Cocu consentant - 1

Cocu consentant,

Ma femme Claire et moi sommes mariés depuis maintenant 30 ans.
Claire n’a jamais été ce qu’on appelle une femme fidèle sexuellement, en revanche elle m’a toujours donné la priorité de ses sentiments.

Dès le début de notre relation elle a eu des aventures qu’elle me racontait consciente que ça m’excitait. En 2000 elle a eu comme amant, avec mon accord, un de nos amis très proche. Relation candauliste à laquelle il m’est arrivé plusieurs fois de participer ou de me faire remplacer par son amant quand je partais en voyage pour plusieurs semaines.

Je prenais vraiment mon pied quand ils m’accompagnaient tous les deux à l’aéroport et que je les voyais enlacés pendant qu’ils me faisaient de grands signes d’au-revoir. Toute la nuit dans l’avion je les imaginais en train de baiser.

Cette relation a eu une fin et pendant près de 5 ans ma femme a été sage, trop sage à mon goût, mais ménopause oblige.

Il y’a de cela 3 ans environ son désir du sexe est revenu, mais pour moi et avec moi seulement. Alors pour lui créer un « manque » je me suis refusé à elle, ce qui la rendue de plus en plus frustrée.

Je lui ai donc conseillé de se retrouver un amant. Sur le moment elle a refusé en prétextant que si elle prenait un amant ce serait pour me faire cocu sexuellement évidemment mais aussi sentimentalement.

Pour moi c’était le pied assuré. J’ai toujours rêvé de la voir amoureuse d’un autre homme, de la savoir, la voir, l’entendre jouir par amour et non pas seulement physiquement.

Quelques semaines plus tard, de plus en plus en manque de jouissances, malgré celles qu’elle se procurait en se masturbant, elle m’a dit avoir réfléchi et être d’accord pour prendre un amant mais qu’elle ne voyait vraiment pas qui pourrait faire l’affaire.

Je lui ai suggéré un de nos amis que je sais être un amoureux transi de Claire depuis que nous nous connaissons, c’est-à-dire depuis près de 20 ans. Sur le moment Claire n’a pas été très enthousiaste même si elle aime beaucoup notre ami, qu’elle a toujours eu un petit faible pour lui, qu’elle le trouve spirituel et intelligent, mais c’était son physique qui ne correspondait pas à ses critères.

Après quelques jours de réflexion elle m’a dit « pourquoi pas » et nous avons échafaudé un plan. On les invitait, lui et sa femme, pour le week-end, en sachant que sa femme refuse toujours nos invitations de week-end. Quand il arriverait Claire serait toute seule à la maison en expliquant que j’avais dû m’absenter inopinément et que je ne reviendrai que le dimanche soir.

La suite je la retranscris le plus fidèlement possible à ce que Claire me l’a racontée.

« Quand j’ai annoncé à Eric que tu ne serais pas là du week-end, sa première réaction qui nous a fait beaucoup rire a été me dire que tous les espoirs étaient donc permis.
Nous avons bu des spitz comme apéritif, du vin au dîner et des mojitos assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. L’alcool aidant, on riait, nos plaisanteries se faisaient de plus en plus graveleuses, bref nous étions chauds et mûres.
Alors que nous commencions à boire notre deuxième mojito, il a posé sa main sur mon cou qu’il a caressé gentiment, du cou elle est passée à ma joue, de ma joue elle a commencé à redescendre vers mon sein gauche. Comme je ne bougeais pas sa main est passée sous ma robe et il m’a longuement caressé le sein et titillé le mamelon qui est devenu tout dure et proéminent.
Avec son autre main, après m’avoir retiré mon verre qu’il a posé sur la table, il a saisi mon menton et posé ses lèvres sur les miennes. Ça a été le déclencheur, nous nous sommes embrassés fougueusement, fiévreusement, intensément, passionnément.
Sa langue qu’il a très longue, ce que tu comprendras plus tard fait partie de ses charmes, fouillait ma bouche, s’emmêlait avec la mienne, c’était bon, très bon, surtout qu’en même temps je sentais sa main qui se posait sur ma cuisse, remontait doucement sous ma robe, glissait sur ma culotte entre mes cuisses avant de s’immiscer entre le tissu et ma vulve que je sentais se gonfler, devenir humide et chaude.
Nos bouches toujours scellées par un baiser torride, je suis moi aussi parti explorer ses attributs. Ma main après avoir longuement caressé la bosse de son pantalon, s’est attaquée à sa ceinture, à sa braguette avant de glisser entre son slip et sa peau et de sentir sous ma main un sexe énorme, long, épais, dur comme du bois.
A partir de là tout a été très vite, je me suis mise à genoux devant lui, après avoir admiré cette bite magnifique je l’ai quasiment enfournée dans ma bouche et je l’ai sucée comme jamais je crois je n’avais sucé une bite.
Je la faisais aller le plus loin possible dans ma bouche tout en faisant tourner ma langue autour de son gland, avec une main je caressais ses deux magnifiques couilles qui pendaient comme deux clochettes, avec l’autre je me branlais la chatte frénétiquement. C’était divin.

