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Le pont

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/11/2024

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LE PONT

Les deux villes étaient très proches l'une de l'autre. En fait, n'eut-ce été pour des raisons administratives, et parce que personne n'y avait pensé, ou on y avait pensé, mais sans vouloir aller plus loin, elles auraient pu ne faire qu'une, un choix que des communes qui se touchaient avaient fait à travers le pays. En effet, elles se complétaient au niveau des infrastructures, des commerces...
Ce qui les séparait, c'était un pont. Un grand pont, dont il apparut un jour, lors d'une vérification bi-annuelle, qu'il fallait le réformer. Il était devenu nécessaire de renforcer ses structures. Trop de véhicules, de poids lourds étaient passés, au fil des années. Toutefois des remédiations permettraient de lui donner une nouvelle jeunesse.
On était parti pour huit mois de travaux, avec une interdiction totale de faire passer le moindre véhicule dessus.
Le pont était toutefois totalement accessible aux personnes qui se déplaçaient à pied. De la sorte, il était constamment traversé par des gens qui partaient travailler, qui revenaient de travailler, par des gens qui allaient faire leurs courses ou revenaient de faire leurs courses, par des jeunes qui allaient à l'école ou en revenaient. Une sorte de mouvement continu, rendu plus aisé par l'absence de voitures. Le pont prenait véritablement vie. Il y avait une atmosphère plutôt conviviale, détendue, plus que quand il y avait du trafic. L'occasion de se parler, de partir ensemble, de se rencontrer...Le pont prenait une dimension sociale.
C'est grâce au pont que je l'ai connue.
C'était un soir. J'avais eu un déroulé de journée un peu particulier en ce sens que j'étais reparti chez moi en milieu d'après-midi, mais j'étais retourné à mon magasin parce que j'avais oublié des catalogues que je voulais examiner pour faire des commandes le lendemain. Je vends des chaussures, un métier que j'aime et dont j'ai pensé qu'il avait encore sa place malgré la concurrence des sites. J'avais d'ailleurs une clientèle fidèle. Je m'étais posé sur le créneau de l'originalité. Chez moi, on trouvait des chaussures qu'on ne trouvait pas ailleurs.
C'est d'ailleurs sa paire de chaussures que j'ai remarqué en premier. Des bottines avec des talons aiguille, chaussures vernies, qui se laçaient.
Modèle que j'aurais pu vendre.
Juste au-dessus, il y avait des jambes gainées par un collant. De jolies jambes, longues, fines, bien galbées, sans défauts. (Même si j'aimais aussi les défauts...)Et puis...Plus rien...
Si...Une masse de cartons de classement qui masquaient son corps, montaient au-delà de sa tête et qui, alors qu'elle avançait, vacillaient de plus en plus.
Je me suis précipité pour l'aider.
Bloquant de mes mains les cartons du haut qui menaçaient de tomber.
Une tête est apparue sur le côté. Celle d'une jolie brune, avec une belle chevelure, et un visage dessiné harmonieusement.
--Je vous en prends une partie?, j'ai proposé.
Je pensais qu'elle allait dire non, mais elle a eu une expression de soulagement sur le visage.
--Ca m'aiderait bien. Je suis stupide. J'ai pensé que je pouvais porter tous ces dossiers jusque chez moi. Ce n'était pas une bonne idée. Même si ça ne fait que quelques centaines de mètres.
--Vous allez où précisément, je lui ai demandé?
--Vous voyez où le pont démarre, ou se termine derrière vous? Juste sur la droite, une grande bâtisse blanche. Je suis au rez-de-chaussée.
--Ca sera toujours ça de gagné.
J'ai pris la partie supérieure des cartons, elle a gardé le reste. C'était à peu près équilibré, ça lui rendait les choses plus faciles, et c'était supportable que de porter ces cartons ainsi. Tout seul, ce n'était pas le cas.
L'occasion d'avoir un peu plus d'aperçus d'elle. Un perfecto, ouvert sur un top violet, tendu par une poitrine bien pleine. Elle avait beaucoup de charme. Et le sourire qu'elle m'a dédié, avant qu'on se mette en marche, en avait aussi.
On a traversé le pont côte à côte.
