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Le Routier 2 - Affamées de sexe

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Lue : 1149 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/04/2020

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Le jour commençait à tomber quand je suis arrivé à l’entreprise T… La ville avait de multiples tentacules, et je n’étais jamais passé par là. J’ai stoppé devant des grilles ouvertes. Une grande plaque annonçait, sans nul doute, que l’entreprise T spécialisée dans l’embouteillage était sise là. J’ai avancé le camion à l’intérieur. Les bâtiments se répartissaient par blocs sur une grande surface goudronnée. A l’entrée, sur la gauche, la plus grande des bâtisses m’a semblé mélanger habitation et administration. J’ai freiné et je me suis arrêté. Je suis descendu du camion. Je m’apprêtais à avancer vers les bureaux, même si ceux-ci semblaient clos quand je l’ai vue surgir.
Je crois que dès la première seconde, j’ai ressenti un trouble intense. Il suffisait de poser le regard sur elle pour comprendre qu’il y avait en elle une sensualité dont des filles plus jeunes et sans doute plus belles ne possédaient pas le moindre soupçon. Et pourtant, si on la regardait objectivement, elle était loin d’être parfaite. Elle devait aborder le cap de la cinquantaine. Elle était brune, une masse épais de cheveux bruns qui coulaient sur ses épaules, pas vraiment domestiqués, sans doute comme elle. Elle était vraiment grande, avec les talons aiguille des bottes noires qu’elle portait, et qui gainaient ses jambes jusqu’au genou, elle devait facilement approcher le mètre quatre vingt quinze. Si elle était grande, elle était aussi massive, et la robe noire qu’elle portait soulignait ses formes charnues. Elle avait sans doute quelques kilos en trop, mais ses seins, ces hanches, ces fesses qui s’épanouissaient et tendaient le tissu lui donnaient un charme indéniable, qu’elle n’aurait pas eu si elle avait été plus fluette. Je crois bien qu’à la seconde même où j’ai posé mon regard sur elle, j’ai eu envie de soulever ces tissus pour découvrir son corps, même volumineux, même en surpoids, et de caresser sa chair. Elle avait, en tout cas, un visage magnifique, parfaitement bien dessiné, et qui lui aussi exprimait dans sa perfection, une réelle sensualité, C’était vraiment une belle femme, le genre de femme qui ne laissait personne indifférent. Moi le premier.
Au-delà de ce corps épanoui, et de ce visage de madone, il y avait autre chose en elle, dans son regard, dans son expression, quelque chose que j’ai compris en la regardant, qui s’est affirmé quand elle a posé son regard sur moi et qu’elle a compris que j’étais un partenaire potentiel. Il y avait un goût évident pour le sexe, pas mal de frustration, mais aussi une imagination sans bornes, la promesse de moments, comme je n’en avais jamais connus, et l’espoir que je comprenne tout cela et que je puisse devenir un partenaire potentiel.
Elle avait une voix chaude, sucrée, quand elle m’a dit :
—C’est vous le transporteur ? Bienvenue…Tenez, regardez, l’entrepôt, c’est celui-là (elle a désigné l’un des bâtiments, sur la gauche) et il y a Fred à l’intérieur, qui vous attend. C’est un de nos employés. Ca ira plus vite. Après je vous attends pour signer tous les papiers, et puis vous passerez la soirée avec nous.
C’est au moment où j’allais remonter dans le camion qu’une autre femme est sortie. Le hasard, ou avait-elle senti une présence masculine qui l’attirait ? Elle ressemblait d’une manière étrange à la femme qui m’avait accueilli, mais avec dix ans de moins, sa sœur, d’évidence. Elle aussi grande et charnue, un corps épanoui, à l’identique, mis en valeur par un tailleur qui la collait, et des cuissardes de velours noir, un visage dessiné semblablement, qui aurait pu laisser penser qu’elles étaient jumelles, mais ce n’était pas possible, tellement elles se ressemblaient, à ceci près que la fille qui venait de surgir était, elle, blonde. Et les cheveux coupés courts. J’ai cherché des racines sombres dans ses cheveux, il n’y en avait pas. J’avais d’abord pensé qu’elle s’était fait une teinture pour se différencier de son quasi sosie.
