Clarisse et le candaulisme - Chapitre I

Chapitre 1 - Première expérience d'exhibition

Ceci est le premier chapitre d'une série d'histoires qui ont amené ma femme, Clarisse, à se transformer de femme modèle à une véritable accro au sexe et aux relations multiples.

Pour placer le contexte, Clarisse a 36 ans. Elle est ce qu'on peut appeler une belle femme, assez grande (1m76 mais portant souvent des talons), châtain, les yeux bleus. Un visage vraiment charmant et un regard très profond. Clarisse possède des épaules larges mais n'est pas grosse. Elle possède de superbe forme, des fesses bien rebondies, de longues jambes fines. Sa poitrine n'est pas très généreuse mais le tout est très harmonieux et la plupart des hommes se retournent dans la rue ou la draguent quand je ne suis pas là.

Pour ma part, du même âge, je n'ai rien de spécial. Jeune agriculteur, je suis plus petit que Clarisse, pas gros. Nous nous sommes rencontrés il y a longtemps, nous sommes mariés et notre couple va à merveille depuis des années.

Clarisse est une femme très intelligente. Elle travaille dans un bureau et rencontre beaucoup de succès à la fois professionnels mais aussi personnels. Que cela soit ses collègues féminins ou (et surtout) masculins, tout le monde apprécie sa compagnie et recherche à travailler avec elle. Je sais que nombre de collègues fantasment sur elle, elle me raconte souvent que tel ou tel collègue masculin l'a invité à manger, à chercher à prendre un café avec elle ou tout simplement l'aide constamment au travail. Je ne suis pas inquiet car notre amour est véritable, et j'avoue prendre un petit plaisir à connaitre ces histoires. Tous les matins je la vois partir bien habillée et bien coiffée, de jolies boucles d'oreilles, de jolies robes courtes ou longues et je suis fier de posséder une femme comme ça.

Un matin d'été cependant, en rentrant dans la chambre, je surprends Clarisse en train de s'habiller. Elle enfile une robe violette courte mais assez large et je peux apercevoir son string noir entre ses jolies fesses pulpeuses. Je ne sais pas pourquoi, mais je rentre en érection directement en l'imaginant se balader toute la journée au travail dans cette tenue. Clarisse me fait un bisou et s'en va travailler avec un petit sourire en coin...

Toute la journée au travail je repense à ma femme. Cette situation, où je suis dans mes champs à travailler, transpirant, sale, mal habillé pendant qu'elle batifole toute la journée au milieu de collègues de bureaux attirés par elle me fait fantasmer au plus haut point. Je l'imagine, à la salle café, croisant ses jambes pendant que les collègues la regardent, rigoler, jouer de ses charmes pour avoir les faveurs ... Clarisse est très séductrice, je ne sais pas si c'est volontaire ou non, mais elle a toujours tendance à sourire, regarder profondément les hommes ce qui peut causer très vite des émois à n'importe quel homme un peu faible.

Je rentre plus tôt du travail et m'assois sur une chaise du jardin. Je n'arrive pas à travailler, je ne pense qu'à cette situation et j'ai hâtes de revoir ma femme. Celle-ci arrive vers 18h toute pimpante et vient me rejoindre dans le jardin. Quand je la vois, dans sa belle robe violette descendant juste en haut de ses cuisses je n'y tiens plus. Transpirant, plein de terre et mal vêtu, je l'enlace et lui donne un long baiser dans le jardin. Clarisse est surprise. Je soulève instantanément sa robe et saisi ses fesses à pleine main et les palpe généreusement. Clarisse pousse un petit cri. Je la regarde droit dans les yeux : "Tu es trop excitante, je n'imagine pas le nombre d'homme qui ont eu envie de toi aujourd'hui, suce-moi." Je ne sais pas ce qui m'a pris, je n’ai jamais parlé comme ceci à ma femme. Je redoute un instant sa réaction mais mon ton était surement tellement directif que Clarisse, sans dire un mot, s'est agenouillée et a commencé à me sucer. C'est à ce moment qu'il est arrivé...

Debout, la tête de Clarisse entre mes jambes, mes mains dans ses cheveux, j'ai vu un vieux paysan du village passer devant notre petit portillon à l'arrière du jardin et nous surprendre. Celui-ci s'est arrêté et a commencé à regarder la scène, sans aucune gêne. Je regarde Clarisse, elle a les yeux fermés et effectue des va et vient sur ma queue qui se durcit comme jamais. Je l’entends déglutir souvent, je sens que je ne tiendrai pas longtemps devant la situation. Imaginer un autre homme voire ma femme se faire prendre et se branler dessus me rend fou.

Je repousse la tête de Clarisse et lui demande de se mettre à quatre pattes face à moi. Elle s'exécute mais ne remarque pas tout de suite le paysan en train de nous regarder. Je me baisse, lui descend le string d'un coup sec et me jette sur sa chatte et ses fesses pour lécher et embrasser tout ce qui est à ma portée. Je la lèche généreusement en partant de sa chatte jusqu’à remonter entre ses fesses jusqu’en haut. Clarisse pousse des petits cris, j'imagine qu'elle ferme les yeux. Je me relève et la pénètre sans la prévenir. Clarisse pousse un râle de satisfaction... J'entame plusieurs mouvements de va et vient. Je lève la tête, l'homme nous regarde toujours. Je vois Clarisse garder la tête levée. Elle a dû voir l'homme mais ne refuse pas l'acte au contraire, elle entame elle-même des va et vient très dynamiques.

Je ne tiens plus, voulant aller au bout du fantasme, n'ayant plus aucune limite, pour la première fois, je me retire, me place sur le coté de Clarisse, tourne sa tête et rentre ma bite dans sa bouche pour jouir en poussant des hurlements bestiaux. Clarisse conserve ma bite dans sa bouche et avale complètement ma semence. Quand je baisse la tête, je vois qu'elle regarde vers l'homme au portail. En le fixant droit dans les yeux, Clarisse me donne une dernière léchouille puis, se lève et part dans la maison sans un mot. Je me retrouve le pantalon baissé, bite à l'air seul dans le jardin et j'ai l'impression d'avoir vécu le meilleur moment de ma vie...

A suivre…