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Marion 4 - Le temps des études

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/10/2025

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A la rentrée, mes parents m’ont trouvé un appartement T3 en ville, proche de mon école et de l’université, où j’ai accueilli Maud en colocation pas chère. Elle y a sa chambre mais apprécie beaucoup mon grand lit. Elle continue à voir Christian très souvent (plus que nécessaire pour le mannequinat) et n’a plus besoin d’un autre job pour payer ses études.
Pour ma part, je m’envoie en l’air régulièrement mais pas si souvent que ça, avec des camarades de promo ou avec des copains de Maud. Mon frère vit avec sa copine Sophie. Comme elle doit s’absenter deux jours (donc une nuit) par mois pour son boulot, il passe régulièrement à l’appartement pour une petite sodomie. Maud n’a pas envie d’y goûter. Je pense qu’elle est amoureuse de Christian qui, apparemment, le lui rend.
Fin janvier, un lundi soir, en rentrant à l’appartement, je trouve Christian et Maud qui visiblement m’attendent. Ils m’annoncent qu’ils vont vivre ensemble (adieu ma tendre colocation) et qu’ils veulent partir ensemble dans la famille de Christian en Allemagne pour dix jours en février (période de vacances scolaires) et Christian me propose de tenir sa boutique, seule en me précisant qu’il me rémunèrera. Je sais que mes vacances au ski avec mes parents viennent de s’envoler mais j’accepte, trop heureuse de leur bonheur.
La fin de semaine arrive et, le vendredi soir, comme chaque semaine, je rentre chez mes parents pour le week-end. Marc et Sophie ne venant que le lendemain midi, maman sort avec ses amies. Papa en profite pour m’enlacer tendrement et me demande si j’accepte être en sous-vêtements pour le repas. Je lui souris et vais rapidement me déshabiller. Je reviens couverte d’un tanga noir et d’un soutien-gorge en tulle montrant l’entièreté de mes seins. Papa me prend dans ses bras et m’embrasse. Nous passons en cuisine pour déguster le repas léger que maman nous a préparé et passons ensuite au salon où je suis vite nue pour finir par une douce et tendre levrette après un échauffement en 69. Le lendemain, quand tout le monde est à table, je présente la requête de Christian et leur dit mon acceptation. Papa et maman comprennent. Marc et Sophie profitent du silence qui s’installe pour nous annoncer leur mariage en juin prochain, ce qui redonne le sourire à tout le monde. Marc demande aussi s’il peut me remplacer au ski, Sophie ne pouvant pas se libérer de son travail. Les parents étant d’accord, je demande à Sophie, avec qui je m’entends bien, si elle veut passer cette semaine chez moi afin que nos soirées ne soient pas solitaires. Il faut d’ailleurs que je vous la décrive un peu. C’est une brune de ma taille mais plus charpentée (pas enrobée). Sa forte ossature pourrait la faire paraitre massive mais sa taille et sa sveltesse rattrapent tout. Son Corps en H porte une jolie poitrine (j’apprendrai ultérieurement qu’elle fait du 90 C) et sa jolie chevelure ondulante brune lui touchant les épaules est rayonnante. Même si nous ne sommes pas proches, nous nous entendons très bien et chaque fois que nous nous retrouvons, nos bisous de salutation s’accompagnent d’une franche accolade. Ce week-end se termine dans la bonne humeur et chacun se fait une joie des projets à venir.
Dernière semaine avant les ‘’vacances’’, studieuse, chargée en devoirs et autres réjouissances. Le jeudi soir, Christian m’appelle pour m’informer qu’il vient d’être contacté pour un shooting de manteaux et vestes à faire le lundi. Cela ne le gêne pas de me refiler le travail mais il m’informe qu’il n’a pas de mannequin, Maud partant avec lui, et me demande si je connais quelqu’un. Je lui réponds que je vais chercher. Je pense bien sûr à une ou deux copines de promo mais commence par téléphoner à Sophie dont la stature devrait bien rendre pour les vestes et les manteaux. Je me dis aussi que cela va renforcer notre lien et rendre la semaine que nous allons passer ensemble plus agréable. Bien que son métier soit dans la relations publique, où elle ne se met jamais en avant, elle accepte en me précisant qu’elle ne peut se libérer que le lundi matin.