—C’est ma sœur, Géraldine. Moi, c’est Michèle.
Je me suis rendu compte en me calant de nouveau au volant, que ma queue était raide de désir. Au fil du temps, je l’avais remarqué, les femmes que l’on désirait le plus n’étaient pas les plus belles, les plus parfaites, comme on peut le penser quand on a vingt ans. Ce qui attirait, c’étaient les imperfections, et puis sans doute aussi l’intérêt qu’une femme pouvait avoir pour le sexe, et son envie, et sa capacité à sortir des chemins bien tracés. C’était en tout cas ce qui me motivait, et me guidait, dans le chemin hasardeux qu’empruntait, et qu’avait emprunté ma sexualité.
Fred m’attendait effectivement à l’entrepôt, la cinquantaine bedonnante, avec une épaisse moustache. La promesse de remplir le camion n’était pas vaine. Sur les palettes s’entassaient des cartons de bouteilles, qui allaient partir sur la plateforme logistique de L… pour être ensuite dispatchées en hyper, super, supérettes et épiceries… Il a fallu une bonne heure pour tout charger. Le camion était bourré jusqu’à la gueule. La nuit était tombée.
—Je vous souhaite une bonne soirée.
Je me suis demandé s’il y avait de l’ironie dans ses paroles ou pas. J’ai amené le camion près de la sortie. On avait fermé, sans doute l’une des deux femmes, le portail.
Je me suis glissé à l’intérieur du bâtiment administratif. Une porte ouverte et de la lumière m’y incitaient. La brune d’âge mûr m’attendait, installée devant un ordinateur sur lequel elle travaillait. Elle m’a souri.
—Venez, asseyez-vous.
J’ai obéi. Elle s’est tournée vers moi, faisant pivoter le tabouret sur lequel elle était installée, au poste devant l’ordinateur. La robe était remontée le long de ses jambes, que ce soit naturellement ou qu’elle l’ait tirée vers le haut pour plus de confort, Mon érection s’était assoupie pendant que je chargeais les cartons, elle a repris de plus belle. Elle avait des jambes pleines, mais parfaitement bien dessinées. J’ai été surpris de constater qu’elle n’avait pas de collant, mais des bas stay-up, qui emprisonnaient sa chair de nylon jusqu’à une attache noire élastiquée, assez large. Au-delà, il y avait sa chair. Le plus troublant était en haut de ses cuisses, nettement visible. Le sous-vêtement qu’elle portait avait une partie face transparente, enchâssée dans un tissu rouge, et la transparence laissait nettement voir sa partie la plus intime. Jambes écartées, elle donnait à mon regard, d’une manière que je n’imaginais pas innocente, une partie de son intimité, une toison brune fournie, et un tiers de l’ouverture qui coupait son mont de Vénus en deux, avec deux bouts de lèvres sortis et bien visibles… Le tissu se rétrécissait, pour venir se perdre dans la fente qui coupait sa croupe en deux, deux rondeurs charnues sur lesquelles elle était posée.
