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Le marchand d'illusions 2

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Lue : 2835 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/09/2012

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L’art d’appâter des filles Chapitre 2

Les filles pénètrent dans le salon en chahutant devant leur visiteur. Chacune pose sa valisette sur la table, l’homme dresse les deux siennes sur le tapis de laine. Elles s’assoient sur le canapé, il leur fait face, debout, et nous présente le dos.
-Vous êtes Marie, nous sommes dans la maison que vous partagez avec votre compagnon, Aimé. Vous vivez en couple, comme mari et femme: ai-je bien retenu ce que vous m’avez dit?
-C’est exact
-Et vous êtes Julie, vous avez 20 ans, vous êtes célibataire mais vous souhaitez vous marier avec un copain commun prénommé Jean. Si j’ai bien compris vous n’avez pas de relations sexuelles, j’en conclus que vous êtes vierge?
-C’est exact.
Pour moi j’entends cette affirmation avec joie. Car après la mémorable pipe, dans le contexte que vous connaissez, je m’étais demandé comment Julie avait pu acquérir une technique aussi affûtée dans l’art de procurer avec sa bouche du plaisir à un garçon. Je lui avais prêté des aventures audacieuses et je m’étais interrogé sur sa moralité. N’était-elle pas un peu trop délurée pour faire une bonne épouse, une épouse telle que je la souhaitais, gaie certes, ardente au lit aussi, mais fidèle? Alors l’aveu de sa virginité à cet inconnu, pour indiscret qu’il soit, ne m’en réchauffe pas moins le cœur. Le type continue:
J’ai remarqué vos silhouettes jeunes, racées et élégantes dans la rue. Voilà pourquoi, je me répète, j’ai osé vous aborder. Je suis représentant professionnel avec exclusivité dans un vaste secteur pour une grande marque de lingerie et de sous-vêtements féminins. Je fais de la vente en magasins, sur les marchés, en réunions privées, sur internet. Ma société m’a chargé, en plus, du recrutement de deux collaboratrices pour me seconder en raison de l’explosion des ventes et de l’embauche de deux mannequins aux formes parfaites et à l’allure jeune fraîche mais distinguée pour compléter le catalogue de nos prochaines fabrications. Je vous ai vues et aussitôt je me suis dit
« Ce sont-elles, elles correspondent parfaitement aux critères imposés et si elles sont intéressées je peux leur proposer le double job. Un, elles poseront habillées de nos modèles pour le catalogue, deux, je les embauche pour organiser des réunions privées et animer avec moi les ventes dans tout l’est du pays. J’ajoute que c’est une activité très lucrative et néanmoins plaisante. Je me chargerai personnellement de votre formation professionnelle. Madame, mademoiselle, que pensez-vous de ma proposition?
Il faut voir leur visage pour comprendre à quel point elles sont enchantées d’avoir été distinguées parmi tant d’autres pour devenir mannequins-modèles et représentantes d’une grande marque. La faconde de leur hôte, (son ramage égal à son plumage) et l’annonce de salaires supérieurs à la moyenne ont raison du sens critique qui les caractérise habituellement. D’un même bond elles lui sautent au cou avec des cris de joie et l’embrassent à pleines joues. C’est merveilleux, vendre de beaux objets, gagner beaucoup d’argent et poser pour des photos: Grégoire prend soin de souligner la plus value évidente que cela doit représenter aux yeux de leurs compagnons. Ils seront éblouis par leur succès et les aimeront davantage encore.
-Je ne les vois pas vos deux hommes. Ils vous encourageraient certainement à profiter de cette aubaine. Mais où sont-ils, je regrette leur absence.
-Ils sont à la pêche jusqu’au soir et vont rentrer bredouilles comme d’habitude! Ironise Julie. Mais nous sommes majeures et tout à fait capables de prendre nos vies en main. Comme vous dites, ils seront ravis de constater que nous allons nous épanouir en travaillant en cette difficile période d’augmentation du chômage. Moi je suis partante.
