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Le garçon d'à côté

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Lue : 10298 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/02/2010

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Il s'appelle Hakim, il est charmant, toujours souriant et prompt à la flatterie. Le dom Juan des temps modernes. Il fréquente notre voisine depuis quelques semaines, une jeune niçoise pétillante et affable. A chaque fois que je les croise c'est un rayon de soleil. Hakim taquin et observateur m'interpelle assez régulièrement tout sourire avec des remarques troublantes de ravissement : « bonjour, ma plantureuse voisine ! », « Même en hiver il fait chaud quand je te vois. », « Hum je pense à toi et tu apparais ! »

Son expansivité est agréable. Tellement que j'en rajoute. Je m'habille de façon suggestive même en semaine. Auparavant je réservais mes tenues aguicheuses pour mes sorties en boîte. Ce jour là, sous mon manteau cachemire mi-long, couleur gris anthracite, que j'avais pris soin d'ouvrir à l'approche de la résidence, j'avais un chemisier rose fushia très ajusté, galbant mes formes généreuses à souhait. Mes seins lourds étaient divinement mis à leur avantage. Je défaisais un troisième bouton du haut de mon chemisier pour laisser entrevoir jusqu'à la dentelle de mon soutien gorge rose pâle et bien plus que la naissance de ma poitrine ! Je portai une jupe droite noire qui m'arrivait à mi-cuisse et au moindre mouvement de mes jambes on devinait ma pair de bas noir rattachée à leur portes jarretelles, passés au dessus de mon string accordé à mon soutien gorge.

J'espérais secrètement croiser Hakim et ses regards trop ouvertement appuyés, même en présence de nos compagnons respectifs pour être plus que taquins. C'est un jeu de séduction qui rajoute du piquant à mes semaines. Et ça me plaît beaucoup.

J'attendais l'ascenseur pour monter, un peu déçue de n'avoir pas rencontré Hakim, quand j'entendis les bruits de pas d'un résidant qui descendait les escaliers : Hakim ! A ma vue son visage s'éclaircit et un large sourire lui barra la figure que je lui rendis presque aussitôt : Quel enchantement de te voir ! S'exclama-t-il avec une sincérité manifeste.
Il me détaillait en descendant les dernières marches, s'arrêta à ma hauteur, souleva ma chevelure et se mis à me renifler : Tu sens terriblement bon ! Une vraie pâtisserie raffinée !
Je me contentai de sourire pour ne pas l'encourager explicitement ni le freiner, faisant mine d'être gênée de tant de compliments. Que mon message soit clair ou non, Hakim n'eut pas froid aux yeux et inclina la tête vers moi pour poser un baiser dans mon cou. Une vague de désir me parcourue. Ses lèvres étaient chaudes et humides. Je fermai les yeux et me délectai de ce moment de félicité, délectable au vu des circonstances et des risques encourus.

L'ascenseur arriva, son bip me sortit de ma torpeur. Je me tournai vers Hakim pour lui dire bonsoir et prendre congé à regret, quand je croisai son regard assombri par le désir. Je n'eus pas le temps de comprendre ce qu'il se passait Hakim me prenait par le bras et m’entraînait dans l'ascenseur. Les portes se refermèrent sur nos deux corps embrasés et serrés l'un contre l'autre. Nous habitions au cinquième, mais il appuya un bouton au hasard qui me semblai être le sixième et dernier étage. Il se mis à m'embrasser goulûment. A me caresser les seins. Je m’arc-boutai à lui. Il se saisi d'une de mes jambes ce qui eut pour effet de remonter ma jupe sur mes hanches, et laisser libre de toute exploration mes jambes et ma douce intimité drapés sensuellement. Il passa ses mains sur mes cuisses, remonta aux extrémités de mes bas, pour pétrir et caresser ma chair. Il fit glisser des doigts doux et tièdes sur le voile en dentelle fin de mon string, titilla mon clitoris à travers le délicat tissu. Oh ce que c'est bon ! Une caresse si audacieuse d'un nouvel amant, symbolisant à la fois l'Inconnu, l'Aventure, l'Interdit, en cette fin de journée, paraît une renaissance, une récompense volcanique. Je me sentis prête à me laisser totalement aller à cette salve de sensations délicieusement excitantes et de me laisser dévorer par mon voisin.