Avec une certaine autorité il m’a faite me relever et m’a ordonné de me mettre à poil, là devant lui pendant qu’il me regarderait. En vrai petite salope déjà soumise, j’ai obéi. Une fois toute nue, il m’a faite me rasseoir sur le canapé, relever et écarter les jambes que j’ai dû tenir bien hautes en les tenant par les chevilles avec mes mains, ma chatte bien ouverte, exposée sans pudeur devant lui qui à son tour s’est déshabillé.

Sans préalables, il a enfoncé son sexe dans ma chatte. Plus que baiser, il m’a saillie, m’a labouré mon trou à bites, très vite, ce qui ne m’arrive jamais, j’ai crié, hurlé, autant de par la douleur de cette bite énorme, que par le plaisir de la sentir heurter le fond de ma paroi, glisser comme un piston dans ma fente lubrifiée par ma mouille de plus en plus abondante.
Quand je l’ai senti prêt à se retirer pour éjaculer, je l’ai retenu en lui criant de lâcher son foutre dans mon ventre, que je voulais sa semence en moi. Il a joui en ahanant, en me traitant de salope. Ses mots, ses jets de jute que j’ai senti gicler dans mon vagin m’ont pour la première fois procuré un orgasme si violent que j’ai hurlé comme une démente. »