Le vendredi soir arrive et nous le passons en famille. Dès le lendemain matin, nous nous retrouvons seules, Sophie et moi. Je file rapidement au magasin de Christian pour le libérer. Sophie n’ayant rien prévu m’accompagne. Quand je ferme la boutique, à 18 h, après une journée bien remplie, je fais visiter les lieux à Sophie et lui montre la salle où elle posera pour les manteaux et vestes qui viennent d’être livrés. Mais ce qui la surprend, c’est la pièce destinée aux photos de boudoir. Face à sa réaction, à priori négative, je l’emmène dans le bureau de Christian où il y a un exemplaire de mon book et je le luis fais découvrir. Je l’observe ; elle rosit mais ne pose pas le livre et semble absorbée par les photos. Je me lève et me place derrière elle en posant doucement mes mains sur ses épaules que je caresse. Je me penche vers elle en mettant mes mains sur ses hanches et je luis propose mezzo voce de la photographier en sous-vêtements. Elle ne répond rien mais obtempère aux pressions de mes mains et m’accompagne en me tenant la main. Je soulève son pull noir et elle m’accompagne en levant les bras. Je passe le dos d’un doigt sur son soutien-gorge noir ne laissant rien voir mais mettant en valeur sa peau naturellement mate. D’elle-même elle retire son jean m’apparaissant dans un sage string noir sans fioriture. Je lui dis qu’elle est belle et l’accompagne au canapé où je l’installe. Après quelques clichés que je sais inutiles, elle commence à se détendre et à participer en acceptant mes demandes de mouvement. La séance ne dure qu’une trentaine de minutes et, après qu’elle se soit rhabillée, je l’emmène au poste de traitement des photos. Elle m’observe ajoutant un fond pour ‘’colorer’’ l’image et commence à comprendre mon travail. Nous choisissons ensemble les deux plus belles photos que je tire en 13*18 avant de détruire les épreuves numériques pour la rassurer. Elle est rayonnante et ne lâche pas ses tirages comme s’il s’agissait d’un trésor. Nous rentrons à mon appartement très complices. Pendant le trajet, elle me pose plein de questions, curieuse de connaitre mon ressenti lors des photos où je suis torse nu (même si on n’y voit que mon dos). Je lui raconte mon stage, ma découverte du sexe avec Christian puis avec Maud (en ne lui parlant ni de mes parents ni de Marc). Elle comprend que j’aime le sexe comme j’aime les gens et que je n’ai pas de fausse pudeur tout en n’étant pas exhibitionniste.
Pendant le repas, elle me parle d’elle. Marc est son second copain. Elle a quitté le premier qui voulait l’offrir à ses potes. Elle aime Marc et apprécie qu’il sache la faire jouir tout en respectant ses blocages. Après le repas, elle sort ses photos en semblant étonnée qu’elle ait pu se prêter à ce genre de clichés. Alors que je suis à nouveau dans son dos, luis caressant les épaules, elle reconnait qu’elle est assez pudique mais que ça ne lui a pas paru trop difficile d’être en sous-vêtements devant moi. Je lui dis que je l’ai trouvée très belle. Elle sourit. Je descends mes mains pour attraper son pull. Elle renverse sa tête en arrière pour me regarder, l’air mi interrogateur, mi amusé et lève les bras pour me donner son consentement. J’abaisse les bretelles du soutien-gorge et reprend mes caresses sur ses épaules, aventurant mes mains jusqu’à l’orée de ses seins. Elle comprend mes désirs mais me partage ses peurs, n’ayant jamais eu de relation saphique. Pour la rassurer, je me penche sur elle et l’embrasse tendrement. Elle se lève et vient dans mes bras me rendre ce baiser qu’elle semble apprécier. Lorsqu’elle soulève mon tee-shirt, elle est surprise de me trouver seins nus. C’est à cet instant que son téléphone sonne ; Marc l’appelle en vidéo. Elle rougit ne sachant comment réagir. Je prends son téléphone et répond en ne cadrant que ma tête puis je lui passe Sophie qui s’est reprise et pense à ne cadrer que sa tête. L’appel terminé, elle s’assoit dans le canapé, sonnée, effrayée à la pensée que Marc aurait pu deviner notre relation. Je la rejoins et la prends dans mes bras en l’embrassant. De baisers en caresses, je la dévêts entièrement avant de lui prendre la main pour l’emmener dans mon lit. Sauf quand elle m’embrasse, elle est passive. Nous nous allongeons côte à côte après que je me sois dénudée et, en lui embrassant les seins, je lui demande de me caresser. Elle réagit enfin et ose me caresser les seins, étonnée d’y prendre plaisir. Elle s’éveille enfin à mes jeux coquins et un premier plaisir nous transporte sous nos caresses mutuelles accompagnées de baisers. Alors que la pression redescend un peu, nous discutons de notre ressenti mutuel tout en continuant à nous caresser. Je lui dis que j’ai envie de la lécher. Elle bloque un peu et m’avoue que ça fait partie de ses blocages mais elle m’autorise à la goûter. Ma bouche explore son corps sans que mes mains n’arrêtent un instant de la caresser ; de sa bouche à son cou, de son cou à ses