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Le règlement interieur

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Lue : 1394 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/12/2019

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Lorsque je me suis penchée à son bureau pour lui indiquer les passages surlignés au stabylo, je n’ai pas manqué de remarquer ses multiples regards dans mon décolleté. J’en profitais pour m’attarder sur certaines formulations … Nous étions seuls dans son bureau.
La plupart de ses collaborateurs étaient en vacances. Ils avaient fui la canicule pour se réfugier à la campagne. Malgré les ventilateurs, l’atmosphère était étouffante.
Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer la bosse sous son pantalon alors que je lui indiquais les bas de page à parapher.
J’étais revenue un peu plus troublée à mon bureau que je ne l’étais déjà …

Cette chaleur qui perdurait depuis plusieurs jours mettait ma libido à rude épreuve et l’absence de mon petit ami parti pour quelques jours n’arrangeait pas les choses. Je dormais mal. J’étais réveillée par des rêves érotiques. Avant de me lever, je me caressais jusqu’à jouir avant de prendre ma douche toute en sueur.

Mais je n’en avais pas eu le temps ce matin. Je n’avais pas entendu la sonnerie de mon téléphone et lorsque j’avais ouvert les yeux en sursaut au milieu d’un énième rêve érotique, j’avais pris conscience qu’il fallait que je fasse au plus vite pour ne pas être en retard. La douche avait été sommaire et j’étais sortie de chez moi au pas de course sans prendre le soin de mettre un soutien gorge.

Et depuis que j’étais arrivée, je repensais à cette fellation interrompue par mon réveil en sursaut …
J’avais du mal à avancer et lorsqu’il m’a appelée dans son bureau, j’ai cru que cela me permettrait de penser enfin à autre chose…

A ma façon de me frotter les cuisses l’une contre l’autre, cela n’était pas le cas. Je me retournais pour regarder par la fenêtre. Midi approchait et les fenêtres étaient exposées plein sud. Ce bureau allait devenir un four… Des songes de ce rêve interrompu me revenaient, d’une verge que j’avalais à pleine bouche, impatiente de la sentir éjaculer au fond de ma gorge. Je me caressais légèrement au travers de mon pantalon.

- Qu’est ce qu’il fait chaud dans ton bureau !

Je sursaute et me retourne. Il est sur le pas de porte. Depuis quand peut-il bien être là.

- Je ne voulais pas te faire peur. Je te dérange peut-être …
- Non. Non …
- C’est à propos de tes remarques sur un des documents. Tu as un instant avant d’aller déjeuner ?
- Bien sûr …

Il se rapprocha pour faire le tour du bureau et déposer devant moi un des rapports d’activités que j’avais traduit. En se penchant sur le bureau, il avait le bassin juste à côté de moi. Il me surplombait et avait tout le loisir de plonger son regard entre mes seins.

Alors qu’il parcourait le document, je perdais le fil de ce qu’il disait à mesure que je sentais ma chatte devenir chaude et moite. Mes tétons pointaient en même temps. Je n’arrivais plus du tout à suivre. Je sentais son parfum m’envouter … Il sentait l’homme et j’avais envie d’un homme …

- Il faudrait la tourner autrement …

Je reprends mes esprits …

- La tourner autrement ? Pardon ? Ah ! Oui ! La phrase !
- Bien sur la phrase ! A quoi pensais tu ? Il fait si chaud que ca ?

Il est en train de me provoquer là ? Il plaisante ? Il tente sa chance ? Il a remarqué ?

- Bien sûr que je pensais à la phrase ! A quoi pourrais-je penser d’autre ?
- Rien rien. Je croyais …
- C’est la chaleur dans mon bureau ? C’est vrai qu’il fait plus frais dans le tien. Mais pas de quoi fouetter un chat.
- Ou une chatte.

Que ne venais-je pas de dire là … Et lui de me renvoyer la perche …

- Tu fouetterais une chatte toi ?
- Tu es bien curieuse dis-donc …

En baissant les yeux, je n’ai pas pu ignorer la bosse qui s’était formée dans son pantalon.