Mais soudain l'ascenseur s'arrêta. Quelqu'un allait rentrer. Nous sursautâmes, nous écartâmes l'un de l'autre. Je rabaissai ma jupe en vitesse. L'intrus monta en nous saluant. Occupés à nos caresses nous ne nous étions pas rendu compte des mouvements de l'ascenseur qui avait été rappelé, et fait une descente. L'intrus descendit au quatrième. Nous échangeâmes un regard complice Hakim et moi, et pouffâmes de rire comme deux adolescents, avant de reprendre notre sérieux face à la décision à prendre compte tenu de ce désir évident que nous avions l'un de l'autre. Hakim visiblement toujours aussi enclin à poursuivre où nous nous étions arrêtés, appuya sur le cinquième et d'un air résolu il me dit : « tu me rends fou, je veux te baiser, mais là c'est pas possible. On va chez toi, ou chez moi ? C'est comme tu veux. »
J'hésitai à me montrer trop ouverte, je fis mine d'y réfléchir : « euh... »
Hakim poursuivit : « Je sais que tu en as autant envie que moi, ma copine ne rentre pas avant une bonne heure. Et je sais que ton mec rentre tard, aussi. Accepte, tu en meurs d'envie et ça se voit »
Moi : « Hakim... »
Hakim : « viens »
Je ne lui opposai aucune résistance quand il me mena à l'appartement de sa petite amie. Il fit tourner la clé dans la serrure en ne me quittant pas des yeux, m'embrassant encore. Nous entrâmes soudés l'un à l'autre par nos bouches affamées. Il referma la porte derrière nous. Il se mis à me contempler longuement : « Si tu savais depuis le temps que je surveille tes allées et venues pour capter un moment propice, me caler dans un endroit discret avec toi et te baiser sauvagement. Tu es tellement bandante... si chaude... Ca se lit dans tes yeux que tu es une pure coquine. Tu transpires le sexe. Je rêve de ton corps, de tes fesses rondes et fermes, de tes gros seins, de ta fente juteuse que je devine épilée. »

Tandis qu'il m'expliquait l'intérêt qu'il me porte depuis un moment, il passait des mains avides sur les parties de mon corps qu'il désignait. Il s'interrompit, avant de déboutonner mon chemisier et de le faire tomber par terre. Ma jupe subit le même sort. Je me retrouvai avec mes dessous affriolants sous un regard vert-amande rempli d'ardeur et de détermination. Il m'éloigna de lui en me repoussant pour mieux m'admirer.

Hakim : « fais quelque chose pour moi, va au milieu du salon, mets toi de dos et penche toi que je mate ton cul. J'en ai tellement rêvé que je veux le savourer avec tous mes sens. »

Moi, moqueuse et lascive : « Ne t'évanouis pas... »

Nous nous sourîmes encore. Nous nous sentions bien dans cet aboutissement de notre jeu de séduction et nous désirions faire durer le plaisir autant que possible. Je lui tournai le dos, me rendis au salon nonchalamment en appuyant ma démarche, aidé de mes talons hauts de 6 cm, arrivée au milieu de la pièce, je me cambrai, écartai les jambes, me penchai lentement en maintenant mes fesses bien en l'air. Je caressai mes courbes l'air de rien. Je le senti s'approcher. Je le laissai me contempler à sa guise, m'effleurer de ses doigts. Il me fit sentir son désir en pressant sa queue raide contre ma croupe. Je me posai sur le canapé à quatre pattes, toujours de dos, ouverte en signe d'invite, le haut de mon corps accoudé au dossier du canapé. Il grognait ce gourmand, prêt à faire honneur à mes charmes. J'entendis le bruit de vêtement qu'on défait et laisse tomber par terre négligemment. Puis je le sentis très près. Il plaqua ses mains sur mes fesses les caressa patiemment : « j'adore ton cul, j'ai envie...oh, oui j'ai terriblement envie de ton cul... »

