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Le trou aux toilettes

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 22/08/2022

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Le Trou Dans Les Toilettes

Ça c’est passé un dimanche de décembre, un après-midi maussade, comme souvent en cette période de l’année. Le ciel était sombre et déversait ses larmes sur les habitants de la ville. N’ayant autre chose à faire de bon, que de regarder la télé, j’ai proposé à mon mari Frédéric et ma fille Clara d’aller au centre commercial. C’est pas la sortie préféré de Frédéric, mais au moins, ça va lui permettre de tuer le temps et de faire quelques emplettes par la même occasion. On c’est tous préparé, Clara et moi avons passées un temps monstre dans la salle de bain. Je décide de faire plaisir à Frédéric, pour le remercier de venir avec nous. Je range le jeans que j’avais prévu de mettre pour une petite jupe noire.
Même si je ne suis pas d’accord avec lui, il me trouve toujours très jolie femme, à presque cinquante ans et je sais qu'il adore quand je met des jupes. Je vais même aller plus loin pour lui faire plaisir, en mettant une paire de bas et des escarpins à talons aiguilles, qui vont sculpté mes jambes, comme il dit, à merveille.
Je ne suis pas spécialement à l’aise dans cette tenue. Je sais que des regards indiscrets ou non, vont se tourner sur moi. Je sais aussi que ces regards, vont rendre Frédéric fier de sa petite femme. Son côté candauliste va être servi. Car oui, Frédéric aimerait que je baise avec un autre homme. Je lui refuse ce plaisir alors, le fait que des hommes se retournent pour me déshabiller du regard, l'excite terriblement.
Une fois arriver au centre commercial, je constate que l’on est pas les seul à avoir eu l’idée de sortir. En effet, le parking est bondé de voitures. On doit faire le tour durant cinq bonnes minutes avant de trouver une place libre.
Le centre commercial est noir de monde, ce qui n’est pas étonnant, à quelques jours des fêtes de Noël. On se promènent et déambule, de boutique en boutique. Avec Clara, on essaie différents vêtements et plusieurs dizaines d’euros sont dépensés, dans de nouvelles tenues vestimentaires.
Après deux heures à trainer dans le centre commercial, on décide de se poser pour grignoter un petit goûter et boire un verre. Pas de bar ni de petit restaurant ici, juste des points de restauration rapide. Il faudra commander et aller s'asseoir sur un des différents endroits pour se reposer. Il y a la queue pour pouvoir commander et j’ai une petite envie pressante depuis un petit moment :
«- Je vais au toilettes mon chéri. Tu me prends une gaufre au sucre et un café, si jamais tu passe avant que je ne revienne.
- Ok. »
Je m’éloigne en direction des toilettes publiques. Sachant que je vais faire pipi, mon envie devient un peu plus pressante et j’accélère le pas. Arrivé sur place, je rentre dans une petite pièce, ou une dame est assise à une table. Elle m’annonce que les toilettes pour femmes sont fermées une dizaine de minutes pour le nettoyage. Mince. C’est vraiment urgent maintenant.
Tempi, je vais dans ceux réservé aux hommes. Elle me demande un euro pour accéder au toilettes. Je bous intérieurement, faut vraiment payer pour tout. Mais je me dis qu'au moins, les WC doivent être propre. Je donne la pièce et entre du côté des hommes.
J’avais vu juste, les lieux sont propres et sente plutôt bon. Le service d'entretien s’occupe à merveille des lieux. Autre surprise, il n’y a personne, malgré la foule dans le centre commercial. Des pissotières et des lavabos sont à droite et il y a deux cabines à gauche. La première est fermée, je rentre dans la deuxième.
Je m’occupe à faire mon besoin lorsque j’entends un bruit provenant de la cabine d’à côté. Je tourne la tête à droite et aperçoit un trou creusé dans le panneau séparant les deux cabines. Ah mince, il pourrait reboucher ce trou. Il est grand en plus. Étant légèrement pudique, je vérifie que personne ne regarde à travers, mais je ne vois qu’une ombre bouger de l’autre côté.
