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Le jardinier et feu mon mari

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Lue : 15540 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/02/2016

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Ambroise, notre vieux jardinier vient de me rejoindre dans la chambre funéraire où gît le corps de mon défunt mari qui endimanché est allongé de tout son long sur le lit. Toute la journée j’ai reçu les voisins et amis qui sont venus me présenter leurs condoléances. Ambroise est là timide sa casquette crasseuse dans ses mains, il n’ose s’avancer vers moi, vers son maître qui n’est plus.

Gontran mon mari est décédé brusquement d’une crise cardiaque et comme il est de coutume au domaine nous avons organisé ses obsèques chez nous avant de le conduire au cimetière.

A vous dire vrai je n’ai pas trop de peine, pas de peine du tout même, Gontran m’avait épousé par intérêt et il m’a vite délaissée, c’est de notoriété publique, dilapidant une partie de ma fortune avec de nombreuses maîtresses. J’ai appris depuis de longues années à me passer de lui, de gestes tendres de sa part qu’il réservait à d’autres, ce salaud ! Gontran, quand il m’honorait encore au début de notre mariage n’a pas été foutu de nous laisser une descendance, des enfants qui m’auraient réconfortée aujourd’hui

Je connais Ambroise depuis toujours, ses parents travaillaient déjà pour ma famille, lui était adolescent quand j’étais enfant ; il a pris le relai et désormais, depuis plusieurs années il s’occupe seul des jardins qui entourent notre vaste maison. C’est un homme rustre, sans histoires plutôt petit, pas très beau, le visage anguleux, le corps sec et râblé, les mains calleuses, épaisses de ceux qui travaillent la terre. Il peut se passer des jours sans que nous nous voyions, seul, vieux garçon, il loge comme demeuraient ses parents dans une petite dépendance au milieu des jardins.

C’est la fin de ce triste jour d’hiver, j’ai fait baisser le chauffage dans la chambre mortuaire, je frisonne, j’ai presque froid. Ambroise s’avance vers le lit , reste un moment, recueilli, immobile devant le corps de mon mari, il se signe en grommelant de vagues paroles , des prières sans doute, où des insultes pour celui qui l’a toujours dévalorisé, méprisé ; puis il se tourne vers moi et je le laisse me prendre dans ses bras car de tout ceux qui sont venus aujourd’hui c’est le seul qui me soit familier, j’ai une grande estime , un grand respect pour lui que j’ai toujours connu.

Il me serre dans ses bras, il est ému ; il voudrait me dire des mots réconfortants mais reste muet. Ambroise n’est pas du genre communicatif habitué qu’il est à vivre seul ; mais je ressens l’affection qu’il a pour moi depuis toujours.

Nous faisons mine de nous embrasser en croisant nos visages, joue contre joue, la sienne me pique un peu et pourtant c’est moi qui le garde contre moi, cela me fait du bien, cela me réchauffe, je le serre plus que de raison, allez savoir pourquoi ?
« J’ai froid Ambroise

Alors, protecteur, il fait aller ses grosses mains, ses doigts, en une sorte de massage, dans mon dos, sur mes épaules, c’est agréable, cela me réchauffe, je le lui dis, lui dis de continuer. Je sens la caresse rude de ses mains sur moi et quand elles vont et viennent de mes épaules vers ma taille je lui fais comprendre que c’est ce dont j’ai besoin, je l’encourage par ma posture en allant au devant de cette sorte de caresse, moi qui depuis des années n’en a eue aucune, cela me fait du bien, il n’y a pas de mal à cela...

Ambroise semble comprendre ce besoin de chaleur, de tendresse dont j’ai bizarrement envie, il en a besoin lui aussi, seul qu’il est dans sa vie comme moi désormais. Mon corps se réchauffe un peu, je le laisse faire, j’ai laissé mon visage dans son cou en me serrant sur lui, ses mains m’enveloppent, me caressent, longuement, les bras, les épaules, le dos, la taille, les hanches aussi, un peu, timidement !

Comme par inadvertance sa main droite dérape sur ma hanche, descend imperceptiblement et elle se fige sur ma robe, s’attarde enveloppante sur le côté de ma cuisse gauche, je ne dis rien, après cette rude journée cela me réconforte, je sens la rudesse de cette main, sa chaleur qui reste en place contrairement à sa sœur qui elle continue à me masser le dos ; je sens son pouce enroulé par devant sur le galbe de ma cuisse.