seins, de ses seins à son ventre et de son ventre à ses cuisses, je l’embrasse, la lèche et la goûte sans relâche. Elle a fermé les yeux et se laisse aller, ses gémissements continus parlent pour elle. Ni mes mains ni ma bouche n’ont encore effleuré son sexe toujours humide. Je positionne ses jambes sur mes épaules et me penche pour un premier coup de langue sur ses lèvres grandes ouvertes en faisant descendre mes mains sur ses fesses. Mon second coup de langue plus appuyé s’accompagne d’une caresse sur son anus. En gémissant, elle me dit : « pas là s’il te plaît ». Ma langue remonte sur son clitoris pendant que je lui ouvre l’anus d’un doigt. Sa surprise est double et elle ne peut s’empêcher de crier. Pour l’achever, je m’empare de son clitoris avec la bouche, un doigt toujours enfoncé et remuant dans son cul pendant qu’avec l’autre main je lui mets deux puis trois doigts dans le vagin. Elle crie non sans arrêt mais se projette vers ma bouche de manière saccadée jusqu’à ce que je la sente se tendre dans un ultime cri avant de retomber pantelante sur le matelas. Je la laisse s’apaiser en lui caressant la poitrine avant de l’embrasser à pleine bouche pour qu’elle puisse connaitre le goût sucré de sa jouissance. Elle me regarde, étonnée de la puissance de son orgasme et, en me caressant le minou, elle me dit que je suis une belle perverse mais qu’elle a aimé. Lentement, en douceur et seulement avec ses mains, elle me fait jouir. Ce n’est pas fulgurant mais c’est bon. Après quelques baisers, nous reprenons notre conversation. Elle m’avoue qu’elle n’avait connu que des tentatives de cunnilingus mais que jamais une langue n’avait vraiment joué avec elle. Elle ajoute qu’elle considérait son anus comme incapable de procurer du plaisir mais que je lui avais prouvé le contraire malgré elle. Nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre. Le dimanche matin, bien tard, c’est Sophie qui me réveille par de tendres caresses sur mes seins. Après quelques bisous, direction la douche puis petit-déjeuner. Je propose alors à Sophie de faire le shooting dans l’après-midi pour la libérer le lendemain et me laisser plus de temps pour le post-traitement. Elle accepte et rit quand, au moment de s’habiller, je lui demande de ne pas mettre de soutien-gorge. Repensant à l’appel de Marc la veille, elle me remercie de mes réflexes et ajoute que je prenais le risque qu’il me voit seins nus. Je lui dis que ça n’aurait pas été grave puisqu’il m’avait déjà vue nue. Elle est étonnée puis, troublée, elle me demande si c’est juste accidentel ou habituel… La sentant apeurée, je décide d’être sincère avec elle. Je lui raconte qui j’étais il y moins d’un an : une jeune fille vierge ne pensant pas au sexe. Puis je lui raconte mon stage, Christian, mon dépucelage, la découverte du saphisme avec ma mère puis avec Maud et enfin ma fessée et ma première sodomie avec Marc et mes rapports avec mon père… Elle comprend alors pourquoi il passe ses soirées avec moi lorsqu’elle part. Je la sens déchirée entre la jalousie et l’abasourdissement… Je lui précise alors que Marc ne m’a jamais pénétrée vaginalement car il refuse de la tromper. Elle comprend l’amour qu’il lui porte et ses manques. Elle m’avoue n’avoir jamais pensé qu’il puisse avoir des envies si fortes. Elle sait qu’elle bloque à la pensée de se faire sodomiser. Je la laisse à ses cogitations et après un petit encas, nous partons au magasin de Christian. Arrivées sur place, je dis à Sophie que je la veux seins nus pour passer les vêtements en la rassurant sur le fait qu’on ne les verra jamais (ses seins !). Je lui explique que nous ferons des photos avec les manteaux fermés puis ouverts mais ne découvrant que son sillon mammaire et son ventre, tout au plus on pourra deviner la naissance d’une courbe… Elle me fait confiance et nous commençons les prises de vue. Les vêtements s’enchainent et nous en sommes aux trois-quarts de la collection lorsque je décide de faire une pose le temps d’un café. La trouvant toujours aussi désirable, j’en profite pour l’embrasser en la caressant. Elle rit et ajoute que pour une fille ayant si peu d’expérience sexuelle, je suis une vraie perverse. Puis, après un court instant de réflexion, elle me demande si j’accepterais de me faire sodomiser par Marc en sa présence. Je la regarde en souriant et lui avoue que ça me plairait mais que j’y mettrai des conditions. Elle m’interroge se demandant quelle idée tordue je peux avoir. Je lui dis qu’il y aura deux conditions, la première étant que je puisse la lécher pendant que je me fais enculer. Là, elle éclate de rire et me traite de cochonne. Je lui fais les gros yeux, la faisant encore plus rire et nous reprenons notre séance. Nous quittons le studio vers dix-neuf heures et passons par la case restaurant avant de rentrer chez moi. De retour à la maison, nous commençons la soirée en parlant de nos expériences de sexe. Elle me raconte son premier copain