vais me changer, mon mari se charge de mener toutes les bouteilles, et les mettre au frais dans la glace.
Je reviens peu de temps après, vêtue d’un chemisier, et d’une courte jupe d’été. Romain a un sifflement admiratif en me voyant, et ne peut s’empêcher de me prendre dans ses bras. Il m’embrasse, alors que ses mains remontent le long de mes cuisses, et se posent sur mes fesses laissées nues, par mon string à dentelles. Il essaie de glisser un doigt entre l’élastique du string, mais je le repousse.
- Dis...t’en as pas eu assez cette nuit ?
- Quoi...sourit Romain, il s’est passé quoi cette nuit.
- T’as pas arrêté de me baiser...puis lèves ta main, je vais être mouillée après.
Alors qu’il est en train de s’approcher sérieusement de ma chatte, les premiers invités arrivent, m’évitant un doigté certain. Il retire vite sa main, s’écarte de moi.
Quelque peu embarrassé par une érection naissante, il les invite verbalement à déposer leurs affaires sur la canapé en osier du jardin. Amusée par la situation, je le regarde en souriant, et lui donne un fugace baiser, avant de rejoindre les invités.
Je fait la bise à tout le monde, Romain me rejoint, et en fait de même. Je jette un regard à un endroit précis de son anatomie, et m’aperçoit avec bonheur, que tout est rentré dans l’ordre. Les derniers invités nous rejoignent, Tout le monde est là, sauf Marc qui arrive en retard. Il en profite que je sois seule à la cuisine, pour venir me saluer. Il me prend par la taille, et m’embrasse dans le cou. Je le repousse violemment, et lui fait comprendre qu’il perd son temps, que je suis mariée et fidèle à mon mari, que je l’adore plus que tout. Alors, qu’il ne se fasse pas des idées.
Sur ce, en colère, et menaçant de le balancer, s’il recommençait, je retourne à mes invités.
Romain demande à Jean et Henry, s’ils peuvent l’aider à préparer le barbecue, tandis que les femmes prennent place autour de la table du salon de jardin, pour papoter. Nos hommes se débrouillent comme des chefs, à tel point qu’’on a pas besoin de leur venir à l’aide. On discute, et les surveillons à même temps.
On parlent de tout...les dernières soldes, nos histoires de cœur, avouons nos petits secrets...etc. Mais ne dis pas un mot de ma mise au point, avec Marc.

- J’ai rien trouvé de terrible, dit Julie.
- Ah, ben moi, répond Céline, je me suis trouvé une petite robe fleurie, super.
- Et moi, d’ajouter...je me suis offert ce chemisier, et cette petite jupe...ça va ?
- A ravir, poursuit Céline, tu portes si bien les fringues.
Dans le feu de la conversation, je raconte à mes amies, le petit embarras de Romain tout à l’heure. Prétendant que j’étais déçu qu’il n’aille pas plus loin.
- Ce salaud m’a planté, dès qu’il vous a vu, dis-je
- A bon, et il te faisait quoi ?
- Il avait glissé un doigt dans mon string, caressait ma fente est pénétré ma chatte.
- Ouah...chaud, répond Julie...et il t’a laissé comme ça…
- A ces mecs, poursuit Céline. Puis y en a qui s’étonne que leur femme les trompe.
L’une d’entre elles me fit remarquer que j’étais donc prête à jouir.
Malgré moi, je dus admettre qu’effectivement, j’étais proche de l’orgasme.
- Quel dommage, sourit Julie.
- C’est certain, ajoute Céline.
Elles sont troublées par mes déclaration érotiques, qui quelque part, les excite. Toutes ensemble elles se retournent, et regarde Romain d’un sourire moqueur. Surpris par tous ces regards, il leur rend leur sourire. Il a compris.
On passe à autre chose, pendant qu’ils s’affairent au barbecue. Hervé et Marc s’occupent des apéros, pendant que Romain s’occupe des grillades.
A chaque tournée, Marc me frôle volontairement. Il n’a pas compris mon message, au point de le recadrer une autre fois, à l’abri des oreilles indiscrètes. Je sais qu’il fantasme sur moi depuis le week-end dernier, ben faudra qu’il vive avec ça.
En plus, je ne suis aucunement attirée par lui.
Je sens une main se poser sur mon épaule. C’est Céline qui s’est aperçu que Marc me tourner autour, me conseille de faire attention, que c’est un fin dragueur. Je la rassuré en lui disant que ce n’était pas mon genre de mec.