Pour faire la conversation, ou par besoin de m'expliquer, elle m'a dit:
— Je tiens une agence immobilière. Ce sont des archives très vieilles, qui ne me servent plus à rien. Je les ai quand même numérisées au cas où. Je veux y jeter un dernier coup d' oeil, et elles partiront au tri. Il y a un point de collecte en bas de chez moi. Mais je suis un peu maniaque, et je veux être sûre que je n'ai rien négligé en scannant.
— C'est tout à votre honneur.
Et effectivement, à deux, ça a été plus vite. On s'est retrouvés devant la bâtisse blanche. Je l'ai embrassée du regard. Deux étages, et trois appartements par étage, j'aurais dit.
Je ne l'avais pas remarqué, mais avant de partir, elle avait glissé son trousseau de clefs dans sa main, de la sorte elle a pu ouvrir la grande porte de l'immeuble tout en gardant les cartons sur ses avant-bras. Resté un peu en retrait, j'ai pu admirer une jupe noire, courte, et de plus fendue sur le côté, qui mettait en valeur des fesses bien charnues. La fente montait haut et laissait voir que le nylon qui enveloppait ses jambes n'était pas celui d'un collant, mais de bas stay-up. L'attache visible, mais aussi la partie supérieure de sa cuisse, nue. Ca m'a troublé.
Elle a débloqué la porte, et a avancé dans un grand couloir, après avoir allumé la lumière. Elle s'est accroupie pour déposer la masse encombrante.
C'est là que ça a commencé à déraper. A ma grande surprise. Jamais auparavant, ça n'avait été aussi vite avec une fille. Je venais de poser ma cargaison. Elle s'est retournée vers moi, toujours accroupie. J'ai embrassé tous les détails d'un seul bloc, avec pas mal de satisfaction. Son sourire. Sa jupe qui était remontée sur ses hanches, suffisamment en tout cas pour me donner une vision nette de son bas-ventre. Un sexe qui pour le moment, n'était d'une simple fente, tracée dans ses chairs intimes, mais qui a évolué vitesse grand V dans les minutes qui ont suivi.
Basculant sur du tutoiement, elle m'a dit:
— Il faut que je te remercie pour ton aide, j'ai énormément apprécié.
Et sa main est venue se balader sur mon pantalon au niveau de ma queue, me caressant à travers le tissu. Mon érection s'était déjà amorcée quand j'avais vu son sexe nu, elle s'est amplifiée quand elle m'a massé.
J'étais un peu décontenancé par la rapidité de ce rapprochement, mais ça s'est dissous très vite, dans le plaisir et l'envie du plaisir. Elle m'a défait, et elle a mis ma queue à nu.
— Hmmm, tu as une belle queue, elle a fait.
Et c'est vrai que, pour toute une série de facteurs, j'étais déjà bien mûr. La surprise, le fait de ne plus avoir de copine, et de ne pas avoir eu de rapports récemment, le trouble de ce corps féminin, érotisé, le sexe offert. Sexe qui s'ouvrait, s'offrait, se dilatait de seconde en seconde. Un premier jet de liquide qui venait se perdre entre ses fesses, suivi par bien d'autres, qui irriguaient sa raie, ses chairs...Son intérieur s'est révélé, une muqueuse rose. Ses lèvres ont fait leur apparition, se sont développées, allongées, ont gonflé...Juste après son gland clitoridien s'est décalotté et a lui aussi pointé son museau, bien charnu...
Elle a enveloppé ma queue de la main, sans trop serrer, et m'a masturbé doucement. En même temps, elle a amené son autre main sur l'ouverture de son sexe, et elle s'est mise à se masturber d'un mouvement circulaire, qui a fait sortir ses liquides intimes avec beaucoup plus d'abondance, liquide, qui, lorsque sa main passait a travers les écoulements, s'éparpillait pour tremper sa chair et le sol en aspersion...Elle m'a lâché tout en continuant de se masturber fébrilement, pour entamer une fellation.
