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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
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Le meilleur pote de mon mari m’a mise enceinte dans un club échangiste.
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C’est impressionnant de voir parfois comment la vie veut jouer avec nous, et ma confession fait partie de cela.
Je m’appelle Carole, trente deux ans, et, selon ce que l’on
dit, la nature m’a sculpté un corps d’une beauté exceptionnelle. Je suis mariée à Alain, un homme merveilleux qui me fait rire, même dans mes jours les plus sombres.
Nous nous sommes rencontrés à l’université, sommes amoureux comme des adolescents, et avons décidé de passer le reste nos vie ensemble.
L’envie de fonder une famille a toujours plané dans nôtre esprit. Nous avons parlé d’avoir des enfants, de décorer leurs chambres pour, et de planifier des vacances en famille.Cependant, actuellement, nous vivions seul dans un appartement de cinquante mètres carré en plein
centre ville.
Chaque mois, j’attendais avec impatience le résultat d’un teste de grossesse, et chaque mois, la déception se marquait nos visage. Alain essayait de cacher son inquiétude, mais je le voyais dans ses yeux.
Ma vie, à part cela, était très stable, peut-être trop. Avec la frustration de ne pas pouvoir tomber enceinte, et les rares projets que mon mari et moi faisions, chaque semaine semblait être une répétition de la précédente. J’avais toujours plus d’initiative que mon mari. Un jour, alors que l’on discutait devant la machine à café, mes collègues racontaient leur week-end. Une en particulier attira mon attention. Elle et son époux avait tentés une soirée échangistes. Même s’il ne s’était rien passé, elle reconnu avoir passé une excellente soirée.
Cela fit tilt dans mon esprit, et fit des recherches. Après avoir réfléchi pendant longtemps, j’ai voulu lui proposer quelque chose. La curiosité d’expérimenter ma sexualité d’une autre manière, s’était éveillée en moi, bien que je n’ai jamais osé le dire à Alain.
Un jour, avec courage, je lui ai proposé d’aller à un évènement que j’avais vu sur un groupe Facebook, d’échange de couples. Je lui ai dit que nous n’étions pas obligé de faire quoi que ce soit, mais que l’on pourrait voir comment était cet environnement, et si cela nous plaisait.
Un samedi après-midi, Alain et moi étions à la maison, comme d’habitude. Nous nous sommes assis dur la canapé, et après quelques soupirs, j’ai décidé de lançait la proposition.
- Alain, et si nous essayions quelque chose de différent ? Lui ai-je dit nerveuse.
J’ai expliqué mon désir d’explorer de nouvelles chose dans nôtre relation, suggérant l’idée de l’évènement que j’avais trouvé sur Facebook. La surprise dans les yeux d’Alain était évidente.
- Échange de couple ? Murmura-t-il, surpris.
Après quelques secondes d’hésitation et de silence, il me dit que cela ne lui était pas venu à l’esprit, et que si quelque chose se passait entre nous, il devait y réfléchir, car s’était sérieux, surtout avec l’idée d’avoir un enfant. Je lui ai répondu, pas du tout, que c’était quelque chose qui m’intriguais, et qui pourrait donner vie à nôtre relation. En fait, nous pourrions aller juste pour voir, sans rien faire.
Cette même nuit, il me dit, avec un peu de réticence que oui, nous pourrions aller prendre un verre et voir cette ambiance, que cela l’intriguais aussi de voir comment tout cela se passait. Puis nous avons entamés une relation torride, m’imaginant jouir dans les bras d’un autre homme. Au cours de la semaine suivante, tout était comme le précédente, mais nous avions la nouveauté que ce week-end, nous ferions quelque chose de différent..
Nous en discutions en rentrant à la maison et nous rions des situations que nous pensions pouvoir rencontrer. Mais, sans aucun doute, nous n’imaginions jamais ce qui se passerais vraiment.
Alain et moi nous préparions à sortir, un peu nerveux, mais excité. Pour l’occasion, Alain avait opté por un pantalon noir à pinces, d’une chemise blanche et d’un blouson. Quant à moi, j’avais choisi une tenue plus audacieuse. Courte jupe, chemisier échancré, escarpin de six centimètres. Mes cheveux lâché encadré un visage maquillé subtilement.
- Penses-tu que c’est une bonne idée ? Demanda Alain ajustant sa cravate.