Je suis troublée, ne sais comment réagir à ce qui me semble être autre chose qu’une caresse de réconfort, cette main immobile qui ne semble attendre qu’un signal, un encouragement. Est-il possible que le vieil Ambroise ait envie de moi qui ne suis plus très jeune, que cette seule pensée lui soit venue, celle de me caresser plus intimement, de tenter sa chance en ce jour particulier qui me rend veuve, libérée du joug d’un mari dont il connait les frasques. Je suis sidérée de me retrouver dans cette situation incongrue qui me trouble je l’avoue.

Je sens cette main plaquée sur ma cuisse, sa chaleur qui transperce le faible rempart de ma robe, la rudesse de ses doigts façonnés par les rudes travaux des champs, je me refuse de les imaginer sur moi, le plaisir c’est du passé, il y a si longtemps que je n’en ai pas eu. Pourtant je me souviens comme c’était bon de jouir.

Tout cela tourne, bouillonne dans ma tête l’espace d’un instant et comme je ne dis rien, comme je ne réagis pas en repoussant cette main loin de moi cela arrive, je sens cette main s’insérer imperceptiblement par devant entre les deux pans de ma robe, le bout de ses doigts retrousser l’étoffe, arriver sur la chair nue entre mes cuisses et y rester. Sa main gauche comme une diversion continue de me masser amicalement le dos.

Je suis troublée au plus haut point, une envie folle est en train de naître dans ma tête, celle de laisser faire, celle de m’abandonner à cette pulsion insensée d’Ambroise que je pressens, celle de le laisser me caresser, je ne bouge pas, je ne dis rien, j’attends ; les doigts restent sages, attendent sans doute un signe de ma part ; je me serre un peu plus intimement sur lui, est ce suffisant? Sans doute car la main s’avance et s’enroule sur ma cuisse droite, je sens sa paume, ses doigts, son pouce, sur ma chair nue, je ne peux m’empêcher un petit gémissement, comment être plus claire !

Je tremble, la main d’Ambroise remonte, hésitante, prends son temps en me caressant l’intérieur doux et lisse de ma cuisse et arrivée à son faîte, après un temps d‘hésitation qui me rend folle, je la sens se tourner, paume en l’air et étreindre à pleine main ma chatte par dessus ma culotte ; surprise, cela m’arrache un cri.
« Ohhhhh Ambroise !

Ambroise comprend sa témérité, la vulgarité de son geste, il va penaud retirer sa main qui m’agrippe, mais à cet instant c’est mon corps qui parle et ma main se plaque sur la sienne, l’oblige à rester sur moi. Alors cela arrive comme la fulgurante montée de lait qui inonde les seins d’une maman à la première succion de la bouche de son enfant nouveau né, ma chatte délaissée, sèche comme amadou depuis des années se met à ruisseler d’un coup sous cette caresse un peu rude, inondant ma culotte d’une quantité invraisemblable de mouille coulant sur mes cuisses. Je ne pus que dire en fermant les yeux
« Non Ambroise, restes…fais moi du bien…..

Et pour bien lui faire comprendre que je m’abandonne, que je l’encourage, que mon désir en cet instant est égal au sien j’écarte légèrement mes jambes pour que sa main soit plus à l’aise sur ma culotte entre mes cuisses ouvertes pour me caresser le sexe, le prendre à pleine main, le presser, le malaxer, pour me faire du bien, me faire jouir peut être, lui mon vieil Ambroise, s’il en est encore capable et si moi aussi je suis réceptive.

Alors je le devine, je sens Ambroise écarter ma petite culotte de satin et du bout d’un de ses doigts chercher ma vulve, la dégager en écartant les poils de ma toison, abondante, en friche depuis belle lurette, pour commencer de la caresser, faire glisser la partie charnue de ce doigt entre mes petites lèvres au fond du sillon qu’elles forment allant du vagin à mon clitoris. Qu’il est intense ce moment, je suis surprise de sa délicatesse qu’il est doux ce doigt qui me fouille, et je me surprends à avancer mon ventre au devant de lui, à offrir mon sexe incroyablement inondé de mon miel : ce signe avant coureur, je le sais, de mon plaisir qui commence à naître.

