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Le nouveau voisin (2)

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Lue : 1355 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/01/2021

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Dimanche 25 septembre 2013

En début d’après-midi, comme je suis encore toute nue, Ber qui est en train d’enfiler un string comme hier me fait remarquer l’heure :
- Ils vont bientôt arriver, tu ne vas pas te préparer ?
- Mais je suis prête !
- Tu mets même pas un string ou un paréo ?
- Pourquoi faire, hier on a abordé le sujet et Carine a dit que ça la dérangerait pas de nous voir nus. C’est déjà fait avec Laurent, donc on peut se lâcher.
- Ouais, t’as raison, tous à poil !

Un peu plus tard, la sonnette retentit. Comme les deux autres sont déjà dans l’eau, je vais accueillir nos invités. Carine porte une petite robe légère et visiblement elle n’a pas mis le soutien-gorge de son maillot. Mais c’est ma tenue plus que décontractée qui les surprend. C’est surtout Laurent qui bloque dessus, bien qu’il me connaisse déjà comme ça. D’ailleurs son caleçon de bain m’en donne rapidement confirmation. Carine découvre immédiatement que je n’ai plus aucun poil. Elle balbutie un peu des “euh… mais…” que je stoppe rapidement :
- Ah oui, comme Laurent nous avait déjà vus comme ça et que tu m’a dit hier que ça ne te choquerait pas de nous voir nus, on a repris nos habitudes naturistes…
- Euh… oui, je vois ! Mais bon, ça surprend un peu mais maintenant ça va.
- Tant mieux, pas de gêne entre nous ! Mettez-vous à l’aise.

Carine se ressaisit la première et enlève sa robe me dévoilant à mon plus grand plaisir qu’elle a mis le string que je lui ai prêté et rien en haut, comme je l’avais entr’aperçu. Laurent enlève sa chemise d’été tout en essayant de ne pas faire remarquer son début d’érection qui déforme son short. De mon côté, je leur offre une vue de mon côté pile en les entraînant vers la terrasse.

Ber accueille avec enthousiasme le changement de Carine et elle ne fait pas de manières pour les rejoindre illico, lui et Lola, dans la piscine. Elle se rend compte très vite que tous deux sont aussi complètement à poil. Ses imposantes doudounes flottent en surface et ballottent chaque fois qu’elle se déplace. Laurent et moi les rejoignons et nous profitons tous de la fraicheur de l’eau.

Puis au bout d’un moment, nous sortons et Carine a enfin une vision plus nette de la surprise de taille, avec la bite de Ber sous son nez, heureusement au repos. Nous nous installons soit dans des transats pour moi entre Laurent et Ber, soit sur des matelas et serviettes au sol pour Lola et Carine. Ber propose des boissons fraiches et va chercher tout ça. Il revient faire le service tout en baladant sa queue devant le nez de nos invités.

Je propose à Carine de lui passer de la crème solaire dans le dos. Elle m’en remercie et je lui tartine tout le dos et ses jambes avant de m’attaquer à ses fesses. Je m’y attarde un peu et j’en profite pour lui suggérer :
- Laisse-toi aller, ça va être bon…

Je défais les nœuds du string et lui rabats le bandeau arrière entre les jambes, dévoilant son sillon fessier. Comme elle se laisse faire, je reprends mon massage et tente une main entre les fesses. Là, elle se rebelle un peu, aussi je n’insiste pas. Je continue un moment un massage moins osé puis je vais me rassoir.

Laurent n’a pas perdu une miette du spectacle et a l’air un peu troublé. Je lui propose de faire comme nous :
- Tu es le seul encore en maillot. Tu devrais l’enlever, ce serait mieux.
- Euh, franchement, je sais pas si c’est une bonne idée…
- Si c’est de peur de bander devant nous, t’as pas à t’en faire, ça nous choquera pas.
Mais tout de même…
- Allez, exécution, profite que les autres ne te regardent pas !

Finalement, il enlève son caleçon et me dévoile une bite moyenne surmontant des couilles bien rondes, le tout surmonté d’une broussaille pas trop volumineuse, même si c’est le seul parmi nous à avoir autant de poils à cet endroit. Pour le moment, il n’est pas du tout en érection. En fait, il est tellement gêné que ça le rabougrit. Je le félicite pour son geste et l’abandonne pour me laisser un peu griller le devant.

