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Stage de conduite
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STAGE DE CONDUITE
J'avais vingt ans, et je préparais mon permis de conduire. A l'époque déjà, il coûtait très cher et j'étais d'une famille modeste. J'avais fait des petits boulots, économisé, ma mère m'avait donné un peu d'argent, une tante aussi. Au final, j'avais une somme conséquente pour enfin avoir ce sésame précieux dont je n'avais pas encore besoin, car je me déplaçais dans des transports en commun. Mais ce ne serait pas forcément tout le temps le cas.
A l'époque, mes parents et moi nous habitions dans la région parisienne, mais ils avaient acheté une maison dans le Sud-Ouest et nous y passions nos congés.
On était fin mars, c'étaient les vacances de Pâques, et ma mère m'avait proposé:
— Pourquoi tu ne prends pas quelques leçons avec ma monitrice?
En effet, ma mère, si elle avait passé le permis, n'avait pas conduit pendant plusieurs années. Elle avait décidé de s'y remettre, à 45 ans, et avait préféré reprendre des leçons en milieu rural où on est moins stressé.
Je passais précisément l'examen à la rentrée, et je me suis dit que réviser pendant les vacances, mais aussi être avec quelqu'un qui aurait une autre approche que mon moniteur pourrait me permettre encore de m'améliorer.
C'est comme ça qu'une après-midi, je suis parti à pied jusqu'à la bourgade en bas de chez nous. 2800 habitants, quelques commerces, dont cette auto-école.
Je n'avais pas accompagné ma mère lorsqu'elle était parti prendre ses cours, donc je ne connaissais pas cette femme. Je ne connaissais que son nom, Marie-Noëlle D...
Elle était installée sur une placette minuscule. Des maisons d'habitation, et, en fait, elle avait son local commercial au rez-de-chaussée de sa maison.
La porte était entrouverte. Je me suis risqué à l'intérieur. Ma mère l'avait prévenue que j'allais lui rendre visite. Je me suis retrouvé dans le couloir. Une porte entrouverte sur la gauche. J'ai frappé.
— Vous pouvez entrer.
Mes premières impressions sur celle qui, calée derrière un bureau, était occupée à un travail de rédaction. C'était il y a très longtemps déjà, mais elle était sur un Mac, ce qui en ces temps reculés, était plutôt rare, et m'a donné une bonne impression d'elle-même.
Des cheveux noir corbeau, coupés très court, un visage plutôt triangulaire, avec des pommettes hautes, des traits fins.
— Vous devez être Frederic G... ? Votre mère m'a appelé. Installez-vous.
Il y avait un siège pile en face d'elle. Je m'y suis laissé glisser, sans avoir conscience que j'allais en prendre plein les mirettes dans les minutes qui suivraient.
Elle portait un chandail rose. Une petite poitrine plutôt, au vu de la manière dont le tissu était peu tendu. Je l'ai découvert quand elle a été debout, elle était grande et fine. Elle avait une jupe en jean, courte, qui avait remonté quand elle s'était assise, dévoilant de très jolies jambes, à la fois galbées et fines. C'était rare de voir des jambes aussi bien dessinées.
Dont elle m'offrait une vue...Inégalée. En effet, non seulement la jupe, courte, était remontée très haut, mais en plus, elle portait un collant comme sous-vêtement et rien d'autre. Et s'il y avait des collants avec une partie qui masquait l'intimité, ce n'était vraiment pas le cas. De la sorte, tout le temps où j'ai été assis face à elle, j'ai pu profiter d'une vision impeccable de son ventre. Elle avait les jambes ouvertes, et même si elle les croisait à un moment, elle les rouvrait toujours.
Elle avait une belle toison brune, assortie à ses cheveux, un grand triangle, à cette époque les filles ne s'épilaient pas, mais elle avait quand même rasé ses aines, et le pourtour de son sexe.
Son sexe j'ai pu en profiter. Il n'était pas clos, mais légèrement entrebâillé. Ses lèvres en sortaient, chacune positionnée dans un plissement différent, et je voyais un bout de rose à l'intérieur.
Autant dire que j'ai été...Fasciné...Et si la discussion a été engagée, une partie de mon cerveau, et de mon attention, était sur ce sexe de femme qui m'était offert. C'était vrai que j'avais connu une période heureuse de six mois où j'avais eu une petite copine. On avait découvert le sexe ensemble, à outrance, on passait notre temps à s'envoyer en l'air. Une séparation inattendue. 'On n'est pas faits pour être ensemble.' Et depuis la frustration. J'en étais d'autant plus troublé.
— Elle m'a tout dit. Vous voulez prendre des cours en plus de votre formation dans la région parisienne. Ecoutez, j'ai des créneaux libres l'après-midi. Je peux vous faire une heure de conduite par jour, entre 16 et 17, dès demain, et jusqu'à la fin des vacances. Ça vous conviendrait ?
— Très bien.
— Parlez-moi un peu de vous...Vos points forts, vos faiblesses...
— Je pense qu'il faudrait que je travaille les créneaux. Je n'y arrive pas bien.
Elle a souri.
— J'ai une méthode très simple. Je vous l'expliquerai. Je vais vous donner mes tarifs. Tenez, prenez un prospectus sur la table, juste devant vous à votre gauche.
Je me suis penché en avant. C'était bien qu'elle ne bouge pas. Ca me permettait de profiter le plus longtemps possible du spectacle.
J'ai parlé de mon expérience dans la région parisienne. Baratiné, mais il y a eu un moment où il a fallu que je parte et donc que je m'arrache à ce merveilleux spectacle. J'ai passé la soirée à me branler en y repensant et à ce qu'on aurait pu faire ensemble.
Le lendemain, j'étais devant chez elle, près de la voiture marquée AUTO-ECOLE sur le coup de seize heures. J'attendais qu'elle sorte en pensant à sa chatte. Est-ce que j'aurais aimé glisser dedans? Sans doute que oui. La différence d'âge ne me faisait pas peur. Elle avait énormément de charme, et je n'ai pas pensé le contraire quand je l'ai vue sortir de chez elle. Encore une jupe courte, noire et en tissu, et ces jambes très longues qui ne manquaient pas de charme. Elle m'a souri.
— Allez, tu vas me montrer ce que tu sais faire.
Elle, elle m'a montré ses charmes, en s'installant à côté de moi. Une jupe courte qui remonte...Et qui n'est pas descendue par la suite.
A l'époque, les bas stay-up n'existaient pas, et si on voulait porter des bas, il fallait obligatoirement les faire tenir avec quelque chose. Seule solution, un porte-jarretelles, Une ceinture autour du ventre avec des bandes qui permettaient de faire tenir les bas.
C'était bien le cas. Il y avait des bandes de tissus avec des pinces, et elles venaient prendre le bord du bas. Celui-ci était du simple nylon, tiré vers le haut, rien à voir avec les bas stay-up élastiqués qui étaient apparus par la suite. Difficile de ne pas être troublé par cette parure, même si je l'ai été tout autant par une autre vision, celle d'un slip blanc très moulant, très collant, qui dessinait bien le gonflement de son sexe, mais aussi la fente au milieu.
On est partis pour un trajet d'une heure. Quelques tours et détours dans cette petite ville de province, puis sur des routes de campagne. Elle m'a donné quelques conseils, utiles.
On était en pleine campagne, une petite route bien tranquille, bordée d'arbres, quand elle m'a dit, de manière aussi posée qu'elle me prodiguait des conseils depuis le début:
— Je vois que mes jambes t'intéressent. Tu as envie de les caresser?
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ses paroles ne m'ont même pas décontenancé. Je crois bien qu'en moi, il y avait le sentiment qu'on allait arriver à cet échange.
— Il y a un parking un peu plus loin.
Ca s'est passé d'une manière très fluide et harmonieuse, comme quelque chose de tout à fait naturel. Quelque chose en tout cas qui était écrit sans doute depuis la veille. Je me suis garé. Et je suis venu caresser ses jambes, comme j'en avais terriblement envie, qu'elle me le propose manifestait clairement que c'était le cas. Je suis descendu sur les chevilles, et eu ce double plaisir de toucher à la fois une chair dont la chaleur montait dans mes mains, et le nylon, contact doux et électrique à la fois.