- Il vaut mieux savoir à qui on a à faire … non ?

Je relevais les yeux vers lui. Il regardait mes seins.

- Mes seins te plaisent ?
- Tu as raison. Il fait chaud dans ce bureau.
- Le règlement intérieur parle d’une tenue correcte exigée …
- Le règlement, c’est moi.

Il avait dit cela avec tellement d’autorité et d’aplomb … J’attrapais mon débardeur à la taille, hésitais un instant en le regardant.

- Une tenue correcte exigée. En pleine canicule, ta tenue te semble-t-elle correcte ?

J’enlevais alors mon débardeur … Je tournais les yeux vers la porte encore grande ouverte. Il se redressa et se dirigea vers la porte pour la refermer et s’y adosser.

- Assieds toi donc sur le bureau en face de moi. C’est l’heure de ta pause. Tu as droit à une heure de détente. C’est dans le règlement. Comment envisages tu ce moment de détente ?

Assise en face de lui, les jambes pendantes au bord du bureau, je me prends les seins à pleines mains en le regardant et commence à les masser, à les pétrir, les presser. Je fais rouler mes tétons entre mes doigts, les pince, tire doucement dessus. Lui me regarde, me dévore du regard. Il se redresse et s’approche de moi. Au fur et à mesure que la distance qui nous sépare diminue, je sens l’excitation s’intensifier et mes doigts serrent plus fort mes tétons jusqu’à ce qu’il soit face à moi. Il attrape mes genoux et écarte mes jambes.

- Je dois m’assurer du respect du règlement. Aucun manquement ne saurait être toléré. Les sanctions seront appliquées avec rigueur dans la plus grande fermeté.

Il me fixait dans les yeux en disant cela avec une voix grave et sérieuse. Et il me fait mouiller. Je sens ses mains fermées sur mes genoux. Il fait des pauses entre chaque phrase me laissant le temps de mesurer la portée de chaque mot.

- La situation est sérieuse mademoiselle. Vous savez à qui vous avez à faire. Vous n’êtes pas sans connaître les dispositions en matière de sanction dans cette entreprise mademoiselle. Pourriez vous me les rappeler ? N’interrompez pas vos caresses pour répondre.

Il se prenait vraiment au sérieux. Il imposait une autorité sans pourtant la forcer ni que cela ne devienne ridicule. Et je suis en train de chercher cette sanction dont j’aurais pris connaissance dans le règlement intérieur qu’il est en charge de faire appliquer … Alors que je cherche dans des souvenirs que je n’ai pas, il remonte ma robe d’une main jusqu’à mes cuisses, la lève et regarde dessous.

- Vous ne vous souvenez déjà plus ? Connaitre le règlement intérieur fait partie du règlement intérieur pourtant … Dois-je vous le rappeler mademoiselle ? Est-ce que je dois vous demander de me présenter votre chatte pour un rappel à l’ordre ?
- Fouetter la chatte ! La sanction, c’est de se faire fouetter la chatte monsieur !
- Vous vous en souvenez un peu tard mademoiselle. Veuillez relever votre robe et garder les cuisses écartées.

Je le regardais interloquée … puis relevais ma robe lentement. Je sentais un léger courant d’air entre mes cuisses alors que ma culotte collait à ma vulve. Mon coeur battait la chamade. il leva la main en me regardant. Il patienta un moment comme cela, la main levée.

- L’attente, il n’y a que ça de vrai mademoiselle. Rien ne sert de se précipiter. Surtout la première fois. J’apprécie tout particulièrement prendre le temps de laisser le temps à la fautive de ressentir l’appréhension d’une sanction qu’elle va recevoir pour la première fois. Et sentir la responsabilité qui m’incombe quant à la juste mesure de mon geste qui ne doit être ni trop sévère ni trop indulgent.