Une odeur alléchante se répand sur la table, lorsque Romain apporte les premiers plat. En passant derrière moi, il me murmure à l’oreille.
« Tu perds rien pour attendre, tu vas voir ce soir ce que je vais te mettre».
Cette menace me rend toute chose, m’excite énormément même. J’ai hâte d’être à ce soir, pour bien me le faire mettre, bien profond, car le feu que je sens entre mes jambes, ne va s’atténuer tout seul.
Pendant tout le repas, ses mots ne me quittent pas, m’imaginant les scénarios plus pervers les uns que les autres. Comme me faire sodomiser, ce que je n’ai jamais fait, ou encore avaler du sperme. Autant de scènes qui me font mouiller.
Aucun invité ne s’aperçoit de mon trouble.
Le repas se passe hyper bien, tout le mode apprécie. Il fait très chaud, Aussi, les bouteilles défilent à une vitesse vertigineuse.
Après un passage obligé par la piscine, ou Marc tente encore sa chance, les homme décident de faire une pose, et de remettre le dessert à plus tard.
Pour digérer, Romain improvisent une partie de pétanque, les femmes contre les hommes. Je simule un mal de tête, pour me retirer. En fait, j’ai horreur de ce jeu.
- Ça va pas ma chérie, demande son mari.
- Si, si mon amour, je vais m’allonger cinq minutes.
Je monte rapidement changer mon maillot humide, pour remettre ma tenue initiale. A savoir chemisier, et jupe, faisant impasse sur le soutien-gorge.
Du fait du nombre impair, et donnant la priorité à ses invités, Romain se propose comme remplaçant. Me voyant m’éloigner, Marc envisage de lui laisser la place.
Quant à moi, je décide d’aller m’allonger sur un transat, se trouvant au fond du jardin, à l’abri de tous regards.
Ils jouent bruyamment, ce qui ne m’empêche pas de m’assoupir, bercée par la brise légère qui souffle sur le parc, mais aussi enivrée par le vin.
Les dernières paroles que je reçois, c’est Marc qui demande à Romain de le remplacer. C’est là qu’il a dû m’apercevoir, assoupie sur le transat.
Entre mes paupières à demi-ouvertes, je le vois s’approcher du transat.
Je ne sais pourquoi, mais je le regarde d’un œil différent, le trouve très charmant. Pas au point de succomber à ses charmes, mais me laisser séduire, pour savoir si ma capacité de séduction fonctionne toujours.
Les images flous, deviennent plus nettes.
Je vois Marc prendre un sac de glaçons, l’ouvrir, et le vide dans la bassine. Il en met quelques uns dans un gobelet, et se dirige à pas feutrés vers moi.
Je fais mine de dormir pour savoir jusqu’où il est prêt à aller, et connaître ses intentions. Le transat est placé dos aux invités, à l’abri de tous regards indiscret. Marc pose le gobelet sur l’herbe, et, délicatement, défait les boutons de mon chemisier, jusqu’au dernier. Mes seins, superbes et libres, se dévoilent devant ses yeux ébahis.
Il se met à genoux à côté de moi.
Il prend un glaçon qui fond à la chaleur de sa main. Des petites gouttes glacées tombent entre mes seins et mon ventre. Je sursaute, mais fais toujours mine de dormir. Il relève ma jupe jusqu’à la taille, admirant au passage, le galbe parfait de mes hanches. Des gouttes s’écrasent entre mes cuisses et mouillent mon string. Il remonte vers ma poitrine, et fait glisser un glaçon sur le bout de mes seins, qui durcissent aussitôt. Je me trémousse, mais n’ouvre toujours pas les yeux.
Il s’amuse sur un bourgeon, puis sur l’autre, approche sa bouche, et les suce pour les réchauffer. Il les lèche, les aspire, les prend entre ses lèvres. Je me réveille.
- Mais ça va pas...que fais-tu, grondais-je…
- Chut, me dit-il, laisses-toi faire, ce n’est qu’une caresse.
Amusée et excitée à la fois, je me laisse faire. En fait, mon corps a besoin d’être caressé, peut-être plus, après les préliminaires avortés de mon mari, interrompus par l’arrivait des invités. Et ce n’est pas la main que j’ai glissée dans mon string, qui a calmé mes ardeurs. Et ça, Marc l’a très bien compris.
Il prend un nouveau glaçon dans le gobelet, le promène sur mon ventre, puis sur mon string. Cet endroit intime est tellement chaud, qu’il fond immédiatement, trempant le fin tissu, jusqu’à le rendre transparent. Il reste admiratif devant le résultat de son travail.