Un moment plus tard, Carine semble vouloir se lever car elle cherche à rattacher son string. Comme ce n’est pas facile dans cette position, elle bataille un peu et dans le mouvement, son regard croise le mien. Je lui fais chut et lui fais comprendre que c’est peut-être le moment pour elle de se lancer dans une nouvelle expérience. Elle hésite un peu, mais comme tout le monde à l’air assoupi, elle finit par ne pas insister et s’en va à poil vers l’intérieur, probablement aux toilettes. Au passage, j’ai pu voir que c’est une vraie blonde. Sa toison est finement taillée, ne laissant en témoin qu’un délicat ticket de métro. Dès qu’elle disparait, je vais prendre le string et vais le cacher à l’intérieur, puis je reste dans le séjour pour attendre son retour, après avoir fait un tour à la cuisine pour me donner le prétexte d’être allée chercher des glaçons.

Quand elle revient, je la complimente sur son adoption de la nudité intégrale et sur la petite coupe bien mignonne de sa touffe. Elle me remercie et me fait remarquer :
- Par contre, toi et ta fille vous avez fait du radical, et ton mari aussi !
- Oui, c’est plus facile à entretenir, et on n’aime pas trop la tarte aux poils…

Elle ne relève pas l’ambiguïté de ma phrase, qui laisse entendre que nous nous dégustons le triangle sud tous les trois. Etant très près d’elle, je passe furtivement le dos de mes doigts sur sa petite moquette tout en lui disant :
- Tu devrais peut-être essayer de tout enlever, toi aussi…
- Hum, je sais pas, c’est peut-être un peu too much. J’y réfléchirai.

Cette fois, elle ne s’est pas retirée sous ma légère caresse, mais je n’insiste pas et je la prends par la taille comme une vieille amie pour la ramener vers la terrasse. Au passage, ma main est descendue sur le haut de sa fesse.

Contrairement à son départ, notre retour est bien remarqué car tout le monde s’est un peu réveillé de la torpeur qui régnait sur le groupe. Les hommes ont l’air un peu émoustillés par le ballotement suggestif des seins de Carine, surtout Laurent qui ne sait pas se contenir autant que Ber. D’autant plus que je me triture suggestivement un téton avec l’autre main pour l’exciter. Etant un peu en retrait de Carine, elle n’a pas pu voir ce que je faisais.

Pour pousser un peu le bouchon, je prends sa place sur le matelas de plage et demande à Lola de m’enduire le côté pile. Carine cherche le string, mais elle constate qu’il a disparu. Du coup, elle s’abandonne sur le transat qui est resté libre entre les deux hommes pour faire dorer son côté face sans plus se gêner.

Lola s’occupe d’abord de mon dos, puis de mes jambes et enfin de mes fesses comme moi tout à l’heure, mais je lui demande discrètement d’aller plus loin et elle n’hésite pas un instant à faire glisser deux doigts dans mon sillon. Et contrairement à Carine tout à l’heure, moi je me laisse faire. Ça devient chaud, Lola me caresse ostensiblement la fente que j’ai bien humide puis remonte vers la rosette où elle introduit sa première phalange que j’absorbe sans problème. Personne ne peut ignorer qu’elle est en train de me doigter l’anus. Je tourne la tête et je constate qu’en effet, les hommes bandent et Carine, consciente de ce qu’il se passe sous ses yeux, ne les détourne pas pour autant, sauf pour jeter un œil de part et d’autre, surtout vers la bite de Ber qui a l’air de l’impressionner, la différence de taille entre les deux étant indéniable.

Je me redresse un peu et me tourne pour demander à Lola d’arrêter enfin sa manœuvre car je suis assez bien chauffée pour attaquer la suite. Apparemment, tout le monde est au point d’ébullition. Je fais semblant de le découvrir et je dis à Laurent qui essaie de masquer son érection :
- Dis donc, c’est ma fille et moi qui te faisons cet effet ?
- Euh, excuse-moi…
- Mais non, c’est pas grave, ça arrive tout le temps à Ber, la preuve !