Ho oui, je la sentais l’appréhension pendant qu’il philosophait comme cela, avec cette main levée qui devenait de plus en plus menaçante à mesure qu’elle restait levée. Et cette appréhension se transformait en envie …

- Bien sûr mademoiselle, je ne fais pas cela par plaisir. Et ça n’est pas mon érection qui doit vous induire en erreur. Je dois bien admettre que dans une autre situation, je serais obligé d’avouer qu’il s’agit d’excitation sexuelle, mais ici, rien de cela. Non mademoiselle, cette main levée, c’est le devoir. C’est le règlement qui s’applique à toutes avec la même sévérité. Je ne peux en aucun cas me laisser aller au moindre traitement de faveur qui laisserait croire que l’une ou l’autre a reçu un traitement de faveur. J’espère que vous comprenez bien cela mademoiselle.

Bien sur que cela n’a rien de sexuel. C’est le règlement avant tout. Et j’attends qu’il applique le règlement et me sanctionne avant que je ne souille encore plus ma culotte en regardant sa main … Je suis trempée. Il n’y a pas de quoi fouetter une chatte. Ou plutot si. La mienne … Et puis son érection, je ne la vois pas cachée derrière ma robe, je ne vois que sa main …

- C’est vrai que parfois, je dois concéder que je peux faire preuve de … Vous savez ce que sait. A vouloir trop bien faire. Et quand je n’ai pas fait appliquer le règlement depuis un certain temps … Je prends cela à coeur. Je me perds un peu dans des considérations éthiques et professionnelles avant de me souvenir que tout cela ne vous concerne finalement pas.

Et sa main vient soudain claquer sur ma vulve … Je gémis, me mords les lèvres … Ho oui … Jamais une claque sur ma vulve n’a été si bonne … Elle n’est pas si forte … Je le regrette presque tellement je l’attendais …

- C’est le professionnalisme qui compte mademoiselle. Si je ne l’étais pas, j’abuserais de ma position pour vous en donner une autre voyez vous. Mais cela serait contraire au règlement.
- C’est vous le règlement monsieur.
- Ca te fait mouiller d’avoir un règlement intérieur cochonne ?
- Ca te fait bander d’appliquer cette sanction à une cochonne ?

Il a levé la main et l’a claqué une nouvelle fois sur ma vulve mais plus vigoureusement …

- Quand elle mouille comme vous mademoiselle, c’est lui faire une faveur. Mais puisque vous vous sentez concernée par mon érection, je vous invite à vous y pencher dès maintenant.

Il est alors monté sur le bureau, a défait sa ceinture, déboutonné son pantalon et baissé ce qui couvrait son sexe à hauteur de mon visage … J’ai à peine eu le temps d’ouvrir la bouche pour commencer à avaler sa queue qui bandait qu’il a saisi ma tête pour la pousser sur sa queue …

- Suce Mademoiselle ! Suce bien ma bite ! C’est dans le règlement !

Il a commencé a faire des va et vient dans ma bouche … Je le sens qui pousse au fond …

- Ho il fait chaud dans ce bureau … Bouge à ma place salope. Travaille.

Il arrête de faire des va et vient, me tient juste la tête … Et à mon tour, j’avance et je recule le long de son sexe. Je salive le long de son sexe…. Le rêve de cette nuit me revient à l’esprit … Et j’aspire de plus en plus son sexe, je veux l’avaler de plus en plus profondément, j’essaye de le ressortir pour le caresser contre mon visage, me glisser dessous pour lui lécher les testicules … Je me souviens de l’envie de sperme que j’avais pendant cette fellation … Je voulais que plein de sperme gicle du gland , je voulais en avoir sur le visage, dans la bouche … Je ne pense plus à lui … Je suis en train de finir le rêve érotique de cette nuit … Et je le suce avec toute l’excitation qu’il a provoqué juste avant … Et à sucer cette queue comme cela, mon excitation s’enflamme … Jusqu’au moment où il me ramène à ce bureau en sa compagnie … Il me tire par les cheveux en éloignant sa queue de ma bouche, haletant, me dévisageant le visage rouge, en sueur … Il est essoufflé … Moi aussi … J’essuie la bave sur mon menton … Il est debout sur le bureau … Je pense pour la première fois à mon petit ami depuis ce matin …. Je le regarde … Il redescend … Je lui ai fait perdre un peu de son assurance … Cela m’excite …