-Moi aussi, dit en écho la voix de Marie.
-Dans ce cas, ne perdons pas de temps, passons aux essayages immédiatement. Je sors mon appareil photos. Ah! Vous devez le savoir: Cette séance va vous rapporter dès aujourd’hui le droit de puiser gratuitement dans mes valises un ensemble complet, soutien-gorge, guêpière et string d’une valeur de cent cinquante euros si vous jouez bien le jeu et si vous vous appliquez à prendre les poses demandées.
-C’est formidable! Disent-elles d’une seule voix.
. Ouvrez ces deux valises, choisissez ce qui vous plaît et tenez compte de vos tailles. Pas d’élément qui gode, pas de soutif qui baille. Julie je suppose qu’il vous faut du 85 B, Marie choisissez un peu plus grand.
Elles fouillent, tendent vers la lumière les grammes de tissus, assortissent et s’apprêtent à quitter la salle.
-Où allez-vous? Quoi, je vous fais peur? Il faudra vous habituer à vous changer plusieurs fois de suite, bien souvent en ma présence, pour présenter à vos clientes des tenues différentes. Le défilé se prépare le plus souvent dans une pièce de la maison de l’hôtesse qui vous reçoit. Et avant votre entrée devant votre public je veux vérifier que tout est bien en place. Un objet mal porté suffit à gâcher une séance. Aujourd’hui, pour ne pas heurter votre pudeur trop rapidement, je me tourne vers la fenêtre, mais croyez-moi, j’ai vu des centaines de femmes nues d’un œil purement professionnel, comme un médecin, un infirmier ou un masseur! Vous vous habituerez vite à vous déplacer nues ou en petite tenue devant moi. Ce qui m’importe, c’est la perfection de l’image fournie à l’acquéreur potentiel.
Puisqu’il regarde dehors, elles se tournent vers le canapé et se défont en hâte de leurs habits, nous offrent sans le savoir leur dos, leurs fesses et leurs jambes à l’état de nature. Devant moi, Aimé ne boude pas son plaisir non plus, deux jolies femmes se dévoilent entièrement. J’admire la forme de guitare de ces corps encore juvéniles, la taille bien prise de Julie, son admirable popotin plus mince que la croupe potelée de Marie. Je me remplis les yeux et j’atteins le sommet de ma satisfaction quand elles font demi-tour pour attraper les pièces nouvelles oubliées sur la table à cause du trouble éprouvé à la pensée que Grégoire les regarderait. Elles ont effectivement des poitrines de références, encore légères mais bien formées qui balancent lorsqu‘elles se penchent. Les aréoles de Marie sont plus larges, les tétons de Julie plus pointus. Et sous la touffe brune du pubis on voit se dessiner le départ du pli des fentes. Et ces cuisses! J’en bave. Quel bonheur et c’est gratuit. Si Julie savait que je la dévore des yeux, si Marie se doutait de ma présence…
-Alors, ça vient?
Déjà Grégoire fait demi-tour pour assister aux dernières manœuvres. L’une bourre un sein dans son bonnet avec nervosité, l’autre tortille du cul pour entrer dans son string peut-être trop étroit. Le professionnel s’impose
-Regarde-moi ce sein qui déborde sous le soutien-gorge. Vous avez besoin d’un mentor. Tu permets petite Julie?
Elle n’a pas eu besoin de permettre, il a plongé sa main au contact du globe, entre chair et tissu et met le « nibard » en place. L’aisance du geste, cette façon subtile d’ajuster en frottant le téton sont les signes d’une expérience certaine.
- Et toi, Marie, il n’est pas possible d’attirer l’œil sur ton string s’il ressemble à un chiffon. Le gousset doit être déployé, bien épouser la vulve; oui tire! Si un homme regarde le catalogue il faut lui donner l’envie d’offrir à sa copine le string qui lui donnera un petit déclic. Regardez bien: je passe mon doigt allongé là, au milieu et j’appuie en deux ou trois va et vient, je creuse un peu et je souligne la fente entre les lèvres du sexe.