Elle a pivoté vers l’autre table, celle sur laquelle une chemise était posée, se masquant un instant, puis s’offrant à nouveau quand elle s’est retournée vers moi. Elle m’a tendu le dossier, avec un stylo. Nos doigts se sont effleurés. J’ai lu dans son regard qu’elle était parfaitement consciente de se dévoiler ainsi, que c’est une sorte d’amuse-gueule, avant des moments plus sérieux. Alors que je signais la liasse de feuilles, des scénarii possibles se sont inscrits dans ma tête, comme autant de possibles qui n’étaient pas encore réalisés, des scénarii crus… Je me voyais très bien glissant à genoux devant elle, tirant le tissu dans son aine, pour venir explorer son sexe de l’œil, de la langue et du doigt… Je m’imaginais, parcourant ses chairs les plus intimes de la langue, ses sécrétions et son goût m’envahissant, j’étais sûr qu’elle mouillait encore abondamment. J’aurais voulu voir l’intégralité de son sexe, j’imaginais que, si on la libérait du tissu qui la comprimait, elle devait avoir de grosses lèvres, bien épaisses, qui devaient se gorger de sang sous l’effet de l’excitation. Je me voyais bien aussi, glissant ma queue en elle, pour être enveloppé par une muqueuse que j’imaginais chaude et accueillante, comme peut l’être un sexe de femme. Je me voyais bien allant et venant avec cette gaine autour de moi, jusqu’à jouir, et cracher ma semence, jet après jet. Mais il ne s’est rien passé, sinon que j’ai fini de signer et je lui ai tendu le dossier. Elle s’est redressée, et elle m’a guidé vers la partie habitation.
—Mon mari est absent pour la semaine. Il est parti négocier pour des ventes en Espagne. Je suis seule avec ma sœur.
Cette phrase sonnait-elle comme une promesse alléchante ? En tout cas, ce qui sonnait comme une promesse alléchante, c’était la bonne odeur qui sortait de la cuisine, mais aussi le tableau qui m’a été offert quand on est passés devant la porte ouverte. Pliée en deux au dessus du four, Géraldine arrosait le rôti pour éviter qu’il ne soit trop sec. Elle était pliée en deux, et sa jupe courte était remontée très largement pour dévoiler, parce qu’elle avait opté pour un collant, mais sans culotte dessous, la quasi intégralité d’une croupe dont le volume n’empêchait pas la fermeté, coupée en deux par un sillon sombre et profond dans lequel j’ai immédiatement eu envie de fourrer mes doigts et ma langue, tout comme j’ai eu envie d’approcher de cette grosse moule toute gonflée, dont sortaient deux lèvres qui s’épanouissaient, qui était nichée, plus bas, au creux de ses cuisses, et de me l’approprier, à force de caresses digitales et buccales. Elle aussi massive, elle avait un corps cependant bien dessiné.
Est-ce parce qu’elle a senti mon regard glisser sur le corps de sa sœur, que Michèle a dit, doucement :
—On te donnera tout dans la soirée… Nos bouches, nos seins, nos culs, nos chattes…
Je me suis demandé si j’avais bien entendu. Mais elle a continué d’avancer, m’amenant dans une grande salle à manger, tout ce qu’il y avait de plus traditionnel, avec quelque chose de rassurant dans cette tradition. Un buffet épais, une grande table avec une toile cirée, des chaises épaisses autour, un coin avec un canapé et des fauteuils, arrangés devant une télé qui elle était dernier cri, HD… Il y avait l’image, mais le son en sourdine. Là où j’ai par contre été surpris, ça a été que l’image n’était pas celle, bien qu’il soit vingt heures trente, de la fin du journal, ou d’une quelconque série, mais d’un film porno…. Une manière de pousser au vice… Une blonde d’une quarantaine d’années, qui avait apparemment perdu tous ses vêtements sauf des bas stay-up et des cuissardes était installée entre deux types qui lui proposaient leur queue dilatée d’excitation, avec lesquelles elle jouait avec une expression de contentement…
—Géraldine et moi on adore regarder des pornos…Quand Michel n’est pas là, et c’est souvent, on en profite… Ca nous excite… Il y en a qui disent que les pornos, c’est juste pour les hommes, ils ne comprennent rien… Nous, on pense tout le temps au cul et on l’assume…
Sur l’écran, la blonde aux formes voluptueuses avait enchainé avec ses deux partenaires en se laissant pénétrer par leurs queues distendues. Il y avait un blond, jeune, un brun à moitié chauve, lui plus âgé. Deux queues gorgées de sang. Le plus âgé avait glissé sur le divan, entrainant la blonde sexy avec lui, pour qu’elle vienne sur lui. La queue épaisse était naturellement venue appuyer sur les lèvres ouvertes, et avait glissé au cœur des muqueuses hyper sensibles jusqu’à être avalée aux trois-quarts. Il ne fallait pas avoir des dons de voyance pour deviner que l’autre homme allait la sodomiser. Il est venu se caler derrière elle, et a posé son gland contre la muqueuse anale. Ce n’était évidemment pas la première fois que la blonde se faisait sodomiser, et le membre est rentré aussi facilement dans le conduit anal que le membre de son camarade avait glissé dans la vulve. Prise des deux côtés, elle semblait éprouver un plaisir qui, contrairement à bien des actrices pornos, n’était pas feint, alors que les deux hommes bougeaient en elle l’un après l’autre.