Ce qui est à noter, c’est que Claire n’avait encore jamais joui en même temps qu’un homme jouissait en elle, pour la première fois elle a eu un orgasme vaginal. Pour elle c’était deux grandes premières.
« Encore sous le choc de mon premier orgasme vaginal, j’ai eu du mal à reprendre mes esprits et j’ai éclaté de rire en mêlant rires et larmes de bonheur.
Une fois calmée, je l’ai embrassé à pleine bouche en lui disant merci, merci, merci et c’est là que j’ai réalisé qu’Éric, du statut d’amant d’un week-end était devenu l’homme à qui je voulais appartenir, qu’il soit mon Maître, mon Amant, que moi je sois sa maîtresse, son objet sexuel, sa soumise, son amoureuse.
Après nous avons beaucoup parlé et je lui ai dit tout ça et bien d’autres choses très intimes sur moi, je lui ai parlé de toi, que tu aimais être cocu, me savoir, me voir, m’entendre jouir avec d’autres hommes. Je lui parlé aussi des autres mecs qui m’avaient baisée, que j’aimais être prise en levrette, être traitée de petite salope, que j’étais vicieuse, soumise et terriblement sentimentale.
Lui m’a dit être d’accord mais qu’il fallait que je réfléchisse bien parce qu’il pourrait être très exigeant, voire quelques fois un peu violent et qu’il ne le ferait que si mon cocu de mari acceptait sans aucunes réserves cette situation. Ce à quoi je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème, que je gérais.
A partir de là il s’est comporté en mâle dominant, il m’a dit qu’à partir de maintenant je ne devais plus l’appeler que par des « mon chéri ou mon amour » même devant toi avant de me dire d’un ton autoritaire « suce-moi petite salope », je me suis exécutée.
Au bout d’un long moment il m’a faite me relever et il m’a dit de me mettre à quatre pattes le cul tourné vers lui, je me suis exécutée et il m’a enfilée comme une chienne en me donnant de grandes claques sur les fesses, ce que j’ai toujours détesté avec toi mais que j’ai adoré venant de lui. La preuve, plusieurs fois je lui ai dit « encore, encore… »
Là aussi, j’ai joui en même temps que lui, en même temps que son foutre giclait dans mon ventre.
Épuisés nous nous sommes endormis après nous être encore longuement embrassés.
Samedi matin je me suis réveillée la première et fascinée par sa verge toute molle qui pendait le long de sa cuisse, je me suis penchée vers elle et je l’ai de nouveau sucée jusqu’à ce qu’elle reprenne des proportions avantageuses.
Sous ma langue, celle-ci s’est remise à durcir et quand j’ai senti qu’elle vibrait dans ma bouche, je lui ai demandé s’il voulait jouir dans ma bouche, ce à quoi il a répondu en me tenant la tête pour que j’aille jusqu’au bout de mon office.
Très vite je l’ai sentie se contracter et accompagné par ses râles j’ai reçu de longues giclées de sa jute épaisse qui sont venus frapper mon palais et que j’ai avalé avant de bien lui nettoyer son gland avec ma langue.
J’étais très fière d’avoir fait jouir Mon homme.
Il m’a fait ensuite écarter les cuisses et il a commencé à me lécher mes lèvres vaginales avant d’introduire sa langue dans mon vagin. C’était divin grâce à sa langue très longue, il pouvait aller très loin, la faire tourner, je lui disais « vas-y mon chéri, baise-moi avec ta langue » et j’ai encore très vite joui en hurlant mon orgasme. »

Claire m’a ensuite raconté leurs nombreuses séances de baises du samedi et du dimanche, elle m’a décrit ses orgasmes, sa soumission, son désir pour Eric et aussi son attachement sentimental grandissant.

Le dimanche matin, j’ai reçu un SMS de Claire court mais très explicite « ça y’est c’est fait, tu peux rentrer quand tu veux, bises ».

Je suis rentré dans l’après-midi du dimanche et je les ai trouvés tous les deux près de la piscine, entièrement nus. Ce qui m’a permis de constater qu’il était très très bien monté, beaucoup mieux que moi.
A vue d’œil sa bite faisait au moins 18 cms et était très épaisse.
Plus tard je l’ai mesurée en érection, 22cms et 16 cms de circonférence quand la mienne ne fait que 12 cms en érection et 12 cms de circonférence.
Là j’ai compris que je ne concourais pas dans la même catégorie.

Nous nous sommes embrassés et je me suis dénudé à mon tour pour me baigner. Ensuite apéritif et dîner, très sympathique comme si de rien n’était, sauf que c’est à lui qu’elle disait mon chéri et que moi elle m’appelait Jean, mon prénom.

Le diner terminé nous nous sommes assis au salon, Claire collée à Eric et moi en face d’eux.

Eric le premier a lancé la conversation sur notre relation à tous les trois en disant presque textuellement ceci :
« je pense que tu as compris ou que tu sais déjà que Claire et moi avons entamé ce week-end une relation assez particulière. En fait je l’ai baisée et elle aime ça.
Comme je te l’avais déjà fait comprendre il y a quelques mois, j’aime ta femme et je l’ai toujours désirée depuis le premier jour que nous nous sommes rencontrés.
Maintenant ça n’est plus seulement du désir, c’est devenu une réalité et en plus des plaisirs qu’elle me donne, et que je lui donne, je suis de plus en plus amoureux, et je crois que c’est réciproque ».