Il démontre; Marie, cuisses ouvertes laisse passer le doigt qui sert à marquer la ligne en creux. Au nom de l’art et des astuces de vente, elle admet qu’on la touche, qu’on tripote son sexe, c’est le métier qui entre en même temps que le doigt séparateur. A côté de moi Aimé grogne de mécontentement et me souffle
-Mais elle se laisse masturber. Ce n’est pas vrai.
Je le calme tout bas:
-Hé! Elle aura un travail, il faut ce qu’il faut!

-Julie, tu n’as pas compris? Viens là.
Elle aussi a droit à la mise en évidence des formes de son sexe. Vierge ou pas, elles ne peuvent pas rester indifférentes à ces attouchements répétés à chaque essayage d’un autre modèle. Grégoire ne se prive pas de rectifier et de tâter surtout les zones érogènes, ne se retourne plus. Il mate sans vergogne et passe ensuite son temps à lisser une bordure, à faire courir un index sur la lisière d’une culotte ou à repousser sous l’étoffe quelques poils qu’il faudra couper ou raser. En attendant ces poils lui permettent un accès aux entrejambes des filles décomplexées à leur tour. Il touche, il touche encore, avec un zèle infatigable, elles rient. Il appuie, caresse, émeut les sens; elles rêvent défilés, photos et ventes, mais rougissent d’un plaisir qui n’est pas seulement intellectuel L’ambiance est joyeuse, détendue, de plus en plus exubérante. Aimé et moi, voyeurs ignorés, finissons par trouver ce plaisant spectacle tout à fait naturel. Nos femmes sont belles et vont faire carrière, car elles ne sont pas farouches. Grégoire a bien choisi, c’est un pro. Dans le fond c’est en retour une preuve de notre bon goût.
Nous admirons le savoir faire de ce gaillard qui peut se permettre des gestes osés, qui sait mettre à profit le moindre détail pour se donner l’occasion d’intervenir, quitte à inventer des défauts, mais qui centimètre carré après centimètre carré explore hardiment la qualité de la peau, éprouve la tonicité des muscles et réussit régulièrement à laisser traîner un doigt ou une main sur les parties les plus intimes des postulantes à un emploi. Les deux femmes sont cependant ennuyées par l’obligation de choisir parmi ces merveilles le cadeau promis. Trop de belles choses! Elles sont penchées sur l’étalage des pièces de lingerie dispersées sur la table, discutent, examinent. Grégoire derrière elles, flatte un dos, pose la main sur une épaule, masse délicatement une croupe, fait courir des frissons et donne son avis. Il prend rapidement quelques photos dans les poses les plus curieuses avec le constant souci de montrer, sans dénuder, les détails anatomiques qui capteront l’œil. A genoux, debout, accroupies, penchées en avant fesses saillantes ou penchées en arrière pubis provocant, seules ou en couple lesbien: elles sont malléables, souples et d’humeur étonnamment égale. Ici il faut laisser paraître la fraise d’un téton qui déborde, là les filles se mettent une main pour une caresse réciproque sur un sein, mais aussi sur la partie étroite de la petite culotte. Tout est bon pour plaire à Grégoire. De l’audace, réclame-t-il. Et les poses sont de plus en plus suggestives. De l’attitude innocente on passe progressivement à des gestes lascifs, à des attouchements osés entre filles. Ce type sait les échauffer sans alerter leurs défenses et sans effrayer leur pudeur. Ca va crescendo, elles s’en amusent surtout.
