Ça a commencé au ciné 6

L'inconvénient majeur, c'était la distance, parfait pour la discrétion, mais ça nous faisait rentrer tard en se tapant des kilomètres la nuit, j'appelais toutes les semaines pour montrer que je pensais à eux, mais que le temps manquait, puis peu avant noël, j'eu l'idée de leur demander qu'ils nous invitent à dîner dans leur caravane, sous conditions qu'on apporte notre contribution, vins, huîtres, foie gras, non négociable.

Je sais voir ceux qui ont ou n'ont pas de gros moyens et je déteste abuser, nous sommes des salopes, pas des putes, pour certains, il n'y a pas de différences, pour moi il y en a une énorme, nous sommes arrivées vers les 21 h, habillée comme si nous allions au resto, un "bonsoir gentes dames" puis fièrement, ils nous montrent leur test négatif, on en a fait de même, question habit, ils ont eu la même idée, la table était mise avec deux petits vases et trois roses.

Pendant que les hommes se sont mis dehors pour ouvrir les huitres, nous avons préparés le reste, comme c'était petit, nous n'avons pas eu de mal à trouver ce qu'il nous fallait, un seul apéritif et nous sommes passés à table, disant, qu'en mangeant de bonne heure, on essaiera de digérer avant la bagarre.

A table, la copine était en face de moi, sous la table, les jambes se touchaient et ils essayaient de se tenir, afin de ne pas passer pour des viandards, j'ai pris les devant en disant que vue l'étroitesse, on ne pouvait que se faire du genoux, de plus vous êtes chez vous, pour les rassurer, c'est nous qui les collions, ensuite nous étions plus que collés, la caravane est à Nic et c'est lui le mieux placé, pour aller au frigo pour le vin ou chercher un couvert.

En se levant, il dit à Luc, en attrapant la copine par le cou, regarde, c'est pas beau la vie, repas royal et compagnie au combien plus qu'agréable, Luc répond, des repas comme ça, j'en ai déjà fait, même s'il y en a eu peu, mais pour la compagnie, même en rêve, je n'ai jamais atteint ce degré de qualité, à chaque instant, j'ai peur de me réveiller.

Nous avons dîner tranquillement, avec de temps à autre une main qu'ils mettaient sur nos genoux, nous avons bavardés, ils nous ont racontés leur vie, nous la notre des années à paris, leur vie de coquin et nous une petite partie, moi celles des cinémas justement, ou j'ai pas mal d'expérience.

Je dévoilais la motivation, et Luc disait qu'il savait, que des femmes venaient exprès pour cela en faisant celles qui au départ disent non, soit avec leur mari complice ou non, il m'a raconté la fois ou j'étais venue incognito, avec celui qu'il croyait mon mari, elle n'avait pas de dessous et lui il savait dit-il, je n'ai jamais osé lui dire la vérité.

Apres le repas, nous sommes sortis pour digérer un peu, la copine leur dit, "vous préféreriez surement passer directement aux choses sérieuses", Nic répond, "vous savez, rien que votre présence, c'est déjà noël pour nous", Luc confirme, nous avons roulé un peu, pour se promener dans le village désert à cette heure, faisant hurler les chiens.

Au retour, nous avons voulu faire la vaisselle, Nic a dit, laissez ça, j'aurais tout le temps demain, on a une autre façon de vous utiliser qui conviendra à tout le monde, à cela nous sourions.

Aller les salopes, tombez la robe, juste la robe, Nic nous fait allonger sur le lit, en travers et sortant une cravache dit, faites nous un beau spectacle, gouinez vous, en souriant, je dis "ha non", il dit, bon alors cul tendu vers nous, on s'exécute et on reçoit chacune un bon coup de cravache, pas le coup de gamin, un coup d'homme, qui c'est qui commande dans la caravane, tardant à répondre, un autre coup arrive, on fait "houuu", regardez devant vous espèces de putes dit-il.

Ils nous mettent la main entre les cuisses, et l'un dit, "c'est humide", Nic dit, "qui commande", on dit "vous" aussitôt, bien, et qu'est ce que vous devez faire, on tarde encore et un autre coup arrive, les fesses cuisent un peu et deux autres coups arrivent encore, ils remettent leur main, nous écartons bien pour profiter de la caresse, il dit, "alors encore une série de cinq ou vous vous y mettez".

Nous sommes excitées et avons envie de nous toucher, nos fesses ont leurs doses, et devant eux, la copine me fait une langue, je gémis aussitôt, Nic commente, "regarde ces gougnottes, je te l'avais dit qu'elles se broutaient le minou, va tripoter la "suceuse", l'autre salope va me faire une pipe".