- Il faudra que je mentionne à mon petit ami ce règlement intérieur ….
- …
- Il ne serait peut-être pas parti une semaine en me laissant seule en sachant cela … S’il avait su qu’il était appliqué avec intransigeance … Vous laisseriez votre compagne dans cette situation vous monsieur ? En plein mois d’été, dans des locaux clairsemés, à une saison propice à nouer des relations inattendues au hasard d’une pause ? C’est un gage de confiance. Mais dans un couple libre, c’est la certitude que sa moitié aura une expérience avec un autre partenaire. Vous ne croyez pas vous monsieur ?
- Vous avez un petit ami ? Cela ne figure pas dans votre dossier pourtant. C’est une exigence. Le règlement mademoiselle.
- Le règlement. Bien sûr.
- Bien sûr.
- Il ne pourra pas vous en tenir rigueur. C’était à moi de faire attention.
- Tout à fait mademoiselle.
- Je connaissais les sanctions que je risquais …
- Vous les connaissiez …
- Et vous n’avez pas d’autre choix que de les faire appliquer.
- Non. J’y suis contraint.
- Alors il faut me sanctionner pour cet autre manquement monsieur.
- Tout à fait mademoiselle. Levez votre robe.

Je l’ai regardé un instant … Et tout en relevant ma robe …

- Je suis la première à qui tu claques la chatte ? C’est trop réfléchi …. Il y en a eu d’autres hein ?
- Voyons mademoiselle … Cela relève du secret professionnel.
- Ho oui. Continue à me parler comme ça. Cela m’excite. Lève donc la main.

Il a levé la main en me regardant droit dans les yeux.

- Mademoiselle ne prend pas conscience de la gravité de la situation.
- Ho si si. C’est grave. C’est très grave. Elles ont eu un long discours aussi les autres ?
- Les autres délibérations ne vous concernent pas mademoiselle.
- Ho non… Cela ne me concerne pas… Juste de savoir si elles ont mouillé aussi longtemps ….
- Elles ont été sanctionnés en tenant compte de la gravité des fautes commises.
- Et elles avaient des petits amis elles aussi ? Ou je suis la seule ?
- Je ne suis pas autorisé à vous dévoiler dans quelles conditions les sanctions ont été appliquées dans les autres cas de manquement au règlement. Nous prenons toujours soin de …
- Oui , prends soin ….
- C’est sérieux mademoiselle.
- Ho quand je vois ta main levée, ça me semble tellement sérieux !
- Mademoiselle ! Pas de familiarité !
- Cela enfreint le règlement ?
- Tout à fait !
- Ta main levée, ta main levée, ta main levée !
- Mademoiselle !
- C’est toi le règlement.
- Vous jouez à un jeu dangereux. Je ne suis pas à l’abris d’un geste incontrôlé si vous me poussiez à bout … Ma responsabilité ne saurait être engagée par …
- Je suis la seule responsable d’être bien salope ….
- Mademoiselle …
- Et tu aimes ça que je sois salope pour te faire bander ….
- …
- D’autres avaient un petit ami …. ?
- Je ne peux pas répondre …
- Elle est bien levée ta main … Tu attends quoi pour sanctionner ta traductrice ?
- Mademoiselle !
- Hmmm oui ! Appelle moi mademoiselle ! Rappelle moi l’importance que tu accordes au rôle de la sanction ! Cela me fait tellement mouiller d’attendre ta main …
- Mademoiselle !
- Ho cela t’énerve !
- Je vous réserve une sanction rare mademoiselle ! Vous me provoquez ! Vous ne me prenez pas au sérieux ! Tout ceci est un jeux pour vous ! J’ai été trop indulgent ! Vous aurez la sanction que vous méritez ! Et sachez que j’en aurais mal à la main. Mais s’il vous faut cela pour accepter les valeurs de notre entreprise. Votre curiosité pour vos collègues est perverse ! Et votre petit ami n’y changera rien. Mais puisque vous tenez à le savoir. Je me réjouis de sanctionner une telle compagne. Vous ne lui faites pas honneur. Et sachez que lorsque vous me suciez, je me suis demandé quelle garce avait pris possession de vous ! C’était indécent ! C’était obscène ! C’était …
- T’as aimé ça hein !