- Je ne sais pas, mais nous ne le serons jamais si nous n’essayons pas, lui dis-je, essayant de minimiser l’importance de la situation.
Nous avons finis de nous habiller, et nous sommes dirigés vers le lieu de l’évènement. En chemin, la conversation restée décontracté, mais avec une étincelle de nervosité.
- Tu imagines ce que nous trouverons là-bas, demanda Alain avec un sourire nerveux.
- Aucune idée, mais tu sais que nous sommes ensemble là dedans, ce n’est qu’un plan différent, tu t’en souviens répondis-je, essayant de maintenir les choses détendues.
Nous sommes arrivés sur place, un bâtiment discret, avec des lumières tamisées qui lui donnait une touche de mystère. Nous avons pris une profonde inspiration, sommes entrés, prêt à découvrir ce que cette nuit inhabituelle nous réserverait. En entrant, nous avons été surpris par le nombre de personne présente.
L’endroit avait une atmosphère similaire à celle d’un bon pub. Des rires, des conversations animées, des lumières douces créant une atmosphère plus détendue que ce que nous imaginions.
- Tu ne t’attendais pas que ce soit comme çà; n’est-ce pas, dis-je à Alain, alors que nous nous mêlions à la foule.
- Pas du tout, je pensais que ce serait.. sombre et mystérieux, répondit-il, observant autour de lui avec un sourire.
Nous sommes allés au bar commander des verres de vin, essayant d’absorber l’énergie de l’endroit. La musique entraînante nous a fait sentir plus à l’aise, et bientôt, nous nous sommes plongées dans l’ambiance animée de l’évènement, avec la curiosité intacte et la volonté de simplement profité de la nuit. J’ai décidé de ne pas trop boire, seulement deux verres, car je voulais rester maîtresse de moi-même à tout moment.
- Allons-y doucement sur l’alcool, d’accord, dis-je à Alain en prenant une gorgée de mon verre.
Il acquiesça, pensant lui aussi que nous devons rester maître de nous même. Nous déplacions dans l’endroit, participant au conversation, et observant comment le couples profitaient de la nuit. Après un moment là bas, nous avons eu une surprise.
Jordan, le meilleur ami d’Alain, est apparu avec une nouvelle petite amie. Ah Jordan, l’homme de tous mes désir, de tout mes fantasmes. Combien de fois ai-je joui dans les bras de mon mari, pensant que c’était lui qui me baiser. Nous ne savions pas qu’il aimait ce genre d’évènement. Jordan avait toujours la réputation d’être un grand séducteur, et de pouvoir avoir la fille qu’il voulait.
- Alain, Carole, que faites-vous ici… S’écria Jordan surpris de nous voir.
Nous avons salué, expliqués un peu, et nous a présenté sa nouvelle compagne, Laura. Elle dégageait une aura de confiance et de mystère, avec un sourire suggérant qu’elle
était habituée à surprendre les gens. Jordan, quant à lui, semblait détendu et sûr de lui.
- Qui aurait cru que tu aimes ce genre de chose, Jordan, commenta Alain surpris.
- Eh bien, chacun a ses secrets, n’est-ce pas, Laura et moi pensons que ce serait amusant d’essayer quelque chose de nouveau.
Après une conversation détendue, Jordan proposa de prendre un autre verre. Bien que j’avais décidé de ne pas beaucoup boire ce soir là, j’acceptais, pensant qu’un verre de plus ne me ferait pas de mal. Nous nous sommes dirigés vers le bar, ou l’ambiance était toujours animé.
- Ce verre sera le dernier pour moi, sérieusement, dis-je à Alain avec un sourire.
Un peu plus tard, entre les rires et la foule animée, je commençais étrangement à me sentir étourdie. Cela n’avait pas de sens, je n’avais bu que deux verres, et je n’avais pas l’habitude d’être affectée si rapidement. J’ai essayé de l’ignorer au début, pensant que cela passerait, mais la sensation persistait. Je décidais que je devais aux toilettes, et demandais à Laura de tenir compagnie à mon mari. Jordan, quant à lui, avait rejoint une vieille connaissance..
Je me dirigeais vers l’intérieur, essayant de m’éloigner de la foule, et de reprendre contenance. En arrivant aux toilettes, de plus en plus sous l’emprise d’une substance, je fus surprise de tomber sur Jordan, qui lui, ne semblait pas affecté.
