Le vieux voisin

Nous habitons sur un quai où il fait agréable de nous promener et souvent nous y croisons des voisins qui font de même. Au fil du temps une certaine amitié s'est nouée avec l'un d'eux, André.
Il est marié mais sa femme l'accompagne très rarement car elle est assez taciturne. Âgé de 74 ans, retraité de la poste, on peut dire qu'il se porte bien physiquement. Souvent il s'assied sur un petit banc au bord de l'eau non loin de chez nous (+- 30m) et il m'arrive de le rejoindre pour converser quelque peu lorsqu'il fait bon.
Un jour, alors que nous devisions tous les 2, il m'a révélé que sa femme l'avait trompé pendant 3 mois. Cela s'était passé il y a plus de 30 ans mais lui restait encore au travers de la gorge. Je lui ai demandé si lui aussi était allé "voir ailleurs", il m'a répondu que "non" bien que l'envie ne lui ait pas manqué.
Si sa fidélité m'a étonnée, ses envies beaucoup moins.
En effet, il est tout sourire lorsqu'il croise ma femme (ou nous 2) et la prend parfois par la taille quand nous rions poliment à ses blagues à 2 balles. Un jour elle m'a dit qu'il avait même descendu brièvement sa main sur ses fesses, mais elle ne savait pas si c'était volontaire.
Il n'en fallait pas plus pour que mon esprit coquin l'imagine comme amant pour ma femme !
J'en ai parlé à Lucrèce qui, d'abord, n'était pas très chaude en arguant la peur pour notre réputation dans le quartier si il venait à en parler.
Mais moi l'idée me plaisait beaucoup et j'ai insisté (moins que je pensais devoir le faire) pour qu'elle accepte.
Restait à définir comment y parvenir ?
Mais j'ai trouvé (sans certitude que cela fonctionne) et nous avons mis le piège sexuel en route.
Tout d'abord elle devait l'allumer mine de rien en lui donnant un baiser sur la bouche lorsqu'elle le croisait et qu'il n'y avait personne. La première fois elle joua l'innocence de ce baiser, mais dès lors ce fut à chaque fois que c'était possible.
Attention, cela restait des baisers chastes, pas avec la langue !
Une fois c'est elle qui est allée le rejoindre sur le banc, et pour ça elle avait vite revêtu une mini jupette. Rien ne s'était passé, mais il n'avait pas quitté du regard les cuisses de ma chérie.
Au vu de cela nous avons décidé qu'il était temps de passer à la vitesse supérieure et avons échafaudé un plan.
Seul hic, accepterait-il ma présence ?
Etant craintifs sur ce sujet nous avons choisi que je ne serai pas là.
(c'est rare que je n'assiste pas, mais parfois c'est impossible)
Un jour, alors qu'il était assis sur le banc, je l'ai rejoint et lui ai parlé de ma collection de santons. Vu qu'il semblait intéressé je lui ai proposé de venir chez nous le lendemain après-midi pour la lui montrer, il a accepté.
Le lendemain je suis parti, laissant Lucrèce seule pour recevoir André. Pour ce, elle ne portait que sa lingerie et une sortie de bain relativement courte.
Lorsqu'il a sonné elle lui a ouvert en s'excusant pour sa tenue en prétextant qu'elle avait oublié sa venue. Il a proposé de revenir plus tard, mais elle lui a dit que ce n'était pas grave et qu'il pouvait entrer, ce qu'il a fait.
N'oublions pas que nous étions en été et qu'il faisait particulièrement chaud.
Tout d'abord ils ont regardé tous les santons sur l'étagère, ensuite elle lui a proposé de s'asseoir sur le canapé tandis qu'elle allait cherché la caisse contenant le reste de me collection. Quand elle est revenue avec la caisse, elle avait ouvert sa sortie de bain, laissant voir son corps parfait simplement couvert d'un peu de lycra.
Voyant André un peu abasourdi elle lui a demandé si cela ne le dérangeait pas en jouant sur la chaleur qu'il faisait.
Bien sûr il a dit que cela n'était rien, qu'il comprenait. Il a même ajouté qu'il était normal de laisser respirer un si beau corps.
Ca elle ne s'y attendait pas, du moins pas aussi vite !
Mais ça l'a rassurée et est devenue de plus en plus coquine.
Tout en sortant les santons de la caisse, et en les lui montrant, elle s'est rapprochée de lui jusqu'à être contre lui. Les pans de son peignoir tombaient sur le côté et ses jambes étaient entièrement offertes au regard d'André qui s'y intéressait fortement.
Elle a alors abandonné les santons et lui a révélé que je l'avais mise dans la confidence quant à l'amant qu'avait eu sa femme.
- "Ce que je ne comprends pas, lui a-t-elle dit, c'est que tu ne te sois pas vengé ou n'aie jamais eu l'envie de t'égarer sexuellement avec d'autres femmes que la tienne ?".
- " Si, a-t-il répondu, mais je n'ai jamais osé franchir le pas si ce n'est que de regarder".
- "Comme tu le fais pour le moment en regardant mes jambes ?".
- "Oui" d'un air gêné.
- "Tu sais, je trouve que tu es un fort bel homme, j'aimerai savoir quel effet tu produirais sur moi si tu me touchais ?".
Il la regardait mais ne bronchait pas.
Alors elle lui a pris une main qu'elle a déposée sur elle, plus exactement sur une cuisse.
Elle a mimé un frisson tout en lui disant qu'il avait la main chaude, qu'elle appréciait ce contact.
- "Peut-être pourrais-tu me caresser, je crois que cela me plairait beaucoup".
Lui: "Et si ton mari reviens ? Il voudra me casser la gueule".