qui la sautait tout le temps mais surtout qui cherchait à la voir se faire sauter par d’autres. Le dernier soir qu’elle a passé avec lui, il avait invité un de ses copains et sa nana. Alors qu’elle amenait un plat, il a soulevé sa jupe pour montrer ses fesses à son copain. Elle est partie en pleurant et l’a quitté. La sentant encore bouleversée par ce souvenir vieux de plus d’un an, je l’enlace et l’embrasse. Elle sourit et me rend mon baiser en me caressant les fesses et ajoute qui si, lors de ses absences régulières, Marc veut me pénétrer en plus de me sodomiser, elle n’en sera pas jalouse. Alors que nous venons de nous déshabiller mutuellement, j’annonce à Sophie que ses insultes (perverses, cochonne…) méritent une fessée. Elle éclate de rire mais se prête au jeu. Sans la frapper fort, je m’en donne quand même à cœur joie sur son joli cul qui prend de la couleur rapidement. Je m’arrête alors, la positionne en levrette et lui lèche la rondelle avant de descendre sur son sexe. Ma bouche est sur ses lèvres, ma langue la pénétrant pendant que, de la main droite, j’excite son clitoris et que, de la main gauche, je l’encule avec deux doigts. Elle hurle son bonheur avant de s’effondrer pantelante sur le lit. Je ne lui laisse pas le temps de se remettre. Je la retourne et l’enfourche en mettant mon sexe à hauteur de sa bouche. L’extase qu’elle vient de vivre a fait tomber une nouvelle barrière et elle dépasse son appréhension primaire pour me lécher à son tour. Cette fois-ci, je jouis vraiment et nous finissons par un tendre câlin en mêlant nos salives et nos goûts intimes. Nous nous endormons ainsi. Le lundi, Sophie a eu du mal à repartir au travail. Pour ma part, j’ai bouclé les retouches et envoyé les épreuves puis, ayant du temps, j’ai commandé quelques ‘’jouets’’ en pensant à ma chère Sophie. Le soir, pendant le repas, je lui annonce ma seconde condition pour qu’elle soit présente lors de ma prochaine sodomie : elle devra offrir son cul à son mari le soir de ses noces, mais cela doit rester une surprise. Elle me dit aussitôt qu’elle ne s’en sent pas capable même si elle apprécie mes doigts. Je lui dis alors que je vais la préparer tout au long des 4 mois qui nous restent. Elle capitule et accepte. La semaine passe vite, nous travaillons toute la journée et ne nous endormons qu’après avoir joui l’une de l’autre. Le samedi, Sophie ne travaille pas et elle vient m’aider au magasin. Le midi, nous nous accordons un dernier câlin à deux en sachant que nos skieurs rentrent le soir.
C’est soirée pizza, tout le monde étant fatigué qui de la route, qui de sa semaine de travail… Mais la bonne humeur est là. Marc et Sophie nous quittent bien vite car ils vont chez les parents de Sophie le lendemain. Le lendemain matin, alors que papa est parti courir, je discute avec maman. Nous sommes dans ma chambre. Je commence par lui montrer mon dernier tanga crème et noir, mettant en valeur mes fesses, accompagné d’un soutien-gorge triangle sans armature. Elle sourit et me dit que je vais encore faire craquer mon père avec mes charmes mais qu’il faut que je pense à entretenir ma toison. Je rougis un peu mais elle me rassure en m’informant qu’ils se disent tout et qu’elle n’en éprouve aucun ressenti car il ne la trompe jamais si ce n'est avec moi, leur fille. Le sujet dérivant sur le sexe, je lui raconte ma semaine avec Sophie et, tant qu’à tout déballer, je lui raconte mes rapports avec Marc. Après un instant de surprise, elle me dit que je suis comme mon père au même âge à toujours vouloir tout découvrir. Je lui demande alors si elle a déjà reçu une fessée. Elle m’avoue que non mais qu’elle ne pourra pas essayer, son mari n’ayant pas ce genre de penchant. Je lui dis que la fessée de Marc est celle qui m’a le plus marqué. Elle me dit qu’elle n’a jamais rien fait avec son fils, que je suis la seule qui l’ait fait déraper. La sentant dubitative, je l’enlace pour un câlin et en profite pour lui mettre une claque sur une fesse. Elle rit et me dit que je deviens trop affamée. Je lui rétorque que je n’ai ce comportement qu’avec les gens que j’aime. Toujours amusée, elle me propose une petite séance d’épilation. J’en suis très heureuse et me mets nue immédiatement. Arrivées dans la salle de bains, je l’enlace de nouveau, l’embrasse et lui demande de se déshabiller. Je la découvre dans une tenue vert pâle très classique et ne découvrant qu’une petite partie de ses jolies fesses. Pendant qu’elle taille ma toison, je lui enlève son soutien-gorge et porte ma main sur ses seins que j’érige rapidement. Elle me pose un bisou sur les lèvres et me dit qu’elle constate que j’ai beaucoup gagné en expérience mais que je dois rester sage pour qu’elle finisse ce qu’elle a commencé. Je me laisse aller jusqu’à ce qu’elle me termine par un doux cunnilingus pour lequel elle est maître. Nous finissons dans ma chambre où je la fais jouir avec ma bouche. Je suis heureuse de constater que