Une fois ma petite affaire terminée, je tire la chasse d’eau et m’apprête à quitter la cabine. Mais ce fameux trou, pique ma curiosité. Pour une raison que j’ignore, je me penche pour regarder discrètement à travers le trou. Un œil à l’iris marron foncé apparaît de l’autre côté. Je me redresse rapidement, un peu honteuse, espérant qu’il ne m'ai pas vu et je fais style de finir de me rhabiller.
C’est à ce moment là qu’un homme m’adresse la parole :
«- Hey, j’ai un truc à te montrer. Ça te dis de voir ? »
Surprise par la question et un peu cruche, je réponds en hésitant :
«- Euh, oui. Qu’est-ce que c’est ?
- Regarde ! »
Me demandant de quoi il pouvait bien s’agir, j’ai le regard fixé sur le trou. Un pénis couleur ébène, d’une taille considérable fait son apparition, dressé devant moi, en pleine érection. Confuse, je veux dire quelque chose, mais je ne sais pas quoi, ébahis par ce qu’il se passe.
«- Putain, mais qu’est-ce que…. »
L’homme de l’autre côté, se met à rigoler. Puis, il me dit :
«- Elle te plaît ? Tu peux la toucher. Personne n’en saura jamais rien. »
Normalement, j’aurais du être outré par la situation. Cependant, la vu de ce gros gourdin déclenche en moi, une certaine excitation. Je me demande si je dois la toucher.
Frédéric me dirait, j'en suis sûr, va y, touche là. Je m’apprête à déverrouiller la porte pour fuir, mais mes yeux sont fixés sur cette bite. Jamais je n’aurais imaginé qu'un sexe puisse être aussi gros, aussi long. Alors, doucement, je rapproche ma main droite et empoigne le sexe de l’homme. Le membre est chaud et bien dur. L’étranger de l’autre côté, laisse échapper un gémissement de satisfaction.
«- Alors, tu aimes ? Elle te plaît ? Tu peux y goûter si ça te dis.
- Je suis mariée, je ne peux pas faire ça.
- Ton mari n'en saura rien. Ça restera entre toi et moi. Et puis, maintenant que tu y a touché, tu peux bien la sucer. »
Je ne peux pas faire ça à Frédéric. Je ne veux pas le tromper. Je lâche le sexe, mais je ne sors pas de la cabine. Pourquoi ce sexe me fascine t'il et m’attire t'il autant ? Sûrement à cause du volume de la bête. Je prends mon portable et envoi un message à Frédéric :
Il y a une bite qui traverse la cloison de mon WC.
Il me répond aussitôt par trois points d’interrogation. Alors, je lui précise :
Un homme a passé son sexe à travers un trou dans la cloison de mon WC et il me demande de le sucer.
Il me répond, sans vraiment que ça me surprenne :
Fait le ma chérie, tu me raconteras tout.
L’homme à côté n'a pas bougé, son sexe toujours gonflé à son maximum à travers le trou. Je reçois un nouveau message de Frédéric :
Je bande comme un fou en t’imaginant le sucer.
Frédéric a été mon premier et unique homme. Je n’ai jamais eu envie de connaitre autre chose. Il me convient parfaitement. Mais cette queue, énorme, facilement deux ou trois fois plus grosse et plus longue que celle de mon chéri, m’attire vraiment.
Je ne sais même pas qui est l'homme de l’autre côté de la cloison. A quoi ressemble t'il ? Sûrement que je ne le saurais jamais. Mon excitation est montée d’un cran. Je ressens une vague de chaleur dans mon bas ventre et mon intimité s’humidifie. Je souhaite pousser l’expérience un peu plus loin. Je le reprends dans ma main et commence à masturber la grosse queue à travers le trou de la parois. L’inconnu se met à gémir.
De plus en plus échauffé, je me sens prête à aller plus loin. Alors, je me met à genoux et approche ma tête du gland noir qui s’offre à moi. J’ouvre ma bouche et referme mes lèvres sur ce gros champignon. Je sens instantanément les pulsations de cette queue, grossissant encore dans ma bouche. L’étranger m’encourage à continuer :
«- Oh oui, va y, suce là ! »