Ambroise m’étonne, ma réaction positive lui a fait prendre de l’assurance ; il s’abandonne lui aussi et fait montre d’un savoir dont je ne le soupçonnais guère, son doigt cherche l’entrée de mon vagin, se centre sur lui et sans façon il l’enfourne en moi, dans ma chatte trop longtemps endormie. Dans un premier temps je me sens comme écartelée tant son doigt est gros, dur, rugueux ; je pousse un petit cri comme si on me dépucelait mais rapidement après quelques va-et- vient je m’ajuste sur ce membre qui se met à me branler.

Son doigts coulisse bien maintenant dans mon vagin inondé, il rentre et sort et pour moi c’est comme si on me baisait, longuement Ambroise s’applique, il s’est mis sur mon côté et je sens ma cuisse droite prisonnière entre les siennes et son ventre, son sexe, qui se vautrent sur elle. Il me semble qu’il bande ; Il maintient sa main gauche sur moi en me tenant par les épaules.

Ambroise évite de me regarder, il murmure à mon oreille, j’entends comme des petits souffles des oui….oui…..oui …sans fin, presque inaudibles, réguliers à chaque fois que son doigt me pénètre, et cela m’excite et à chacun de ses…. oui…. je m’ouvre avant de me resserrer sur ce membre quand il se retire, c’est bon, chaque pore de mon vagin profite de la rugosité de ce doigt qui s’agite en lui et l’enflamme.

Je revis, je vais jouir. Ce doigt, Ambroise le plie, l’arcqueboute en moi la pulpe du côté de mon ventre, cela me fait une drôle de sensation …oui….oui… oui….la danse continue, je voudrais qu’elle dure tant je suis bien, ma mouille filante du début devient épaisse, pleine de bulles elle facilite le glissement.

Deux autres doigts se mêlent au jeu de celui, le plus long sans doute, qui continue de me branler je sens mes grandes lèvres se serrer glisser l’une contre l’autre, pressant mon clitoris aussi qui commence, je le sens, à poindre, sortir de son antre, tout raidi.

Les besogneux oui…ouiiii….oui…ouiiiiii….oui…. d’ Ambroise continuent c’est comme un chant syncopé qui m’obsède, qui m’excite, je vais jouir debout , je sens monter mon orgasme……. il est là, puissant, dévastateur alors le corps raidi par le plaisir qui m’inonde d’un coup comme une vague déferlante je hurle
Ouiiiiiiiii…….Ahhhhhh……oui…Ambroise, je jouis….oui…ouiiii Continue…ouiiiii

Ambroise continue de me baiser avec son doigt qui lime, besogne mon vagin lubrifié , je jouis comme il n’est pas possible de l’imaginer et pourtant, la caresse devient encore plus complète, plus intrusive ; je sens la main s’ouvrir, s’écarteler, s’étaler comme une fleur entre mes cuisses, le pouce qui cherche mon clitoris en haut de ma vulve, le trouve et vibre sur lui en le pressant tandis qu’un autre doigt plus petit, plus curieux, l’auriculaire sans doute, s’insère entre mes fesses et trouve mon anus, le caresse autour et le presse.

Comment est-il possible d’inventer une telle caresse, si complète et qui dure, qui va de mon clitoris à mon cul, caresse centrée sur ce doigt qui fait son œuvre dans mon vagin ; par moment j’explose d’un orgasme jamais ressenti dans ma vie de femme, je crie, je bave, j’ai des étoiles plein les yeux, mes jambes ne me portent plus, Ambroise doit me soutenir, comme quoi ce ne sont pas les hommes les plus beaux , les mieux faits qui donnent les meilleures jouissances, jamais je n’aurais cru que ce serait ce petit bonhomme d’Ambroise presque difforme, apparemment insignifiant qui me ferait jouir à ce point avec sa seule grosse patte calleuse, ses gros doigts rugueux.

Est-ce aussi la présence de mon mari allongé à deux pas de nous qui participe à mon excitation, la décuple, mes cris sont ils une sorte de vengeance pour le mépris qu’il avait de moi, pour lui dire par l’au-delà les plaisirs que j’aurais sus lui donner s’il avait voulu.

