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Sexe et prospectus partie 4

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Lue : 518 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2021

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Cela faisait dix ans que j’habitais dans la ville,mais je n’avais pas encore eu l’occasion d’explorer les zones dans lesquelles je me suis aventuré pour poser des prospectus. C’était un quartier relativement ancien, et diversifié, où se côtoyaient immeubles et pavillons relativement anciens, et d’autres plus récents.
C’est en déposant les prospectus que j’ai découvert le parc. La ville bénéficiait de nombreux espaces verts, qui pouvaient permettre aux habitants, et en particulier à ceux qui vivaient en appartement de s’aérer. Des pelouses, des bancs, des aires de jeu…
Ce parc-là était sans doute un rien spécial, parce qu’il était enclavé au milieu d’immeubles, de la sorte, il n’était pas ouvert et accessible. Il fallait le connaître, et passer par une ruelle pour y arriver.
C’est sans doute pour cela que, en matinée en tout cas, des couples s’y donnaient rendez-vous.
Assez ironiquement, les premiers temps, je suis passé devant, et je n’ai rien remarqué. Il est vrai que je maintenais un certain rythme, pour ne pas perdre de temps. Je voulais ne pas me laisser déborder, finir à midi, pour ensuite attaquer sur ma deuxième journée.
Ce qui a sans doute attiré mon attention, ça a été la silhouette de la fille blonde.
La première fois où je l’ai vue, elle était installée sur un banc, et elle fumait. Elle avait le regard dans la vide, elle était ailleurs. Elle était enveloppée dans un manteau noir, serré à la taille, avec des bottes de cuir noir qui montaient haut. Elle avait un joli visage, certes très classique, mais ses traits fins attiraient l’attention. Je m’étais dit que c’était vraiment une jolie fille, mais je n’avais pas plus creusé la question. J’avais continué ma route.
C’avait été deux jours plus tard, passant sensiblement à la même heure, que j’avais remarqué qu’elle était à nouveau là. Elle avait un autre manteau, un peu plus long, rouge brique, et cette fois des escarpins. Elle ne fumait pas et attendait.
Ce jour-là, il faisait froid, et un vent soufflait, qui, quand je suis passé, a écarté un des pans du manteau. Quelques secondes seulement, mais ça a a été largement suffisant pour me laisser voir que dessous, elle était totalement nue. J’ai vu un sein rond, charnu, avec une très large aréole, sa taille, et ses cuisses resserrées l’une contre l’autre, laissant voir le haut d’un pubis, poilu et blond. J’ai senti mon sexe se durcir. Elle était belle et désirable.
Je suis parti dans une rue adjacente, pour revenir un quart d’heure après. Le parc avait radicalement changé, et j’ai compris qu’il s’agissait d’un lieu de rencontre libertin, et hommes et femmes venaient retrouver un ou une partenaire pour avoir du plaisir. Comme le parc était enclos par arbres et buissons, il était plus ou moins isolé des regards. Même si l’isolement restait relatif. Il était surtout dans la tête de ceux qui venaient ici, mais aussi dans celle des autorités qui les laissaient tranquilles.
Oui la situation avait nettement évolué. La blonde était toujours assise sur le banc, mais un homme l’avait rejointe. Il avait mis sa queue à nu, et elle lui prodiguait une fellation avec une expression avide. Il avait une belle queue, bien longue et bien dure, sur laquelle elle faisait courir sa bouche, le prenant dans son palais mais aussi dans la gorge, et le laissant ressortir couvert de salive. Le pardessus était maintenant largement ouvert, et il laissait voir un corps très appétissant. Elle avait sa main entre ses cuisses, à présent ouvertes, et elle se donnait du plaisir.
Ce qui m’a fait comprendre que ça n’était pas qu’un couple qui s’était donné rendez-vous dans le parc, mais bien un lieu de rendez-vous, c’était que sur le banc à deux cent mètres à gauche, un autre couple faisait l’amour, en total impudeur. Comme je l’ai dit plus haut, venir dans le parc, c’était franchir une barrière au-delà de laquelle tout était possible, en toute impudeur, mais aussi en toute tranquillité. La petite brune était très différente, beaucoup plus menue, avec un visage triangulaire aux traits fins et des cheveux coupés très courts. Elle avait soulevé son chandail, dévoilant de petits seins qui n’étaient prisonniers de nul soutien-gorge, et un torse fin, et roulé à sa taille une jupe noire, son slip à sa cheville. Dans l’ouverture de son sexe rouge vif, il y avait un membre long et épais, sur lequel elle montait et descendait, le sexe rentrant et sortant, visible puis invisible. L’homme la soulevait, comme si elle était une poupée de chiffon, ce qu’elle était un peu, légère jusqu’à la fragilité. Il était invisible, réduit à sa simple fonction, une silhouette porteuse d’une queue susceptible de donner du plaisir.