Il en reprend un autre. Il le tient fermement entre ses doigts. Il glisse sa main sous l’élastique du string, caresse ma chatte avec le glaçon, sillonne ma fente, jusqu’au petit trou. Je suis de plus en plus excitée, mouillée à la fois par la glace, mais aussi par le plaisir que les glaçons et la situation me procurent. Il me demande de retirer ma jupe, et ce petit bout de tissu détrempé. J’hésite, par peur d’être surprise toute nue. J’obtempère malgré tout. J’ôte la jupe, fait doucement glisser mon string, et le lui donne. Il le prend et le coince dans l’élastique de son maillot.
Il me paralyse quand, avec deux doigts experts, il fait jaillir mon clitoris de son fourreau protecteur, pour le décalotter entièrement.
Il prend le dernier glaçon, le fait surfer sur mon petit organe. Le combat est inégal, arbitré par l’œil vigilent de Marc. Qui va en sortir vainqueur ? Qui va faire fondre l’autre ? Le feu ou la glace ? Mais l’intrus venu du froid, brise bientôt toutes résistances, et m’emmène dans un terrible orgasme. Ma respiration s’accélère, des petits gémissement jaillissent de ma bouche. Je me cambre sur le petit cube de glace, qui m’apporte un intense plaisir.
Certain de l’issue, Marc me regarde, le sourire au coin des lèvres.
Vaincu, l’orgasme s’estompe, avant qu’il ne soit totalement fondu.
- Qu’est-ce que tu me fais salaud...c’est bon tu sais…
- Laisses-toi aller, apprécie l’instant présent.
Je le suis dans son monde perverse, mais aussi risqué. Il n’est pas marié lui…et
je suis entièrement nue devant lui, avec une dizaine d’invités et mon mari à côté.
- Que t’es belle, me dit-il. Quel dommage de n’appartenir qu’à un seul homme.
- Tais toi, gémis-je, caresses-moi. Puis tu sais, la situation peu changer…
Il est vrai, que, placés comme ils sont, ils ne nous voient pas, et cette sensation, étrange pour moi, n’est pas pour me déplaire. Marc peut le constater, quand il entreprend de me doigter. Ses doigts s’enfoncent en moi, me soutirant de petits gémissements, que je dois tenter de dissimuler pour ne pas me faire remarquer des autres, mais surtout de mon mari.
Je lance une main entre les jambes de Marc, essaie de caresser sa queue à travers le short, mais ne fait que l’effleurer. Je la devine énorme.
- Je la veux, murmure-ai-je...dans ma bouche…
- Est-ce bien raisonnable, si quelqu’un vient.
- Tans pis...au point ou on en est…
Marc extrait une queue colossale, reposant sur une énorme paire de couilles.
Proche de nous, nous entendons cogner les boules les unes contre les autres, ce qui laisse supposer, que la partie n’est pas fini, et me laisse le temps de m’occuper de celles de Marc, équivalentes à la grosseur une boule de pétanque..
Lentement, la bite en érection, Marc rampe sur mon corps, prend appuie sur ses mains, au-delà du transat. Ainsi sa queue se trouve juste à la hauteur de ma bouche. Calmement, je la glisse entre les lèvres. C’est moi-même qui la décalotte quand je l’aspire dans ma bouche. Puis Marc entame de lents va et vient, tout comme moi, qui les coordonne aux siens.
Marc n’est pas tranquille. Il sait qu’il va jouir, mais ne veut pas laisser de traces.
La réponse, il l’a quand il jouit...j’avale tout, et nettoie le gland avec ma langue
Marc est tellement excité, qu’il ne s’aperçoit pas que j’ai atteint l’orgasme, il approche sa bouche de ma chatte, et bois le jus de ma jouissance, entre mes lèvres bouillantes. Il la lèche, sa langue la pénètre, ne me laissant aucun répit.
J’ai envie de hurler de plaisir.
- Oh oui...vas-y, lèche ma petite chatte...c’est tellement bon…
- Calmes-toi ma chérie...on pourrait nous entendre.
C’est le dernier de mes soucis, et j’entraîne Marc, dans mon délire.
Il suce et caresse mes seins en même temps. Il continue à me manger la chatte. Je suis prête à venir à nouveau. Je ne me contrôle plus. Mon corps se cambre, et explose en un puissant orgasme, le second en vingt minutes. Je suis secouée de violents spasmes qui m’envahissent intensément.
Marc met sa main devant ma bouche, pour couvrir mes cris de plaisir, que je n’arrive pas à contenir.