Nic m'approche son sexe et je lui suce, excitée, je me régale, il dit, "hou la, doucement salope, on à tout notre temps, il avouera après qu'il y a bien longtemps qu'il n'a pas eu de pipe, disant, avec mon physique, les seules que je pourrais draguer, ne me font pas bander, et pour en avoir des bandantes, il faudrait que je fasse un emprunt à perpète, mais vous mes salopes, vous feriez bander même un eunuque.

Mon mari aussi ne bande qu'avec des femmes qui sont très bandantes, sinon, rien ne se lève dit-il, j'ai perdu beaucoup d'occasion lors des rencontres autour d'un verre pour feeling, ou l'homme me plaisait, la femme aussi sans être superbe, et ou on a pas donné suite, sauf une seule fois, ou il a trouvé le couple sympathique et m'a proposé d'y aller, mais sans qu'il participe, me laissant devant chez eux et revenant me chercher deux heures après.

Je suis excitée par la fellation que je pratique, sans capote, la copine qui me suce, et fatalement un orgasme arrive, je gémis fortement, mais étouffée, je suis immobile les premières secondes, et je suce goulûment pendant que le plaisir se répand en moi.

Il m'arrête vigoureusement, je ne contrôle plus rien, la copine fait tout pour que mon orgasme dure le plus possible, elle est elle-même doigté ardemment. Nic domine presque Luc, c'est lui qui décide de tout.

Nic nous met en place, moi sur le dos, en travers du lit, Luc me suce, ma copine est en position soixante neuf, et Nic la baise, il dit à Luc, sort l'artillerie, celui ci sort un gode assez imposant et me l'enfile, avec la complicité de la copine dont je suce le clito et qui me roule le bouton.

Nic dit à Luc, passe moi le traître (un plug), il se retire et lui met dans sa chatte toute trempée, il lime trois aller retour avec puis lui enfile dans l'anus, la copine émet un "houuu", une fois qu'elle l'a admis, elle reprend sa respiration et Nic la pénètre à nouveau. Luc qui me gode, dit à ma copine de le remplacer avec le gode et se contente de regarder.

Nic a toujours des expressions un peu argotique et marante pour désigner quelque chose, il dit à Luc, "je sens un courant d'air sur les valseuses, doit y avoir un trou de libre devant toi, bouche moi ça avant que j'attrape la crève".

Luc sort un autre plug et pratique pareillement, il m'étale mon jus sur l'anus et sur le plug puis me l'enfile en hésitant, la copine dit, "va y, elle n'est pas en sucre et c'est elle qui me le fourre.

Nic dit, faut pas avoir peur, ces salopes viennent là pour être fourrées comme des dindes, pas pour prendre le thé pendant un bridge, hein petite pute dit il, s'adressant à la copine qu'il bourre de plus en plus vite", elle répond "oui, oui, bourrez nous, aller, on veut de la bite, viens que je te suce en s'adressant à Luc qui reprend le gode en se mettant sur le coté et en lui présentant son sexe.

La connaissant bien, je sais qu'elle est sur le chemin de l'orgasme quand elle parle comme ça, je dis, ça y est, elle va jouir cette salope, il faut la bourrer plus vite encore, ça y est elle jute. Luc la retient pour qu'elle garde son sexe, un cri de jouissance étouffé l'emporte, le pic passé, elle reprend sa fellation. Après quelques secondes, celui-ci l'arrête péniblement dans son élan pour ne pas siffler la fin de la partie.

Nic, amusé lui dit, fait gaffe, les bourgeoises en rut, se sont de véritables pompes à bites, pire que le fisc, ça t'aspirent jusqu'à la moelle, te laissant à sec, les deux compères, ne sont plus habitués à baiser, trop excités, trop belles pour eux disent-il, trop bandantes, ils nous font mettre en position levrette, le plug toujours en place et nous matent les parties intimes.

Impatiente, on se demande à quelle sauce ils vont nous manger, après s'être bien rincé les yeux, ils nous prennent en levrette en alternance, quand l'un des deux sent que ça vient, il se retire et l'autre fait pareil, puis ils permutent, Nic dit, heureusement qu'ont est pas des juges, vous êtes aussi accueillante l'une que l'autre.

Le manège dure quelques minutes puis il dit, "aller mon pote, sort lui le gode (à la copine), encule la, sur le coté, voila, maintenant roule toi sur le dos, elle au dessus de toi, agrippe toi aux roberts, y'a de quoi faire, non bouge pas, laisse toi faire, tu vas voir", il me donne le gros gode et me dit, gode la, fait la jouir, ça va lui vider les couilles.

Pendant que je gode la copine, Nic m'agrippe les seins d'une main et me doigte de l'autre, la copine bien calée sur la bite, peine à onduler, accentuant son plaisir, le gode commence à faire effet, aller les morues, videz mon pote, en effet, le pote commençait à se raidir sur le lit, cherchant à pousser sa bite encore plus loin.