Il a fini par poser la jolie brune sur lui, son sexe entièrement fiché en elle, jusqu’à la garde. Elle l’a attrapé,et en a arraché le latex qui l’enveloppait. Elle a eu un geste un peu surprenant, pour se donner du plaisir, elle a amené le gland, vraiment très gros, contre son clitoris, et a frotté. C’était particulièrement excitant de voir ça… Elle s’est faite jouir, se figeant et criant. Ca a été trop pour le type, qui a craché de multiples traits de sperme, qui ont arrosé la chair de la fille. Et pas que son clitoris. Je me suis rendu compte, que j’allais jouir, sans même m’être touché, sans m’être caressé… J’ai titubé, pris par l’orgasme qui m’envahissait et j’ai craché mon sperme dans mon caleçon…Il faudrait que j’attendre midi pour me changer.
Ce parc est devenu un objet de fascination. Quand je passais le long, distribuant prospectus ou journaux, je prêtais attention à ce qui se passait. C’était étrange, parce que beaucoup de personnes qui marchaient dans la rue ne voyaient pas ce qui se déroulait autour d’elles, perdues dans leurs pensées. Il valait d’ailleurs peut-être mieux pas qu’elles voient. Des couples se formaient. Si au début, j’avais pensé que c’étaient des couples réguliers, au fil du temps, je me suis rendu compte que les rencontres se faisaient au fil des disponibilités et des envies, et que c’était donc un perpétuel renouvellement.
Je savais que ce n’était qu’une question de temps avant que moi aussi je ne pénètre dans le parc. Au fil des semaines, je travaillais de plus en plus vite, et je pouvais bien m’accorder une demi-heure pour m’y rendre et avoir du plaisir. D’autant qu’à force de regarder je me suis rendu compte que les gens ne venaient que pour cela et ne restaient pas forcément très longtemps. Peu de mots échangés. Du sexe sans contrainte, simplement.
Je me suis enfin décidé, cela faisait un mois que je faisais mes tournées. Je me suis dit que c’était une manière de fêter ça, même si je ne savais absolument pas ce qui allait se passer. C’était peut-être ca qui me tentait au final.
J’ai pénétré dans l’enceinte. Il n’y avait encore personne. Je me posais pas mal de questions, est-ce que le parc avait de l’activité le matin, ou toute la journée ? Je n’avais pas eu le temps de revenir à un autre moment.
J’ai avancée dans les allées. Le parc avait pas mal de charme, il était riche d’une végétation variée.
Ce qui a eu son charme aussi, ça a été de sentir une présence près de moi, et de me retourner pour découvrir la ravissante blonde. Est-ce c’était elle que j’avais désirée rencontrer plus qu’une autre ? J’avais déjà croisé plusieurs filles. Mais elle était superbe. Elle m’a jaugé avant de me sourire et de me dire :
—Tu as envie de sexe ?
Elle avait sur le dos son imper rouge, et des cuissardes en velours rouge qu’elles, je n’avais jamais aperçues. Elle a défait la ceinture du trench et en a largement écarté les pans. J’avais déjà largement eu l’occasion de voir des parties de sa nudité, mais c’était la première fois que je voyais l’intégrale de sa partie face, elle m’a laissé le temps d’en profiter, puis de sa partie pile. Elle avait un beau corps de femme, charnu, avec des seins, des fesses et une chatte au naturel, dont le blond disait qu’elle ne se teignait pas les cheveux. Ca m’a remué qu’elle soit aussi proche, que je puisse sentir la chaleur de son corps tout près de moi, et l’odeur de son parfum. Elle a tendu la main vers moi, peut-être pour me convaincre, peut-être aussi simplement parce qu’elle avait envie de toucher ma queue. Sa caresse, souple et habile, à travers mon pantalon, m’a fait gémir. Sans plus attendre, elle m’a mis à nu.
—Hmmm, tu as une belle queue. Viens, on va se mettre plus loin.
On a glissé sur un banc tout proche. Elle s’est penchée sur moi et a baladé sa langue sur moi. Ca m’a fait tout drôle de l’avoir près de moi alors que je l’avais vue plusieurs fois à distance. J’avais franchi la distance qui nous séparait, et j’étais heureux que ce soit le cas, car elle me plaisait énormément. Après m’avoir fait tout dur, elle s’est basculée en arrière, s’allongeant sur le banc. Les pans du manteau se sont ouverts naturellement, m’offrant sa nudité. Je me suis penché sur elle, et j’ai parcouru son corps, d’une main qui se voulait à la fois douce et habile. Sa chair était chaude et pleine.Elle m’a laissé faire, en gémissant. Son sexe, sans que je l’aie encore touché, s’est sous mes yeux ouvert,ses lèvres se sont gorgées de sang, et ses liquides intimes se sont mis à couler sur ses chairs. Je suis descendu sur son ventre, sur ses cuisses, avant de revenir la caresser du bout des doigts, leur pulpe se trempant du liquide odorant qui courait d’elle.