Géraldine est arrivée dans la pièce en portant un plat de bouchées à la reine. L’odeur m’a permis de me rendre compte que j’avais faim.
—Tout est fait maison, bouchées comme garniture.
Géraldine avait oublié, ou pas, de redescendre sa jupe, et sa chair était offert sous le nylon du collant qui la mettait en valeur plus qu’il ne la masquait. Elle m’a servi en premier, sa chair à portée de ma main et de mon visage. Avec un sourire, Michèle, assise en face de moi, m’a jeté :
—Tu peux la caresser de toutes les manières que tu veux, crois-moi, elle aime ça !
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Alors qu’elle faisait glisser deux bouchées à la reine dans mon assiette, cédant à mes envies, je suis venu poser mes mains sur ses fesses pleines. Les sensations sont montées dans mes mains, puis dans mon corps, m’enivrant. J’ai cru que j’allais me jouir dessus tellement elles ont été fortes, et se sont prolongées au fil des minutes. Elle avait des fesses brulantes, sensation à laquelle s’est mêlé l’électrique du nylon… Elle s’est immobilisée, aussi sensible à la sensation de mes mains sur elle que moi à celle de sa croupe au creux de mes paumes… Puis j’ai caressé doucement sa chair, tournant sur ses fesses avant de descendre sur ses cuisses pleines, et jusqu’aux genoux, et de remonter. Michèle a joué les voyeuses, ignorant le film porno, elle s’est déplacée sur le côté pour regarder. J’ai descendu le collant jusqu’à mi-cuisses. En libérant sa chair, une odeur forte est montée à mes narines, une odeur poivrée, celle de ses sécrétions vaginales.
Je me sentais en confiance avec ces deux femmes, avec l’idée que, peut-être pour la première fois, je pouvais me laisser aller à toutes mes envies sans la moindre condamnation morale. Quelque chose que je ne retrouverais peut-être pas. Une parenthèse. Quelque chose en tout cas que je n’avais pas imaginé en venant ici.
J’ai posé mes mains sur ses fesses et j’ai appuyé doucement pour les ouvrir. Serti dans sa chair, au fond du sillon, comme un cadeau pour celui qui prenait la peine d’aller le chercher, son anus s’offrait à mon regard. Les plissements s’enroulaient dans une chair légèrement proéminente. Je suis venu poser ma langue en haut du sillon pour descendre lentement. Elle avait du chier quelques heures plus tôt, même si elle s’était lavée, il restait un goût amer qui m’a rempli, plus fort à mesure que je glissais vers sa muqueuse.
Du coin de l’œil, j’observais Michèle. Sans fausse pudeur, elle avait ouvert ses jambes au maximum, troussé sa robe, et descendu son string, qui était à présent une boule d’étoffe à sa cheville gauche. Elle se masturbait, faisant tourner sa main gauche sur son sexe, dont je voyais à présent l’intégralité. Exactement ce que j’avais pu imaginer à partir du peu que j’avais vu. Un gros sexe, ce sexe que seul une femme d’âge mûr pouvait avoir, avec un mont de Vénus proéminent, des lèvres charnues, un clitoris qui pointait déjà en haut des lèvres, comme j’en avais rarement vu d’aussi gros… A mesure qu’elle se frottait, son sexe s’ouvrait, laissant voir son intérieur, d’un rouge sombre.