Je suis remonté lentement. Je voulais profiter de ce moment. Mais que je prenne mon temps ne la dérangeait pas apparemment. Yeux mi-clos, elle se laissait aller au plaisir de ma caresse. Et qu'elle éprouve du plaisir, j'en avais la preuve la plus évidente à voir la tache qui s'épanouissait sur le tissu de son slip, autour de l'endroit où le tissu s'enfonçait dans sa fente.
Je suis remonté jusqu'à ses genoux, puis au-delà du genou. Décidément...Je n'avais jamais envisagé qu'un jour je caresserais des jambes gainées de nylon...C'était...Délicieux.
J'étais sur ses cuisses quand elle m'a dit:
— Regarde-moi cette bosse qui déforme ton pantalon...Je ne peux pas te laisser comme ça.
Et pendant que je pelotais ses cuisses, elle est venue poser ses mains sur mon pantalon et elle m'a défait, avec sans doute la même habileté qu'elle avait pour conduire. Elle a sorti ma queue à l'air libre. J'étais en pleine érection. Pas mal de facteurs pour cela, le manque, le désir qu'elle m'inspirait de la veille, elle me plaisait énormément, la proximité dans le véhicule.
— Tu as vraiment une belle queue.
Un moment unique. On était totalement dans notre bulle, à prendre du plaisir. Elle caressait vraiment bien. La caresse d'une femme de 45 ans, qui avait l'expérience du sexe. Même si je ne méprisais pas, loin de là, celles de la petite copine que j'avais vu. Chacune son style. Elle tournait sur moi, de sa main chaude, habile, souple, allant partout. Je me dilatais encore. Je n'avais sans doute jamais été aussi gros et je ruisselais.
Je n'osais pas monter plus haut, venir sur son slip. J'avais le sentiment qu'il fallait sans doute y aller par étapes, même si je n'avais que peu de temps. Je n'étais sans doute pas prêt. Elle l'a sans doute compris et m'a laissé rester sur ses jambes, ce qui était déjà beaucoup pour moi.
C'est quand elle a senti que j'allais jouir qu'elle a eu une initiative à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Elle a basculé ses si jolies jambes de manière à les positionner latéralement et transversalement, et elle m'a masturbé d'un mouvement plus rapide. Je n'ai pas pu tenir, et j'ai joui. Elle a fait pencher ma queue, et ma semence est venue maculer le noir des bas. Une vision extraordinairement excitante, que celle de ce blanc crémeux contrastant avec le sombre du nylon.
Ce n'était pas pour autant fini. Elle s'est soulevée et elle a fait descendre son slip le long de ses jambes. L'occasion pour moi de constater que son sexe avait radicalement évolué par rapport à la veille. Sans surprise. Evolué d'excitation. Il était très ouvert, trempé, et tout gonflé. Son regard planté dans le mien, elle s'est caressée devant moi, une jambe posée sur le tableau de bord pour être ouverte au maximum, et bien se faire voir. Et j'ai tout vu. Ses lèvres épaisses et longues, son gland clitoridien décalotté en pleine érection, long et fin, et son intérieur dont j'avais eu un aperçu limité la veille, cette fois beaucoup plus offert, d'une manière nettement plus large.
Du pouce et de l'index, elle est venue envelopper son gland clitoridien, suffisamment épais et long pour être masturbé comme une queue et elle l'a frotté à toute vitesse, fermant les yeux et poussant une sorte de râle.
Elle a joui très vite. Une vraie jouissance. Elle s'est contorsionnée, tendue, a gémi, et son sexe a craché des jets blancs crémeux, qui ressemblaient à du sperme mais n'en était pas, jets qui ont atterri partout, aussi bien sur le tableau de bord, le volant, sur elle que sur moi.
Il était temps de rentrer. Elle s'est reculottée. A attrapé un rouleau d'essuie-tout dans le vide-poches pour quelques épongeages. J'ai redémarré.
C'est sur le chemin du retour qu'elle m'a dit, brisant le silence dans lequel on laissait traîner le plaisir sur nous:
— J'espère que tu n'es pas choqué. J'ai envie de quelque chose avec toi depuis que je t'ai vu apparaître. Et j'ai bien vu que tu avais envie aussi.
— Oh non, je ne suis pas choqué. J'ai simplement envie encore de plein de moments. Tout en sachant qu'on n'a que quinze jours.
Comme la veille, j'ai passé ma soirée à me branler en pensant à elle et repensant à ce moment.
Chaque jour amenait à la fois de nouveaux apprentissages pour la conduite, elle avait une réelle expertise, mais aussi des moments de plaisir manifestant son envie et là-aussi son expertise. Et également la découverte de sa vie, une manière peut-être de me faire comprendre pourquoi et comment elle en était arrivée là.
Le lendemain, elle m'a proposé:
— On va travailler les créneaux.
Elle aimait décidément montrer ses jambes et les mettre en valeur. Elle en avait le droit parce qu'elles étaient vraiment belles. Un collant couleur chair, pas de slip dessous, son sexe visible, collé au nylon, lèvres étalées contre.
— On fait un spécial créneau aujourd'hui. On va d'abord partir pour un peu de route départementale, je t'emmène à la ville voisine.
C'est pendant le trajet qu'elle m'a dit:
— Tu te poses sans doute des questions sur moi. Je vais me présenter à toi, sans doute de manière incomplète. Je me suis mariée très jeune. A 18 ans, j'avais un enfant, et un mari qui est parti très vite. J'ai élevé ma fille seule, en travaillant pour lui apporter le maximum. Elle a eu tout ce qu'elle voulait et elle a pu faire des études. Aujourd'hui elle est consultante juridique.
Je me suis décidée à devenir monitrice d'auto-école après pas mal de petits boulots. J'avais juste mon bac. C'est un métier qui me plaît.
Je me suis jurée, après que mon mari m'ait abandonnée, de ne plus jamais vivre avec un homme. J'ai cherché le plaisir, je le cherche encore, sans jamais m'engager, ça me va très bien comme ça. Voilà comment je fonctionne.
— Tout est dit.
On est arrivés dans la ville voisine et on a travaillé le créneau. Elle m'a donné une méthode imparable, basée sur les repères. Reculer en parallèle de la voiture derrière laquelle on voulait se garer, s'arrêter quand on avait atteint les trois-quarts de la vitre de la portière arrière, puis braquer et engager la voiture quand on était à la moitié de la baie vitrée arrière. On a répété mais j'ai vite compris comment il fallait faire. Elle m'a proposé un défi, tourner dans la ville et me garer en faisant un créneau. Je m'en suis hyper bien sorti.
On était dans une petite rue, le long d'une église d'un côté, et de maisons de l'autre. Rue totalement déserte et sombre. Je venais de faire un dernier créneau. Elle m'a dit:
— Après tous ces créneaux parfaits, je pense que tu mérites une récompense.
Elle m'a défait, guère surprise je pense de me trouver en pleine érection. Je passais mes journées à bander. Quand je pensais à elle, quand elle n'était pas avec moi. Quand elle était près de moi et qu'elle m'inspirait du désir. C'est une queue bien raide qu'elle a sorti de mon pantalon pour immédiatement venir la caresser de la langue. Elle était habile avec sa main, elle l'était aussi avec sa bouche. Elle a tourné sur ma chair, est venue partout, restant sur des zones très sensibles jusqu'à ce que je sois au bord de l'orgasme. Clairement, ça n'avait rien à voir avec les pipes qu'avait pu me faire ma petite copine. Même si elles étaient bien aussi. Il y avait tant de savoir-faire dans la manière dont elle léchait mon gland, s'insinuant dans mon méat, lapant mes jus pré-sécrétifs, mais aussi venant sur mes couilles, comme aucune fille ne l'avait encore fait, Une zone hyper-sensible, je m'en rendais compte alors qu'elle baladait sa langue dessus, et les mordillait.