Ambroise m’entraîne, je le laisse faire, je suis sa chose, il le sait maintenant, je suis assise sur le fauteuil, renversée, robe retroussée, cuisses écartelées en appui sur les accoudoirs, complètement ouverte, offerte, Ambroise arrache ma culotte, il se met à mes genoux , son visage entre mes jambes, il se penche sur moi et il me suce, il a mit mes cuisses sur ses épaules et après la rudesse de ses doigts c’est sa langue raide mais douce qui s’enlise en moi.

Ses doigts sont toujours là pour lui faciliter la tâche, dégager ma toison, écarter mes grandes lèvres, ouvrir ma vulve, pinçoter mes petites lèvres gonflées par l’excitation ; dégager mon vagin, titiller mon clito, mais c’est sa langue qui me fait jouir maintenant en baisant ma chatte poilue en la couvrant de caresses, en me pénétrant, en s’insérant, folâtrant dans tous ses coins et quand je sens passer la pointe de cette langue d’un pli profond et secret de l’aine à l’autre, pli entre mes cuisses et mes grandes lèvres en effleurant mon clitoris au passage, en le lapant, je me retiens d’hurler tant cette caresse est délicate, incongrue mais si jouissive que je m’ouvre, m’offre davantage pour mieux en profiter.

Je ne sais plus ou j’en suis, je jouis en continu, je crois deviner un doigt entre mes fesses lutiner la rosette de mon anus, ce doigt je le sens remonter vers mon périnée pour se joindre à sa langue dans mon vagin et quand il revient lubrifié de mon plaisir et de sa salive la caresse a changé de nature, il glisse sur mon anus, en fait le tour, se centre, presse, dans ma jouissance la peur me saisit et je crie
« Non Ambroise, non, pas le cul

En criant cela je pense à ce gros doigt qui l’instant d’avant a défoncé ma chatte, et comme je le sens peser sur mon fondement, je crie de nouveau
« Non…….non


« SI…..si me répond Ambroise dans un souffle, je le vois, il me regarde les yeux exorbités par son désir « tu vas voir comme c’est bon

Alors c’est comme une épée de feu qui force le passage, me brule, écartèle mon anneau et entre doucement, me pénètre de toute sa longueur et s’agite au fond de moi. La douleur a été passagère, moins violente que celle que je redoutais, il coulisse librement maintenant, me sodomise tandis que sa langue me baise toujours la chatte et toujours ces oui……..oui…ouiiiiiii…… oui…. qui ponctuent ses caresses qui me font jouir.

Tout mon ventre est irradié, mes seins sont durs, sensibles, dans un spasme et je ne sais pourquoi je pense à l’amant de Lady Chatterley, Olivier son garde chasse qui lui a fait découvrir l’amour, les plaisirs ancillaires ; la jouissance qui m’inonde m’empêche de nous assimiler à eux et pourtant c’est mon jardinier, ce petit homme, presqu’un nain, ce soit disant rustre qui m’engloutit dans un plaisir sans limite, jamais atteint avant lui.

Ambroise me laisse un instant, se relève debout devant moi assise sur le fauteuil
« Alice….sors mon sexe……

C’est la première fois qu’il prononce mon prénom, il est le maître, moi son esclave, il le sait, il n’a pas demandé mon avis, c’est lui qui commande à cet instant; il guide mes mains sur lui, m’aide à baisser son pantalon, à faire glisser son caleçon long molletonné d’une autre époque qui tombe à ses pieds et quand sa verge m’apparait, sortie entre les deux pans de sa chemise, je n’en crois pas mes yeux ; Ambroise a une bandaison incroyable, son sexe bandé se dresse, complètement glabre, rasé sans doute, son gland est masqué, recouvert de son prépuce, sa verge est plutôt courtaude mais c’est son épaisseur qui me frappe , m’effraie à la pensée qu’il va me défoncer la chatte, le cul peut être avec cet engin ; il a des couilles de vieux mâle, comme deux gros œufs dans leur sac qui pendouille….
« Suce-moi !

C’est un ordre, je suis curieuse et mon excitation reprends de plus en plus belle, je dois ouvrir grande ma bouche pour ne prendre que son gland, cela sent le fauve, l’écurie, la grange, le foin ! je ne suis pas dégoutée ; je dirais même au contraire tant mon envie est grande.
« Caresse-moi les couilles !