Se tournant vers elle il lui a demandé de me confirmer ses propos. Ce que Claire a fait en me disant, « j’aime Eric et je veux lui appartenir sexuellement et amoureusement si tu en es d’accord évidemment »

Eric a poursuivi « d’où dilemme, je suis marié, vous deux aussi, ma femme ne doit évidemment ne rien savoir. Je propose donc que Claire se partage entre toi et moi, avec toi elle reste ta femme aux yeux de tous, mais elle ne t’appartient plus sexuellement, ni amoureusement seulement sentimentalement, avec moi elle m’appartient sexuellement et amoureusement. C’est peut-être un peu tordu mais ça peut marcher. »

Je les ai regardé longuement avant de demander à Claire si c’était bien ce qu’elle voulait.
Ce à quoi elle m’a répondu en me regardant droit dans les yeux « oui, c’est ce que je veux ».

La messe était dite.
Qui vivra verra comment cette situation va se vivre et évoluer dans le temps.

Eric a juste voulu préciser un point important, celui de l’appartenance totale de Claire.

« Claire ne m’appartient pas encore totalement, pour que ce soit complet il me reste un trou chez elle que je n’ai pas encore honoré, c’est important parce que d’après ce qu’elle m’a dit aucun homme, ni même toi, ne l’a jamais possédée analement, donc elle n’a jamais appartenu à aucun homme totalement et pour qu’elle te prouve sa soumission pleine et entière je dois aussi lui donner, devant toi, une vraie fessée. C’est d’ailleurs par ça que je vais commencer si Claire veut toujours m’appartenir et cette nuit je la sodomise. »

Claire n’a pas répondu, elle s’est juste levée, m’a regardé en souriant et s’est couchée en travers des jambes d’Eric, les fesses bien relevées. Eric lui a dit qu’il allait lui donner 50 claques sur chacune de ses fesses mais qu’à tout moment elle pouvait le faire arrêter en disant juste « stop ».

Le première claque est tombée, suivie d’une deuxième, d’une troisième, etc… à chaque claque elle poussait un petit cri, à la 20ème claque sa fesse droite était déjà toute rouge, à la 40ème je l’ai entendue pleurer, crier plus fort, à la 50ème sa fesse était rouge écarlate, presque violette. Après quelques secondes de repos il a recommencé une série de 50 claques de plus en plus fortes sur sa fesse gauche. Ses pleurs se sont transformés en sanglots mais elle a tenu jusqu’à la fin sans jamais dire stop.
Elle s’est relevée le visage baigné de larmes et elle a embrassé longuement Eric sur la bouche en lui disant « merci mon amour, merci ».

Après m’avoir demandé si j’avais du gel lubrifiant ils sont montés dans leur chambre, en fait notre chambre à Claire et moi, et moi dans une des chambres d’amis, Eric m’ayant demandé de ne pas assister pour privilégier ce moment d’intimité entre eux.

J’ai su après qu’il avait longuement préparé son anus avec le gel et le gode de Claire avant de s’introduire le plus doucement possible mais malgré cela j’ai entendu Claire hurler quand la bite d’Eric a forcé le passage.
J’ai pu suivre la progression de leurs ébats par les bruits du lit, les halètements, les soupirs, les mots salaces qu’ils se criaient « encule-moi, encule ta petite salope, jouis dans mon cul. Tu n’es qu’une sale petite enculée, une petite pute,… » suivis d’un mélange de cris rauques, aigus qui n’en finissaient pas, des ouiiiiiiiiiiiiiiii à n’en plus finir qui se sont terminés par des éclats de rire.

Le lendemain matin au petit déjeuner, l’avaient-ils fait exprès ou non, mais Claire avait des traces de sperme séché sur et autour de ses lèvres, ce qui ne l’a pas gênée pour me déposer un léger baiser sur ma bouche et de me dire avec un très large sourire, « ça y’est je lui appartiens maintenant corps et âme. Et toi, tu dois être content d’être cocu comme tu ne l’as encore jamais été ? ». Pour toute réponse j’ai juste souri.

Ça s’était l’année dernière, depuis il s’est passé beaucoup de choses, en particulier depuis Juin dernier. Claire et Eric sont toujours aussi amoureux, baisent et jouissent le plus souvent possible et Eric a entrainé Claire dans des orgies à peine racontables, mais peut-être le ferais-je d’ici quelques jours.