— Tu peux jouir dans ma bouche, si tu as envie. Ou sur mon visage.
J'étais basculé contre la portière, totalement pris par sa caresse, et bien incapable de répondre. Lui laissant le libre-arbitre.
Elle a choisi de caler un tiers de ma queue dans sa bouche et de venir masturber le reste de ma tige qui était à l'air libre. Mais c'est quand elle a pétri mes couilles que la jouissance est montée en moi, que je n'ai pas pu freiner. Elle a gardé la bouche bien serrée, pour ne pas perdre une goutte de semence, pendant que je me tordais et que je balançais des jets de sperme copieux dans sa cavité buccale. Elle m'a gardé dans sa bouche, même quand j'ai cessé d'éjaculer, venant lécher mon gland et fouillant mon méat pour récupérer les ultimes traces de sécrétions avant de me libérer. Elle a ouvert la bouche pour me montrer son palais, saturé par mon sperme. On ne voyait plus sa chair. Elle a fermé les yeux, a avalé, me montrant de nouveau sa bouche dans sa condition première. Elle souriait. Elle était en vie, heureuse. Mais moi aussi, j'avais conscience de vivre des moments très forts. Je n'étais pas sûr de retrouver une partenaire de mon âge, par la suite, avec qui ce serait aussi intense.
On est repartis sur ces petites routes départementales quasi désertes.
C'est moi qui ai pris l'initiative. C'était sans doute d'ailleurs ce qu'elle attendait. Ce vers quoi elle me poussait, que ce soit pour conduire ou pour du sexe.
Il y avait une place de parking, le long de platanes. J'ai ralenti, je me suis garé. Elle m'a laissé faire. Je suis descendu de voiture, venu de son côté, pour débloquer la portière. J'ai attrapé ses jambes et je l'ai faite pivoter vers moi. Sa jupe était restée tire-bouchonnée à sa taille. Elle a compris où je voulais en venir, quand mes mains sont remontées le long de ses jambes, et elle s'est soulevée pour me permettre de glisser sous ses fesses et d'aller chercher son collant jusqu'à la lisière de celui-ci. Je l'ai descendu. Quand j'ai commencé à dégager son sexe, une odeur forte, poivrée, enivrante, m'est montée aux narines, celle de ses sécrétions, dont sa chair était barbouillée. Je l'ai attrapée par les fesses, tirée vers moi, elle a bien ouvert les jambes, m'offrant un sexe dilaté d'excitation que je suis venu caresser de la langue, ma bouche a été inondée de ses sécrétions dès les premières secondes. Elle ruisselait, et elle a ruisselé encore plus pendant que je venais sur ses lèvres, que je remontais sur son gland clitoridien, que j'ai enveloppé de ma bouche et sucé, avant de m'insinuer en elle, glissant dans sa muqueuse suffisamment ouverte pour que je puisse frotter ses parois, aller loin, aussi loin que possible.
Je n'étais sans doute pas très doué, pas autant qu'elle, mais elle était vraiment en plein plaisir, emportée par mes caresses. Le corps agité par le plaisir, gémissant, criant, lâchant un liquide de plus en plus abondant. Quand elle s'est enfin mise à jouir, secouée par les orgasmes elle a éjaculé des jets copieux d'un liquide blanc, issu du plus profond d'elle qui m'a éclaboussé et a coulé dans ma bouche, au goût fort. J'aurais voulu la boire jusqu'à la dernière goutte, conscient que je vivais des moments privilégiés.
Quand on s'est séparés, elle a ôté son collant, le faisant glisser le long de ses jambes. Elle avait continué à se caresser quand on était partis, la tête ailleurs, sans rien de frénétique, plutôt une caresse fluide, histoire de conserver le plaisir plus longtemps en elle.
— Tiens...Tu penseras à moi.
Je suis reparti chez moi avec le collant roulé en boule dans une poche. Une fois seul, je l'ai reniflé. L'entrejambes dégageait une odeur intense de sécrétions vaginales. Je me suis rappelé la phrase de Woody Allen: 'J'aimerais être le collant d'Ursula Andress.' J'aurais aimé être son collant.
J'ai passé la soirée en transes, me branlant en reniflant le collant, en repensant à son collant, à ses caresses, à mon cunni.
Je n'imaginais pas, incapable d'envisager la suite, que la nuit suivante, je la passerais autrement.
Le lendemain, on a roulé une heure, avant qu'elle me dise:
--Je crois que tu es prêt pour ton examen. On va peaufiner un peu, mais c'est bon...J'ai envie que tu me pénètres. Tu en as envie toi aussi?
Elle avait cassé les habitudes, Elle avait aujourd'hui une robe noire longue et fluide qui descendait jusqu'à ses chevilles. Je ne voyais que ses chevilles, gainées de nylon, et des talons aiguille très classiques, escarpins noirs avec deux talons de quelques centimètres...Je me demandais ce qu'il y avait sous sa robe. Je le savais en partie. Mais il y avait du mystère. Ou pas...
Comme je l'ai précisé plus haut, il y avait plus d'un endroit pour se garer sur toutes ces routes de campagne...J'ai ralenti, et je me suis garé. Elle est venue chercher ma queue, l'a caressée de la main et de la bouche, avant de me laisser remonter sa jupe. Dessous, une paire de bas tenue par un porte-jarretelles et rien d'autre. Un sexe déjà bien dilaté dans lequel, maintenant qu'elle me l'avait proposé, je n'avais plus qu'une envie: m'enfoncer.
Ça s'est passé très simplement. Elle est descendue pour me laisser me glisser à la place du mort. Je me suis calé. Elle est venue se positionner sur moi, après avoir carrément dégrafé sa jupe longue, et l'avoir faite glisser sur le siège proche. Nue à partir de la taille, quelque chose que j'ai trouvé troublant, mais je crois bien que tout me troublait chez elle, elle a récupéré dans son sac à main un préservatif dont elle a déchiré l'emballage, avant de venir l'ajuster sur ma queue. Elle l'a descendu avec habileté.
— Je suis encore féconde et je n'ai vraiment pas envie d'avoir un enfant.
Elle a guidé ma queue vers l'entrée dilatée de son sexe. Mon gland a disparu en elle. Elle s'est laissée descendre jusqu'à m'avoir totalement avalé. Souriante, elle est restée sur moi sans bouger. Le temps de laisser les sensations monter en nous.
C'était tellement bon d'être dans le sexe d'une femme...La gaine de chair autour de sa queue, douce et chaude...Un plaisir qui s'est amplifié quand elle s'est mise à bouger sur moi...Une caresse qui pourrait durer des heures sans que je me lasse.
L'univers autour de nous s'est dilué petit à petit, nous étions deux, ensemble, unis par le plaisir et dans le plaisir, en harmonie. Elle dansait sur moi, et elle a dansé encore plus après m'avoir dit:
— Je vais jouir!
Elle s'est tordue sur moi en hurlant et éjaculant autour de ma queue, trempant nos chairs. Moi je n'avais pas encore joui. Je suis resté en elle. Je voulais y passer ma vie. Je l'ai attrapée par les hanches, et je l'ai faite bouger sur moi, alors que c'était elle qui, jusqu'à présent, avait donné l'impulsion. Elle a joui quasi immédiatement, criant, enchaînant les orgasmes, jusqu'à ce qu'elle me dise:
— Arrête, j'en peux plus!
Elle m'a expulsé de sa vulve. Le latex était couvert de ses sécrétions. Elle l'a retiré, et s'est penchée sur moi, venant se positionner sur le fauteuil à côté, pour me faire jouir avec sa bouche. J'étais bloqué, mais sa langue sur mon gland et dans mon méat a brisé ma résistance. Mon sperme a jailli comme d'un geyser, le premier jet en travers de son visage, le reste dans sa bouche.
C'est quand on a été de retour qu'elle m'a dit:
— Tu penses que tu pourrais me rejoindre le soir ? J'ai envie de plus.