La copine commençait à perdre toute retenues, "ha c'est bon une bite dans le cul, plus vite le vibro, plus fort les bouts, pince les mais pince les, la oui, oui je ........... haaaa oui je jouis, je jouis". Celui qui l'enculait ne disait rien, mais comme on dit, il y a des silences qui en disent long.

Il était en train de jouir aussi, une fois le pic passé, en se déversant en elle dit, "ho putain, qu'est ce que c'est bon", Nic dit, "oui c'est bon, remplie la cette chienne, regarde là se tortiller, pendant qu'il reste dans la même position, le temps de s'en remettre, il me dit, "tu as vu ce qu'il va t'arriver, suce moi en attendant, mais lentement, toi aussi je vais t'en mettre plein le cul".

Moi aussi j'étais excitée par la jouissance des deux, et j'étais aussi impatiente d'avoir ma dose, une fois leurs souffles repris, ils se tournent sur le coté et le sexe ramollissant, ils se désaccouplent aussitôt, Nic dit, "aller à toi salope, mets toi là, je prends le relais, je vais t'emmancher comme un balai neuf.

Il me sodomise à mon tour et nous prenons la même position, c'est son copain qui attrape le gros gode et me l'emmanche, Nic étant bien gaulé déjà, je me sens bien tendue, ma copine vient à coté de nous, et me masturbe le clito tout en m'embrassant, hooo mon poto, on a gagné le gros lot, autant belles que bonnes, des vraies pro du sexe.

Ma bite vibre et son cul me branle, regarde la se dandiner sur mon paf, quelle pute, la mayo arrive dans l'conduit, hummm et ces nibards, toi aussi t'aimes qu'on te pince les tétons, hein comme les coups de trique, vous êtes deux supers salopes, allez y, galochez vous espèces de gougnottes".

D'un coup, il se tait, je sens à l'intérieur, un liquide tiède m'envahir, il accélère la cadence, je jouis à mon tour, la copine lâche ma bouche, et je cris ma jouissance, il se vide la bite et j'en profite le plus longtemps possible, jusqu'au moment ou les nerfs lâchent et on se retrouvent sur le coté, complètement vidés au sens propre pour lui et au figuré pour moi.

Pendant mon quart de tour, Luc m'a retiré le gode, je reprends mon souffle en même temps que je sens Nic se retirer de mon anus, tous les quatre, en travers du lit, on regarde le plafond, très bas de la caravane, heureusement que quelqu'un a pensé à éteindre le petit radiateur électrique, nous avons tous très chaud.

Un silence s'installe, Nic nous dira plus tard, qu'il a eu peur d'être trop violent, vulgaire, etc. et nous, qu'on avait honte de nous être comportées ainsi, on apprendra aussi que dans la semaine, Nic s'est fait engueulé par Luc, lui reprochant d'avoir été trop direct, trop vulgaire, pendant plus d'une semaine, ils ne se sont plus adressés la parole.

La copine et moi, si à une époque, nous ignorons chacune, les goûts de l'autre, depuis le premier récit ici, nous nous sommes tout dévoilées, malgré cela, nous étions honteuses de notre comportement avec eux, pour qui étions nous passé, c'est après trois semaines que je décide sur les envies de la copine, et des miennes, de rappeler, la honte ne fait pas le poids contre l'envie.

Les premiers mots de Luc ont été des excuses, je l'ai stoppé net, disant, qu'il n'y avait pas matière à s'excuser, que s'était exactement comme cela qu'on aimait nos échanges, même beaucoup plus encore, mais surtout pas moins, je lui indique qu'on adore être traitées ainsi, et que Nic est super sur ce point, alors dès qu'on arrive, il ne se gène pas, c'est plus facile à dire au téléphone que de vive voix.

Nic est exactement celui qu'il nous faut, depuis "l'effleureur" (lire vengeance heureuse), nous n'avons jamais retrouvé aussi vicieux et vulgaire, ils savent faire la différence entre les moments soft et ceux hard ou tout leur est permis.

Rendez vous est pris pour le vendredi qui arrive, j'appelle toujours quand nous partons de chez nous, déjà pour voir s'ils n'ont pas un imprévu, pour ne pas y aller inutilement, Luc demande toujours s'ils peuvent décider de nos vêtements, je dis que c'est presque obligatoire, bien évidement, ils nous font mettre une tenue très sexy, le genre qu'on ne peut pas se promener dans la rue ainsi.

Jupe très courte avec décolleté très plongeant, bas et porte jarretelles, escarpins à talon, Luc nous attend toujours au même endroit, pour nous guider à la caravane de Nic, ça ne le rallonge pas puisqu'on passe devant chez lui.

à suivre.