son plaisir est plus grand que la première fois. J’insiste pour qu’elle se fasse fesser par Marc en lui garantissant une belle sodomie. Elle veut bien essayer le dimanche suivant si je réussis à emmener mon père et Sophie. Je m’engage à y arriver. Le repas du midi terminé, nous débarrassons tous. Maman nous dit qu’elle s’offre une petite sieste afin d’être en forme pour reprendre son travail le lendemain puis, au bas de l’escalier, elle dit à mon père qu’elle m’a rectifié le maillot et que j’ai un nouvel ensemble de lingerie qui devrait lui plaire. Après un instant d’étonnement, nous éclatons de rire. Maman monte l’escalier, papa me regarde et me demande si je suis partante pour un petit striptease. Je souris et, tranquillement, tout en me déhanchant, je m’effeuille. Mon pantalon vient de tomber et je suis en sous-vêtements quand papa me prend dans ses bras et m’embrasse en me caressant les fesses. Puis il demande à voir ma poitrine. J’enlève mon soutien-gorge et le jette sur le canapé. Papa me caresse longuement puis m’assoit sur la table et m’embrasse l’intérieur des cuisses tout en passant deux doigts qui soulèvent le bord du tanga pour me caresser le sexe en surface. Je commence à être bien chaude. Il me redescend de la table et me dit de m’appuyer sur une chaise, les cuisses écartées, le dos courbé. Je l’entends descendre son pantalon puis il écarte mon tanga et me pénètre d’une seule poussée. C’est bon, il me remplit bien et je monte très vite en cadence. A chaque fois qu’il s’écarte de moi, il me chauffe les fesses ; c’est un délice qui me mène rapidement vers un bel orgasme dont il ne se préoccupe pas car il n’a pas encore joui. Il continue à me pilonner et, lorsqu’il jouit, j’ai un nouveau frisson de plaisir. Je vais prendre une douche. Quand je sors de ma chambre après m’être changée et rhabillée, j’entends mes parents faire l’amour, ça me fait plaisir.
Comme mes parents et Sophie, je reprends le travail, Christian et Maud ne rentrant que le mercredi soir. Seul Marc, en dernière année avec de nombreuses semaines de stage, a encore une semaine de vacances. Le lundi matin, j’ai un couple qui m’a demandé des photos de boudoir. Je reste professionnelle et leur permet de se dénuder partiellement pour des photos exprimant la tendresse. Marc m’attend au bureau. Mes clients partent peu avant midi en me remerciant. Je rejoins Marc et nous mangeons ensemble. Il me dit que Sophie lui a raconté sa semaine et il sait qu’elle ne désapprouve pas nos relations. Il me remercie d’avoir aplani ce problème alors qu’il ne savait pas par quel angle l’aborder. Il me parle de leur mariage et me dit qu’ils veulent que je sois leur photographe officielle. Je lui dis mon bonheur en l’embrassant. Puis j’ajoute que j’y mets une condition : la semaine d’avant leur mariage, Marc sera chez les parents et Sophie sera dans mon lit. Ma condition le fait sourire et il l’accepte aussitôt si j’accepte une fessée pour mes désirs qui pervertissent sa dulcinée. Je m’approche de lui et, en l’embrassant, lui donne mon accord tout en lui précisant que je n’ai pas le temps immédiatement, ayant la commande du matin à terminer. Je lui propose alors de venir manger chez eux le soir-même en lui précisant qu’il pourra agir comme il veut sur mon corps en présence de Sophie. Le soir, lors d’un rapide repas ensemble, j’informe Sophie que j’ai accepté d’être leur photographe de mariage à une condition que je lui révèle. Je lui dis que, pour se venger de la pervertir ainsi, Marc doit me donner une fessée. Je m’approche de lui, il baisse mon pantalon et m’enlève ma blouse avant de me coucher sur ses genoux. Sans baisser mon tanga, il me fesse, tranquillement, sans force mais avec une grande régularité. Quand il voit le bas de mes fesses qui commencent à avoir une belle couleur, il dégrafe mon soutien-gorge et finit de me dénuder en m’enlevant mon tanga. Je vois Sophie se mettre nue aussi. A mon grand étonnement, la fessée reprend jusqu’à ce que je demande grâce. Alors il me relève et m’ordonne de le déshabiller et de le sucer. Je m’exécute avec plaisir en lui redisant que je ne veux pas qu’il jouisse dans ma bouche. Quand il se sent bien chaud, il me relève et après m’avoir embrassée en me titillant les tétons, il m’emmène dans leur chambre et me couche, ventre sur le lit. Il s’approche et, en me caressant les fesses, il me pénètre le vagin en profondeur. J’en gémis de plaisir et comprends que Sophie l’y a autorisé. Mais assez rapidement, il sort et me sodomise. Ses mouvements sont doux, il prend son temps et est attentif à mon plaisir. Il n’accélère sa cadence que lorsqu’il sent mon premier orgasme. Sophie, se place face à ma bouche, les jambes bien écartées pour que je la lèche. Marc me pilonne si bien que je sens le plaisir remonter et je crie ma joie lorsque je le sens exploser en moi. Sophie ne tarde pas à jouir à son tour. Après un rapide câlin, je me rhabille et rentre chez moi.