De temps en temps je me tournai pour échanger des regards entendus avec lui et des baisers exquis. Il défit le nœud de mon soutien noué par l'avant. Malaxa mes seins en me ramenant contre son torse. Je passai mes bras derrière moi pour caresser son bas ventre et les parties de son corps que je pouvais atteindre dans cette position. Il se baissa, fit glisser mon string le long de mes jambes pour s'en emparer et le renifler : « hum ça sent la cochonne, et ce que je vois.. est vraiment très appétissant... ».
Mes fesses en l'air lui offrait une vue imprenable sur ma fente luisante de cyprine. Il s'approcha pour me humer la chatte, puis je senti sa langue me lécher furtivement. Je gémis tant mon clitoris gonflé de désir était devenu sensible à la moindre caresse. Puis ses lèvres et sa langue se firent plus voraces encore. Je remuais au rythme de ses assauts mais maintins mes jambes ouvertes pour ne pas le gêner dans son exploration. C'était trop bon, trop, oui beaucoup trop. Il écarta mes fesses pour libérer mon anus et y glisser aussi sa langue, tandis que de son index et son majeur bientôt rejoints par son annulaire il s'agitait dans mon vagin, frottant furieusement mon point G, tout en titillant mon clitoris avec un pouce énergique. Je n'en pouvais plus. J'avais chaud, ma tête allait exploser, mon corps était au bord de la convulsion. C'était si bon ! Je lui disais « oh oui comme ça ! Comme ça ! Ne t'arrête pas ! Oh c'est trop bon ! ». Et je me mis à jouir d'une véritable giclée abondante qui se répandit sur sa main, il en profita pour lubrifier mon anus de tout ce liquide. Puis il se mis debout. Déchira l'emballage d'un préservatif qu'il m'intima de lui enfiler. Je dus me tourner face à lui. Je vis sa belle queue droite et épilée. Elle devait être d'à peu près dix-neuf centimètres de long pour une belle épaisseur en bouche, dans l'anus, dans mon minou... Elle me faisait envie à n'en pas douter. Je lui décochai un regard satisfait auquel il répondit : « Elle te plaît hein... ». D'une voix rauque je dis juste : « très... » . Je mis son pénis dans ma bouche. Mais il m'interrompit

Hakim : « j'aimerais vraiment que tu me suces... mais je veux trop t'enculer là ».

Je me retournai, pour lui offrir mon cul. Il me bouffa littéralement dans un savant anulingus avant de se redresser. Je me cambrai en sentant son gland dans l'antre de mes fesses. Il y allait progressivement pour loger totalement son pénis dans mon cul qui se dilatait à mesure qu'il y entrait. Une invasion anale copieusement savoureuse. Je me sentais remplie, labourée, brutalisée... comblée ! Il s'activait dans mon antre anale, je tremblai de plaisir. J'étais parcourue par une intense sensation de jouissance. Ses va-et-vient étaient de plus en plus énergiques. Je l'entendais haleter et grogner. Lui aussi y prenait un plaisir manifeste. Et de temps en temps il me disait : « tu aimes ça hein ! Sale chienne ! Ma queue dans ton cul ça te plaît ! Prends ça sale pute va! ». Et il m'assenait des coups de queue aussi abrupts que ses paroles. Je ne contrôlais plus rien. Je me sentais aller tellement loin dans l'extase. Je le suppliais de continuer : « je t'en prie encore ! Encore ! Oui baise moi ! Plus fort ! J'adore ta queue ! ».

Il s'assit sur le canapé et me fit grimper sur lui les jambes écartés autour de ses cuisses. Il glissa sa queue entre mes fesses, et je finis de la faire entrer en m'aidant d'une main. Je m'agitai sur son pénis, il m'assénait des coups de reins vigoureux. Nous nous entrechoquions à la même cadence. Hakim ! Mon anus ! Sa queue ! Mon plaisir ! Mes sens ! La couleur du canapé ! Ma sueur mêlée à celle de mon amant ! Tout se confondait ! J'eus un orgasme démentiel qui me fit perdre tout contact avec la réalité. Je ne répondais plus de moi. Hakim me tira les cheveux : « Tu jouis hein grosse salope ! Dis-le que t'es qu'une chienne ! Vas-y dis-le que t'aime ma bite ». Je remuais avec force et vigueur, suffocante et gémissante je lui répondis hurlant presque : « oh oui ! Oui ! Oui ! Oui je suis une chienne ! C'est trop bon ! Encore ! J'en veux ! »

Et il me bouscula vers l'avant, en faisant bien attention à ne pas sortir de moi, pour me faire atterrir face à la table basse. Il se mis alors à me pilonner avec une énergie redoublée. Je gémissais très fort, il disait : « oh ! Putain ! Oh ! Bon sang ! ». Il prenait visiblement sur lui car il était sur le point de jouir. Alors il sorti sa queue : « mange-moi chérie je vais jouir ! ». Et je me retournai lui retirai la capote et l'embouti tout entier jusqu'au fond de ma gorge. Je faisais des va-et-vient le long de son pénis quand il eut des soubresauts, il sorti prestement de ma bouche pour jouir sur mes seins et mon visage. Il caressa mes lèvres, mes joues et ma poitrine de sa queue encore raide.