Après quelques échanges, la suggestion de Jordan d’aller dans un endroit plus calme, semblait tentante. Avec une vision légèrement flou, j’acceptais, sans être vraiment consciente de se qui se passait.
Nous sommes entrés dans une alcôve privée, ou l’atmosphère était plus intime. Jordan a commencé à me parler de plus près, à m’embrasser, me caresser, ses paroles se mêlant à la musique de fond. Bien que mon esprit soit trouble, quelque chose dans l’atmosphère éveillait une certaine excitation. Je n’étais pas tout à fait consciente des actions de Jordan, mais la provocation flottait dans l’air, se confondant avec la réalité flou de cette nuit inhabituelle.
La dernière chose dont je me souviens, c’est qu’il a enlevé mes vêtements, me mettant entièrement nue, et m’être suis laissé emporter totalement, sans être consciente de ce qu’il se passait. Seul le flou d’une ardente passion, de baisers fougueux, d’un intense désir, de la dureté de sa queue dans ma chatte, dans ma bouche, et le goût de sa semence sur ma langue, me donnèrent un immense plaisir, jusqu’à l’orgasme final.
Je n’ai pratiquement plus de souvenir de cette nuit. Je me suis réveillée le lendemain dans mon lit avec Alain à mes côtés avec une sensation de malaise d’être complètement détruite.
Bien sûr, je n’ai rien dis à mon mari de ce qu’il s’était passé, j’étais très effrayée.
Au cours de la journée, je me suis remise, et j’ai dit à Alain que je pensais qu’on m’avait versé quelque chose dans ma boisson, qu’il était impossible que deux verres de vin me rendent malade.
Les semaines suivantes, était comme suivre une routine déformée. J’ai essayé de reléguer dans u n coin de mon esprit, ce qui s’était passé, comme si l’ignorer le ferait disparaître magiquement. Mais lors d’insomnie, je me revoyais dans cette alcôve, nos corps enlacées dans lune étreinte sauvage, son pieu profondément enfoncé en moi.
J’ai continué ma vie quotidienne, essayant de retrouver la normalité.
Je me suis convaincu que le temps guérirait tout. Personne d’autre n’a su ce qui s‘était passé cette nuit là. Je ne l’ai partagé avec personne, même pas avec ma meilleure amie. J’ai évité habillement le sujet, comme si ne pas en parler allait le faire disparaître complètement.
Après quelques semaines, lorsque Alain et moi avons fait teste de grossesse comme nous le faisions régulièrement, nous avons eu la surprise de nos vies. Il était positif. La première réaction fut une vague d’euphorie absolu. Nos visages se sont illuminés avec la nouvelle, et les rires ont remplis la pièce. Des étreintes, des baisers et une sensation d’incrédulité positive flottait dans l’air. Nous avions attendu ce moment si longtemps, que la réalité de sa réalisation était écrasante.
Nous nous sommes plongés dans l’émotion, planifiant déjà l’avenir, imaginant comment nos vies changeraient avec l’arrivée du bébé. C’est comme si ce moment nous apportait un éclat de lumière. Un moment de pensée dans mon esprit a déclenché un flash-back de cette nuit dans le club d’échangiste. Je me suis souvenu de ma rencontre avec Jordan, et une inquiétude soudaine s’est emparée de moi.
L’avions-nous fait sans protection ? Oui. Mon cœur se serrait instantanément.
J’ai commencé à faire le lien et à connecter les points de cette nuit. L’euphorie initiale s’est estompé, remplacée par l’incertitude et la peur. L’anxiété s’est emparée de mes émotions, alors que je faisais face à la crainte de ce que cela pourrait signifier pour nôtre avenir, et pour ce petit être qui grandissait en moi. Je m’attendais au pire.
Après des mois et des mois de grossesses, le moment tant attendu de l’accouchement est arrivé. La salle d’accouchement était un tourbillon d’activité, avec des lumières vives, le son constant de moniteurs et de voix précipitées. Ma nervosité était à son comble, et Alain, mon ancre, tenait ma main avec un mélange d’excitation et d’anxiété
Alors que je plongeais dans le processus de l’accouchement, une ombre persistante d’incertitude obscurcissait mes pensées. Je me remémorais la rencontre avec Jordan, et la question troublante résonnait dans mon esprit. Serait-ce l’enfant d’Alain, ou le résultat de cette nuit torride avec Jordan.
