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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/09/2025
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LE GLAMOUR BEACH AU CAP D AGDE
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Une journée au Glamour Beach – Cap– moi 47 ans. physique un peu rond Elle, Malgache, 30 ans. fine petit seins. On se connais depuis 8 ans et on a decouvert ce lieu magique
Arrivée VIP – 14h00
Nous franchissons les portes du Glamour Beach un peu après 14h, impatients. Ici, seuls les couples et les femmes seules sont admis. Pas d’hommes seuls. Pas de regards lourds ou déplacés. Juste des corps libres, des esprits ouverts, et une atmosphère unique.
Le lieu est superbe :
Une grande piscine fait aussi jacuzzi, avec ses bulles et un ilot au milieu pour faire danser les femmes.
Autour : des places assises limitées, des gens à même le sol sur leurs serviettes.
Surélevés, les transats VIP, comme le nôtre, dominent le bassin.
Un bar central, pour boire et grignoter.
Et tout au fond, la piste mousse, prête à exploser de musique et de bulles.
On est nus, comme tout le monde. Et ce simple détail change tout. Il n’y a plus de faux-semblants. Juste le corps, le regard, l’attitude.
Notre transat est installé pile dans l’angle du bassin. Vue parfaite sur tout. Une bouteille de champagne dans son seau de glace nous attend. On trinque. On s’installe. On observe. On s’excite déjà.
Première mousse – Les premières caresses
Vers 15h, la mousse se met en route. Le son monte. Des corps se pressent sur la piste, la mousse grimpe jusqu’à la taille.
On s’y rend. Ensemble.
Rapidement, des mains s’égarent. Des bouches se cherchent. Niry rit, joue, se laisse frôler. Un homme derrière elle glisse ses mains sur ses hanches. Elle me regarde, interrogative. Je lui réponds d’un simple regard : oui, vas-y.
Il devient plus entreprenant. Ses mains remontent, palpent ses seins. Puis descendent, doucement, vers son sexe. Niry gémit légèrement, tendant ses fesses contre lui.
Pendant ce temps, une femme blonde s’approche de moi. Elle se colle, m’embrasse, et sans attendre glisse sa main sur mon sexe. Je suis déjà dur. Elle sourit. Me prend par la nuque. Sa bouche descend. Elle commence une fellation sous la mousse, tout en regardant la scène devant nous.
Je vois Niry s’ouvrir à l’homme, le laisser la caresser, la pénétrer avec ses doigts. Elle gémit, s’accroche à ses épaules. Et moi, je ressens tout, dans la bouche chaude de cette femme que je caresse, que je laisse me prendre, pendant que ma femme découvre un plaisir nouveau.
Retour au transat – Désir montant
On revient à notre transat. Essoufflés. Moites. Mais excités. Plus un mot. Juste des regards. On se touche. On boit. On s’embrasse. Autour de nous, des couples s’aiment déjà. Sans gêne. Sans faux-semblant.
Un peu plus tard, on descend dans la piscine-jacuzzi pour se détendre. Il y a là un couple black magnifique. Lui est grand, musclé, et très, très bien monté. Son sexe flotte sous l’eau, lourd, fascinant. Je n’arrive pas à ne pas le regarder. Il le voit. Il sourit, amusé :
— Ça te perturbe, hein ?
Je souris. Niry rit doucement. Elle le regarde aussi. Sa compagne nous observe. Elle capte l’alchimie. Elle se rapproche de moi et me souffle :
— Tu veux goûter aussi ?
On sort ensemble de l’eau.
Sur notre transat, Niry s’allonge. Écartée, offerte. Lui s’agenouille entre ses cuisses. Sa bouche glisse sur son sexe, longuement. Elle ondule, les mains dans ses cheveux. Puis elle le guide en elle. Doucement. Centimètre par centimètre. Elle grimace, puis pousse un cri de plaisir.
Je regarde. Hypnotisé. Et pendant ce temps, sa femme se colle à moi. M’embrasse. Sa langue dans ma bouche. Ses mains sur mes cuisses. Puis elle descend. Me suce avec lenteur. Pendant que ma femme est prise par son homme. Son sexe glisse en elle, puissant. Elle crie. Je jouis presque rien qu’en la regardant.
Il l’encule ensuite, lentement, et elle l’accepte, s’abandonne, gémissante. Je ne peux plus parler. Je suis pris dans la bouche d’une inconnue pendant que ma femme se fait prendre par un homme plus viril que moi. Et pourtant, jamais je ne me suis senti plus proche d’elle.
Fin d’après-midi. On sympathise avec un jeune couple de 25 ans,bobo très sensuel. Elle brune 1 m 70 petit seins de long cheveux et une chatte magnifique, lui grand 1 m 80 style rugbymen, brun avec une petite barbe. Ils nous rejoignent sur le transat. La mousse commence à nouveau.