J’ai arrêté ma langue sur l’anus de Géraldine. J’en sentais le relief, ainsi que le creusement des plissements marqués dans la chair. Son goût était plus intense à cet endroit précis. Je me suis mis à la caresser de la langue, tournant sur la muqueuse, suivant le dessin des plissements… Elle s’est pliée en deux pour se tendre vers moi, en gémissant. J’ai senti la muqueuse se dilater, et s’ouvrir, l’intérieur de la muqueuse visible. Sans hésitation, j’ai glissé ma langue en elle, aussi loin que je pouvais aller, expérimentant la délicatesse de sa muqueuse, et un goût plus âcre.
Michèle s’est approchée, et elle s’est positionnée à côté de sa sœur, se penchant en avant pour m’offrir sa muqueuse, avec l’espoir, je le comprenais bien, d’une caresse identique. Mon regard a embrassé leurs silhouettes si semblables, et cependant un rien différentes, qui défiaient les dimensions classiques et étaient excitantes pour cela, ces croupes très charnues, ces cuisses pleines, ces deux grosses moules accrochées en haut de leurs cuisses, toutes gonflées, ce paquet de chair qu’étaient ces lèvres qui pendaient d’elle, et qui semblaient grossir plus à chaque minute, luisantes d’une pellicule de sécrétions vaginales qui suintaient d’elle, épaisses et odorantes, un jus épais qui semblait inépuisable, qui coulait sur leurs chairs… J’avais envie de mettre ma langue partout, mais je me suis d’abord concentré sur leurs muqueuses anales. Michèle elle aussi avait du chier il y avait peu de temps, car son anus avait un goût fort… J’ai été d’une muqueuse à l’autre, parcourant les plissements de leur anus puis glissant dedans… Ca avait l’air de leur plaire, en tout cas, car, elles participaient, en caressant leurs vulves, je voyais leurs mains tourner sur leurs sexes, caressant leurs lèvres et leurs clitoris, et elles s’embrassaient d’une manière excitante, en frottant leurs langues, sorties l’une contre l’autre.
On n’a pas été plus loin, reprenant nos places autour de la table, pour manger. Michèle avait balancé son string sur la table, et Géraldine laissé le collant à mi-chemin de ses cuisses. J’imaginais leurs culs nus sur le tissu des chaises, recueillant leurs jus… Pendant qu’elles finissaient, je me suis glissé sous la table. Je voulais voir leurs chattes. Juste en face de moi, il y avait Michèle, qui a écarté ses cuisses épaisses pour m’offrir la proéminence de son sexe, une grosse bosse ouvertes sur deux lèvres comme deux grosses masses de chairs prises dans des circonvolutions qui n’en finissaient pas… En haut de ces lèvres hors normes saillait un clitoris évidemment décalotté, sorti de ses chairs, aussi long qu’épais…Il n’avait rien à envier à certains micro-pénis…Ses jus, comme je l’avais imaginé, avaient tâché le dessus de la chaise d’une souillure sombre et large.
J’ai plongé sur elle, ma bouche très vite saturée du goût intense et unique de ses jus, qui l’ont remplie. J’ai parcouru ses lèvres, glissant sur l’épaisseur des chairs, avant de remonter sur le clitoris que j’ai gainé de ma bouche. Ca m’a fait une impression étrange, un peu comme si j’avais sucé la queue d’un homme. Elle me remplissait la bouche. Ca me permettait en tout cas de vérifier que ce qu’on disait était vrai. Les filles sont très sensibles de cette partie innervée. Et ça doit être encore plus vrai quand le clitoris est volumineux. Elle s’est mise à se tordre sous mes caresses, arrosant mon cou et mes vêtements de ses jus intimes… Je l’ai faite jouir, m’a-t-il semblé, plusieurs fois, avant qu’elle ne me dise :
—J’en peux plus, occupe toi de Géraldine.