Il aimerait leur montrer le contenu des autres valisettes. Beaucoup de femmes décomplexées réclament ce que cachent les mallettes. Mais il craint, l’hypocrite, d’effaroucher des jeunes femmes si bien élevées. Ses réticences attisent leur curiosité, elles protestent, elles se disent capables de tout voir sans se scandaliser comme il le craint à tort. Elles finissent par obtenir gain de cause. Il ouvre: sa valisette est un sex-shop! Grégoire exhibe, commente, précise le mode d’emploi, compare les avantages et inconvénients des « toys », montre les doux et les rugueux, les droits et les courbés, les vibrants et les articulés. Il donne à toucher, persuade :
-A l’heure actuelle chaque femme possède en moyenne deux jouets au moins. Depuis 1968 les mœurs sont plus libres. Qu’un mari ou un amant s’absente ou néglige sa compagne, celle-ci a sous la main, dans sa table de chevet, le substitut capable de lui donner du plaisir, aussi bien, sinon mieux que l’absent ou le paresseux. C’est encore ce que je vends le mieux actuellement, croyez-moi.
Il fait l’article, donne à toucher, fait vibrer contre une joue ou contre un sein. La démonstration plaît. Encore faudrait-il en user correctement. On ne peut pas vendre un objet dont on ne connaît pas tout l’intérêt. Marie veut-elle essayer un godemiché vibrant et articulé? Avant de se décider elle l’a en main.
-Sans façon, tu te l’introduis en écartant ton cache sexe. Assieds-toi sur le canapé. Là il y a un bouton, tu peux choisir la vitesse des vibrations et l’amplitude des mouvements de la tête. Tu ne l’as jamais fait? Il faut un commencement à tout. Tu as honte devant ta copine? Justement il faut qu’elle voie, parce que je ne peux pas faire essayer un engin qui pénètre assez profondément dans le vagin à une vierge. …Zut, je n’ai pas mon tube de lubrifiant. Julie, peux-tu l’aider? Tu lui caresses gentiment le sexe, entre femmes c’est sans risque. J’aurais plaisir à la faire mouiller, mais la décence m’interdit d’y mettre le doigt.
-Encore bien grommelle Aimé.
-Merci Julie.
Julie rougit un peu, mais elle s’approche de Marie assise, jambes ouvertes dans l’attente de la caresse de sa copine. Avec une douceur infinie Julie pose sa main sur la vulve, décrit un mouvement de scie, passe ses doigts dans sa bouche, les enduit de salive et retourne au four pour humecter l’intérieur des grandes lèvres. Toutes deux rient pour cacher leur gêne. Je bande dur au spectacle de cette intrusion des doigts de ma chérie dans la chatte de la compagne d‘Aimé.
-Bon, ça suffit, dit Grégoire, Marie utilise ton jouet maintenant.
-Grégoire, tu sais je voudrais aussi essayer.
C’est Julie qui implore. Est-elle folle ou inconsciente: un engin comme celui-là va la déflorer!
-Mais, proteste le vendeur.
-C’est que… Je n’ai pas fait l’amour avec Jean. Ce garçon je le veux, donc je me laisse désirer. J’ai par contre fait l’amour avec un autre copain, Hugo. C’était avant Jean. Mais ce cochon d‘Hugo, une fois qu’il m’a eue ne s’est plus montré. Donc je ne suis plus vraiment vierge. Mais on ne m’aura plus, je serai à Jean quand il m’aura mis la bague au doigt. Si quelqu’un a besoin de jouet ici, c’est bien moi, pour m’aider à attendre le mariage.
Marie bondit sur l’occasion.
-Ma chérie, c’est vrai. Prends ma place et je vais te donner un coup de main pour apprendre à te servir de ça. Allez, ouvre, pousse le tissu et laisse-toi faire.
-Ah! Non, Marie, ce ne sont pas les jouets qui manquent, j’en ai pour chacune et si vous êtes appliquées, j’ouvrirai la dernière valise. Il est indispensable de savoir comment cela agit sur vous-même avant de vous lancer dans des démonstrations chez vos clientes demain. Allez, au travail.
Que c’est habile d’assimiler ces exercices à un travail.
-Ecoute, Grégoire, tu me laisses quelques spécimens et je les expérimenterai avec mon copain. Voyons déjà les réactions de Julie puisqu’elle est volontaire et a besoin de sexe en ce moment: c’est une situation idéale pour juger la valeur de ces substituts.
À suivre

Un gode ou un homme?
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Histoire de Veilleur

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