Je bénéficiais d'une grande liberté. Sans avoir à me justifier. Et puis j'avais pas mal de copains ici. Ça faisait une couverture parfaite.
C'est comme ça que je me suis retrouvé à revenir chez elle sur le coup de neuf heures.
La porte d'entrée était entrouverte. Je me suis glissé à l'intérieur. Elle a surgi, vêtue d'une chemise de nuit qui s'arrêtait au genou, blanche, simple, on ne parlait pas de nuisette à l'époque, que la lumière transperçait, dessinant ses formes et donnant à voir sa nudité, ce qui était plus excitant que si elle avait été nue. Elle m'a souri.
— Je t'attendais!
Elle est venue se plaquer contre moi et chercher ma bouche, avant d'attraper ma main et de me guider dans la maison, jusqu'à sa chambre. Un grand lit. Elle a glissé dessus, s'est mise à quatre pattes et a remonté sa chemise de nuit, m'offrant l'intégralité de son intimité. Mon regard a glissé sur ses formes. Des fesses bien rondes, fermes et dures comme j'avais pu le constater en les caressant, ouvertes par sa position sur les plissements de son anus. Plus bas entre ses cuisses, le gonflement de sa vulve, entrouverte, lèvres pendantes, auxquelles s'accrochaient des filaments de sécrétions qui disaient son excitation.
Elle a tourné la tête vers moi et elle m'a dit:
— Viens!
Sa voix, mais aussi son regard et tout son corps en fait, disaient qu'il fallait que je vienne. Et j'en mourrais d'envie de toute façon.
— Regarde sur la commode...Il y a des préservatifs...Tu pourras en changer si nécessaire...Je te laisse faire...
Je me suis gainé de latex avant de basculer derrière elle. Emu et tremblant.
— Tu veux que je t'aide ?
Je l'ai attrapée par les hanches pendant qu'elle tendait la main en arrière, et guidait ma queue vers sa vulve. Un coup de hanches et je glissais en elle. Elle a poussé un long gémissement. Retrouver son sexe...Pourtant cette fois, la configuration était différente. Un autre angle, un autre plaisir. La tête de ma queue a tapé contre son utérus, elle a crié. J'ai amorcé un mouvement de va-et-vient dans son sexe. C'était...Tellement bon...Et on était tellement proches.
Au bout d'un moment, ma queue est sortie. Elle a tendu la main en arrière. Je pensais qu'elle allait la refourrer dans sa chatte. Au lieu de ça, elle l'a remontée plus haut, et j'ai senti contre mon gland les plissements de son anus.
— J'espère que ça ne choque pas. J'adore me faire sodomiser. C'est un plaisir très fort pour moi. Tu ne me feras pas mal.
Je n'avais jamais encore sodomisé une femme. J'ai poussé un peu et j'ai senti qu'elle s'ouvrait. Ça m'a fait tout drôle. Je découvrais cette sensation. Le savait-elle ? Le sentait-elle ? J'ai coulissé en elle, jusqu'à ce que je ne puisse plus aller plus loin. Elle a poussé un grand soupir. J'ai regardé, incrédule, ma queue fichée dans sa muqueuse anale, et juste en dessous, son sexe libre de toute occupation. J'ai vu apparaître sa main, qui s'est collée à ses lèvres et les a frottées avec intensité. Ses jus jaillissant, venant de perdre entre ses doigts, les faire luisants, ou nous éclaboussant. Je me suis mis à bouger en elle, allant et venant dans le conduit étroit. Elle ne mentait pas, et j'ai bien senti qu'elle avait un plaisir intense, fort, démultiplié par sa masturbation frénétique. Elle a eu un premier orgasme rapidement, plusieurs autres ont suivi, le dernier déclenché par le jaillissement de mon sperme qui est venu taper contre ses muqueuses.
Je n'oublierai pas ces deux semaines de vacances. Des leçons de conduite, et du sexe, beaucoup de sexe. Pendant et après les leçons, et quand je la rejoignais. Je plains ceux qui n'ont jamais connu les joies de la chair. Il existait entre nous une harmonie extraordinaire que je n'ai pas connue avant ni retrouvée après. Tout nous séparait mais le sexe nous rassemblait.
Le temps a passé trop vite. On est arrivés au vendredi de la deuxième semaine. Il nous restait un peu moins de 48 heures, on repartait, mes parents et moi, le dimanche. On était garés sur un parking, encore un, à force on les connaissait tous, et elle me bouffait la queue avec une avidité qui me faisait penser qu'elle ne serait jamais rassasiée. Mais je pouvais en dire autant de moi. Je n'arrivais pas, malgré tous ces moments ensemble, à éprouver de la satiété.
Elle me frottait le gland de sa langue. Un trait de sperme est sorti qui a maculé sa joue. Elle savait que je pouvais jouir plusieurs fois mais toujours garder une belle queue pour qu'on joue avec. Elle m'a masturbé vivement et j'ai joui. Elle a laissé mon sperme sortir et maculer son visage d'une multitude de traits qu'elle a ensuite ramassés du bout des doigts pour les avaler. Elle a fait glisser un préservatif sur ma queue et elle est venue s'empaler sur moi. Je pensais à tous ceux qui passaient en voiture. Certains ne nous voyaient même pas, d'autres, sans aucun doute comprenaient ce qui se passait. Elle s'est faite monter et descendre sur moi.
— J'ai pas envie de partir, je lui ai dit, pendant qu'elle bougeait sur moi.
— Et moi pas envie de te laisser partir. Malheureusement, on ne peut pas faire autrement. On se reverra aux prochaines vacances. Et puis il faut bien que tu passes ton permis, et que tu l'aies. Je serai fière parce que tu l'auras eu en partie grâce à moi.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a sorti ma queue de son ventre, et elle l'a collé contre, après avoir arraché le préservatif. Mon sperme est sorti en jets puissants qui ont maculé son ventre, ses seins, et son visage.
Je ne suis pas parti avec regret ni chagrin. Au contraire je me disais que j'avais vécu des moments exceptionnels et que j'avais beaucoup de chance. Et puis j'avais la certitude que le lien n'était pas rompu. D'abord, je n'étais qu'à 250 kilomètres.
A l'époque, il n'y avait pas de téléphone portable, ni de SMS.
Avant que je ne parte, elle m'avait donné deux enveloppes. Une à ouvrir avant. L'autre après. Mais seulement si je réussissais.
Je passais la conduite le lendemain après-midi sur le coup de 14 heures. A 13 heures, j'ai ouvert l'enveloppe à ouvrir avant. Une ligne sur du papier...Et une série de photos d'elle...Des gros plans, ses cheveux, ses yeux, ses seins nus, son ventre.
Même sans cette promesse stimulante, je me sentais prêt. Détendu. Autant parce qu'elle m'avait vraiment bien conseillé que parce que je la percevais près de moi. Autour de moi.
Et effectivement j'ai réussi. L'examinateur m'a dit : 'Vous maîtrisez totalement ce que vous faites. Félicitations.
Je l'ai appelée d'une cabine.
— On fêtera ça quand tu reviendras. N'oublie pas la deuxième enveloppe.
Récompense écrit sur une feuille. Et des photos d'elle dans des positions qui rappelaient ce qu'on avait fait ensemble. Mais aussi des photos de son sexe dans divers états, neutre, avec un slip enfoncé dans sa fente ou ouvert avec ses doigts. J'aurais de quoi me branler en attendant de la revoir.
Nos retrouvailles ont eu lieu 10 semaines après. On est tombés dans les bras l'un de l'autre.
L'année suivante, j'ai fini mes études, et j'ai cherché et trouvé un travail tout près d'elle. On se voyait de plus en plus. Je ne savais pas si mes parents se doutaient de quelque chose, je cherchais à rester discret par rapport à eux. Ils n'ont en tout cas jamais rien dit, et on n'a jamais officialisé notre relation par un lien officiel, mais on était très souvent ensemble, on faisait très souvent l'amour. On a pu profiter 25 ans l'un de l'autre, avant que la maladie ne l'emporte.
25 années magnifiques.