Des pipes, il y avait déjà pas mal de filles qui m'en avaient fait, mais sans doute pas comme elle. Un don naturel, l'expérience? Les deux, sans doute. Il n'y avait là aucune maladresse, mais bien, au contraire, une habileté sans défaut. Elle a commencé à faire glisser sa langue sur moi, insistant sur des zones sensibles, avant de me prendre dans sa bouche, de bouger sur moi, me faisant perdre le contrôle. J'avais une pensée en toile de fond: j'avais vraiment bien fait de l'aider. Même si je n'avais aucune visée, et certainement pas l'idée qu'on en arrive là.
J'aurais aimé qu'on aille plus loin, que je puisse la pénétrer, je me serais bien vu glissant en elle, appuyée contre le mur, le cul projeté vers moi, mais j'ai réalisé que ce ne serait pas le cas. Le plaisir qu'elle me donnait était proportionnel à l'aide que je lui avais apporté. La dernière phase de notre rapprochement s'est dessiné, quand elle m'a fait sortir de sa bouche, et qu'elle est venue me masturber, en même temps que sa masturbation à elle prenait une autre dimension. Elle a glissé deux doigts en elle qu'elle a fait aller et venir. Chaque nouveau mouvement de pénétration faisait jaillir des jets de sécrétions de plus en plus abondants. Fasciné, je regardais son gland clitoridien grossir, s'allonger, témoin de son excitation et de son plaisir.
Du plaisir, j'en avais aussi avec cette main qui me masturbait, qui allait et venait sur ma chair. J'étais énorme et je suintais comme un malade.
J'adorais me faire masturber. Un écho des plaisirs connus à l'adolescence avec une petite copine qui aimait le sexe, qui aimait faire l'amour, qui m'aimait moi, mais qui avait très peur de tomber enceinte même avec des précautions. Je n'avais pourtant ressenti aucun manque pendant ces deux années, On passait des heures à se caresser mutuellement, jusqu'à l'orgasme, elle prenait ma queue dans sa main, dans sa bouche, moi je venais sur ses seins, sur son sexe avec mes mains, ma bouche...J'avais en tout cas appris à donner du plaisir à une femme, et que tout son corps était justement source de plaisir...
Quand au bout de deux ans, elle m'avait dit un jour:
— J'ai envie que tu viennes en moi!
J'avais été surpris. Elle avait surmonté sa peur? Il était vrai qu'avec le mix pilule plus capote...Elle m'avait couvert d'une tonne de lubrifiant, en plus de celui qui couvrait le préservatif...Pour me faire finalement rentrer dans son rectum...Le plaisir avait été tellement fort que j'avais joui immédiatement, sans débander, dur longtemps pour lui donner du plaisir. Et j'avais pris goût à la prendre par là.
Notre relation avait pris fin quand elle était partie dans une autre région. La première fois ou bien après, j'avais pris une fille normalement, ça m'avait fait tout drôle.
On a glissé vers notre jouissance. Elle a poussé un cri rauque, sa main s'est figée en elle, et elle a craché de multiples jets blancs, sortis autour de ses doigts, un liquide qui ressemblait à du sperme mais qui n'en était pas. C'est cette vision, ultra-excitante qui a fait que j'ai joui, sans aucun doute. Le premier jet de semence a atterri en travers de ses cheveux. Elle a ouvert la bouche et guidé mon gland vers son palais. La semence s'y est accumulée, nappe blanc crème qu'elle a fini par avaler.
Les secondes qui ont suivi ont été moins positives. Elle s'est redressée. Son expression disait clairement que la parenthèse était finie, et qu'elle voulait me le faire comprendre. Elle avait d'ailleurs, je l'ai compris à ce moment, moins eu envie de me remercier que de prendre du plaisir.
— Tu veux un coup de main pour rentrer tout?
— Je vais me débrouiller, elle m'a répondu, plutôt sèchement.
J'ai compris que mon temps était passé, et qu'il fallait que je parte. Je me suis éclipsé, pour rentrer chez moi.
Dans les jours qui ont suivi, bien sûr, j'ai pas mal repensé à ce moment. Moment de plaisir très fort, qui avait eu d'autant plus de valeur que je n'avais eu ni copine ni rapport sexuel depuis plusieurs mois. Et puis je trouvais que la fille avait énormément de charme. Ca avait juste été vers la fin que son attitude m'avait déplu.
