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Le jour le plus long I

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Lue : 17939 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/04/2008

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"Shit!" tout seul dans le noir et de l'eau jusqu'à la taille... Mon fusil est perdu, et pas un bruit. Il faut sortir de là et retrouver les boys de la "C company".
Au moins, j'ai pas fini comme Ed', empalé sur la fourche d'un saule pleureur. Mais ça a été très chaud...
Putain, pas un bruit, pas un pote à l'horizon, et je commence à avoir vraiment froid, 'faut que j'sorte de c'marais....

"Allez, les gars, on y va! c'est le grand jour ce soir, on saute sur la France, pour botter le cul des nazis! Vous verrez, là bas tout est vert, tout est doux! On va se payer du bon temps, et dans 2 mois, tous à Paris!"
...
Trop cool le sergent, et nous on y a cru à ses conneries. Et maintenant je patauge dans la gadoue jusqu'au cou...
...
Tiens, là bas, une lumière... Bon y'a de l'espoir...Avec le bol que j'ai c'est une patrouille de boches... allez hop dans les buissons, ça va j'ai mon couteau...

"...Tu sais Suzie, avec le couvre-feu on devrait pas être là, en plus ça a bien canardé ce soir, on devrait pas...
- Arrête, Henriette, on a promis de le faire, on doit y aller!
- Suzie! stop ! j'ai entendu du bruit, là dans la mare, j'ai vu bouger quelque chose...
- C'est rien, allez avance, on se dépêche, je suis toute excitée de les retrouver..
- Je t'assure, Suzie, j'ai entendu quelque chose bouger...
- Oh toi! Tu veux un p'tit câlin pour te réconforter. Mais t'es toute tremblante, pour de vrai! Allez viens contre moi, embrasse moi,... calme toi. Oui tout doux comme ça...
- T'es pas sérieuse. ...Mais c'est vrai qu'un petit câlin, c'est pas de refus, il fait si noir et puis t'es toute douce ma Suzon.

Henriette glisse ses mains sous le pull en laine de son amie pour lui caresser les seins. Elle les connaît bien; elles sont lourdes les mamelles de Suzie, mais tellement fermes et avec un téton qui durcit vite. Elle est déjà toute excitée, elle frotte son ventre contre la cuisse d'Henriette. Elle se laisse pétrir les fesses à pleine main, le sillon ouvert puis fermé, encore bien ouvert. AHhhh... Le baiser est profond, pour calmer l'angoisse de cette nuit, les langues fouillent, s'accrochent. Suzie aspire et mordille les lèvres de son amante, et déjà des décharges électriques fusillent son ventre. Ses mains glissent de la poitrine à la fente d'Henriette,..."Tu mouilles bien, oh tu mouilles, laisse-moi de faire jouir!" et elle lui plante deux doigts dans la chatte. Henriette pose son cul sur un muret en retrait du chemin et écarte les cuisses, elle est prête à partir. Elle prends la tête de Suzie pour la plaquer sur sa fente offerte à la nuit. A la lueur de la lampe-tempête, elle se fait laper en douceur. Et quand Suzie lui enfile un doigt bien droit dans le petit trou, elle part carrément. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, mais son plaisir est multiplié par la peur dans cette nuit. Elle inonde le visage de Suzie, cramponnée à elle, le corps en équilibre sur le muret...
"J'adore quand tu me coule dessus...c'est chaud et puis t'es trop belle et trop sexy !"

"Oh god! la patrouille est magnifique!" Le G.I. n'en revient pas. Il a les yeux braqué sur le cul de Suzie, tendu quand elle est accroupie face à la chatte trempée de son amie. Penchée en avant, ses seins énormes, tétons dressés, balancent doucement, tendent son pull. En ombre chinoise, éclairés par en dessous, ils sont magnifiques. Malgré le froid de son uniforme trempé, il sent son dard palpiter dans son caleçon... "Well, elles peuvent m'aider! OK, j'y vais, cool down..."