C’est à ce moment-là que j’ai senti une présence. Mon regard a glissé sur la gauche. Près de bout, au milieu de l’allée, il y avait femme qui nous regardait en se caressant. Elle était brune, avec des yeux bleus, et une chevelure soyeuse, et elle avait une jupe en jean qu’elle avait soulevé, tirant son slip dans son aine. Elle avait une toison brune, très fournie, qui envahissait son pubis, toison au bas de laquelle son sexe faisait une déchirure d’un rouge brillant. Sa main tournait dessus, dans un geste aussi hypnotique que le paysage qu’elle caressait.
—Viens avec nous, Priscilla, ne reste pas seule.
Une grande partie des gens qui fréquentaient ce parc devaient être des habitués. Je n’avais pas encore aperçu Priscilla. J’étais nouveau ici.
Ca semblé encourager la brune à la toison fournie, qui s’est avancée jusqu’à moi. Les quelques mètres qu’elle a franchis ont effacé sa retenue et ce semblant de timidité qu’elle affichait, pour laisser place à une avidité qui s’est affichée sur son visage quand elle a pris ma queue entre ses doigts fins, et qu’elle s’est mise à me masturber. En quelques instants, tout a changé, et ce qui avait débuté a été métamorphosé. La brune s’est partagée entre nos deux sexes, nous donnant du plaisir à l’un comme à l’autre. Prenant ma queue dans sa main et dans sa bouche, puis venant sur le sexe de la blonde, léchant ses lèvres et lapant ses jus. Je me suis dit que mon liquide pré-sécrétif et les sécrétions de la fille se mélangeaient et nous unissaient dans sa bouche.
Les rôles se sont plus clairement établis dans les minutes qui ont suivi. Elle était celle qui restait à la périphérie, tandis que la blonde et moi nous étions dans un acte sexuel qu’elle enjolivait. Mais cela ne signifiait pas qu’elle ne participait pas. Au contraire, elle magnifiait la chose, et elle aussi elle se donnait du plaisir. Elle servait plus ou moins de guide, faisant se redresser la blonde pour qu’elle vienne se planter sur mon sexe. La belle blonde a récupéré un préservatif dans une boite fichée dans la poche de son pardessus, et elle m’en a gainé, avant de venir glisser sur moi, m’entourant de sa chaleur et de l’humidité de ses muqueuses. Priscilla nous regardait faire en se masturbant… Elle est restée quelques instants à l’écart, avant de se rapprocher, et de venir faire tourner ses mains et sa langue sur la bouche et les seins de la blonde, puis de descendre à l’intersection où nos sexes se rejoignaient. Elle a parcouru nos chairs, glissant le long de ma queue, quand elle apparaissait, dans le rythme que j’avais imposé à la blonde dont j’avais attrapé les fesses et que je faisais monter et descendre sur ma verge, sur les lèvres et le clitoris de la blonde. C’était vraiment très excitant, ça donnait une dimension supplémentaire à notre rapprochement. Elle n’attendait sans doute pas plus, mais la blonde a fini par s’arracher de ma queue dilatée, dans un bruit visqueux, et lui a proposé :
—Tiens, prends ma place, que je ne sois pas la seule à en profiter.
Et c’est elle qui, pendant que la brune venait s’empaler sur moi, a tourné sur nous deux. Elle a mis les seins de la brune à l’air libre, lourds, contrastant avec sa taille fine.
Les deux femmes se sont données du plaisir avec ma queue. La blonde est revenue sur moi, après que la brune se soit arraché un orgasme. Elle m’a dit :
—Ne jouis pas dans mon ventre, j’aimerais qu’on finisse autrement.
Elle s’est empalée à nouveau sur moi, et s’est poussée jusqu’à l’orgasme en frottant son clitoris.
Quand elle s’est dégagée de moi, à force d’avoir frotté leurs muqueuses, j’étais très dilaté, la queue gorgée de sang et je sentais que j’allais exploser dans les minutes qui suivaient. Elles l’ont bien compris aussi, et elles ont fait glisser le préservatif dont les parois internes luisaient de mes pré-sécrétions pour mettre ma queue à nu. Elles se sont penchées sur moi, et leurs langues ont parcouru ma queue, vives et agiles, venant par moments se mêler. Je me suis efforcé de retenir ma jouissance aussi longtemps que possible, parce que ce moment était bon, comme tout ce qui avait précédé d’ailleurs. Ce parc était magique. On y prenait vraiment du plaisir. J’avais mis en place un mur, mais j’ai senti qu’il se fissurait petit à petit, et que la jouissance commençait à monter en moi. Tenant ma queue, elles se sont partagé le sperme qui est sorti de moi, trait après trait, bouche ouverte, s’en maculant le visage, et la cavité buccale, en riant.
Il y avait une sorte de magie dans ce moment, et celle-ci s’est vite dissipée. Les filles se sont rajustées après avoir lapé le sperme sur le visage de l’autre, et échangé un baiser qui en avait certainement le goût, avant de s’éloigner. Ce n’était même pas la peine de se dire au revoir car nous savions que nous nous reverrions, ici dans ce parc, dans lequel j’ai pris l’habitude de revenir, le matin, avant de me risquer une fin d’après-midi, et de comprendre qu’il fonctionnait non stop, mais avec des personnes différentes selon les moments.
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Histoire de JamesB

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