Cette dernière n’avait pas pu attendre, et elle faisait aller et venir une fourchette qu’elle tenait par les dents entre ses lèvres aussi épaisses. Je voyais la fourchette s’enfoncer et disparaître quasi totalement, puis revenir. Elle avait baissé le collant jusqu’à ses genoux, à présent.
J’ai glissé sous la table en direction de sa sœur volumineuse. Ses cuisses étaient vraiment pleines, marquées de traces de cellulite, mais je trouvais ça troublant. C’était une fille vraie, une fille comme il en existe dans la vraie vie, pas un de ces mannequins photoshoppés de couverture de magazine. Une fille avec un corps imparfait, des formes imparfaites, excitante pour cela.
Geneviève m’a donné libre accès à son sexe en ouvrant ses jambes. Son sexe n’était pas vraiment différent de celui de sa sœur, même si, bien sûr, il avait ses particularités. Une grosse bosse de chair proéminente, avec ses lèvres comme une masse imposante qui, ayant jailli d’elle, était à présent développée, impressionnante de saillance, et un clitoris qui ne déparait pas de celui de sa sœur.
Celui qui les aurait regardées avec mépris, justement parce qu’elles étaient volumineuses, leur reprochant leur surpoids et des formes emphatiques ne savait pas ce qu’il perdait. Je me voyais bien, glissant au milieu de ces chairs, jusqu’à être quasi totalement absorbé, entouré par leur chaleur. Je me disais que ce devait être une expérience unique, quelque chose que peut-être je ne connaitrais qu’une fois. Un moment d’exception que je devrais, si je les pénétrais, mais je doutais qu’on n’en arrive pas là, prolonger autant que possible.
Nous n’en étions pas là, et je me suis contenté de bouger ma langue sur ses parties intimes, parcourant l’épaisseur disposée en circonvolutions de ses lèvres, ses jus qui dégoulinaient dessus comme une huile dessus que je lapais et que j’avalais, avant d’envelopper son clitoris.
—Le plat suivant arrive, un gratin dauphinois a claironné Michèle, en se glissant hors de son siège, et en partant vers la cuisine.
J’ai lapé Géraldine jusqu’à la dernière minute, remontant sur ma chaise avec son goût dans ma bouche, qui s’est mélangé aux premières bouchées d’un gratin dauphinois succulent.
Tout en le savourant, nous avons discuté. Elles m’ont parlé d’elles, de leurs existences qui jusqu’à peu m’étaient étrangères, en évoquant cette soif de sexe qui les avait prises très tôt, et les avait fait rechercher des partenaires mâles comme femelles. Elles étaient dans un rôle social, l’une mariée, l’autre divorcée, mais leur faim réduisait à néant ces schémas dans lesquels elles ne s’étaient pas investies. Le fait qu’elle n’ait pas un physique classique ne les avait en tout cas pas empêchées de conquérir ceux et celles dont elles avaient envie, Leurs formes poussées à l’extrême pouvaient être une formidable force d’attraction comme un repoussoir, mais c’était le plus souvent le premier schéma qui était privilégié.
Les dernières bouchées englouties, elles se sont levées, ont contourné la table, et Géraldine est venue tirer ma queue de mon pantalon. Le contact de ses doigts, chauds et habiles contre moi, m’a fait trembler. J’étais raide de désir.
—Tu as une belle queue, elle a déclaré. Pas vrai Géraldine ?
—On peut faire beaucoup de choses avec. J’en suis convaincue.