Je désigne l’intéressé qui ne fait rien pour masquer son engin de guerre tendu en arc de cercle. Et pour montrer que je n’y apporte pas plus d’importance, je fais comme si de rien n’était et je me remets sur le ventre afin de faire durer le plaisir au soleil.
Un peu plus tard, je me retourne sur le dos et entreprends de me tartiner le devant. Je constate que les sexes des deux hommes pointent maintenant un peu plus sagement vers le bas. Mais ils ne tardent pas à se réveiller quand je me malaxe les seins un peu plus suggestivement que nécessaire, taquinant les bouts, puis que je descends ostensiblement me caresser l’entre-jambes. Après quelques caresses légères, je me branle ouvertement le clito avec deux doigts. Evidemment, Laurent ne résiste pas longtemps et sa bite se tend à nouveau vers le soleil. Je le lui fais remarquer :
- Décidément, j’ai vraiment l’air de te faire de l’effet ! Merci, c’est flatteur…

Ber me suit dans cette voie et se caresse les couilles en s’adressant à Carine :
- C’est vrai qu’elle est bandante, ma femme, non ?
- Euh… oui, mais de là à le faire devant nous… et surtout devant ta fille…
- Oh, Lola elle a l’habitude de me voir en forme, pas vrai Lola ?
Ah oui, Carine, si tu savais le nombre de fois où j’ai vu son bâton tout raide !
- Et ça ne te dérange pas ?
- Ben non, c’est la nature, il faut la laisser s’exprimer…

Et toujours sans se gêner, Ber décalotte son gland et entreprend un petit mouvement qui n’est pas encore une vraie branlette. Carine est hypnotisée par cette scène sous son nez, et Laurent à l’air tout ébahi de voir qu’elle prend ça aussi bien.

Je me lève et m’approche de lui :
- Dis donc, si tu n’oses pas t’occuper de ton état, comme c’est un peu de ma faute je vais le faire moi. Carine, tu permets ?

Et sous les yeux de cette dernière, juste en face de lui en position surplombante, je commence à caresser légèrement ses couilles avent de remonter vers sa bite qui pointe vers le ciel. Comme il n’y a pas de réactions hostiles de la part d’aucun des deux, je tire sur le prépuce, décalottant le gland, puis j’entoure mes doigts sur la hampe et commence à monter et descendre. Je le branle maintenant ouvertement devant sa copine, et toujours pas de réactions. Donc je me mets à genoux et mets de petits coups de langue sur le gland avant de le gober.

Carine est tirée de ce spectacle par Ber qui vient de lui prendre la main et de la poser sur sa queue :
- Tiens, pendant que ma femme s’occupe de lui, si tu t’occupais un peu de moi ?
- Euh, là tu m’en demande un peu trop…
- Trop rien du tout ! Regarde comme il a l’air d’aimer la pipe de ma femme. Elle fait ça très bien, j’en ai l’habitude. Et toi, me dis pas que tu ne suce jamais ton homme…
- Si, ça m’arrive, mais…
- Eh bien, allez, montre-nous ! Pas de raison qu’il n’y ait qu’eux à s’envoyer en l’air !

Et Carine finit par le prendre pleinement en main et le branle, d’abord timidement, puis de plus en plus franchement. Ber lui demande alors :
- Allez, maintenant fais comme Anna !
- Euh, mais elle est trop grosse !
- Mais non, tu vas voir, tu vas y arriver et ça va te plaire…
- Mais… on peut pas faire ça devant ta fille…
- Mais oui, elle sait ce que c’est, la preuve !

En effet, entre-temps la langue et la main de Lola sont venues rejoindre les miennes sur la bite de Laurent, que nous partageons équitablement.

En voyant ça, Carine ne résiste plus et embouche ce membre bien plus imposant que celui de son mec. Quand elle commence à se lâcher sur sa fellation, elle ne se défend plus du tout quand Ber la fait mettre à quatre pattes sur un matelas et la prend en levrette, tournée vers le spectacle de son mec qui se fait manger la queue par nous deux. Ses seins pendent lourdement et s’agitent en cadence.

Histoire de leur dévoiler un peu plus la liberté de nos relations familiales, je laisse Lola s’occuper seule de Laurent et vais me mettre derrière elle. J’écarte bien ses fesses et entreprends de lui manger les deux trous équitablement, m’aidant aussi de mes doigts qui s’enfoncent alternativement dans chacun d’eux. Je pense que nos invités n’en perdent pas une miette, ce qui est le but recherché.

Comme Carine commence à exprimer sa montée en puissance, je propose d’aller continuer à l’intérieur pour ne pas rameuter tout le voisinage.

A suivre…
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Histoire de Hannapurna

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