Je ne peux dire oui mais oui je les prends les caresse, en les faisant rouler entre mes doigts
« Aspire ma queue…… prends en plus…..suce bien

J’aspire et sa verge prends encore plus d’ampleur, s’allonge incroyablement, son gland se décalotte découvrant sa corole, un vrai mufle rouge violet gorgé de sang, borgne !
« Lèche- moi !

J’ai plaisir à le faire, je prends son sexe en main pour mieux faire aller ma langue, Ambroise gémit m’encourage et hurle quand je lèche le frein, ce petit bout de peau arrimé derrière son gland. Je crois alors avoir repris les rennes tant il parait à ma merci, redevenir la maîtresse de la situation, mais d’un geste de sa main calée derrière ma tête il m’attire sur lui et d’un coup je crois étouffer, sa verge monstrueuse au plus profond de ma gorge.

Il me tient par les cheveux pour me retenir, pour faire aller et venir sa queue dans ma bouche arrondie sur elle à la limite de l’étouffement dans un bruit de borborygmes, et cela dure, j’en ai des larmes aux yeux, je bave, mais j’assume, c’est tellement nouveau, jouissif pour moi de faire plaisir à un homme, ma chatte continue de ruisseler, de souiller ce fauteuil Louis XV auquel je tiens tant, peut m’importe en cet instant, je pense qu’il a du en voir d’autre avec mes ancêtres et intérieurement ça me fait rire……..

Comme pour me venger je glisse mes deux mains entres ses cuisses, l’une prend ses couilles sans ménagement tandis qu’un doigt de l’autre cherche et trouve son anus et sans aucune précaution s’enfourne à sec dans son puits. Je ne fais rien pour lui faire du bien, je le maltraite et incroyablement cela le déchaine
« Allonge-toi salope ! hurle-t-il

Nullement choquée, au contraire, par cette injure criée dans la fièvre du désir d’un amant excité et aussi parce qu’à cet instant oui je me sens salope, je m’allonge le dos sur la moquette, cuisses ouvertes ; alors Ambroise s’étend sur moi, il est comme fou et cela me flatte de l’avoir mis dans cet état, il me prends sous les fesses le sens le mufle de son sexe contre moi il cherche mon vagin, le trouve et d’un coup il me baise, m’enfile, me sabre comme un cerf sa biche au moment du brame jamais je n’oublierai cet instant, défoncée ainsi , mon sexe écartelé, cette douleur vive dans mon vagin, la transfiguration du visage d’Ambroise, son feulement de bête en rut quand il se met à jouir quand il m’inonde de son foutre au plus profond de moi.

Son sexe glisse dans mon vagin inondé, la douleur fait place au plaisir, jamais je ne me suis sentie si pleine, je sens en moi ce sexe énorme à la forme tourmentée qui me ramone ma chatte, les effractions deviennent caresses, les va-et-vient aspirent mon plaisir au fond de moi, il monte je le sens, il vient, il est là et explose dans mon ventre, il se répand dans tout mon corps, dans mes seins raidis, dans ma tête.

Ambroise aussi est comme fou, cul nu, chemise au vent, il me fourrage la chatte avec une sorte de rage, il est comme un pantin désarticulé qui s’excite sur moi par des embardées de ses fesses, perdu lui aussi dans la jouissance, il arrache ma robe, sa bouche plonge sur mes seins, il les lèche, les aspire, y laisse ses mains enveloppantes et sa bouche remonte, vient sur la mienne, sa langue force mes lèvres, s’enroule, Jamais on ne m’a prise de cette façon, si complètement, presque brutalement et c’est ce vieux petit bonhomme, ce minus que je chéris à cet instant qui me fait jouir à ce point.

Alors comme par défi, sans crainte, pour trouver d’autres sensations plus fortes encore je lui crie
« Ambroise, encule- moi

Sans attendre, fébrile, incrédule sans doute, il me retourne, me met à genoux par terre en position de levrette et ce fut le déchaînement
« Tu la veux ma grosse queue dans ton cul, tu la veux dis !