Niry embrasse le jeune homme avec passion. Ils se lèchent, se mordent, se frottent. Elle le suce avec fougue, comme pour le défier. Moi, je caresse la jeune fille, la fais s’asseoir sur mes genoux, je suce ses seins, lui touche sa chatte puis elle me prend elle aussi dans sa bouche, excitée par la scène. Ses fesses viennent se coller à mon bassin, elle me guide en elle, et gémit à son tour. Heureusement, des préservatifs sont toujours à portée de main dans les distributeurs à chaque coin – c’est pensé pour.
Je la prends fort, sa peau contre la mienne, mes mains sur ses hanches. Son dos cambré. Son souffle court.
Et puis – le sommet du moment :
Nos deux femmes se rapprochent. Toujours en pleine action, toujours prises par nous, elles se penchent l’une vers l’autre… et leurs bouches se trouvent.
Un baiser. Long. Mouillé. Animal.
Elles se lèchent, se mordent doucement, sans quitter leurs partenaires respectifs.
Nous ralentissons nos mouvements un instant, hypnotisés par la vision de nos femmes qui s’embrassent en jouissant.
Puis, dans un même élan, nous les faisons se tourner.
À quatre pattes sur le transat, les fesses pleines de mousse, elles nous offrent leur dos cambré.
Nous les prenons en levrette, côte à côte. Elles gémissent en chœur, les mains l’une dans l’autre, les yeux fermés.
Des bulles tombent du ciel. D’autres couples passent, certains s’arrêtent, observent. Un ou deux hommes frôlent les reins de nos compagnes, posent une main sur leurs fesses. Mais rien ne casse notre moment. Il est à nous. Unique. Surnaturel.
Les vagues de plaisir montent. J’entends Niry crier à nouveau, son dos se creusant sous le coup de l’orgasme.
Je jouis à mon tour, la bouche entrouverte, les yeux rivés sur elle.
Puis tout s’apaise.
On reste là, encore quelques minutes. Nus. Enlacés. Vidés. Témoins d’un instant hors du temps.
Clôture – Le silence doré
Vers 18h, la lumière baisse. Le calme revient. On est toujours nus, toujours ensemble. Assis sur notre transat, les corps fatigués, comblés. On se serre fort. On sait qu’on ne reviendra plus les mêmes.
Arrivée VIP – 14h00
Nous franchissons les portes du Glamour Beach un peu après 14h, impatients. Ici, seuls les couples et les femmes seules sont admis. Pas d’hommes seuls. Pas de regards lourds ou déplacés. Juste des corps libres, des esprits ouverts, et une atmosphère unique.
Le lieu est superbe :
Une grande piscine fait aussi jacuzzi, avec ses bulles et un ilot au milieu pour faire danser les femmes.
Autour : des places assises limitées, des gens à même le sol sur leurs serviettes.
Surélevés, les transats VIP, comme le nôtre, dominent le bassin.
Un bar central, pour boire et grignoter.
Et tout au fond, la piste mousse, prête à exploser de musique et de bulles.
On est nus, comme tout le monde. Et ce simple détail change tout. Il n’y a plus de faux-semblants. Juste le corps, le regard, l’attitude.
Notre transat est installé pile dans l’angle du bassin. Vue parfaite sur tout. Une bouteille de champagne dans son seau de glace nous attend. On trinque. On s’installe. On observe. On s’excite déjà.
Première mousse – Les premières caresses
Vers 15h, la mousse se met en route. Le son monte. Des corps se pressent sur la piste, la mousse grimpe jusqu’à la taille.
On s’y rend. Ensemble.
Rapidement, des mains s’égarent. Des bouches se cherchent. Niry rit, joue, se laisse frôler. Un homme derrière elle glisse ses mains sur ses hanches. Elle me regarde, interrogative. Je lui réponds d’un simple regard : oui, vas-y.
Il devient plus entreprenant. Ses mains remontent, palpent ses seins. Puis descendent, doucement, vers son sexe. Niry gémit légèrement, tendant ses fesses contre lui.
Pendant ce temps, une femme blonde s’approche de moi. Elle se colle, m’embrasse, et sans attendre glisse sa main sur mon sexe. Je suis déjà dur. Elle sourit. Me prend par la nuque. Sa bouche descend. Elle commence une fellation sous la mousse, tout en regardant la scène devant nous.
Je vois Niry s’ouvrir à l’homme, le laisser la caresser, la pénétrer avec ses doigts. Elle gémit, s’accroche à ses épaules. Et moi, je ressens tout, dans la bouche chaude de cette femme que je caresse, que je laisse me prendre, pendant que ma femme découvre un plaisir nouveau.
Retour au transat – Désir montant
On revient à notre transat. Essoufflés. Moites. Mais excités. Plus un mot. Juste des regards. On se touche. On boit. On s’embrasse. Autour de nous, des couples s’aiment déjà. Sans gêne. Sans faux-semblant.