La naissance de nôtre enfant approchait, et avec elle, la révélation d’une vérité que j’avais évité de confronter pendant des mois. Entre la douleur et l’’expectative, le mystère de la paternité ajoutait une nuance inattendu à ce moment si significatif.
Des semaines après l’accouchement, avec mon petit nouveau né à la maison, le doute persistait. Chaque fois que je regardais les yeux du bébé, l’incertitude me submergeait. Je ne voulais pas partager ce tourment avec quiconque, encore moins avec Alain. La peur que nôtre lien soit brisé, était accablante.
Les nuits étaient particulièrement difficile. Tout en prenant soin de nôtre enfant dans la pénombre, les questions sans réponses affluaient dans mon esprit. Je craignais que chaque trait qui ne correspondait pas à Alain, ne soit un indice de la vérité que je ne voulais pas affronter.
L’amour pour mon bébé était indéniable, mais l’ombre du doute menaçait d’obscurcir chaque moment de bonheur.
L’incertitude de savoir qui était vraiment le père, était profondément enraciné en moi. Je craignait de devoir faire face à la réalité, et cette inquiétude es devenu un fardeau que je portais en silence. La peur de découvrir le pire me paralysa. L’idée de faire un teste de paternité était comme ouvrir une boite de pandore, avec des conséquences imprévisible pour ma relation avec Alain.
L’ombre du doute était toujours là, mais y faire face nécessité un courage que jusqu’à présent, je n’avais pu trouver en moi. L’incertitude, comme une cicatrice invisible, faisait parti de mon histoire, quelque chose que je portais jour après jour, espérant que le temps, d’une manière ou d’une autre atténuerait son impact. Mais l’incertitude grandissait dans mon esprit.
Je profitais de l’absence de mon mari, et que mes parents gardaient nôtre fils, pour contacter Jordan. Après lui avoir avoué mes doutes, je lui demandais de faire un test ADN, pour le comparer à celui que mon fils avait subi à la maternité. D’abord surpris, il accepta, me disant qu’il me contacterait dès qu’il avait les résultats.
Ils arrivèrent quelques jours plus tard, et Jordan m’invita à passer chez lui.
En le voyant, je sentis une attirance particulière, ressassais cette soirée au club échangiste. Il m’invita à m’asseoir, me proposa un verre. Après quelques bref échanges, il sort les résultats, me dit que c’était à moi de les ouvrir. Ils ne souffraient d’aucun doute. Il était bien le père de mon fils. Devant mon désarroi, Jordan vint s’asseoir près de moi sur le canapé, me pris dans ses bras.
- Tu sais, me dit-il j’ai toujours eu des sentiments pour toi, mais je voulais pas ça.
- Je suis fautive, moi aussi, dis-je.
Je m’appuyais sur son épaule, mesurant l’ampleur de la trahison faite à Alain. Jordan essaya de me calmer, souleva mon maton, me donna un doux baiser sur les lèvres. J’aurai dû me lever, partir, au lieu de ça, je répondis au baiser. Dix minutes plus tard, nous étions au lit.
Je reconnaissais son touché, la douceur de ses caresses, le goût de sa queue. On roulait sur le lit, nos corps entre-mêlés dans une ardente passion. De fellation en pénétration, nous nous découvrions sans retenu. Je me cambrais sous le poids de son corps, m’agrippais aux draps tandis qu’il me sodomisait. Je lui accordais les faveurs que j’avais toujours refusés à Alain., le suçais avec fougue, avalais sa semence avec gourmandise. Cette après midi là, j’ai perdu le compte de combien de fois j’avais joui.
Épuises, nous décidons de prendre une douche. Avant de quitter l’appartement, nous décidons à contre cœur de ne pas avoir d’autres relations, mais nous promettons de garder ça comme un lourd secret. Il me dit quand même qu’il serait toujours là pour moi et l’enfant.
Le lendemain matin, je récupérais mon enfant. En rentrant chez moi ce matin là, je sentis la culpabilité et la trahison m’envahir, après l’infidélité faite à Alain, l’homme de ma vie. Devais-je dire la vérité et briser mon couple ? Ou ne rien dire et vivre dans le mensonge.