Ambroise comme moi a perdu toute raison, toute mesure, gommé le respect qu’il me porte, je suis sa chose ; comment allons nous nous retrouver demain quand nos pulsions se seront éteintes ? Pourrais-je continuer de le garder à mon service ; à chaque instant où nous nous verrons je penserais à son sexe hors norme et sa faculté de me faire jouir mais pour l’instant je ne pense qu’a sa grosse queue, à ce sexe qui va me défoncer l’anus.

Il est là haletant, derrière moi, je sens qu’il m’écarte les fesses, il doit voir ma chatte et mon cul s’épanouir eux aussi, s’offrir à lui ; j’attends l’estocade et me prépare au pire et au lieu de la douleur de la première effraction de mon anus c’est une caresse subtile qui en fait le tour, une caresse humide, celle de sa langue. Je me retiens de ne pas hurler, je ressens comme une démangeaison, un chatouillis à nul autre pareil qui tourne dans les petits plis de mon anus et ce serait presque insupportable car la sensation s’estompe au profit d’une légère pénétration, je sens ma rosette qui s’ouvre et cela me fait du bien, j’en rirai presque, j’avais une mauvaise idée de la sodomie, c’est agréable
« Tu sens mon petit doigt ? Me dit Ambroise dans un souffle, je le sens ému au plus haut point.

Ainsi ce n’était qu’un de ses doigts ! je comprends mieux, le pire est à venir !
« Tu le sens ? Répond ?
« Oui je le sens
« Et alors ?
« Alors c’est bon
« Tu le sens qui bouge dans ton joli petit cul ?
« Oui je le sens bien, tu le trouves beau mon petit cul ?
« Oui, ton petit cul qui va devenir grand si tu veux
« Grand comment ?
« Comme mon sexe quand il va te fourrer, attends dis- moi que ressens tu ? J’ai changé de doigt
« Je me sens plus serrée
« Tu as mal ?
« Ca brûle un peu
« Ca va passer, j’ai trempé mon doigt dans ta chatte, tu mouilles
« Oui je suis très excitée
« Attends je branle oui…..oui….oui…..ouiiiii…..oui……

Chaque oui…..oui désormais amène sa brassée de plaisir, je commence à jouir et cela se renforce d’un coup après une nouvelle brûlure ; je me sens écartelée et je devine deux de ses gros doigts en moi qui vont et viennent ponctués des oui…oui. oui…..d’Ambroise. Une brève accalmie et de nouveau je sens que l’on me presse, c’est plus gros, c’est doux, tendre et je pense au gland d’Ambroise à son énorme queue luisante de ma salive.
« Alice je peux t’enculer ?
« Oui Ambroise, va doucement

Il me demande mon avis maintenant ; Ambroise s’est relevé, penché derrière moi et il m’enfourche, me chevauche, mes fesses serrées entre ses cuisses, je sens qu’il presse mon cul et quand je devine son gland en moi, ce n’est que du plaisir tant je suis ouverte, le mufle s’enfonce et le reste suit, c’est plus dur, plus gros, ça brûle encore ; mais cela ne dure pas, le plaisir renait, je suis pourtant complètement défoncée, mon anus complètement dilaté, arrondi, je sens le ventre d’Ambroise sur mes fesses, ses grosses couilles sur ma chatte, je comprends qu’il me sodomise bien à fond.

Je sens ses mains agrippées sur mes hanches et d’un coup cela bouge en moi, des va-et-vient de faibles amplitudes qui vont en augmentant car je bouge mes fesses à la rencontre des avancées de son ventre. Ambroise comme moi devient fou, il ne cadence plus ses pénétrations par la litanie de ses oui …oui…ce sont des cris maintenant, les cris d’un homme qui jouit, qui jouit dans mon anus
« Ah….ahhhh …..ahhhhh…….ahhouiiii …..ahhhouiiiiluciecébon……..