Le mercredi en fin d’après-midi, Christian et Maud, radieux, passent au magasin pour récupérer les clés, me payer et faire le chèque de mannequinat pour Sophie. Christian me dit que son client l’a appelé et qu’il est ravi des photos qui seront en ligne sur le site d’E-commerce dès le lendemain. Je les quitte et passe en coup de vent chez Marc et Sophie à qui je donne son chèque ainsi qu’une clef USB contenant toutes les photos d’elles. Je l’informe de la parution des photos pour le lendemain. Avant de les quitter, en m’étant assurée de leur présence chez les parents pour le week-end, je les informe de mes plans :
- (moi) Vous savez tous les deux quelles sont mes relations avec nos parents. En discutant avec maman dimanche dernier, elle m’a avoué ne jamais avoir reçu de fessée. Elle accepte en recevoir une de Marc.
- (Marc) T’es cinglée, je ne pourrais jamais donner une fessée à maman !
- (moi) T’en donnes bien à ta sœur, pourquoi pas à ta mère si elle en a envie ? De plus, tu pourrais la sodomiser après…
- (Sophie) Tu peux y aller, tant que c’est en famille. Ne me dis pas que tu n’as jamais fantasmer sur ta mère.
- (Marc, rougissant) Oui, entre quinze et dix-sept ans, mais plus vraiment maintenant…
- (Sophie, rieuse) Oh le bel aveu ! (se tournant vers moi) Ton père et nous, on tient la chandelle ?
- (moi) Non. Samedi matin, je vais demander à papa de m’aider à emmener la commode qui s’abime au garage jusqu’à chez moi et tu te proposeras pour m’aider pendant que Marc conduira maman pour ses courses. Elle t’énervera et, en rentrant, tu t’occuperas de ses fesses. Quant à papa, Sophie et moi, nous prendrons le temps de nous rafraichir après l’effort, j’ai mis du cidre au frigo. Et puis, si on a vraiment très chaud, pourquoi pas un petit striptease pour papa…
- (Sophie, effrayée) Mais t’es malade, t’as vraiment le feu au cul !
- (Marc, éclaté) Je te renvoie ton commentaire : ‘’tu peux y aller, tant que c’est en famille’’…
- (moi) Sophie, c’est pour toi l’occasion de t’intégrer définitivement dans une famille de malades, et puis tu l’as aussi le feu au cul quand on t’allume…
- (Sophie) Vous êtes de cinglés. Bon, j’accepte être vue en sous-vêtements mais, si je dis stop, il faudra arrêter.
- (moi) Je te promets que tu seras respectée. Papa me demande toujours la permission avant de me toucher et il sera encore plus timide avec toi. Tu verras, il a belle queue, un peu courte mais très large.
Après cet accord de principe, je les laisse tranquilles et rentre chez moi. La fin de semaine arrive assez vite surtout que le jeudi soir, Maud et Christian m’ont invitée pour me demander eux aussi d’être leur photographe officielle. Je n’ai pas pu m’empêcher de leur demander si je devais aussi photographier leur nuit de noces. Ils ont éclaté de rire mais se sont empressés de me déshabiller et j’ai fini avec la bite de Christian en moi tout en léchant Maud.