Je me relevai, il m'arrêta dans mon élan pour me faire asseoir sur le canapé avec lui et il se mis à caresser mes seins à pleines mains : « Reste là je veux te baiser le vagin maintenant ». J'ai pensé radieuse « mais c'est une machine ce mec ! ». Je sentais sa queue encore gonflée de désir, au garde-à-vous contre mes fesses. Il enfila de nouveau un préservatif, m'allongea sur le dos, face à lui, écarta mes jambe en se mettant au dessus de moi, approcha son gland de mon clitoris pour créer un contact léger, pareillement à un baise-main. Il frotta encore un peu mon clitoris de son gland en soutenant mon regard : « tu es tellement belle...tu as un corps fait pour la baise... j'aime les salopes comme toi... ». Et il se pencha pour cueillir un baiser à mes lèvres, m'écrasant de tout son poids par ce geste et pénétrant ma fente humide comme s'il s'était agit d'un passage dans du beurre. Je fermai les yeux conquise et l'enlaçai de mes bras tout en cambrant le bassin pour l'aider dans sa conquête de ma grotte vaginale. Il me fit l'amour doucement. Je me sentais bien. Je n'aurais voulu que ça s'arrête pour rien au monde. Nous nous caressions les cheveux, le visage. J'explorai son corps avec mes mains, imprimant pour m'en souvenir les creux et les bosses formés par la musculature naturelle de mon amant, lui, emprisonnait mes seins tantôt de sa bouche, tantôt de ses mains. J'ouvris les yeux pour l'admirer, nos regards floutés par la félicité se croisèrent, nous échangeâmes un long baiser, tandis que nos riens continuaient leur danse voluptueuse pour mélanger nos intimités. Il caressait mes courbes, mes fesses, mes cuisses. Il accéléra la cadence. J'écartai davantage les cuisses pour accueillir son regain de fougue. Après quelques minutes merveilleuses, il se releva un peu, me saisi par les chevilles ramenant mes jambes à hauteur de sa tête et il m'assena de vifs coups de butoir. C'était divin... divinement bon ! Je perdais la tête à nouveau ! Encore ce coup de chaud ! Encore cette sensation délicieuse au creux des reins ! Oui encore ce plaisir qui gronde et secoue mon corps tout entier. Je sens sa queue qui sort et rentre profondément en moi avec une amplitude extraordinaire. « Hakim... c'est si bon » lui soufflai-je. « Pour moi aussi, c'est très bon princesse » me répondit-il. C'était bon, oui vraiment exagérément bon. Jouir à ce point est effrayant. Et moi je jouissais encore et encore.

Hakim fit balancer mes jambes sur le côté, vers la table basse, il pris appui avec ses mains sur mes fesses et m'opposa de puissants coup de reins qui me secouèrent intensément. Il se pencha vers moi ne s'appuyant plus que d'une main pour attraper un de mes seins qui remuaient eux aussi de toute cette frénésie. Je lui lâchai à bout de souffle « oh oui baise moi, je viens ». Mon amant me dit que lui aussi allait jouir. Il y mit plus d'ardeur comme pour donner tout ce qu'il avait avant le gong. Et ce fut une véritable explosion des sens. Il se contint encore quelques minutes à un rythme diaboliquement effréné. J'explosai bruyamment. Il sortit et jouit sur mon ventre. J'avais de sa semence sur tout le corps, et la mienne qui perlait encore entre mes cuisses. Je caressai ma fente brûlante de toute cette charge. J'enfilai mon string et mon sou-tif. J'étalai comme je pouvais nos semences pour qu'elles soient absorbées. Hakim resté assis sur le canapé, me regardait me rhabiller, l'air songeur. Et me dit : « il faut absolument qu'on remette ça... »

Une fois revêtue, je m'approchai de lui en souriant. Il m'attrapa par les hanches, je plaçai mes mains en croix derrière sa nuque, déposai un baiser appuyé sur ses lèvres, me redressai : « Là tout de suite, je ne peux rien prendre...tu m'as lessivé méchant garçon... » Nous nous sourîmes complices. J'ajoutai : « promis, on le refera, mais motus et bouche cousue ». Je lui caressai les lèvres de l'index.

Hakim : « C'était rudement bon. Excuse ma franchise mais je pensais bien que ce serait quelque chose une partie de baise avec toi, mais là je ne suis pas déçu, c'est au delà de ce que j'aurais pu imaginer. »

Moi : « Moi non plus je ne suis pas déçue. J'adore le sexe, je ne te le cache pas et avec toi ce fut vraiment très bon. »

Nous nous regardâmes repus et conscients de la régularité dans laquelle nous installe de telles confidences et un tel contentement. Je l'embrassai encore, explorant sa bouche de ma langue, il me rendit mes baisers et nous nous quittâmes au pas de la porte tous deux dans l'expectative excitante de la prochaine fois.
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