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Lue : 1913 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/04/2008
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Lettre d'amour
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Je brode de silencieuses secondes à la dentelle du temps. Elle couvrira les murs de l’ennui qui s’intensifient au gré des jours. Je tricote le futur avec les fils du passé et du présent. Assis entre les deux mondes, du réel et de l’écriture, le silence me guide vers le nirvana du rêve de vous.
Délicieux plaisir d’être entre nous, mes muets mots attachent un âme au papier, vos yeux délieront son écho. J’aimerais partir, voguer sur la mer des draps où les mains parlent, où le cœur écoute. Mourir en vous, du ressac de nos corps.
J’en redemande de ce dialogue charnel où les non dits ensorcellent nos âmes. L’imaginaire m’accompagne aux limites de votre chair. Mes lèvres s’arquent dans le vide, cherchant la cambrure de vos seins.
Dame très chère, de ce merveilleux mélange du passé et du présent, je vis, j’écris, je rêve de vous. Je ferme les yeux, aveuglément, je lis en braille sur votre corps. Ma main se crispe sur le stylo cherchant votre chaleur, malgré cela ce n’est que mes mots qui effleureront votre cœur. Pardonner votre humble amant, le verbe rougir ne se conjugue pas, tant votre manque est présent.
Mes mots daignent vous demander de m’accompagner aux limites de l’érotisme. Si demain existe c’est grâce à hier, j’ai souvenance des moindres détails. Soyez de nouveau mon étoile filante en cette nuit percer de mille bougies.
Dame très chère, j’imagine votre corps nue, nos profils prêt a s’ébattre sur les murs. Ma bouche a l’attirance de la votre, de votre chair. Vos magnifiques seins éperonnent ma langue, mes mains les pétrissent tel un boulanger amoureux de son pain. Contre ma cuisse, votre sexe ruisselle faiblement. Ma main met les voiles, mon doigt mouille l’ancre, tendrement la houle balade ma main.
Je dérobe votre bouche, j’emprisonne votre langue. L’étreinte de vos bras inonde mon cœur de tendresse, il me manque ce délicieux moment. Je quitte vos lèvres, je flotte sur votre houleux ventre. Ma destination enfièvre votre agitation, mon souffle sur les pétales de votre corps catalyse votre bas-ventre. Ma langue sur votre bouton de rose oscille, votre corps tremblote, votre dos se cambre.
Mouillez ma langue, abreuvez ma bouche, inondez mes lèvres, soyez mienne Dame très chère. Votre point de féminité se virgulise jusqu’a l’exclamation. Mes lèvres accentuent l’emprise, il tressaute se bute contre les parenthèses charnel. Ma bouche imbibée de vous, pratique un tiret, glissant tendrement. Vous êtes consciente de mon désir. Vos jambes se soulèvent tendrement.
Ces mamours secrètement érotiques, ajoute une puissance émotive. Ma langue joue aux câlineries, vos doigts s’amusent avec bouton de rose. Reine très chère, le demi-tour qui propulse votre corps, me convier d’être votre souverain. Votre ouverture d’esprit, m’autorise l’accès a votre cachot secret, que j’ai bien pris soin de le lubrifier pour que ma clef érotique puisse pénétrer votre serrure. Je déverse les larmes de l’amour en vous.
Délicieux plaisir d’être entre nous, mes muets mots attachent un âme au papier, vos yeux délieront son écho. J’aimerais partir, voguer sur la mer des draps où les mains parlent, où le cœur écoute. Mourir en vous, du ressac de nos corps.
J’en redemande de ce dialogue charnel où les non dits ensorcellent nos âmes. L’imaginaire m’accompagne aux limites de votre chair. Mes lèvres s’arquent dans le vide, cherchant la cambrure de vos seins.
Dame très chère, de ce merveilleux mélange du passé et du présent, je vis, j’écris, je rêve de vous. Je ferme les yeux, aveuglément, je lis en braille sur votre corps. Ma main se crispe sur le stylo cherchant votre chaleur, malgré cela ce n’est que mes mots qui effleureront votre cœur. Pardonner votre humble amant, le verbe rougir ne se conjugue pas, tant votre manque est présent.
Mes mots daignent vous demander de m’accompagner aux limites de l’érotisme. Si demain existe c’est grâce à hier, j’ai souvenance des moindres détails. Soyez de nouveau mon étoile filante en cette nuit percer de mille bougies.
Dame très chère, j’imagine votre corps nue, nos profils prêt a s’ébattre sur les murs. Ma bouche a l’attirance de la votre, de votre chair. Vos magnifiques seins éperonnent ma langue, mes mains les pétrissent tel un boulanger amoureux de son pain. Contre ma cuisse, votre sexe ruisselle faiblement. Ma main met les voiles, mon doigt mouille l’ancre, tendrement la houle balade ma main.
Je dérobe votre bouche, j’emprisonne votre langue. L’étreinte de vos bras inonde mon cœur de tendresse, il me manque ce délicieux moment. Je quitte vos lèvres, je flotte sur votre houleux ventre. Ma destination enfièvre votre agitation, mon souffle sur les pétales de votre corps catalyse votre bas-ventre. Ma langue sur votre bouton de rose oscille, votre corps tremblote, votre dos se cambre.
Mouillez ma langue, abreuvez ma bouche, inondez mes lèvres, soyez mienne Dame très chère. Votre point de féminité se virgulise jusqu’a l’exclamation. Mes lèvres accentuent l’emprise, il tressaute se bute contre les parenthèses charnel. Ma bouche imbibée de vous, pratique un tiret, glissant tendrement. Vous êtes consciente de mon désir. Vos jambes se soulèvent tendrement.
Ces mamours secrètement érotiques, ajoute une puissance émotive. Ma langue joue aux câlineries, vos doigts s’amusent avec bouton de rose. Reine très chère, le demi-tour qui propulse votre corps, me convier d’être votre souverain. Votre ouverture d’esprit, m’autorise l’accès a votre cachot secret, que j’ai bien pris soin de le lubrifier pour que ma clef érotique puisse pénétrer votre serrure. Je déverse les larmes de l’amour en vous.
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Commentaires du récit : Lettre d'amour
Le 25/01/2015 - 19:47 par Enelhya
Comment ne pas apprécier ce lyrisme, cette peinture délicate des détails ineffables...Elle en a de la chance la dulcinée qui reçoit de si jolies lettres. :)
Comment ne pas apprécier ce lyrisme, cette peinture délicate des détails ineffables...Elle en a de la chance la dulcinée qui reçoit de si jolies lettres. :)
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