- "Sois tranquille, il ne reviendra pas avant 17h, et de toute façon..." elle s'est arrêtée là ne voulant pas encore révéler notre sexualité.
Fébrilement il a fait quelques mouvements de la main, mais restant correct.
Lucrèce s'est alors appuyée contre le dossier du canapé tout en écartant les jambes et en l'invitant à se montrer plus audacieux.
Lentement, timidement, il a enfin glissé une main dans la petite culotte et a caressé les lèvres déjà humides avant d'insérer un doigt curieux.
Elle appréciait ce moment, mais en rajoutait dans ses râles afin d'exciter le bonhomme.
- "Oh oui, continue, c'est bon". "Et toi, tu aimes ?". Tu bandes, lui demanda-t-elle tout en allant à la recherche du sexe d'André dans son pantalon ?
Il n'a pas répondu mais elle a constaté que oui.
- "J'aime les hommes de ton âge, j'adore les sucer et qu'il me prenne".
- "Tu trompes ton mari ?".
- "Oui et non, j'ai régulièrement des amants mais il le sait. D'ailleurs parfois il est présent".
Il a réfléchi un peu puis lui a demandé si c'était pour ça qu'il n'était pas là et qu'elle l'avait reçu en si petite tenue.
Elle lui a tout avoué mais a demandé à ce qu'on ne parle plus de moi, de plutôt aller dans la chambre car elle avait envie de son sexe dans sa bouche.
Sachant qu'il n'avait aucune aventure, et que lui et sa femme n'avaient plus de relations sexuelles depuis longtemps, elle ne prit pas la peine de lui donner un préservatif à mettre, ce qu'elle apprécie par-dessus tout.
Elle l'emmena dans la chambre qui baignait dans la pénombre et, tout en retirant sa sortie de bain, lui demanda si il voulait qu'elle allume. Il répondit qu'il n'y avait pas besoin (timidité ?), qu'il la voyait bien et se régalait de la vue qu'elle lui offrait ainsi peu vêtue et allongée sur le lit. A son tour il se déshabilla, prenant soin de bien mettre son pantalon sur le dossier de la chaise afin de ne pas le chiffonner.
Elle fut étonnée de la taille du sexe d'André, il était hors norme et raide. Gourmande, elle s'assit sur le bord du lit et engouffra les, au moins 20 bons centimètres selon elle, qui se présentaient à sa bouche.
Fana de la gorge profonde, elle appuyait de ses 2 mains sur les fesses d'André afin de bien profiter de l'engin. Elle aime jouer avec une queue, mordiller le gland, titiller le méat, mais aussi lécher délicatement les testicules, André a profité de tout.
Ne voulant pas d'une éjaculation trop rapide, elle a abandonné son jeu et lui a demandé si il voulait la posséder par l'avant ou par l'arrière.
- "Je n'ai jamais enculé une femme, je ne sais pas si j'y arriverai".
Elle a pris le lubrifiant, le lui a donné et lui a dit d'en répandre à l'entrée de son anus ainsi que sur son gland.
Elle a pris la position adéquate et, de ses 2 mains, a écarté ses fesses au maximum.
Effectivement il était novice en la matière, d'un coup sec il a introduit l'entièreté de sa queue.
Heureusement que Lucrèce est assez large, une débutante aurait sûrement crié.
Mais tout se passa bien, même plus que bien car Lucrèce m'a avoué avoir eu plusieurs orgasmes alors qu'il fouillait ses entrailles. Mais il n'a pu se retenir et lui a envoyé toute la sauce. Il s'est retiré et ils ont parlé un petit temps, il voulait en savoir plus, si elle se donnait régulièrement, si j'assistais ou participait souvent, aimait-elle aussi les femmes, etc...
Mais Lucrèce n'était pas repue, même si elle avait pris beaucoup de plaisir pendant la sodomie elle voulait donner à manger à sa petite chatte et, pourquoi pas, bénéficier d'un peu de sperme dans sa bouche.
Elle emmena André dans la salle de bain et se chargea elle-même de lui laver le sexe avant de lui proposer une 2ème séance plus conventionnelle.
Bien que doutant apparemment de ses possibilités à remettre le couvert (ce qu'il lui dit), il accepta et prit place à côté d'elle sur le lit.
Ils se caressèrent un certain temps, Lucrèce le complimentant sur son sexe, en rajoutant même pour le flatter. Et cela fonctionna lorsqu'elle le prit à nouveau entre ses lèvres, il durcit aussi vite.
C'est elle qui s'est mise à califourchon sur lui et a rythmé la cadence tandis qu'il lui doigtait l'anus. Elle lui demanda de la prévenir si sa sève montait à nouveau, elle tenait à s'en repaître, ce qu'il fit après un long moment d'allers et retours.
La quantité fut moindre, mais elle s'en était doutée fut l'âge d'André et l'éjaculation qu'il avait eue une petite demi-heure auparavant.
Quelques jours plus tard j'ai croisé André sur le trottoir, il avait l'air gêné.
Après 2 ou 3 banalités je lui ai demandé si il avait aimé mes santons, il a répondu que j'avais une très belle collection.
- "Et ma petite santone, as-tu apprécié de la découvrir d'une façon plus agréable ?".
- "Oui, mais je ne m'attendais pas à ça, quand on vous voit on ne croirait pas que vous êtes comme ça, surtout Lucrèce qui, même si elle s'habille toujours sexy, donne l'impression d'être une femme très sage. D'ailleurs je m'étais toujours imaginé que c'était les femmes plus mûres qui devenaient cochonne, pas des jeunes comme elle.
Alors je lui ai proposé de revenir chez nous et qu'ils s'amusent ensemble en ma présence. Un peu hésitant il a fini par accepter et rdv fut pris pour le mercredi suivant.