A chaque branlée à chaque pénétration, ses cris m’entrainent vers mon plaisir, je jouis moi aussi par le cul, d’une jouissance indicible plus rien ne compte désormais que ce gros sexe qui s’agite en moi ; me défonce l’anus, m’ouvre, à ces couilles qui fouettent ma chatte et à chacun de ses ahhhhh, de ses ahans je lui crie, je lui hurle ma jouissance
« Oui…….oui…….ouiiiiii
Des « Plus vite, des « plus fort des « C’est bon Ambroise…c’est booonnnnnnn……..ouiiiiiiiii

J’ai passé une main sous moi entre mes cuisses et je me caresse la chatte avec ses couilles qui pendulent, lui me caresse les seins, les maltraite et c’est merveilleusement jouissif. Mais d’un coup je sens monter en moi un plaisir inconnu, la jouissance par l’anus, par le cul. Il faut avoir été bien sodomisée pour connaître l’intensité de ce plaisir à nul autre pareil, sa nature, ce sentiment de plénitude qui nous envahit, nous submerge, une jouissance complète, totale, dans tout le corps, dans les seins, le sexe mais aussi centrée sur l’anus, à l’entrée sur ma rosette, dans le ventre, dans mon rectum, dans ma tripe bourrée de cellules sensitives qui captent les caresses et les envoient a mon cerveau déboussolé, excité de toutes parts dans chacun de ses neurones.

Nous sommes en sueur elle perle sur notre peau ; depuis combien de temps dure le chevauchement d’Ambroise, cavalier endurant, intrépide, je ne sais plus, je veux qu’il dure et il dure, je sens cette queue sortir de mon anus avant de me refourrer dans un bruit , un froufroutement d’air expulsé qui remplacent les oui…oui…. La cadence augmente, Ambroise me gifle les fesses comme il cravacherait une pouliche, cela me surprend, ajoute à notre plaisir, lui sans doute pour me dominer et moi pour à chaque tape serrer mon cul sur son pieu, pour jouir plus encore.

Je n’en peux plus de jouir, je m’écroule, allongée sur le ventre avec toujours cette verge qui s’agite entre mes fesses écartelées et qui continue de me sodomiser, Ambroise sans se désengager s’est installé entre mes jambes ses mains quittent mes hanches et elles prennent mes pieds, les relèvent pliés pour rabattre mes jambes écartées, et les agiter d’arrière en avant comme les deux bras d’un tapis de musculation je ne sais pas si vous voyez la position, si vous imaginez les petites rotations de mes fesses qui ajoutent aux effets de la bite d’ Ambroise dans mon cul mais je vous prie de croire qu’ainsi accouplés cette sodomie profonde atteint des sommets.

Ambroise s’est écroulé de tout son long sur moi, je sens son torse dans mon dos son visage contre le mien, il me baise dans cette position et c’est bon, je sens son souffle dans mon cou, ses grosses mains qui pétrissent mes seins, il s’agite comme un fou pour me prendre bien à fond en écartelant mes fesses, ses couilles sur ma chatte….alors je n’en peux plus tant mon orgasme est fabuleux, le plonge dans le néant qui m’engloutit……..d’ailleurs je ne me rappelle plus de rien devant la puissance de mon orgasme, si je me souviens du moment où Ambroise s’est écroulé lui aussi, sur le côté en se retirant de moi , à la torpeur qui d’un coup m’envahit, me terrasse et quand je refais surface après avoir perdu conscience un instant, anéantie, ivre du plaisir que je viens d’avoir dans tout mon corps, je m’aperçois que je suis seule.

Ambroise est parti en douce pour éviter sans doute le moment gênant de notre retour à la réalité après cette folie qui nous a pris, pour éviter les mots, les explications de l’inexplicable, pour rester chacun sur ce moment irréel qui nous a fait jouir tous les deux ? Comment allons-nous nous retrouver demain ?

Je me relève toute dépoitraillée, j’ai mal de partout, je jette un coup d’œil sur Gontran figé, impassible et pour cause et je sors de la chambre pour réajuster ma tenue. Qui aurait pu prévoir ce que nous venons de vivre Ambroise et moi. Je suis horrifiée car j’ai encore envie de baiser, mon corps s’est réveillé, j’ai envie de le rejoindre dans sa piaule. Je crois que je vais garder Ambroise à mon service, je dis bien à mon service, pas au sien, pour baiser encore, de nouveau comme il a su m’en redonner l’envie. J’avais un étalon à mes côtés et je l’ignorais, que de temps perdu ! Je le sais maintenant, tout mon corps endolori me le rappelle.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Le jardinier et feu mon mari

Le 13/02/2017 - 16:42 par lasemelle
Feb. 13, 2017. Pierre la Grand est un magicien de l'écriture, et ce récit est absolument bandant.

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