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Je m’appelle Carole, trente deux ans, et, selon ce que l’on
dit, la nature m’a sculpté un corps d’une beauté exceptionnelle. Je suis mariée à Alain, un homme merveilleux qui me fait rire, même dans mes jours les plus sombres.
Nous nous sommes rencontrés à l’université, sommes amoureux comme des adolescents, et avons décidé de passer le reste nos vie ensemble.
L’envie de fonder une famille a toujours plané dans nôtre esprit. Nous avons parlé d’avoir des enfants, de décorer leurs chambres pour, et de planifier des vacances en famille.Cependant, actuellement, nous vivions seul dans un appartement de cinquante mètres carré en plein
centre ville.
Chaque mois, j’attendais avec impatience le résultat d’un teste de grossesse, et chaque mois, la déception se marquait nos visage. Alain essayait de cacher son inquiétude, mais je le voyais dans ses yeux.
Ma vie, à part cela, était très stable, peut-être trop. Avec la frustration de ne pas pouvoir tomber enceinte, et les rares projets que mon mari et moi faisions, chaque semaine semblait être une répétition de la précédente. J’avais toujours plus d’initiative que mon mari. Un jour, alors que l’on discutait devant la machine à café, mes collègues racontaient leur week-end. Une en particulier attira mon attention. Elle et son époux avait tentés une soirée échangistes. Même s’il ne s’était rien passé, elle reconnu avoir passé une excellente soirée.
Cela fit tilt dans mon esprit, et fit des recherches. Après avoir réfléchi pendant longtemps, j’ai voulu lui proposer quelque chose. La curiosité d’expérimenter ma sexualité d’une autre manière, s’était éveillée en moi, bien que je n’ai jamais osé le dire à Alain.
Un jour, avec courage, je lui ai proposé d’aller à un évènement que j’avais vu sur un groupe Facebook, d’échange de couples. Je lui ai dit que nous n’étions pas obligé de faire quoi que ce soit, mais que l’on pourrait voir comment était cet environnement, et si cela nous plaisait.
Un samedi après-midi, Alain et moi étions à la maison, comme d’habitude. Nous nous sommes assis dur la canapé, et après quelques soupirs, j’ai décidé de lançait la proposition.
- Alain, et si nous essayions quelque chose de différent ? Lui ai-je dit nerveuse.
J’ai expliqué mon désir d’explorer de nouvelles chose dans nôtre relation, suggérant l’idée de l’évènement que j’avais trouvé sur Facebook. La surprise dans les yeux d’Alain était évidente.
- Échange de couple ? Murmura-t-il, surpris.
Après quelques secondes d’hésitation et de silence, il me dit que cela ne lui était pas venu à l’esprit, et que si quelque chose se passait entre nous, il devait y réfléchir, car s’était sérieux, surtout avec l’idée d’avoir un enfant. Je lui ai répondu, pas du tout, que c’était quelque chose qui m’intriguais, et qui pourrait donner vie à nôtre relation. En fait, nous pourrions aller juste pour voir, sans rien faire.
Cette même nuit, il me dit, avec un peu de réticence que oui, nous pourrions aller prendre un verre et voir cette ambiance, que cela l’intriguais aussi de voir comment tout cela se passait. Puis nous avons entamés une relation torride, m’imaginant jouir dans les bras d’un autre homme. Au cours de la semaine suivante, tout était comme le précédente, mais nous avions la nouveauté que ce week-end, nous ferions quelque chose de différent..
Nous en discutions en rentrant à la maison et nous rions des situations que nous pensions pouvoir rencontrer. Mais, sans aucun doute, nous n’imaginions jamais ce qui se passerais vraiment.
Alain et moi nous préparions à sortir, un peu nerveux, mais excité. Pour l’occasion, Alain avait opté por un pantalon noir à pinces, d’une chemise blanche et d’un blouson. Quant à moi, j’avais choisi une tenue plus audacieuse. Courte jupe, chemisier échancré, escarpin de six centimètres. Mes cheveux lâché encadré un visage maquillé subtilement.
- Penses-tu que c’est une bonne idée ? Demanda Alain ajustant sa cravate.
- Je ne sais pas, mais nous ne le serons jamais si nous n’essayons pas, lui dis-je, essayant de minimiser l’importance de la situation.