Un peu plus tard, on descend dans la piscine-jacuzzi pour se détendre. Il y a là un couple black magnifique. Lui est grand, musclé, et très, très bien monté. Son sexe flotte sous l’eau, lourd, fascinant. Je n’arrive pas à ne pas le regarder. Il le voit. Il sourit, amusé :
— Ça te perturbe, hein ?
Je souris. Niry rit doucement. Elle le regarde aussi. Sa compagne nous observe. Elle capte l’alchimie. Elle se rapproche de moi et me souffle :
— Tu veux goûter aussi ?
On sort ensemble de l’eau.
Sur notre transat, Niry s’allonge. Écartée, offerte. Lui s’agenouille entre ses cuisses. Sa bouche glisse sur son sexe, longuement. Elle ondule, les mains dans ses cheveux. Puis elle le guide en elle. Doucement. Centimètre par centimètre. Elle grimace, puis pousse un cri de plaisir.
Je regarde. Hypnotisé. Et pendant ce temps, sa femme se colle à moi. M’embrasse. Sa langue dans ma bouche. Ses mains sur mes cuisses. Puis elle descend. Me suce avec lenteur. Pendant que ma femme est prise par son homme. Son sexe glisse en elle, puissant. Elle crie. Je jouis presque rien qu’en la regardant.
Il l’encule ensuite, lentement, et elle l’accepte, s’abandonne, gémissante. Je ne peux plus parler. Je suis pris dans la bouche d’une inconnue pendant que ma femme se fait prendre par un homme plus viril que moi. Et pourtant, jamais je ne me suis senti plus proche d’elle.
Fin d’après-midi. On sympathise avec un jeune couple de 25 ans,bobo très sensuel. Elle brune 1 m 70 petit seins de long cheveux et une chatte magnifique, lui grand 1 m 80 style rugbymen, brun avec une petite barbe. Ils nous rejoignent sur le transat. La mousse commence à nouveau.
Niry embrasse le jeune homme avec passion. Ils se lèchent, se mordent, se frottent. Elle le suce avec fougue, comme pour le défier. Moi, je caresse la jeune fille, la fais s’asseoir sur mes genoux, je suce ses seins, lui touche sa chatte puis elle me prend elle aussi dans sa bouche, excitée par la scène. Ses fesses viennent se coller à mon bassin, elle me guide en elle, et gémit à son tour. Heureusement, des préservatifs sont toujours à portée de main dans les distributeurs à chaque coin – c’est pensé pour.
Je la prends fort, sa peau contre la mienne, mes mains sur ses hanches. Son dos cambré. Son souffle court.
Et puis – le sommet du moment :
Nos deux femmes se rapprochent. Toujours en pleine action, toujours prises par nous, elles se penchent l’une vers l’autre… et leurs bouches se trouvent.
Un baiser. Long. Mouillé. Animal.
Elles se lèchent, se mordent doucement, sans quitter leurs partenaires respectifs.
Nous ralentissons nos mouvements un instant, hypnotisés par la vision de nos femmes qui s’embrassent en jouissant.
Puis, dans un même élan, nous les faisons se tourner.
À quatre pattes sur le transat, les fesses pleines de mousse, elles nous offrent leur dos cambré.
Nous les prenons en levrette, côte à côte. Elles gémissent en chœur, les mains l’une dans l’autre, les yeux fermés.
Des bulles tombent du ciel. D’autres couples passent, certains s’arrêtent, observent. Un ou deux hommes frôlent les reins de nos compagnes, posent une main sur leurs fesses. Mais rien ne casse notre moment. Il est à nous. Unique. Surnaturel.
Les vagues de plaisir montent. J’entends Niry crier à nouveau, son dos se creusant sous le coup de l’orgasme.
Je jouis à mon tour, la bouche entrouverte, les yeux rivés sur elle.
Puis tout s’apaise.
On reste là, encore quelques minutes. Nus. Enlacés. Vidés. Témoins d’un instant hors du temps.
Clôture – Le silence doré
Vers 18h, la lumière baisse. Le calme revient. On est toujours nus, toujours ensemble. Assis sur notre transat, les corps fatigués, comblés. On se serre fort. On sait qu’on ne reviendra plus les mêmes.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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Commentaires du récit : LE GLAMOUR BEACH AU CAP D AGDE
Le 04/09/2025 - 10:05 par Emma_blonde
Hmm le Glamour beach..Une histoire la nuit au club ? Au Tantra ? Melrose ? Bodega ?... J'étais au Cap cet été, on aurait pû s'y rencontrer... Sex-party dans les coursives. Sublime !
Hmm le Glamour beach..Une histoire la nuit au club ? Au Tantra ? Melrose ? Bodega ?... J'étais au Cap cet été, on aurait pû s'y rencontrer... Sex-party dans les coursives. Sublime !
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