Sa main a claqué sur ma vulve…. J’ai poussé un cri de surprise. Je ne m’y attendais pas …. Lui non plus. Je venais de le pousser à bout. Sa main était partie comme un ressort. Nous nous sommes regardés ….

- Tu ne veux plus jouer un rôle. Tu aimes cela salope.

Je n’ai pas répondu assez vite. Sa main a claqué de nouveau. Puis encore. Puis une nouvelle fois. Et c’est vigoureux. Cela l’excite. Il reprend la main.

- Tenue correcte exigée !

Il m’a baissée ma robe … m’a retournée sur le bureau … a posé ses mains sur mes fesses pour les masser …

- La robe n’est pas de rigueur pas une telle chaleur mademoiselle.

Je suis surexcitée. Je n’arrive pas à répondre. Je suis trempée. J’ai envie qu’il me prenne.

- Mademoiselle ne pense plus à son petit ami peut-être ?

Par ces mots, il m’enflamme à nouveau … Je repense à mon petit ami qui passe son week end avec des amis à lui à l’étranger … Sans se douter que, bien qu’en couple libre, il n’aurait pas envisagé que sa chérie se livre sans le prévenir d’une telle manière … Et j’ai envie qu’il me baise … Non pas mon petit ami mais lui … Le dépositaire du règlement … Qu’il me masse les fesses, la vulve, les seins …
Cette fellation dont je rêvais, c’est maintenant lui que je veux sucer … Je veux qu’il éjacule dans ma bouche, sur mes seins, qu’il jouisse pour que j’obéisse au règlement qu’il imagine me faire appliquer … Je me perds dans mes pensées … J’ai envie qu’il me fesse … Je mouille et je veux que chacun de mes partenaires le sache … Sentir leurs doigts en moi … Mon excitation m’emporte … Je suis essoufflée, je transpire …. Je roule sur le bureau … J’ouvre les yeux … Il est debout devant moi …

- Si tu te voyais salope ….

J’aurais voulu qu’il m’appelle mademoiselle et me vouvoie … Mais cela me fait le même effet … Je tente de garder les yeux ouverts … Je le regarde … Et ses mots raisonnent soudain en moi …

- Si je me voyais la bouche vide ….
Il me regarde …. Il ne va pas m’aider … J’ouvre la bouche …
- Je te dirais de me baiser la bouche …
Il me regarde … Putain … Il ne veut pas m’aider … Du tout … Et cela me fait mouiller ….
- Baise moi la bouche ….
Et alors qu’il approche son bassin …
- Attends ….
Il bloque son bassin …
Je sens que je rougis, que je mouille …
- Laisse moi penser à mon petit ami …
Il me regarde … Je poursuis …
- Cela t’excite ?
- …
- Ho … Je mouille … Ne dis rien …
- …
- …
- Je vais te baiser en attendant que ton petit ami revienne …

Il me faut un instant pour réagir … un long instant … Puis un autre instant … Et je me mets à mouiller … Je baisse ma culotte …. Je le regarde dans les yeux … Alors que ma culotte roule le long de mes cuisses, ma cyprine coule le long de mes cuisses … Je pense aux trois jours sans mon petit ami …

- C’est tout l’effet que cela te fait salope ?
- Tu veux que je mouille plus ? Ca ne te suffit pas encore ?
- Si tu peux mouiller plus … Je te laisserais ….
- …

Et c’est comme cela que j’ai eu envie de ne plus cesser d’avoir des sanctions, pas juste entre midi et deux … Mais en arrivant tot ou en partant tard …. Il ne me restait plus qu’à mettre mon petit ami au courant … Ce dont j’avais incroyablement envie.
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Histoire de LaStagiaire

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