Michèle m’a masturbé doucement, sa caresse me faisant vibrer. Ce n’était certainement pas la première queue qu’elle avait dans la main, et pas plus, la première queue qu’elle caressait. Pas mal de filles m’avaient déjà branlé, dans des situations diverses, mais ça n’avait jamais été aussi bon.
Elle a laissé la place à Géraldine, qui a agi autrement, sans doute pour imprimer sa marque. Elle a fait glisser son haut, et , tout en maintenant son soutien-gorge en place, elle a sorti deux loches volumineuses, une chair pleine et lourde marquée par deux belles aréoles roses, et deux tétons semi-dressés… Pour me donner une mesure de ses compétences, elle a remonté un de ses seins vers sa bouche, et , penchant légèrement son visage, elle a parcouru sa chair de la langue, avant de venir englober son téton et le sucer… Hyper troublant, bien entendu. J’ai balancé un trait de sperme, un seul, qui est venu souiller le sein charnu, et puis je me suis repris. J’étais de toute façon certain, tellement j’étais excité que si je jouissais, ma queue resterait dure, et je pourrais avoir d’autres orgasmes.
Elle a laissé son sein redescendre, et elle l’a amené contre ma queue. Contact suave, délicat, et original… Elle m’a frotté avec habileté, tournant autour de ma queue en bougeant son sein, mais aussi son corps, avant de venir poser son téton qui avait pris du volume, signe qu’elle aussi était excitée, sur mon méat, pour le frotter.
—Bon, on va passer au dessert, et puis ensuite, les choses sérieuses !
Les choses l’étaient déjà pour moi. C’est Géraldine qui s’y est collée cette fois, et elle a ramené une magnifique forêt noire.
—C’est pas du surgelé, mais du fait maison, comme on a su que tu arrivais sur le coup de midi, on tenu à faire les choses en grand.
—Y compris en te donnant nos culs et nos chattes, rajouté Géraldine.
—Et tout ce qu’on sait et qu’on aime faire avec.
La pâtisserie était elle aussi très réussie.
—Tu emporteras le reste du gâteau pour manger sur la route. On t’a aussi préparé d’autres plats. Ca t’incitera à revenir quand tu seras dans le coin.
—Et on espère qu’il y a pas que ça qui t’incitera à revenir.
—C’est une sorte de doggy bag. Mais en attendant, on a envie de doggy style. Tiens…
Michèle s’est levée et a été chercher une boite de préservatifs dans un tiroir. Elle s’est approchée de moi. J’étais resté la queue à nu, obstinément dressée. Elle a déchiré un emballage de préservatif, et, tenant la capote au bout de ses doigts, elle est descendue sur moi, dans un mouvement net et précis, sans faille, pour m’envelopper de latex.
Elles se sont levées ensemble et elles sont parties vers le divan bleu ciel qui trônait à l’autre bout de la pièce. Michèle a basculé la première dans un accord qui disait leur complicité, et que ce n’était pas la première fois, se mettant à quatre pattes. Géraldine a soulevé la robe, puis baissé le collant de Michèle, avant d’elle-même glisser sur le divan, et de se dénuder.
Je me suis dit qu’il ne fallait pas que j’oublie ce moment, comme une sorte d’apogée, un moment unique, une sorte d’apex, d’apogée, qui mêlait trouble, provocation et désir. Elles s’offraient, autant par leurs parties intimes projetées vers moi, dont les formes me ravissaient et m’excitaient, croupes très charnues, saturées de graisse, sillons profonds ouverts sur des anus à présents dilatés, deux énormes chattes au creux de cuisses épaisses.
—Viens, on te donne tout…
Je les voulais, l’une comme l’autre. Je me suis juré, puisqu’elles y avaient fait allusion, de revenir si je le pouvais. L’existence est toujours compliquée, mais si j’en avais la possibilité, alors je viendrais passer d’autres soirées ici, à profiter de leurs corps charnus offerts et de leur imagination.