Je me met à bouger la tête d’avant en arrière, faisant glisser la verge dans ma bouche. J’entends l’homme de l’autre côté, prendre son pied dans des soufflements et m’encourager :
«- Ah oui, c’est bon. Continue comme ça ! »
Je ne me considère pas comme une experte dans l’art de sucer un homme, n’ayant en plus de ça, que mon mari comme expérience. Mais d’après lui, je me débrouille plutôt bien. Alors, je m’applique à sucer cet inconnu, avec le même savoir-faire qu’avec mon homme.
Je le pompe au maximum, joue avec son gland, le malaxe entre ma langue et mon palais. Je m’applique surtout, avec de réelles difficultés, vu la longueur et la grosseur du gourdin, à prendre sa bite entièrement dans ma bouche. Le passage dans ma gorge étant assez compliqué. Mais les gorge profonde ont vraiment l’air de lui plaire, car il lâche des râles de satisfaction à chaque fois que j’avale son gland. Finalement, je prends un plaisir monstre à sucer cette queue inconnue.
Mais le temps passe vite et Clara va finir par se demander ce que je fais et pourquoi je met autant de temps. Du coup, j’accélère la cadence, pour le plus grand plaisir de mon inconnu. De plus en plus bruyant, l’homme de l’autre côté de la parois se met à geindre.
«- Ahh ouais, ahh ouais…. »
J’accélère encore le rythme, le pompe comme une folle.
«- Ouaissss, c’est trop bon ce que tu me fais… Ahh, je vais jouir…. Ahhhhh !!! »
Mais je ne lâche pas la bête. Je malaxe son gland entre ma langue et mon palais. C’est à ce moment que ma bouche se remplit de son sperme, chaud et salé. Mon inconnu vient de m’éjaculer une bonne quantité de sperme dans la bouche.
Je continue de le sucer, aspire son gland, le malaxe. Il râle comme une bête sauvage, il a des soubresauts. Son plaisir doit être intense. Trop intense je pense, car il finit par se retirer et la queue disparaît de l’autre côté de la cloison. Je recrache son sperme par terre, alors que je l’entends se rhabiller. Je me redresse et m'assois sur le WC.
Sans le moindre mot, l’inconnu sort de sa cabine et j’entends quasiment dans la foulée, la porte des toilettes s'ouvrir, puis se refermer. Je me retrouve seul dans ce lieu.
Je me dépêche de sortir à mon tour de la cabine, pour me présenter devant les lavabos et les miroirs. Je me rince le visage et la bouche à plusieurs reprises. Je vérifie qu’il ne reste aucune trace de mon inconnu, sur mon visage. Je parais clean.
Je sors à mon tour des toilettes et vais rejoindre ma famille, en train de manger une gaufre. Frédéric me regarde, le visage interrogateur. Je lui souris. Il me sourit à son tour. Clara rompt notre échange silencieux en me disant :
«- Tu en a mis du temps.
- Oui, les toilettes pour femmes étaient fermés pour nettoyage. Il a fallu que j’attende.
- Ok.»
Je bois mon café d'une traite, pour enlever toutes éventuelles odeurs de sperme dans ma bouche et je commence à manger ma gaufre. Je regarde autour de moi. Je regarde surtout les blacks, me demandant lequel d’entre eux, avait sa bite dans ma bouche, il y a quelques minutes.
Lorsqu’on se remet en route pour notre shopping, Frédéric me glisse à l’oreille :
« - Tu me racontera. » Comme s'il voulait avoir la confirmation immédiate, que je l’avais bien fait. Alors, je lui réponds à l’oreille :
« - Oui mon chéri, ce soir quand on sera au lit. »
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Histoire de FG40

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Commentaires du récit : Le trou aux toilettes

Le 29/04/2024 - 20:55 par Passion974
Étant candauliste moi-même, j’ai beaucoup apprécié ton histoire qui me rappelle mon épouse il y a quarante-trois ans, et, bien qu’elle nous aie quitté depuis longtemps, à soixante dix-huit ans cela me fait toujours de l’effet. Continue à nous raconter
Le 04/09/2022 - 07:47 par 0_douceur
j adore cette histoire qui m 'a beaucoup excité, j aimerai tellement que catherine mon épouse vive une si belle aventure

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