Nous avons finis de nous habiller, et nous sommes dirigés vers le lieu de l’évènement. En chemin, la conversation restée décontracté, mais avec une étincelle de nervosité.
- Tu imagines ce que nous trouverons là-bas, demanda Alain avec un sourire nerveux.
- Aucune idée, mais tu sais que nous sommes ensemble là dedans, ce n’est qu’un plan différent, tu t’en souviens répondis-je, essayant de maintenir les choses détendues.
Nous sommes arrivés sur place, un bâtiment discret, avec des lumières tamisées qui lui donnait une touche de mystère. Nous avons pris une profonde inspiration, sommes entrés, prêt à découvrir ce que cette nuit inhabituelle nous réserverait. En entrant, nous avons été surpris par le nombre de personne présente.
L’endroit avait une atmosphère similaire à celle d’un bon pub. Des rires, des conversations animées, des lumières douces créant une atmosphère plus détendue que ce que nous imaginions.
- Tu ne t’attendais pas que ce soit comme çà; n’est-ce pas, dis-je à Alain, alors que nous nous mêlions à la foule.
- Pas du tout, je pensais que ce serait.. sombre et mystérieux, répondit-il, observant autour de lui avec un sourire.
Nous sommes allés au bar commander des verres de vin, essayant d’absorber l’énergie de l’endroit. La musique entraînante nous a fait sentir plus à l’aise, et bientôt, nous nous sommes plongées dans l’ambiance animée de l’évènement, avec la curiosité intacte et la volonté de simplement profité de la nuit. J’ai décidé de ne pas trop boire, seulement deux verres, car je voulais rester maîtresse de moi-même à tout moment.
- Allons-y doucement sur l’alcool, d’accord, dis-je à Alain en prenant une gorgée de mon verre.
Il acquiesça, pensant lui aussi que nous devons rester maître de nous même. Nous déplacions dans l’endroit, participant au conversation, et observant comment le couples profitaient de la nuit. Après un moment là bas, nous avons eu une surprise.
Jordan, le meilleur ami d’Alain, est apparu avec une nouvelle petite amie. Ah Jordan, l’homme de tous mes désir, de tout mes fantasmes. Combien de fois ai-je joui dans les bras de mon mari, pensant que c’était lui qui me baiser. Nous ne savions pas qu’il aimait ce genre d’évènement. Jordan avait toujours la réputation d’être un grand séducteur, et de pouvoir avoir la fille qu’il voulait.
- Alain, Carole, que faites-vous ici… S’écria Jordan surpris de nous voir.
Nous avons salué, expliqués un peu, et nous a présenté sa nouvelle compagne, Laura. Elle dégageait une aura de confiance et de mystère, avec un sourire suggérant qu’elle
était habituée à surprendre les gens. Jordan, quant à lui, semblait détendu et sûr de lui.
- Qui aurait cru que tu aimes ce genre de chose, Jordan, commenta Alain surpris.
- Eh bien, chacun a ses secrets, n’est-ce pas, Laura et moi pensons que ce serait amusant d’essayer quelque chose de nouveau.
Après une conversation détendue, Jordan proposa de prendre un autre verre. Bien que j’avais décidé de ne pas beaucoup boire ce soir là, j’acceptais, pensant qu’un verre de plus ne me ferait pas de mal. Nous nous sommes dirigés vers le bar, ou l’ambiance était toujours animé.
- Ce verre sera le dernier pour moi, sérieusement, dis-je à Alain avec un sourire.
Un peu plus tard, entre les rires et la foule animée, je commençais étrangement à me sentir étourdie. Cela n’avait pas de sens, je n’avais bu que deux verres, et je n’avais pas l’habitude d’être affectée si rapidement. J’ai essayé de l’ignorer au début, pensant que cela passerait, mais la sensation persistait. Je décidais que je devais aux toilettes, et demandais à Laura de tenir compagnie à mon mari. Jordan, quant à lui, avait rejoint une vieille connaissance..
Je me dirigeais vers l’intérieur, essayant de m’éloigner de la foule, et de reprendre contenance. En arrivant aux toilettes, de plus en plus sous l’emprise d’une substance, je fus surprise de tomber sur Jordan, qui lui, ne semblait pas affecté.
