Le trio infernal 2

Charles, regarde sa fille en souriant et lui dit :

-Toi, tu peux dire que tu m'as fait bander petite salope, je démontais ta maman en pensant à ton petit cul, maintenant, tu vas gouter à une vraie bite, première leçon, regarde comment maman me suce la bite !

Charles retire ses vêtements, sa femme saisit le membre mou et le branle doucement. Laura est tout attentive à ce que sa maman fait. La main énergique agite fermement le manche de chair, rapidement le membre prend du volume. Coralie décalotte gland, le regarde un instant, puis sa langue entre en action, elle passe sur le gland de nombreuses fois, tourne autour, s'arrête pour titiller le frein puis reprend son voyage sur le gland. Elle lape avec gourmandise, les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert. Elle gobe enfin le gland marbré, et le tète voracement. Charles geint de plaisir en regardant la réaction de sa fille. La coquine ne quitte pas des yeux la bouche de la maman qui s'affaire sur le gland, qu'elle trouve énorme. La tension monte dans la verge tendue. Rapidement, Coralie passe le relais à sa fille. Elle observe le gland un bon moment avant de le prendre en bouche. Elle suce maladroitement le cèpe, mais rapidement sa maman la conseille :

-Tète comme le ferai un veau après un pis, ma chérie, branle la bite en même temps, fais rugir papa !

Laura branle doucement la queue gorgée de sang, tout en suçant le bolet royal. Le papa se cabre, il souffle comme un bœuf, il se bloque en poussant un râle rauque, il envoie dans la boche de sa fille plusieurs décharges de sperme. Surprise, Laura repousse son papa en faisant une grimace, sa maman lui crie :

-Ne crache pas, avale ma chérie, avale !

Elle regarde sa maman, son visage est déformé par une moue affreuse. Elle déglutit difficilement en grimaçant. Elle a fini par tout avaler, elle regarde sa maman et s'essuie sa bouche d'un revers de la main. Coralie lui demande :

-Comment tu trouves ce jus d'amour ma chérie, il est à ton goût ?

Laura répond :

-Ouah, j'ai failli étouffer, c'est suave et visqueux, il faut s'habituer !

-Tu en auras encore l'occasion d'y gouter ma chérie, allonge-toi et sur la table du salon en plaçant ce gros coussin sous tes reins petite salope d'amour !

Charles se penche, Laura ouvre les jambes. Il prend entre son pouce et son index la petite boule de chair et la branle. Laura se cambre en gémissant, sa maman pose sa bouche sur ses mamelons et les tète avec de plus en plus de voracité. Les bouts deviennent épais, Coralie dévore les petits mats de chair, de temps en temps, elle les étire avec ses dents. Son clitoris devient gros comme une noisette, Laura geint de plaisir, soudain, elle pousse un gémissement, son papa vient de lui aspirer le clito et le suce avec une telle force que Laura semble défaillir. Elle a la bouche grande ouverte, sa respiration s'accélère. Les bouches qui s'acharnent sur son corps fébrile, la font couiner comme une bête blessée.


La sentence tombe, Laura explose de jouissance, sa chatte se noie et gicle avec une force qu'elle-même ignorait. Ses râles rauques excitent son papa, c'est avec le visage trempé de cyprine, qu'il lui enfonce deux doigts dans le vagin, pendant que sa femme s'empare du bouton qu'il vient de délaisser. Elle le branle avec insistance, elle sait que sa fille doit encore jouir pour continuer son stage de formation sexuel. Charles ramone la gaine brulante jusqu'à ce que sa fille jouisse une seconde fois. Elle s'agite en jouissant férocement.

Charles prend place entre les cuisses de sa fille, il présente sa verge raide à l'entrée du vagin, frotte quelques secondes son gland contre les grandes lèvres très gonflées par les jouissances successives. Laura n'est pas très rassurée. Son papa pousse doucement, les lèvres s'ouvrent, le gland s'engage lentement dans la gaine de chair en la dilatant. Laura grimace, elle serre les dents. Le pieu paternel s'enfonce irrémédiablement dans son ventre de pucelle. Une petite résistance se fait ressentir, Charles recule de quelques centimètres son mandrin, et donne un violent coup de reins. Sa fille se cabre, en poussant un cri, elle ressent comme une déchirure, suivit d'une intense brulure lui traverser le ventre. Le papa cesse tous mouvements, Laura s'accroche à lui, son corps tremble fortement, elle ne peut pas le contrôler. Le papa reprend la progression, c'est en grimaçant que Laura subit la pénétration douloureuse.