Le week-end est là. Lors du repas du vendredi soir, je demande à papa s’il accepterait emmener chez moi la commode qui est au sous-sol le lendemain matin. Cela ne le dérange pas et il accepte. Je lui propose un départ vers dix heures pour un retour dans l’après-midi en lui disant que nous mangerons ensemble en ville. Maman sourit. Sophie se propose aussitôt pour nous aider. J’accepte avec enthousiasme. Papa ne montre pas sa légère déception ; il espérait un moment tendre… Maman reproche à Marc sa paresse car il ne s’est pas proposé pour nous aider. Il lui répond sèchement qu’il l’aidera pour faire ses courses et ça devrait suffire. Sentant que papa est prêt à intervenir, je l’invite à venir avec moi au sous-sol pour préparer la commode. Nous la dégageons du coint où elle est rangée et la dépoussiérons avant de la charger dans sa voiture après avoir replié la grande partie de la banquette arrière. Tout en le faisant je demande à papa de laisser Marc et maman se quereller. Comme il est perplexe, j’ajoute que, si maman exagère, elle recevra une fessée. Il comprend alors qu’il ne s’agit que d’un jeu. Il s’approche de moi en me demandant si je suis l’instigatrice de l’opération. Devant mon mutisme et mon sourire, il me dit que je deviens de plus en plus perverse. Il soulève mon tee-shirt ; pour l’aider, je lève les bras. Dès que ma tête sort, il arrête le mouvement, laissant mes bras prisonniers, il m’embrasse en dégrafant mon soutien-gorge puis me pince fortement les tétons avant de me laisser ainsi en me disant que je ne mérite pas mieux. Je ris de ma mésaventure et le rejoins dans le salon. Après une courte soirée vidéo, nous montons tous nous coucher. Je remarque que papa a pris maman par la taille et je me dis qu’ils ne vont pas s’endormir tout de suite. Marc et Sophie me suivent dans ma chambre et, alors que je n’ai rien demandé ou esquissé, ils me couvrent de baisers et de caresses en me déshabillant. Je suis nue et commence à être très chaude et je veux les déshabiller à mon tour mais ils s’en vont en me souhaitant une bonne nuit solitaire. Je les entends éclater de rire lorsqu’ils ferment la porte. Je comprends qu’ils se vengent de mes manigances et n’ai plus qu’à me masturber.
Le lendemain matin, nous partons à peine plus tard que prévu. Marc et maman sont déjà partis faire des courses en faisant monter la tension entre eux. Lorsque nous arrivons près de mon appartement, je propose que nous commencions par aller manger et ne passions au déchargement qu’après. Pendant le repas, j’exprime mon amour pour Sophie et ma joie pour leur mariage. Papa ajoute qu’il est très heureux de voir la famille s’agrandir et qu’il considère déjà Sophie comme sa belle-fille en ajoutant, avec un de ses sourires qui me font craquer, ‘’ma belle belle-fille’’. Sophie est touchée par le compliment et se lève pour un gentil bisou. Nous retournons à la voiture et montons la commode ; à trois ce n’est pas trop difficile. Je la leur fais placer et les invite à s’asseoir. Je leur propose alors un verre de cidre qu’ils acceptent volontiers. Sophie va chercher le cidre pendant que je sors trois verres. Puis je demande à papa d’ouvrir la bouteille et de nous servir. En même temps, prétextant la chaleur, j’ôte mon tee-shirt pour apparaitre en soutien-gorge blanc tout en tulle translucide révélant bien mes aréoles très sombres. Papa me tend un verre puis en donne un à Sophie en lui demandant si elle veut aussi se mettre à l’aise. Elle prend le verre, l’air gêné et murmure oui. Papa se saisit de son tee-shirt et l’aide à l’enlever. Elle porte un soutien-gorge bleu pâle orné de dentelle mais cachant totalement ses seins. Il le caresse un instant en lui disant qu’elle est vraiment très jolie puis il déboutonne son jean et le lui enlève ; elle apparait avec un string assorti au soutien-gorge ne laissant rien deviner de son pubis mais mettant bien en valeur son cul. Il passe derrière et, en lui caressant les fesses, il la complimente sur son joli popotin et enchaine en lui demandant s’il peu continuer tout en s’emparant de l’agrafe du soutien-gorge. Je sens Sophie honteuse et la vois rougir vraiment mais elle lui répond « si vous voulez… ». Il ne se fait pas prier. Le soutien-gorge est délicatement posé sur le dos d’une chaise et il s’empare de ses seins en l’embrassant dans le cou puis il lui dit qu’il est très heureux de la découvrir complètement. Il vient alors vers moi, me retire mon short et m’enlève mon soutien-gorge puis m’embrasse à pleine bouche en m’excitant les tétons. Nous nous lâchons et finissons notre verre de cidre en nous matant. Après avoir remis la bouteille au frigo, je demande à papa de se déshabiller en m’approchant de Sophie que j’enlace pour de tendres baisers où nous nous excitons mutuellement. Papa vient derrière moi et m’enlève mon dernier rempart puis il en fait autant à Sophie. Nous nous dirigeons vers ma chambre. Je m’assois sur le haut du lit, les jambes bien écartées pendant que papa offre un