J'avais vingt ans, et je préparais mon permis de conduire. A l'époque déjà, il coûtait très cher et j'étais d'une famille modeste. J'avais fait des petits boulots, économisé, ma mère m'avait donné un peu d'argent, une tante aussi. Au final, j'avais une somme conséquente pour enfin avoir ce sésame précieux dont je n'avais pas encore besoin, car je me déplaçais dans des transports en commun. Mais ce ne serait pas forcément tout le temps le cas.
A l'époque, mes parents et moi nous habitions dans la région parisienne, mais ils avaient acheté une maison dans le Sud-Ouest et nous y passions nos congés.
On était fin mars, c'étaient les vacances de Pâques, et ma mère m'avait proposé:
— Pourquoi tu ne prends pas quelques leçons avec ma monitrice?
En effet, ma mère, si elle avait passé le permis, n'avait pas conduit pendant plusieurs années. Elle avait décidé de s'y remettre, à 45 ans, et avait préféré reprendre des leçons en milieu rural où on est moins stressé.
Je passais précisément l'examen à la rentrée, et je me suis dit que réviser pendant les vacances, mais aussi être avec quelqu'un qui aurait une autre approche que mon moniteur pourrait me permettre encore de m'améliorer.
C'est comme ça qu'une après-midi, je suis parti à pied jusqu'à la bourgade en bas de chez nous. 2800 habitants, quelques commerces, dont cette auto-école.
Je n'avais pas accompagné ma mère lorsqu'elle était parti prendre ses cours, donc je ne connaissais pas cette femme. Je ne connaissais que son nom, Marie-Noëlle D...
Elle était installée sur une placette minuscule. Des maisons d'habitation, et, en fait, elle avait son local commercial au rez-de-chaussée de sa maison.
La porte était entrouverte. Je me suis risqué à l'intérieur. Ma mère l'avait prévenue que j'allais lui rendre visite. Je me suis retrouvé dans le couloir. Une porte entrouverte sur la gauche. J'ai frappé.
— Vous pouvez entrer.
Mes premières impressions sur celle qui, calée derrière un bureau, était occupée à un travail de rédaction. C'était il y a très longtemps déjà, mais elle était sur un Mac, ce qui en ces temps reculés, était plutôt rare, et m'a donné une bonne impression d'elle-même.
Des cheveux noir corbeau, coupés très court, un visage plutôt triangulaire, avec des pommettes hautes, des traits fins.
— Vous devez être Frederic G... ? Votre mère m'a appelé. Installez-vous.
Il y avait un siège pile en face d'elle. Je m'y suis laissé glisser, sans avoir conscience que j'allais en prendre plein les mirettes dans les minutes qui suivraient.
Elle portait un chandail rose. Une petite poitrine plutôt, au vu de la manière dont le tissu était peu tendu. Je l'ai découvert quand elle a été debout, elle était grande et fine. Elle avait une jupe en jean, courte, qui avait remonté quand elle s'était assise, dévoilant de très jolies jambes, à la fois galbées et fines. C'était rare de voir des jambes aussi bien dessinées.
Dont elle m'offrait une vue...Inégalée. En effet, non seulement la jupe, courte, était remontée très haut, mais en plus, elle portait un collant comme sous-vêtement et rien d'autre. Et s'il y avait des collants avec une partie qui masquait l'intimité, ce n'était vraiment pas le cas. De la sorte, tout le temps où j'ai été assis face à elle, j'ai pu profiter d'une vision impeccable de son ventre. Elle avait les jambes ouvertes, et même si elle les croisait à un moment, elle les rouvrait toujours.
Elle avait une belle toison brune, assortie à ses cheveux, un grand triangle, à cette époque les filles ne s'épilaient pas, mais elle avait quand même rasé ses aines, et le pourtour de son sexe.
Son sexe j'ai pu en profiter. Il n'était pas clos, mais légèrement entrebâillé. Ses lèvres en sortaient, chacune positionnée dans un plissement différent, et je voyais un bout de rose à l'intérieur.
Autant dire que j'ai été...Fasciné...Et si la discussion a été engagée, une partie de mon cerveau, et de mon attention, était sur ce sexe de femme qui m'était offert. C'était vrai que j'avais connu une période heureuse de six mois où j'avais eu une petite copine. On avait découvert le sexe ensemble, à outrance, on passait notre temps à s'envoyer en l'air. Une séparation inattendue. 'On n'est pas faits pour être ensemble.' Et depuis la frustration. J'en étais d'autant plus troublé.
— Elle m'a tout dit. Vous voulez prendre des cours en plus de votre formation dans la région parisienne. Ecoutez, j'ai des créneaux libres l'après-midi. Je peux vous faire une heure de conduite par jour, entre 16 et 17, dès demain, et jusqu'à la fin des vacances. Ça vous conviendrait ?
— Très bien.
— Parlez-moi un peu de vous...Vos points forts, vos faiblesses...
— Je pense qu'il faudrait que je travaille les créneaux. Je n'y arrive pas bien.
Elle a souri.
— J'ai une méthode très simple. Je vous l'expliquerai. Je vais vous donner mes tarifs. Tenez, prenez un prospectus sur la table, juste devant vous à votre gauche.
Je me suis penché en avant. C'était bien qu'elle ne bouge pas. Ca me permettait de profiter le plus longtemps possible du spectacle.
J'ai parlé de mon expérience dans la région parisienne. Baratiné, mais il y a eu un moment où il a fallu que je parte et donc que je m'arrache à ce merveilleux spectacle. J'ai passé la soirée à me branler en y repensant et à ce qu'on aurait pu faire ensemble.
Le lendemain, j'étais devant chez elle, près de la voiture marquée AUTO-ECOLE sur le coup de seize heures. J'attendais qu'elle sorte en pensant à sa chatte. Est-ce que j'aurais aimé glisser dedans? Sans doute que oui. La différence d'âge ne me faisait pas peur. Elle avait énormément de charme, et je n'ai pas pensé le contraire quand je l'ai vue sortir de chez elle. Encore une jupe courte, noire et en tissu, et ces jambes très longues qui ne manquaient pas de charme. Elle m'a souri.
— Allez, tu vas me montrer ce que tu sais faire.
Elle, elle m'a montré ses charmes, en s'installant à côté de moi. Une jupe courte qui remonte...Et qui n'est pas descendue par la suite.
A l'époque, les bas stay-up n'existaient pas, et si on voulait porter des bas, il fallait obligatoirement les faire tenir avec quelque chose. Seule solution, un porte-jarretelles, Une ceinture autour du ventre avec des bandes qui permettaient de faire tenir les bas.
C'était bien le cas. Il y avait des bandes de tissus avec des pinces, et elles venaient prendre le bord du bas. Celui-ci était du simple nylon, tiré vers le haut, rien à voir avec les bas stay-up élastiqués qui étaient apparus par la suite. Difficile de ne pas être troublé par cette parure, même si je l'ai été tout autant par une autre vision, celle d'un slip blanc très moulant, très collant, qui dessinait bien le gonflement de son sexe, mais aussi la fente au milieu.
On est partis pour un trajet d'une heure. Quelques tours et détours dans cette petite ville de province, puis sur des routes de campagne. Elle m'a donné quelques conseils, utiles.
On était en pleine campagne, une petite route bien tranquille, bordée d'arbres, quand elle m'a dit, de manière aussi posée qu'elle me prodiguait des conseils depuis le début:
— Je vois que mes jambes t'intéressent. Tu as envie de les caresser?
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ses paroles ne m'ont même pas décontenancé. Je crois bien qu'en moi, il y avait le sentiment qu'on allait arriver à cet échange.
— Il y a un parking un peu plus loin.
Ca s'est passé d'une manière très fluide et harmonieuse, comme quelque chose de tout à fait naturel. Quelque chose en tout cas qui était écrit sans doute depuis la veille. Je me suis garé. Et je suis venu caresser ses jambes, comme j'en avais terriblement envie, qu'elle me le propose manifestait clairement que c'était le cas. Je suis descendu sur les chevilles, et eu ce double plaisir de toucher à la fois une chair dont la chaleur montait dans mes mains, et le nylon, contact doux et électrique à la fois.