On en avait encore pour plusieurs mois à utiliser le pont ainsi, et c'est vrai que, chaque fois que j'y passais, j'espérais la croiser. La revoir simplement. Vu le final, je n'imaginais même pas qu'elle puisse me parler. Elle me tournerait sans doute la tête.
J'aurais pu bien sûr, aller chez elle. Voire à son commerce. Je n'y tenais pas...Je voulais éviter un camouflet.
Il s'est passé une semaine avant que je ne la rencontre à nouveau sur le pont. Et non pas que je la croise. Elle arrivait juste derrière moi, et je n'en avais ni la conscience ni l'intuition. On aurait très bien pu continuer comme ça, elle n'aurait pas eu à me parler.
Et pourtant, elle a avancé jusqu'à moi et elle a posé sa main sur mon épaule.
Surpris, je me suis retourné.
Elle était toujours magnifique. Ma première impression avait été la bonne. Ma verge s'est durcie de désir. Des cuissardes noires avec du nylon sombre, une robe rouge ultra-moulante, sous un manteau entrouvert. Les souvenirs sont remontés, mais ils ne s'étaient pas effacés.
— Je tiens à m'excuser pour l'autre jour. Je m'en suis énormément voulue après. C'est que...Je me suis reproché immédiatement mon attitude. Je me suis dit que tu devais penser que j'étais une catin...Ma manière de te sauter dessus...C'est que tu me plaisais, et j'avais envie de sexe...
— Je n'ai rien pensé de la sorte, je lui ai répondu. Au contraire, j'ai trouvé ce moment magique, et j'ai apprécié que tu prennes cette initiative que je n'aurais pas forcément osé prendre...
Elle m'a souri.
— Alors, je me sens mieux. Tu veux qu'on se revoie ?
— J'aimerais bien.
— J'ai envie qu'on se retrouve sur ce pont. Mais à un autre moment. C'est grâce à lui, parce qu'ils l'empruntent tous les jours, que des personnes qui ne se seraient jamais rencontrées sont devenues amies...Ou plus...Je voudrais que tu me prennes sur ce pont. Ce soir.
J'ai aimé le schéma qui s'est dessiné devant moi.
— 22 heures?
— Ce sera le bon moment.
Elle est venue prendre ma bouche, nos langues se sont rencontrées, comme un engagement pour l'avenir. Et pour la soirée.
Je suis arrivé, plein d'envie et d'espoir un peu avant 22 heures.
J'ai découvert, à ce moment, que la nuit, le pont prenait une autre dimension. Je pensais que nous serions seuls. Ce n'était pas le cas loin de là. Des amants lui donnaient vie la nuit. Une autre facette de ce pont dont je me suis demandé s'il existait déjà auparavant où s'il avait pris sa dimension lorsque la circulation avait été coupée.
J'en ai en tout cas pris plein les mirettes, alors que je m'avançais sur l'espace désert, sauf pour les couples divers.
Un type était appuyé contre le tablier du pont, la queue à l'air, une belle queue, en pleine érection, que se partageaient deux filles, qui la léchaient avec enthousiasme, tout en se masturbant mutuellement. Plus loin deux hommes se masturbaient mutuellement eux aussi. Encore plus loin, une fille était accroupie contre un pilier, la jupe retroussée, le slip roulé à la cheville, aussi ouverte qu'elle pouvait l'être, et elle se faisait lécher par une autre fille, allongée sous elle, qui la fouillait avec tout ce qu'elle pouvait mettre d'ardeur et d'énergie.
Elle, elle était un peu plus loin. Enveloppée dans le manteau qu'elle portait le matin. Il faisait frais, il était vrai, Elle a senti que j'approchais. Elle s'est retournée, et son sourire m'a dit que je pouvais venir vers elle.
Elle a ouvert son manteau. Si elle avait gardé ses cuissardes, tout ce qu'elle portait le matin avait disparu. Sa nudité a été pour moi comme un coup de poing à l'estomac. Ma verge s'est gorgée de sang jusqu'à la pleine érection, à en être douloureuse en quelques secondes seulement.
Je me suis approché d'elle et nos bouches se sont accrochées l'une à l'autre, réellement soudées. J'ai senti contre moi le poids de son corps, sa chaleur. Ses seins lourds se sont écrasés contre moi mais son ventre s'est aussi collé à moi. Elle m'a frotté de son corps pendant que nos langues se caressaient. Des moments comme cela...J'étais heureux qu'on ait pu se retrouver.