Après quelques échanges, la suggestion de Jordan d’aller dans un endroit plus calme, semblait tentante. Avec une vision légèrement flou, j’acceptais, sans être vraiment consciente de se qui se passait.
Nous sommes entrés dans une alcôve privée, ou l’atmosphère était plus intime. Jordan a commencé à me parler de plus près, à m’embrasser, me caresser, ses paroles se mêlant à la musique de fond. Bien que mon esprit soit trouble, quelque chose dans l’atmosphère éveillait une certaine excitation. Je n’étais pas tout à fait consciente des actions de Jordan, mais la provocation flottait dans l’air, se confondant avec la réalité flou de cette nuit inhabituelle.
La dernière chose dont je me souviens, c’est qu’il a enlevé mes vêtements, me mettant entièrement nue, et m’être suis laissé emporter totalement, sans être consciente de ce qu’il se passait. Seul le flou d’une ardente passion, de baisers fougueux, d’un intense désir, de la dureté de sa queue dans ma chatte, dans ma bouche, et le goût de sa semence sur ma langue, me donnèrent un immense plaisir, jusqu’à l’orgasme final.
Je n’ai pratiquement plus de souvenir de cette nuit. Je me suis réveillée le lendemain dans mon lit avec Alain à mes côtés avec une sensation de malaise d’être complètement détruite.
Bien sûr, je n’ai rien dis à mon mari de ce qu’il s’était passé, j’étais très effrayée.
Au cours de la journée, je me suis remise, et j’ai dit à Alain que je pensais qu’on m’avait versé quelque chose dans ma boisson, qu’il était impossible que deux verres de vin me rendent malade.
Les semaines suivantes, était comme suivre une routine déformée. J’ai essayé de reléguer dans u n coin de mon esprit, ce qui s’était passé, comme si l’ignorer le ferait disparaître magiquement. Mais lors d’insomnie, je me revoyais dans cette alcôve, nos corps enlacées dans lune étreinte sauvage, son pieu profondément enfoncé en moi.
J’ai continué ma vie quotidienne, essayant de retrouver la normalité.
Je me suis convaincu que le temps guérirait tout. Personne d’autre n’a su ce qui s‘était passé cette nuit là. Je ne l’ai partagé avec personne, même pas avec ma meilleure amie. J’ai évité habillement le sujet, comme si ne pas en parler allait le faire disparaître complètement.
Après quelques semaines, lorsque Alain et moi avons fait teste de grossesse comme nous le faisions régulièrement, nous avons eu la surprise de nos vies. Il était positif. La première réaction fut une vague d’euphorie absolu. Nos visages se sont illuminés avec la nouvelle, et les rires ont remplis la pièce. Des étreintes, des baisers et une sensation d’incrédulité positive flottait dans l’air. Nous avions attendu ce moment si longtemps, que la réalité de sa réalisation était écrasante.
Nous nous sommes plongés dans l’émotion, planifiant déjà l’avenir, imaginant comment nos vies changeraient avec l’arrivée du bébé. C’est comme si ce moment nous apportait un éclat de lumière. Un moment de pensée dans mon esprit a déclenché un flash-back de cette nuit dans le club d’échangiste. Je me suis souvenu de ma rencontre avec Jordan, et une inquiétude soudaine s’est emparée de moi.
L’avions-nous fait sans protection ? Oui. Mon cœur se serrait instantanément.
J’ai commencé à faire le lien et à connecter les points de cette nuit. L’euphorie initiale s’est estompé, remplacée par l’incertitude et la peur. L’anxiété s’est emparée de mes émotions, alors que je faisais face à la crainte de ce que cela pourrait signifier pour nôtre avenir, et pour ce petit être qui grandissait en moi. Je m’attendais au pire.
Après des mois et des mois de grossesses, le moment tant attendu de l’accouchement est arrivé. La salle d’accouchement était un tourbillon d’activité, avec des lumières vives, le son constant de moniteurs et de voix précipitées. Ma nervosité était à son comble, et Alain, mon ancre, tenait ma main avec un mélange d’excitation et d’anxiété
Alors que je plongeais dans le processus de l’accouchement, une ombre persistante d’incertitude obscurcissait mes pensées. Je me remémorais la rencontre avec Jordan, et la question troublante résonnait dans mon esprit. Serait-ce l’enfant d’Alain, ou le résultat de cette nuit torride avec Jordan.