Je ne savais pas trop par où commencer. Sans doute ne fallait-il pas se poser la question. Je me suis approché de Géraldine, et j’ai appuyé mon gland encapoté sur sa muqueuse. J’ai glissé en elle avec une facilité qui m’a surpris, jusqu’à ce que je sois complément enfoncé en elle. C’était encore mieux que ce que j’avais pu imaginer. J’étais tout près du bonheur, ainsi enveloppé par sa chatte. Il y avait la sensation de chaleur, intense, mais au-delà, ce plaisir d’être pris par sa vulve. Ca n’avait jamais été aussi fort, sans doute, et j’avais pourtant déjà glissé ma queue dans bien des corps de femmes. Je me suis mis à bouger en elle. Outre cette sensation unique, ce que j’ai trouvé bon aussi, c’était la manière dont elles vibraient. Certaines filles à qui j’avais fait l’amour ne manifestaient aucune émotion. Ce n’était pas vraiment le cas, et c’était gratifiant.
J’ai été d’une vulve à l’autre, les fouillant toutes les deux, puis j’ai basculé dans leurs anus, souples, mais plus serrés. C’était le plaisir à l’état pur pour moi, un plaisir qui m’envahissait totalement.
Même si ce moment était en lui-même déjà exceptionnel, on a commencé à basculer sur autre chose, quand, alors que je venais de sortir de l’anus de Géraldine pour aller m’insérer dans celui de Michèle, Géraldine s’est redressée… Je me demandais quelle était son intention, et je n’ai pas compris tout de suite son attitude. Elle s’est posée pile au milieu de nous deux, et elle a tendu son ventre vers nous en se cambrant. Je n’ai vraiment compris que quand j’ai vu son urètre saillir, dilaté… J’ai vu qu’elle contractait son ventre. Le premier jet d’urine est sorti, puissant. D’un coup de hanches habile, qui disait que ce n’était pas la première fois qu’elle se livrait à ce jeu, elle nous a giflés dans un mouvement de gauche à droite. La miction a été interrompue, mais elle a repris. Elle a lâché des rasades copieuses et régulières, si longtemps que je me suis dit qu’elle avait vraiment la vessie pleine, hasard ou préméditation. Elle nous a arrosés l’un et l’autre, mouillant nos vêtements et nos chairs, s’amusant à viser ma queue ou la moule de sa sœur. Je me demandais si Michèle souhaiterait partager ce jeu, j’ai eu la réponse quand Géraldine s’est laissée glisser sur le divan et que Michèle s’est redressée, ouvrant son sexe de ses deux doigts pour nous arroser.
Ca n’était que le début, et notre séance s’est prolongée tard dans la nuit. Ca a été du sexe, cru et original, fort et intense, jusqu’à ce qu’on s’écroule en travers du lit que nous avions rejoint.
Le lendemain matin, je devais m’éclipser tôt, mais elles ont tenu à se lever avec moi pour prendre le petit déjeuner avec moi, un petit déj qu’elles avaient aussi préparé, copieux. Je me suis rendu compte qu’il existait une étrange complicité entre nous, celle sans doute qui se développe quand on a des rapports sexuels particulièrement réussis.
—Tu reviens livrer la semaine prochaine ?
—Je livre trois fois par semaine. Je peux passer vous voir mercredi prochain, c’est le plus pratique pour moi, je suis libre tôt dans l’après-midi.
Géraldine s’est tournée vers Michèle.
—On va s’arranger pour se débarrasser de ton connard de mari…
—Je sais déjà qu’il sera absent, il part en voyage avec son club de randonnée pour deux jours.
—Alors…On t’attend.
Je suis parti avec mon doggy bag et la pensée de ce qu’on avait fait ensemble, tremplin à partir duquel j’ai laissé mon imagination vagabonder dans la cabine, ça m’occupait, pour concevoir ce qui pourrait bien se passer le mercredi prochain.
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Histoire de JamesB

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