"Hum! Hello! Je être Américain to libérer France?!... My name Bob...
- ... HAAAAAA!!
-... Qui c'est? Qui êtes vous? Reculez... on va crier!!!
-...Cool down, I'm ici to help, pour li-bé-rer...
- Oui, ça va on a compris! Suzie, un américain! qu'est-ce qu'on fait...
- Punaise, il nous a vu tu crois?

Les deux amies se sont vite reprises, les pulls sont baissés, les jupes réajustées...

- Je sais pas mais en tout cas, vise son pantalon, il bande comme un âne not' soldat..
- Euh... no boum-boum? pan-pan?
- boum-boum? pan-pan?
- ben oui, t'as pas un fusil? pour tuer les allemands?
-...oh yess! my gun! no... lost!
- remarque il a l'air suffisament armé comme ça...
- Arrête de penser à ça Suzie, c'est la guerre, si les ricains sont là, ça va barder!
- C'est facile pour toi, t'as joui comme une bête, tu m'as juté dessus, mais moi, j'aimerai bien calmer ma minette...
- Ecoute Suzie, on l'emmène à la cabane du verger et on avise là-bas...si jamais une patrouille nous coince, c'est pas avec sa queue qu'il va nous sauver!
- What? a patrouille...?
- Non, venez, euh... venez" dit Suzie en lui prenant la main. Oh là là, il est costaud en plus, vite, je ne vais pas tenir longtemps...

Bon, elles ont l'air sympa, et puis je n'ai rien à perdre...
"Wait! attendre..." Il plonge dans le buisson et reviens avec son sac...
- Henriette!
- Quoi encore, il faut vite partir!
- Il doit avoir un parachute... Pour faire des chemises y'a rien de tel...Parachute?? Toi être venu du ciel? là-haut?
-Yes. OK, elles veulent ma toile. "Over there, in the bush, les buissons derrière la eau.
- Henriette on y va, et on passera par le champ du Glaude!
- Bon d'accord, mais vite, le jour va plus tarder à venir.

Le petit groupe se faufile le long de l'étang, et trouve facilement le parachute. Soudain, des voix sur le chemin..
"Henriette, la lampe!"
Bob a plongé et aplati au sol les deux amies, la lampe a glissé dans l'eau...

"Ja! tu sais Hermann, le colonnel a dit qu'il faut être très vigilant! il y aurait une menache chette nouit! Ach cela fa nous faire rater le rendez-fou!" ...
- Chut, regarde Karl, des traces sur le chemin?..."

Les jeunes femmes et Bob sont allongés sur le parachute et n'osent plus bouger. Bob sent la chaleur du corps de Suzie allongée sous lui. Le stress et son odeur le font bander immédiatement. Sa queue gonflée s’incruste dans le dos de Suzie... Elle remue doucement, remonte légèrement, tout doucement, se décale jusqu'à sentir cette bosse énorme entre ses fesses.

"Karl, il doit y afoir du monde bar là che te dis!
-Ecoute Heinz, che ne bense bas, il y a beaugoup de bassage par ici...
- On fa vérifier?
- Nein! on gontinue..."

Suzie est tellement excitée, qu'elle oublie le danger et la proximité de la patrouille, elle glisse sa main dans son dos, et attrape la queue coincée dans le treillis. Elle paraît vraiment grosse, et tellement dure...voilà deux boutons plus loin, elle dégage l'engin...elle tire sur sa jupe, écarte les fesses et glisse le long tube tout dure entre...elle se cambre un peu et "ouhouhouh" le gland s'insinue doucement dans la chatte trempée...
Bob a laissé faire, il ne respire plus, totalement tétanisé par le savoir-faire de la Française. Il insinue ses mains sous sa poitrine au moment où elle s'enfile sa queue dans la chatte. "Waouh! quels seins! des obus" écrasés dans ses deux mains.

Suzie ondule doucement du cul. La bite de Bob coulisse doucement dans sa chatte humide, il arrive quasiment à rentrer toute la longueur de sa queue. Elle lâche un soupir de plaisir...