premier baiser à Sophie en la caressant. A ma demande, elle se met en levrette en me léchant la chatte pendant que papa lui en fait autant et que je lui caresse le dos et les seins. L’excitation montant, il demande à Sophie s’il peut la pénétrer. Elle délaisse ma chatte un court instant pour acquiescer en lui demandant de ne pas jouir en elle. Je rigole et lui dis qu’il se finira avec moi. Sous l’assaut de nos caresses et de la bite qu’elle se prend, Sophie ne tarde pas à crier sa jouissance. Papa la quitte. Il s’approche de moi et je le suce pour profiter du goût de la chatte à Sophie que j’adore. Cette dernière recommence à me brouter en conseillant à papa de se finir dans ma bouche. Je n’ai pas le temps de le sortir pour contester, qu’il me tient la tête et me baise la bouche. J’arrive tout juste à respirer alors que le plaisir monte en moi sous la langue et les caresses de Sophie ; papa sent mon plaisir et me ramone de plus en plus la bouche. Je le sens venir sans pouvoir éviter qu’il me gicle dans la gorge au moment où des spasmes de jouissance m’emportent. Je n’ai d’autre solution que d’avaler pour ne pas m’étouffer. Je suis pantelante et n’arrive pas à m’exprimer. Papa embrasse Sophie en lui caressant les seins. Nous restons nus et retournons dans la salle finir la bouteille de cidre. J’arrive alors à dire à papa que j’ai toujours refusé qu’on me jouisse dans la bouche. Il a l’air très embêté alors que Sophie est goguenarde. Je calme le jeu en disant à papa qu’il s’est fait avoir par sa garce de belle-fille. Elle éclate de rire et je cours la fesser. Nos jeux finissent en baisers torrides où Sophie et moi nous masturbons mutuellement pour le plus grand plaisir de papa. Alors que nous nous rhabillons, papa remercie Sophie pour son joli corps et lui dit qu’il espère qu’elle aura envie de recommencer. Il ajoute que son fils a bien de la chance d’avoir une telle amie.
Le repas du soir en famille est très gai et la soirée se termine autour d’un jeu de société. Papa et maman partent en s’enlaçant. Je m’incruste dans la chambre de Marc et Sophie pour écouter le récit de Marc.
Marc : « Comme vous l’avez vu, dès hier soir et ce matin, maman n’a pas arrêté avec ses réflexions. En partant faire les courses, je lui ai dit que ça commençait à bien faire mais elle a fait exprès de continuer. A notre retour, je n’ai rien dit, le temps qu’elle range les courses. Après, toujours sans rien dire, je l’ai attrapée par un bras et couchée en travers de mes genoux et j’ai commencé à la fesser sur sa jupe. Là, elle m’a insulté en m’interdisant de la toucher et en se tortillant dans tous les sens. J’ai alors remonté sa jupe et, la découvrant en string, j’ai tapé. Quand elle s’est calmée, je l’ai relevée et emmenée dans sa chambre où je lui ai ordonné de retire sa jupe. Comme elle contestait, j’ai défait ma ceinture et je lui ai cinglé l’arrière des genoux. Elle m’a supplié d’arrêter et a retiré sa jupe. J’ai fait suivre le corsage puis je l’ai à nouveau fessée sur le lit en lui dégrafant son soutien-gorge. Ses fesses étant bien rouges, j’ai baissé son string qui était tout humide et, après l’avoir mise en levrette, je l’ai sodomisée. Nous avons tous les deux joui en criant. » Il se tourne vers Sophie en ayant l’air désolé. Elle l’embrasse en commençant à lui raconter nos exploits. Je les laisse pour aller me coucher.
Le dimanche matin, papa et Marc partent courir. Sophie est levée mais elle est restée en tee-shirt long et en string quand j’arrive dans une tenue équivalente. J’embrasse Sophie en lui caressant les fesses et elle m’en fait autant. Maman réagit en nous demandant si on compte se caresser ou si je déjeune. Habillée d’un pantalon noir à ceinture élastique et d’une blouse jaune, souriante, elle est rayonnante. Je l’embrasse en lui demandant si ses fesses ne sont pas trop rouges. Elle rit franchement et nous avoue qu’elle préfère rester debout ce matin. Je demande à voir. Elle baisse son pantalon et se tourne vers nous. Sophie dit que Marc a fait fort mais qu’elle a de jolies fesses. Maman, pantalon toujours baissé, soulève le tee-shirt de Sophie et, en passant une main sur ses fesses, lui dit qu’elle n’est pas mal non plus. Je vois Sophie frissonner de plaisir. Histoire de les laisser un instant, je vais aux toilettes. A mon retour, elles sont bouches collées, mains caressant les fesses de l’autre. Je me manifeste en leur demandant si elles veulent de l’aide. Maman me répond de déjeuner pendant qu’elle fait mieux connaissance avec sa belle-fille. Très vite elles sont nues sur le canapé et se font jouir à coups de langues et de mains caressantes.
Voilà comment, en un an, je suis passée de petite oie blanche à affamée en entrainant toute ma famille dans mes délires.
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Histoire de Thgirl

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Commentaires du récit : Marion 4 - Le temps des études


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