Enfin les couilles velues du papa viennent en contacte avec sa chatte largement distendue. Le va-et-vient peut commencer, il est très lent, à chaque enfoncement de la verge dans son ventre, Laura ressent comme une petite décharge électrique. Elle s'agrippe à son papa en soufflant comme un animal blessé. La maman caresse doucement le clito de sa fille pour apaiser la douleur. Progressivement la douleur s'estampe, petit à petit le plaisir prend le dessus. Laura commence à gémir de plaisir. Le va-et-vient devient plus conséquent, les râles de Laura aussi. La queue qui voyage en lui dilatant le vagin, la fait délirer :

-Oh papa, oui, oui, c'est trop bon, continu, n'arrête pas plus fort, plus fort !

Les désirs de sa fille sont des ordres, Les assauts deviennent plus brutaux, le pilonnage plus sauvage. Laura agite son bassin, elle s'accroche à son papa, en gémissant, la tension monte encore d'un cran. Charles ressort sa queue sanguinolente, pour la replonger violemment dans le ventre en ébullition de sa fille. Le bougre réitère plusieurs fois ce mouvement qui fait grogner de plaisir Laura. La maman lui écrase de temps en temps le clito, elle sait que l'effet produit va faire exploser sa fille encore plus fortement. Soudainement, elle se s'arc-boute comme un pont en pleine tempête en poussant un hurlement inhumain. Elle jouit comme une forcenée en lacérant de ses ongles le dos de son papa. Charles se raidit, rugit comme un fauve et remplit le ventre de sa fille avec sa semence épaisse. Sa femme le repousse et plonge entre les cuisses de sa fille, elle aspire et avale le surplus de semence qui s'échappe de la chatte en feu. Sa langue s'enfonce profondément dans le puits intarissable, à la recherche de quelques perles de sperme.

Enfin Coralie délaisse la chatte, sa bouche descend et se pose sur l'anus que sa langue a deja visitée. L'œillet ridé palpite sans arrêt, la langue appuie sur la petite porte et parvint à s'enfoncer dans la gaine anale. La langue habile fouille le conduit pour l'assouplir. Laura gémit sous les coups de langue agiles de sa maman. Elle se cambre très fortement, pour que l'appendice lingual s'enfonce encore plus profondément en elle. La maman est si habile que Laura jouit du cul en agitant sa croupe comme une damnée. Coralie cède la place à son mari qui attendait la place avec impatience.

Il pose son gland encore englué de sperme contre l'anus et pousse fortement. Laura se cabre en grimaçant, l'anneau cède et avale lentement le manche puissant qui le dilate. Charles ne peut s'empêcher de dire :

-Oh putain ce qu'elle est étroite ma petite salope, c'est un régal !

Progressivement, le pal sans un seul arrêt s'enfonce dans la gaine anale, jusqu'aux couilles. Laura souffle comme un taureau. Sa maman lui prend les jambes et les place sur les épaules du papa enculeur.  La position est plus confortable pour Laura qui commence à agiter sa croupe. Elle a l'impression que son cul va se déchirer, elle subit sa première sodomie en serrant les dents, son front perles de sueur, elle grimace affreusement. Charles met ma machine en action, il ramone le cul de sa fille avec de plus en plus de violence, le bougre se plait à la faire souffrir. Laura commence à geindre de plaisir, la douleur devient supportable un moment puis disparait totalement. Charles peut lâcher les chevaux, il démonte sa fille comme un soudard, il la fait couiner de plaisir en lui défonçant rageusement le cul. Les gémissements bruyants de sa fille prouvent que la petite salope prend un pied d'enfer. Elle pousse un long râle et explose, la jouissance du cul qu'elle ressent est phénoménale. Le papa donne encore quelques coups de boutoir monstrueux avant de décharger son sperme, dans les entrailles de sa fille. Elle ne cesse de répéter en haletant fortement : :

-Oh papa, papa, tu me fais mourir de jouissance, tu m'as fait mal au cul, mais c'est si bon, reprends-moi encore s'il te plait, éclate-moi le cul, je veux encore jouir papa !

La maman regarde sa fille qui redemande sans pudeur de se faire défoncer le cul, elle se dit en soupirant, qu'elle a à la maison sur grosse salope en puissance.