Puis les ardeurs s’estompent, laissant la place à une légère lassitude.
Il me dit qu’il attend d’avantage de cette journée, qu’il en veut plus de moi, qu’il me veut à lui pour la nuit.
Il me donne rendez-vous ce soir, dans le patio. Avant de partir, il me dit qu’il veut me baiser, me sodomiser, se faire sucer.
Je suis surprise par ses propos, et la violence des mots. On ne m’a jamais parlé comme ça. Je pourrais lui en vouloir, malgré le plaisir qu’il m’a donné. Pourtant...
- Mais...tu es fou Marc, comment ça...et mon mari enfin.
- S’il te plaît Lucie, j’ai tellement envie de toi…
- Tu sais que c’est impossible, dis-je, des invité vont rester à coucher.
- Je t’en prie Lucie...je te promets que tu ne le regretteras pas.
- Ça, je sais. En fait, tu me demandes de me débarrasser de Romain pour la nuit.
Je réfléchis à la proposition de Marc, qui, je ne l’avais pas remarqué jusqu’à ce jour, m’attire physiquement de part sa virilité. Puis je suis curieuse de sentir sa queue dans la chatte, après l’avoir eu dans la bouche.
Une fois remise, et après réflexion je lui propose carrément de lui ouvrir mon lit.
Je me rhabille, lui laissant mon string en cadeau.
Marc retourne jouer, me laissant sur le transat, reprendre mes esprits. Quand il s’approche des autres, Romain le regarde d’un air suspicieux. Il trouve qu’il est resté longtemps aux toilettes. Romain se doute-t-il que quelque chose s’est passé entre lui et moi. Il décide de venir me voir. Marc doit être rassuré quand il se retourne, et voit mon mari enfoncer sa langue ma bouche pour un sulfureux baiser. Bouche qui, il y a un instant, accueillait sa grosse queue. Marc eut un petit sourire, en pensant certainement que c’était sa bite, qu’il y avait à la place de la langue de Romain.
Malgré tout, l’après-midi se termine dans la bonne humeur. Finalement, seul Marc est resté à coucher. Mais certains sont restés pour dîner, pour finir les restes de midi. Pendant le repas Marc, avec mon aide, alimente allégrement Romain en vin, un peu trop peut-être.
Romain se lève en titubant, s’appuie sur l’épaule de Marc, le remercie de l’avoir aidé au barbecue, et lui demande de m’aider à débarrasser. Il est à deux doigts de s’écrouler. Avec Marc, nous le prenons chacun d’un côté, le montons à la chambre d’amis, le déshabillons, et le couchons. Marc eut un léger sourire, en voyant le sexe rabougri de mon mari.
L’obstacle Romain étant réglé, Marc et moi passons la nuit à faire l’amour dans le lit conjugal. Tous ceux que Marc avait promis, à été fait, Il eut même l’exclusivité de mon petit trou. Je me suis soumise à tous ses caprices, pour mon plus grand plaisir. Je n’ai pas compté les orgasmes que j’ai eu, mais ils furent nombreux.
Pauvre Romain, il devait vraiment être saoul pour ne pas m’entendre crier quand je jouissais. Parce Marc, en bon étalon, m’a fait jouir à plusieurs reprise.
Marc quitte la villa tôt le matin, avant que Romain ne fasse surface.
De la fenêtre, je lui envoie un baiser, comme pour le remercier d’avoir été un amant exceptionnel, et du plaisir qu’il a su me donner, au cours de cette torride et merveilleuse nuit.
Je vais prendre une bonne douche, range le lit, et m’y allonge sur le ventre, entièrement nue, une jambe légèrement replier.
Je suis perdu dans les pensées de cette sulfureuse nuit, quand je sens des cheveux caresser mes fesses, puis une tête se faufiler et les écarter. Aussitôt, une langue lèche ma chatte. Si ce n’est pas comparable avec Marc, je trouve cette langue très agréable, quand elle atteint mon clitoris. J’y prend du plaisir, même si je ne parvient pas à jouir.
- As-tu bien dormi mon amour, me demande Romain.
- Oh oui, dis-je...comme un bébé mon chéri.
- C’était super hier. Tu sais que le week-end prochain, c’est chez Henry.
- A bon...et qui y aura-t-il ?
- Certainement les mêmes qui hier….























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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Le feu et la glace

Le 28/08/2022 - 17:31 par Rackham
Chaud week-end.

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