Je suis remonté lentement. Je voulais profiter de ce moment. Mais que je prenne mon temps ne la dérangeait pas apparemment. Yeux mi-clos, elle se laissait aller au plaisir de ma caresse. Et qu'elle éprouve du plaisir, j'en avais la preuve la plus évidente à voir la tache qui s'épanouissait sur le tissu de son slip, autour de l'endroit où le tissu s'enfonçait dans sa fente.
Je suis remonté jusqu'à ses genoux, puis au-delà du genou. Décidément...Je n'avais jamais envisagé qu'un jour je caresserais des jambes gainées de nylon...C'était...Délicieux.
J'étais sur ses cuisses quand elle m'a dit:
— Regarde-moi cette bosse qui déforme ton pantalon...Je ne peux pas te laisser comme ça.
Et pendant que je pelotais ses cuisses, elle est venue poser ses mains sur mon pantalon et elle m'a défait, avec sans doute la même habileté qu'elle avait pour conduire. Elle a sorti ma queue à l'air libre. J'étais en pleine érection. Pas mal de facteurs pour cela, le manque, le désir qu'elle m'inspirait de la veille, elle me plaisait énormément, la proximité dans le véhicule.
— Tu as vraiment une belle queue.
Un moment unique. On était totalement dans notre bulle, à prendre du plaisir. Elle caressait vraiment bien. La caresse d'une femme de 45 ans, qui avait l'expérience du sexe. Même si je ne méprisais pas, loin de là, celles de la petite copine que j'avais vu. Chacune son style. Elle tournait sur moi, de sa main chaude, habile, souple, allant partout. Je me dilatais encore. Je n'avais sans doute jamais été aussi gros et je ruisselais.
Je n'osais pas monter plus haut, venir sur son slip. J'avais le sentiment qu'il fallait sans doute y aller par étapes, même si je n'avais que peu de temps. Je n'étais sans doute pas prêt. Elle l'a sans doute compris et m'a laissé rester sur ses jambes, ce qui était déjà beaucoup pour moi.
C'est quand elle a senti que j'allais jouir qu'elle a eu une initiative à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Elle a basculé ses si jolies jambes de manière à les positionner latéralement et transversalement, et elle m'a masturbé d'un mouvement plus rapide. Je n'ai pas pu tenir, et j'ai joui. Elle a fait pencher ma queue, et ma semence est venue maculer le noir des bas. Une vision extraordinairement excitante, que celle de ce blanc crémeux contrastant avec le sombre du nylon.
Ce n'était pas pour autant fini. Elle s'est soulevée et elle a fait descendre son slip le long de ses jambes. L'occasion pour moi de constater que son sexe avait radicalement évolué par rapport à la veille. Sans surprise. Evolué d'excitation. Il était très ouvert, trempé, et tout gonflé. Son regard planté dans le mien, elle s'est caressée devant moi, une jambe posée sur le tableau de bord pour être ouverte au maximum, et bien se faire voir. Et j'ai tout vu. Ses lèvres épaisses et longues, son gland clitoridien décalotté en pleine érection, long et fin, et son intérieur dont j'avais eu un aperçu limité la veille, cette fois beaucoup plus offert, d'une manière nettement plus large.
Du pouce et de l'index, elle est venue envelopper son gland clitoridien, suffisamment épais et long pour être masturbé comme une queue et elle l'a frotté à toute vitesse, fermant les yeux et poussant une sorte de râle.
Elle a joui très vite. Une vraie jouissance. Elle s'est contorsionnée, tendue, a gémi, et son sexe a craché des jets blancs crémeux, qui ressemblaient à du sperme mais n'en était pas, jets qui ont atterri partout, aussi bien sur le tableau de bord, le volant, sur elle que sur moi.
Il était temps de rentrer. Elle s'est reculottée. A attrapé un rouleau d'essuie-tout dans le vide-poches pour quelques épongeages. J'ai redémarré.
C'est sur le chemin du retour qu'elle m'a dit, brisant le silence dans lequel on laissait traîner le plaisir sur nous:
— J'espère que tu n'es pas choqué. J'ai envie de quelque chose avec toi depuis que je t'ai vu apparaître. Et j'ai bien vu que tu avais envie aussi.
— Oh non, je ne suis pas choqué. J'ai simplement envie encore de plein de moments. Tout en sachant qu'on n'a que quinze jours.
Comme la veille, j'ai passé ma soirée à me branler en pensant à elle et repensant à ce moment.
Chaque jour amenait à la fois de nouveaux apprentissages pour la conduite, elle avait une réelle expertise, mais aussi des moments de plaisir manifestant son envie et là-aussi son expertise. Et également la découverte de sa vie, une manière peut-être de me faire comprendre pourquoi et comment elle en était arrivée là.
Le lendemain, elle m'a proposé:
— On va travailler les créneaux.
Elle aimait décidément montrer ses jambes et les mettre en valeur. Elle en avait le droit parce qu'elles étaient vraiment belles. Un collant couleur chair, pas de slip dessous, son sexe visible, collé au nylon, lèvres étalées contre.
— On fait un spécial créneau aujourd'hui. On va d'abord partir pour un peu de route départementale, je t'emmène à la ville voisine.
C'est pendant le trajet qu'elle m'a dit:
— Tu te poses sans doute des questions sur moi. Je vais me présenter à toi, sans doute de manière incomplète. Je me suis mariée très jeune. A 18 ans, j'avais un enfant, et un mari qui est parti très vite. J'ai élevé ma fille seule, en travaillant pour lui apporter le maximum. Elle a eu tout ce qu'elle voulait et elle a pu faire des études. Aujourd'hui elle est consultante juridique.
Je me suis décidée à devenir monitrice d'auto-école après pas mal de petits boulots. J'avais juste mon bac. C'est un métier qui me plaît.
Je me suis jurée, après que mon mari m'ait abandonnée, de ne plus jamais vivre avec un homme. J'ai cherché le plaisir, je le cherche encore, sans jamais m'engager, ça me va très bien comme ça. Voilà comment je fonctionne.
— Tout est dit.
On est arrivés dans la ville voisine et on a travaillé le créneau. Elle m'a donné une méthode imparable, basée sur les repères. Reculer en parallèle de la voiture derrière laquelle on voulait se garer, s'arrêter quand on avait atteint les trois-quarts de la vitre de la portière arrière, puis braquer et engager la voiture quand on était à la moitié de la baie vitrée arrière. On a répété mais j'ai vite compris comment il fallait faire. Elle m'a proposé un défi, tourner dans la ville et me garer en faisant un créneau. Je m'en suis hyper bien sorti.
On était dans une petite rue, le long d'une église d'un côté, et de maisons de l'autre. Rue totalement déserte et sombre. Je venais de faire un dernier créneau. Elle m'a dit:
— Après tous ces créneaux parfaits, je pense que tu mérites une récompense.
Elle m'a défait, guère surprise je pense de me trouver en pleine érection. Je passais mes journées à bander. Quand je pensais à elle, quand elle n'était pas avec moi. Quand elle était près de moi et qu'elle m'inspirait du désir. C'est une queue bien raide qu'elle a sorti de mon pantalon pour immédiatement venir la caresser de la langue. Elle était habile avec sa main, elle l'était aussi avec sa bouche. Elle a tourné sur ma chair, est venue partout, restant sur des zones très sensibles jusqu'à ce que je sois au bord de l'orgasme. Clairement, ça n'avait rien à voir avec les pipes qu'avait pu me faire ma petite copine. Même si elles étaient bien aussi. Il y avait tant de savoir-faire dans la manière dont elle léchait mon gland, s'insinuant dans mon méat, lapant mes jus pré-sécrétifs, mais aussi venant sur mes couilles, comme aucune fille ne l'avait encore fait, Une zone hyper-sensible, je m'en rendais compte alors qu'elle baladait sa langue dessus, et les mordillait.