La naissance de nôtre enfant approchait, et avec elle, la révélation d’une vérité que j’avais évité de confronter pendant des mois. Entre la douleur et l’’expectative, le mystère de la paternité ajoutait une nuance inattendu à ce moment si significatif.
Des semaines après l’accouchement, avec mon petit nouveau né à la maison, le doute persistait. Chaque fois que je regardais les yeux du bébé, l’incertitude me submergeait. Je ne voulais pas partager ce tourment avec quiconque, encore moins avec Alain. La peur que nôtre lien soit brisé, était accablante.
Les nuits étaient particulièrement difficile. Tout en prenant soin de nôtre enfant dans la pénombre, les questions sans réponses affluaient dans mon esprit. Je craignais que chaque trait qui ne correspondait pas à Alain, ne soit un indice de la vérité que je ne voulais pas affronter.
L’amour pour mon bébé était indéniable, mais l’ombre du doute menaçait d’obscurcir chaque moment de bonheur.
L’incertitude de savoir qui était vraiment le père, était profondément enraciné en moi. Je craignait de devoir faire face à la réalité, et cette inquiétude es devenu un fardeau que je portais en silence. La peur de découvrir le pire me paralysa. L’idée de faire un teste de paternité était comme ouvrir une boite de pandore, avec des conséquences imprévisible pour ma relation avec Alain.
L’ombre du doute était toujours là, mais y faire face nécessité un courage que jusqu’à présent, je n’avais pu trouver en moi. L’incertitude, comme une cicatrice invisible, faisait parti de mon histoire, quelque chose que je portais jour après jour, espérant que le temps, d’une manière ou d’une autre atténuerait son impact. Mais l’incertitude grandissait dans mon esprit.
Je profitais de l’absence de mon mari, et que mes parents gardaient nôtre fils, pour contacter Jordan. Après lui avoir avoué mes doutes, je lui demandais de faire un test ADN, pour le comparer à celui que mon fils avait subi à la maternité. D’abord surpris, il accepta, me disant qu’il me contacterait dès qu’il avait les résultats.
Ils arrivèrent quelques jours plus tard, et Jordan m’invita à passer chez lui.
En le voyant, je sentis une attirance particulière, ressassais cette soirée au club échangiste. Il m’invita à m’asseoir, me proposa un verre. Après quelques bref échanges, il sort les résultats, me dit que c’était à moi de les ouvrir. Ils ne souffraient d’aucun doute. Il était bien le père de mon fils. Devant mon désarroi, Jordan vint s’asseoir près de moi sur le canapé, me pris dans ses bras.
- Tu sais, me dit-il j’ai toujours eu des sentiments pour toi, mais je voulais pas ça.
- Je suis fautive, moi aussi, dis-je.
Je m’appuyais sur son épaule, mesurant l’ampleur de la trahison faite à Alain. Jordan essaya de me calmer, souleva mon maton, me donna un doux baiser sur les lèvres. J’aurai dû me lever, partir, au lieu de ça, je répondis au baiser. Dix minutes plus tard, nous étions au lit.
Je reconnaissais son touché, la douceur de ses caresses, le goût de sa queue. On roulait sur le lit, nos corps entre-mêlés dans une ardente passion. De fellation en pénétration, nous nous découvrions sans retenu. Je me cambrais sous le poids de son corps, m’agrippais aux draps tandis qu’il me sodomisait. Je lui accordais les faveurs que j’avais toujours refusés à Alain., le suçais avec fougue, avalais sa semence avec gourmandise. Cette après midi là, j’ai perdu le compte de combien de fois j’avais joui.
Épuises, nous décidons de prendre une douche. Avant de quitter l’appartement, nous décidons à contre cœur de ne pas avoir d’autres relations, mais nous promettons de garder ça comme un lourd secret. Il me dit quand même qu’il serait toujours là pour moi et l’enfant.
Le lendemain matin, je récupérais mon enfant. En rentrant chez moi ce matin là, je sentis la culpabilité et la trahison m’envahir, après l’infidélité faite à Alain, l’homme de ma vie. Devais-je dire la vérité et briser mon couple ? Ou ne rien dire et vivre dans le mensonge.
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Commentaires du récit : Le meilleur pote de mon mari m’a mise enceinte dans un club échangiste.
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