Le médecin

J'ai le cœur brisé, depuis six mois. Anna m'a quitté après notre aventure. Elle a dit qu'elle aimait Samantha et qu'elle ne pouvait pas annuler leurs fiançailles à cause d'une histoire d'une nuit. Elle sait que je ne suis pas capable de me lancer dans quelque chose de sérieux et qu'elle sera plus heureuse. Je ne suis pas d'accord, après cette nuit j'ai réalisé à quel point Anna m'avait manqué. Mais elle a raison, serais-je capable de lui offrir ce qu'elle mérite vraiment ? Je lui fais promettre de m'inviter au mariage. Elle a rit. Je ne sais pas si elle m'a vraiment pris au sérieux. Alors me voilà, six mois plus tard, j'ai déménager à Lyon. J'avais besoin d'autre chose que Paris, il fallait que je change.
Ce midi je ne me sens pas bien, j'ai mal à la tête et un peu de fièvre. Mon amie Léna me conseille d'aller voir un médecin, je lui répond que je n'en connais pas et que je ne fais pas facilement confiance à ce niveau là.
- Mon père peut passer chez toi, il fait des consultations à domicile si tu veux, pour le coup c'est quelqu'un de confiance.
Je ne connais Léna que depuis quelques mois et je n'ai jamais vu ses parents mais il y a aucune raison que je ne lui fasse pas confiance.
- Ok, tu peux me donner son numéro ?


Léna est partit depuis une heure, j'en ai profité pour prendre une douche et mettre un pyjama propre. Je n'ai qu'une envie: dormir. Mais le père de Léna: Marc, doit venir d'une minute à l'autre. Je sais que je n'ai pas grand chose, je dois avoir un rhume mais j'aimerai une ordonnance d'un médecin pour aller acheter des anti-douleurs.
La sonnette retentit, je me tire de mon lit et ouvre. Je suis surprise quand je vois un homme blond, qui ne doit pas avoir plus de quarante ans en face moi. Il pourrait être le genre d'homme qu'on prendrais pour un acteur américains sans soucis.
- Bonsoir, dis-je en remarquant sa carrure.
Léna ne m'avait jamais dis que son belle était si bel homme. Il me regarde et me lance un sourire.
- C'est pour l'osculation ?
Je lui donne rapidement mes symptômes avant de l'emmener jusqu'à la chambre. Il me demande de me mettre en sous vêtements et de m'assoir sur le lit. Il porte une blouse par dessus ses vêtements de tous les jours. Il enfile des gants et pose son stétoscope sur mon coeur ainsi que dans mon dos. Quand ses mains touchent ma poitrine je frissonne et il le voit. Je détourne les yeux gênée. Il regarde ensuite le fond de ma gorge et m'informe qu'il ne s'agit bel et bien que d'un rhume.
- Vous permettez que je fasse un examen plus approfondie ? Etre sur que tout va bien ?
Je hoche la tête. Il me demande de m'allonger sur le dos, ce que je fais. Il palpe mon abdomen et monte jusqu'à ma poitrine qu'il tâte à nouveau. Mon bas ventre se contracte.
- Vous pouvez vous allonger sur le ventre maintenant ?
Je me tourne et m'allonge. Il caresse la colonne vertebrale et descend jusqu'à mes fesses. Je le sens monter sur le lit et sa bouche se dépose sur mon dos.
- Tout va bien jusqu'ici ? Demande-t-il.
Je hoche la tête attendant la suite. Je sens ses mains tirer sur ma culotte pour me l'enlever, je lève légèrement mon bassin pour l'aider. Un de ses doigts entre doucement en moi, il porte toujours ses gants.
- Vous avez l'air en bonne santé, souffle-t-il en sortant son doigt.
Je lui demande de vérifier à nouveau, par sécurité. Il entre encore un doigt en moi et embrasse une de mes fesses. Ce jeux de rôle m'excite tout particulièrement.
- Je peux vous donner un médicament pour être sure que tout ira bien.
Il se relève et lorsque je tourne la tête je peux le voir détacher son jean. Je m'assied sur le rebord du lit et constate qu'il a un sexe géant entre les jambes. Je n'avais jamais vu ça.
- Prenez votre médicament, assure-t-il en approchant son sexe de ma bouche.
J'essaie tant bien que mal de le sucer mais il est vraiment trop imposant. Je le lèche encore et encore, Marc me regardant droit dans les yeux.
- Très bien, maintenant on peut procéder à la piqûre.
Je ferme les yeux en réalisant que son énorme sexe va devoir entrer en moi. Il me pousse sur le lit et se place au dessus de moi, je ne prend même pas le temps de lui demander s'il a une capote je ne pense qu'à la douleur que je vais ressentir. Il caresse mon clitoris de son pouce, forçant l'entrée du bout de son sexe.
- Détends toi, dit-il, ça va passer tout seul.
Il m'embrasse alors tendrement, je me sens mouiller sous ses titillements et son sexe commence doucement à entrer en moi. Il a raison, finalement ce n'est pas douloureux du tout, c'est même très bon. Il retire son doigt de mon clitoris et se dresse au dessus de moi. Les jambes écartés je soulève son t-shirt pour apercevoir son torse musclé. Il commence alors ses vas et viens et je réalise seulement maintenant que je me tape le père de mon amie. J'aimerai avoir des remords mais son sexe ne me laisse pas de répit, il entre et sors encore et encore.
- T'aime ça ? Demande-t-il en me regardant.
Je me pince les lèvres en regardant son membre entrer en moi et me demander.
- Oui j'aime ça, répondis-je.
Il accélère le mouvement avant de me porter, il m'emmène jusqu'au mur d'en face et me bloque. Son sexe toujours en moi. Il recommence à nouveau ses vas et viens, mon dos tapant contre le mur. Je m'accroche au tour de son cou et gémit de plaisir. Après un temps il me fait descendre et me penche sur le lit, les mains à plat sur le matelas, les fesses ne l'air il entre à nouveau en moi. Ses cuisses claquent contre mes fesses à chaque pénétrations, je gémis encore et encore ne sachant pas jusqu'où ça va aller. Il avance un peu, m'obligeant à poser mes genoux sur le lit et remplacer la paume de ma main par mes coudes, les fesses toujours en l'air.
- Regarde moi, ordonne-t-il.
Je tourne la tête comme je peux, il prend mon visage entre ses mains.
- C'est bien.
Il me pénètre à nouveau, il veut voir mon visage pendant que je jouis. Ses hanches accélèrent encore et encore mes seins ballottent dans tous les sens, sa main claque mes fesses et je suis sûre qu'il va y laisser une marque. Il gémit à son tour, un gémissement roque et fort, répétant des mots salaces et me claquant à nouveau les fesses. Mes jambes tremblent, j'ai besoin qu'il finisse je ne vais pas tenir encore longtemps. Je glisse ma main sur mon clitoris et me stimule, ce qui l'excite d'autant plus. Il lâche mon visage et agrippe mes hanches. Je sens mon orgasme arriver et le préviens, il me félicite et précise qu'il attend pour qu'on jouisse ensemble. Mes doigts s'accélèrent une dernière fois et je cri dans un dernier élan et le sens donner un coup de rein final. Il tient fermement mes hanches, crachant en moi tout ce qu'il peut.
Il se retire et remonte son pantalon.
- Tu as mon numéro, si tu as besoin d'autres consultations souffle-t-il.
Il griffonne quelque chose sur un papier qu'il pose sur ma table de nuit. Mon ordonnance.
- A bientôt j'espère, dit-il en me faisant un clin d'oeil.