"Ach! il y a quelqu'un che te dis!
LEFEZ-VOUS! JE VAIS TIRER!
...
- Non, arrêtez, je suis perdue... " Henriette se lève et s'avance dans le faisceau des lampes des Allemands.
"ahah! Che te l'afais dit Heinz! Que fais-tu là Mademoiselle? C'est verboten...
je voulais voir des amis, ne me faîtes pas de mal...
non bas de mal...mais vous pouvez faire du bien...

Henriette comprend le pétrin dans lequel elle s'est mise pour sauver son amie. Bon, ils on l'air gentils les fridolins, et puis, après la mise en jambe avec Suzie... à l'idée que sa copine se fait enfiler par le parachutiste inconnu, cela fait tomber ses dernières hésitations...

« Oui, je peux être gentille, mais il faudrait se mettre à l'abri.
-Fenez avec nous, il y a une granche là-bas, nous serons tranquille! »

Pendant qu'Henriette suit ses deux gardiens, Suzie a totalement perdue le sens du danger. Elle a tendu son cul pour laisser la queue de Bob la pénétrer plus profondément. Suzie est désormais posée sur ses coudes, la tête dans le parachute; ses fesses claquent sous les coups de reins de l'Américain. Il s'est lui aussi redressé et s'accroche aux hanches de sa partenaire de sexe. Toute la peur accumulée, toute sa fougue se concentre dans ce moment de baise absolue. Il transpire en limant ce derrière offert.
Sa sueur tombe sur les fesses de la jolie normande. Elle glisse sur le fion, écartelé sous la pression de la bite de Bob qui coulisse dans la chatte. Suzie prend alors ses fesses à pleine main, tournant la tête vers Bob et souffle: « enfile-moi! Prends-moi! ». A cet instant elle n'est plus qu'un cul offert. Bob ne comprends rien, mais comprend tout.
Il sort sa queue trempée de la mouille de Suzie et pointe vers l'anneau entr'ouvert. Dans la pénombre du sous-bois, il sent son gland pousser. Le cul s'ouvre doucement. La tête de la pine force l'entrée sans trop de difficulté. Suzie, surprise par la taille de cette bite, mord le parachute pour ne pas crier. Remplie peu à peu par la colonne de chair qui s'insinue dans son fion, dilatée par la poussée, elle s'abandonne. Lorsque Bob commence à se retirer, elle pousse son cul vers lui pour ne pas le perdre; il s'enfile alors plus profondément. Alors qu'il recule à nouveau, elle laisse la bite sortir totalement de son cul. Elle se relève, embrasse à pleine bouche son Américain, le pousse sur le dos, admire pour la première fois cette queue tendue vers le ciel. Le gland est bien marqué, posé au bout d'une tige légèrement courbée, longue et épaisse. C'est un bel engin, luisant de sa mouille. Elle le prend dans sa main, se penche face à Bob et plante cette belle queue dans son fion élastique. Bob est estomaquée par spectacle de cette fille accroupie, sa bite dans le cul. Elle enlève son pull et découvre ses deux superbes seins. Elle prends les mains de Bob et les place dessus, lui montrant comment les masser. Suzie ondule doucement du bassin, goûtant chaque centimètre de cette nuit américaine...

Empalée sur cette bite bien dure, les seins empaumés avec dextérité par son parachutiste préféré, elle glisse une main vers sa chatte gonflée. Au rythme du balancement de ses reins, elle branle son clito durcit. Elle se sent partir, un houle énorme s'empare de son cul, de son ventre et remonte pour la foudroyer. Bob est totalement sous son contrôle, sa bite est soudain comprimée de sa base jusqu'au gland. Il explose dans le cul de Suzie au moment où elle se cambre. Il gicle plusieurs fois, noyant le boyau de sa partenaire, agrippé à sa taille, la queue enfoncée jusqu'à la garde.
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Commentaires du récit : Le jour le plus long I

Le 20/08/2008 - 21:46 par sweetiee
mmmh j'envie les deux filles !!!

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