— Tu peux jouir dans ma bouche, si tu as envie. Ou sur mon visage.
J'étais basculé contre la portière, totalement pris par sa caresse, et bien incapable de répondre. Lui laissant le libre-arbitre.
Elle a choisi de caler un tiers de ma queue dans sa bouche et de venir masturber le reste de ma tige qui était à l'air libre. Mais c'est quand elle a pétri mes couilles que la jouissance est montée en moi, que je n'ai pas pu freiner. Elle a gardé la bouche bien serrée, pour ne pas perdre une goutte de semence, pendant que je me tordais et que je balançais des jets de sperme copieux dans sa cavité buccale. Elle m'a gardé dans sa bouche, même quand j'ai cessé d'éjaculer, venant lécher mon gland et fouillant mon méat pour récupérer les ultimes traces de sécrétions avant de me libérer. Elle a ouvert la bouche pour me montrer son palais, saturé par mon sperme. On ne voyait plus sa chair. Elle a fermé les yeux, a avalé, me montrant de nouveau sa bouche dans sa condition première. Elle souriait. Elle était en vie, heureuse. Mais moi aussi, j'avais conscience de vivre des moments très forts. Je n'étais pas sûr de retrouver une partenaire de mon âge, par la suite, avec qui ce serait aussi intense.
On est repartis sur ces petites routes départementales quasi désertes.
C'est moi qui ai pris l'initiative. C'était sans doute d'ailleurs ce qu'elle attendait. Ce vers quoi elle me poussait, que ce soit pour conduire ou pour du sexe.
Il y avait une place de parking, le long de platanes. J'ai ralenti, je me suis garé. Elle m'a laissé faire. Je suis descendu de voiture, venu de son côté, pour débloquer la portière. J'ai attrapé ses jambes et je l'ai faite pivoter vers moi. Sa jupe était restée tire-bouchonnée à sa taille. Elle a compris où je voulais en venir, quand mes mains sont remontées le long de ses jambes, et elle s'est soulevée pour me permettre de glisser sous ses fesses et d'aller chercher son collant jusqu'à la lisière de celui-ci. Je l'ai descendu. Quand j'ai commencé à dégager son sexe, une odeur forte, poivrée, enivrante, m'est montée aux narines, celle de ses sécrétions, dont sa chair était barbouillée. Je l'ai attrapée par les fesses, tirée vers moi, elle a bien ouvert les jambes, m'offrant un sexe dilaté d'excitation que je suis venu caresser de la langue, ma bouche a été inondée de ses sécrétions dès les premières secondes. Elle ruisselait, et elle a ruisselé encore plus pendant que je venais sur ses lèvres, que je remontais sur son gland clitoridien, que j'ai enveloppé de ma bouche et sucé, avant de m'insinuer en elle, glissant dans sa muqueuse suffisamment ouverte pour que je puisse frotter ses parois, aller loin, aussi loin que possible.
Je n'étais sans doute pas très doué, pas autant qu'elle, mais elle était vraiment en plein plaisir, emportée par mes caresses. Le corps agité par le plaisir, gémissant, criant, lâchant un liquide de plus en plus abondant. Quand elle s'est enfin mise à jouir, secouée par les orgasmes elle a éjaculé des jets copieux d'un liquide blanc, issu du plus profond d'elle qui m'a éclaboussé et a coulé dans ma bouche, au goût fort. J'aurais voulu la boire jusqu'à la dernière goutte, conscient que je vivais des moments privilégiés.
Quand on s'est séparés, elle a ôté son collant, le faisant glisser le long de ses jambes. Elle avait continué à se caresser quand on était partis, la tête ailleurs, sans rien de frénétique, plutôt une caresse fluide, histoire de conserver le plaisir plus longtemps en elle.
— Tiens...Tu penseras à moi.
Je suis reparti chez moi avec le collant roulé en boule dans une poche. Une fois seul, je l'ai reniflé. L'entrejambes dégageait une odeur intense de sécrétions vaginales. Je me suis rappelé la phrase de Woody Allen: 'J'aimerais être le collant d'Ursula Andress.' J'aurais aimé être son collant.
J'ai passé la soirée en transes, me branlant en reniflant le collant, en repensant à son collant, à ses caresses, à mon cunni.
Je n'imaginais pas, incapable d'envisager la suite, que la nuit suivante, je la passerais autrement.
Le lendemain, on a roulé une heure, avant qu'elle me dise:
--Je crois que tu es prêt pour ton examen. On va peaufiner un peu, mais c'est bon...J'ai envie que tu me pénètres. Tu en as envie toi aussi?
Elle avait cassé les habitudes, Elle avait aujourd'hui une robe noire longue et fluide qui descendait jusqu'à ses chevilles. Je ne voyais que ses chevilles, gainées de nylon, et des talons aiguille très classiques, escarpins noirs avec deux talons de quelques centimètres...Je me demandais ce qu'il y avait sous sa robe. Je le savais en partie. Mais il y avait du mystère. Ou pas...
Comme je l'ai précisé plus haut, il y avait plus d'un endroit pour se garer sur toutes ces routes de campagne...J'ai ralenti, et je me suis garé. Elle est venue chercher ma queue, l'a caressée de la main et de la bouche, avant de me laisser remonter sa jupe. Dessous, une paire de bas tenue par un porte-jarretelles et rien d'autre. Un sexe déjà bien dilaté dans lequel, maintenant qu'elle me l'avait proposé, je n'avais plus qu'une envie: m'enfoncer.
Ça s'est passé très simplement. Elle est descendue pour me laisser me glisser à la place du mort. Je me suis calé. Elle est venue se positionner sur moi, après avoir carrément dégrafé sa jupe longue, et l'avoir faite glisser sur le siège proche. Nue à partir de la taille, quelque chose que j'ai trouvé troublant, mais je crois bien que tout me troublait chez elle, elle a récupéré dans son sac à main un préservatif dont elle a déchiré l'emballage, avant de venir l'ajuster sur ma queue. Elle l'a descendu avec habileté.
— Je suis encore féconde et je n'ai vraiment pas envie d'avoir un enfant.
Elle a guidé ma queue vers l'entrée dilatée de son sexe. Mon gland a disparu en elle. Elle s'est laissée descendre jusqu'à m'avoir totalement avalé. Souriante, elle est restée sur moi sans bouger. Le temps de laisser les sensations monter en nous.
C'était tellement bon d'être dans le sexe d'une femme...La gaine de chair autour de sa queue, douce et chaude...Un plaisir qui s'est amplifié quand elle s'est mise à bouger sur moi...Une caresse qui pourrait durer des heures sans que je me lasse.
L'univers autour de nous s'est dilué petit à petit, nous étions deux, ensemble, unis par le plaisir et dans le plaisir, en harmonie. Elle dansait sur moi, et elle a dansé encore plus après m'avoir dit:
— Je vais jouir!
Elle s'est tordue sur moi en hurlant et éjaculant autour de ma queue, trempant nos chairs. Moi je n'avais pas encore joui. Je suis resté en elle. Je voulais y passer ma vie. Je l'ai attrapée par les hanches, et je l'ai faite bouger sur moi, alors que c'était elle qui, jusqu'à présent, avait donné l'impulsion. Elle a joui quasi immédiatement, criant, enchaînant les orgasmes, jusqu'à ce qu'elle me dise:
— Arrête, j'en peux plus!
Elle m'a expulsé de sa vulve. Le latex était couvert de ses sécrétions. Elle l'a retiré, et s'est penchée sur moi, venant se positionner sur le fauteuil à côté, pour me faire jouir avec sa bouche. J'étais bloqué, mais sa langue sur mon gland et dans mon méat a brisé ma résistance. Mon sperme a jailli comme d'un geyser, le premier jet en travers de son visage, le reste dans sa bouche.
C'est quand on a été de retour qu'elle m'a dit:
— Tu penses que tu pourrais me rejoindre le soir ? J'ai envie de plus.
Je bénéficiais d'une grande liberté. Sans avoir à me justifier. Et puis j'avais pas mal de copains ici. Ça faisait une couverture parfaite.