Quand je me suis dégagé, elle est venue, comme elle l'avait fait la première fois, chercher ma queue dans mon pantalon pour la trouver aussi raide que la première fois. Mais les choses se sont passées différemment. Elle a récupéré dans son réticule un préservatif, et elle m'en a gainé, avant de se laisser aller contre le pilier près duquel elle était, dans une position qui me permettait de la pénétrer. Elle a amené sa jambe gauche sur le côté, la faisant appuyer contre la rambarde. De la sorte, Son sexe était ouvert, et il n'y avait aucun obstacle à ce que je la pénètre, même si la position n'était pas forcément confortable. Mais ça me plaisait qu'on fasse l'amour dans des conditions plus périlleuses que dans un lit, et sur ce pont sur lequel on s'était rencontrés. J'ai mis ma main contre l'entrée de son sexe pour juger de la situation. Elle était ouverte, et ma paume a recueilli un jet de mouille qui l'a trempée, que ce soit du à une excitation qui suivait son rythme ou au contact de ma main, ou aux deux. Je me suis plus collé à elle et j'ai poussé ma queue en elle. Elle a poussé un cri, j'aurais pu moi aussi crier tellement ça a été bon de sentir autour de moi la gaine de son sexe. Une gaine chaude et caressante...Comment vivre sans ça? Elle ne devait pas trop penser le contraire. Nos visages étaient très proches. L'occasion de lire son plaisir sur le sien, comme elle lisait mon plaisir sur le mien, sans aucun doute. Je l'ai fouillée, et elle m'a caressée...Ca a duré un bon moment. Je percevais bien autour de moi les éléments, la masse du pont, le calme et la fraîcheur de la nuit, les autres couples qui prenaient du plaisir...C'était la première fois que je faisais l'amour en extérieur...Je n'aurais pas imaginé que ça puisse être aussi bien.
Elle a poussé un soupir et m'a dit d'une voix cassée:
— Je suis entrain de jouir.
Et elle s'est mise à crier en éjaculant autour de ma queue. Je tenais depuis un moment, mais sa jouissance m'a mis dans tous mes états, et moi aussi j'ai joui, un orgasme très fort, qui m'a traversé et remué. Elle a crié à chaque jet de sperme qui est venu taper contre sa muqueuse.
Elle m'a souri quand elle a repris ses esprits.
— C'était bien que ce soit sur ce pont. C'est là qu'on s'est rencontrés. Que d'autres aussi se sont rencontrés, quelle que soit la nature de leurs relations.
Je me demandais si on allait en rester là. Mais elle m'a proposé:
— Si on prolongeait la soirée chez moi ?
Elle est venue envelopper ma queue, qui était restée en pleine érection. J'avais encore très envie d'elle. Elle m'a masturbé doucement.
— Tu es encore très dur...Et j'ai encore envie de prendre ta queue en moi. On peut faire quelque chose à deux.
Elle a rangé ma queue dans mon pantalon, et on a descendu le pont, passant au milieu des couples qui se donnaient mutuellement du plaisir comme nous l'avions fait. Nous nous sommes retrouvés devant chez elle. Elle a débloqué la porte d'accès à l'immeuble, puis j'ai enfin découvert son appartement. Dans un coin, ironiquement, il y avait toujours les boites empilées.
— Je n'ai pas eu le temps de les regarder. Mais ce n'est pas le moment maintenant. Viens.
Elle m'a entraîné jusqu'à sa chambre à coucher. Elle a fait glisser son manteau, gardant ses cuissardes. Elle a glissé à quatre pattes sur le lit, me jetant:
--Viens me sodomiser. J'en ai très envie.
Je suis venu sur elle, comme un chien sur une chienne, posant mon gland sur sa muqueuse anale. J'ai appuyé et je suis rentré facilement en elle. Je suis rentré aussi loin que je pouvais en elle, avec le plaisir d'être enveloppé par cette muqueuse étroite. Le début d'un long moment de plaisir qui s'est prolongé tard dans la nuit, et d'une relation, qui elle aussi s'est prolongée, pour le meilleur.
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Histoire de JamesB

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