C'est comme ça que je me suis retrouvé à revenir chez elle sur le coup de neuf heures.
La porte d'entrée était entrouverte. Je me suis glissé à l'intérieur. Elle a surgi, vêtue d'une chemise de nuit qui s'arrêtait au genou, blanche, simple, on ne parlait pas de nuisette à l'époque, que la lumière transperçait, dessinant ses formes et donnant à voir sa nudité, ce qui était plus excitant que si elle avait été nue. Elle m'a souri.
— Je t'attendais!
Elle est venue se plaquer contre moi et chercher ma bouche, avant d'attraper ma main et de me guider dans la maison, jusqu'à sa chambre. Un grand lit. Elle a glissé dessus, s'est mise à quatre pattes et a remonté sa chemise de nuit, m'offrant l'intégralité de son intimité. Mon regard a glissé sur ses formes. Des fesses bien rondes, fermes et dures comme j'avais pu le constater en les caressant, ouvertes par sa position sur les plissements de son anus. Plus bas entre ses cuisses, le gonflement de sa vulve, entrouverte, lèvres pendantes, auxquelles s'accrochaient des filaments de sécrétions qui disaient son excitation.
Elle a tourné la tête vers moi et elle m'a dit:
— Viens!
Sa voix, mais aussi son regard et tout son corps en fait, disaient qu'il fallait que je vienne. Et j'en mourrais d'envie de toute façon.
— Regarde sur la commode...Il y a des préservatifs...Tu pourras en changer si nécessaire...Je te laisse faire...
Je me suis gainé de latex avant de basculer derrière elle. Emu et tremblant.
— Tu veux que je t'aide ?
Je l'ai attrapée par les hanches pendant qu'elle tendait la main en arrière, et guidait ma queue vers sa vulve. Un coup de hanches et je glissais en elle. Elle a poussé un long gémissement. Retrouver son sexe...Pourtant cette fois, la configuration était différente. Un autre angle, un autre plaisir. La tête de ma queue a tapé contre son utérus, elle a crié. J'ai amorcé un mouvement de va-et-vient dans son sexe. C'était...Tellement bon...Et on était tellement proches.
Au bout d'un moment, ma queue est sortie. Elle a tendu la main en arrière. Je pensais qu'elle allait la refourrer dans sa chatte. Au lieu de ça, elle l'a remontée plus haut, et j'ai senti contre mon gland les plissements de son anus.
— J'espère que ça ne choque pas. J'adore me faire sodomiser. C'est un plaisir très fort pour moi. Tu ne me feras pas mal.
Je n'avais jamais encore sodomisé une femme. J'ai poussé un peu et j'ai senti qu'elle s'ouvrait. Ça m'a fait tout drôle. Je découvrais cette sensation. Le savait-elle ? Le sentait-elle ? J'ai coulissé en elle, jusqu'à ce que je ne puisse plus aller plus loin. Elle a poussé un grand soupir. J'ai regardé, incrédule, ma queue fichée dans sa muqueuse anale, et juste en dessous, son sexe libre de toute occupation. J'ai vu apparaître sa main, qui s'est collée à ses lèvres et les a frottées avec intensité. Ses jus jaillissant, venant de perdre entre ses doigts, les faire luisants, ou nous éclaboussant. Je me suis mis à bouger en elle, allant et venant dans le conduit étroit. Elle ne mentait pas, et j'ai bien senti qu'elle avait un plaisir intense, fort, démultiplié par sa masturbation frénétique. Elle a eu un premier orgasme rapidement, plusieurs autres ont suivi, le dernier déclenché par le jaillissement de mon sperme qui est venu taper contre ses muqueuses.
Je n'oublierai pas ces deux semaines de vacances. Des leçons de conduite, et du sexe, beaucoup de sexe. Pendant et après les leçons, et quand je la rejoignais. Je plains ceux qui n'ont jamais connu les joies de la chair. Il existait entre nous une harmonie extraordinaire que je n'ai pas connue avant ni retrouvée après. Tout nous séparait mais le sexe nous rassemblait.
Le temps a passé trop vite. On est arrivés au vendredi de la deuxième semaine. Il nous restait un peu moins de 48 heures, on repartait, mes parents et moi, le dimanche. On était garés sur un parking, encore un, à force on les connaissait tous, et elle me bouffait la queue avec une avidité qui me faisait penser qu'elle ne serait jamais rassasiée. Mais je pouvais en dire autant de moi. Je n'arrivais pas, malgré tous ces moments ensemble, à éprouver de la satiété.
Elle me frottait le gland de sa langue. Un trait de sperme est sorti qui a maculé sa joue. Elle savait que je pouvais jouir plusieurs fois mais toujours garder une belle queue pour qu'on joue avec. Elle m'a masturbé vivement et j'ai joui. Elle a laissé mon sperme sortir et maculer son visage d'une multitude de traits qu'elle a ensuite ramassés du bout des doigts pour les avaler. Elle a fait glisser un préservatif sur ma queue et elle est venue s'empaler sur moi. Je pensais à tous ceux qui passaient en voiture. Certains ne nous voyaient même pas, d'autres, sans aucun doute comprenaient ce qui se passait. Elle s'est faite monter et descendre sur moi.
— J'ai pas envie de partir, je lui ai dit, pendant qu'elle bougeait sur moi.
— Et moi pas envie de te laisser partir. Malheureusement, on ne peut pas faire autrement. On se reverra aux prochaines vacances. Et puis il faut bien que tu passes ton permis, et que tu l'aies. Je serai fière parce que tu l'auras eu en partie grâce à moi.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a sorti ma queue de son ventre, et elle l'a collé contre, après avoir arraché le préservatif. Mon sperme est sorti en jets puissants qui ont maculé son ventre, ses seins, et son visage.
Je ne suis pas parti avec regret ni chagrin. Au contraire je me disais que j'avais vécu des moments exceptionnels et que j'avais beaucoup de chance. Et puis j'avais la certitude que le lien n'était pas rompu. D'abord, je n'étais qu'à 250 kilomètres.
A l'époque, il n'y avait pas de téléphone portable, ni de SMS.
Avant que je ne parte, elle m'avait donné deux enveloppes. Une à ouvrir avant. L'autre après. Mais seulement si je réussissais.
Je passais la conduite le lendemain après-midi sur le coup de 14 heures. A 13 heures, j'ai ouvert l'enveloppe à ouvrir avant. Une ligne sur du papier...Et une série de photos d'elle...Des gros plans, ses cheveux, ses yeux, ses seins nus, son ventre.
Même sans cette promesse stimulante, je me sentais prêt. Détendu. Autant parce qu'elle m'avait vraiment bien conseillé que parce que je la percevais près de moi. Autour de moi.
Et effectivement j'ai réussi. L'examinateur m'a dit : 'Vous maîtrisez totalement ce que vous faites. Félicitations.
Je l'ai appelée d'une cabine.
— On fêtera ça quand tu reviendras. N'oublie pas la deuxième enveloppe.
Récompense écrit sur une feuille. Et des photos d'elle dans des positions qui rappelaient ce qu'on avait fait ensemble. Mais aussi des photos de son sexe dans divers états, neutre, avec un slip enfoncé dans sa fente ou ouvert avec ses doigts. J'aurais de quoi me branler en attendant de la revoir.
Nos retrouvailles ont eu lieu 10 semaines après. On est tombés dans les bras l'un de l'autre.
L'année suivante, j'ai fini mes études, et j'ai cherché et trouvé un travail tout près d'elle. On se voyait de plus en plus. Je ne savais pas si mes parents se doutaient de quelque chose, je cherchais à rester discret par rapport à eux. Ils n'ont en tout cas jamais rien dit, et on n'a jamais officialisé notre relation par un lien officiel, mais on était très souvent ensemble, on faisait très souvent l'amour. On a pu profiter 25 ans l'un de l'autre, avant que la maladie ne l'emporte.
25 années magnifiques.
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Commentaires du récit : Stage de conduite
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