Léa, jeune enseignante 3

Longue fin de semaine où ma femme ne m’accorde aucune importance, comme à l’habitude.
J’ai en tête la superbe baise que j’ai eu au motel. Mon Dieu, cette Léa, je l’ai dans la peau…
J’ai hâte au retour au travail lundi.

Le cadran sonne, c’est lundi matin et je quitte donc la maison pour aller travailler à l’école. J’ai hâte de croiser ma petite nymphette. Va-t-elle m’ignorer ou me saluer? Dans ton les cas, je suis sûr et certain que je vais bander.

La journée se passe bien, j’ai plein d’énergie et les enfants me trouvent excité selon leur commentaire… cependant, aucune trace de Léa. En fin de journée, je me trouve une raison d’aller au 2e étage pour passer devant sa classe. Zut, personne, elle n’y est pas et aucun élèves n’ont plus. Je suis déçu. Je descend vers mon bureau et ne croise personne.

La journée termine et je n’ai pas vue ma petite coquine. Je quitte un peu bredouille. À la maison, ma femme me demande un massage pour ces pieds de femme enceinte, je m’exécute sans grande conviction. Je me dit que peut-être je pourrai avoir un peu de reconnaissance, comme une fellation en retour…?! Rien du tout.

J’ai tellement hâte de revoir Léa et qui sait, la baisée intensément. La matinée de mardi passe sans aucune nouvelle. À l’heur3 du midi, un enfant passe me voir avec une enveloppe cacheté. Mon coeur bât la chamade, de même que mon sexe.

Léa m’écrit que le lendemain, c’est la rencontre du début d’année avec lles parents en début de soirée. Elle me donne un défi, me libéré pour une rencontre à la salle de toilette du 2e étage. Rencontre entre deux visites de parents. J’élabore un stratagème pour aviser ma femme. On m’a demander d’accueillir les parents durant la soirée, pourquoi pas, c’est plausible.

Je me retrouve donc le mercredi soir, je fais de la lecture à la salle du personnel de l’école. Je salut quelques collègues qui passe en attendant la bonne heure. Je prétexte un rendez-vous personnel à proximité de l’école. 19:15, je suis en direction de la salle des toilettes, aucun parent ni collègues ne me voient passer. J’entre dans cet endroit, je referme la porte derrière moi.

2 minutes, puis 5 minutes… M’a-t-elle oublié? Je suis perdu dans mes pensées qu’en j’attends frapper à la porte légèrement et je vois apparaître Léa. Elle referme derrière elle et alors qu’elle verrouille la porte, je fonce vers elle et la plaque au mur. Je baisse son pantalon jusqu’au cheville et j’entre deux doigts en elle… elle étouffe un crie. Elle est mouillée et mes doigts s’insèrent très facilement. Je bouge mes doigts frénétiquement et je l’entends augmenter la force de ses respirations. Ça m’excite tellement. Je m’accroupis derrière elle et je lèche sa croupe d’une langue savante. Je la vois porter la main à sa bouche pour s’empêcher de crier.

Je n’en peu plus… mon sexe hurle dans mon jeans. Je sors ma queue par la braguette et je l’insère à la place de mes doigts. Léa n’en revient pas à quel point je l’excite et elle m’allume… Elle me dit: « Oh que c’est bon. Pousse ta queue au fond! ». Je donne des grands coups de reins, je sent son trouffion avaler mon gland au complet!

Je vais jouir, la sève monte, je lui dit: « Trois jours sans te baiser, j’en peu plus, je vais décharger sous peu… Tu veux que je fasse quoi avec mon foutre? ». Elle dit: « Retire-toi, je vais t’avaler et me régaler de ton sperme, ce sera ma collation de la soirée… ».

J’en peu plus, je me retire de sa chatte et je la tourne de côté… Elle s’agenouille devant mon membre parfaitement érigé et elle lèche sa propre cyprine qui entoure mon gland tellement je l’enfilais facilement il y a quelques instants… Elle saisi mon engin avec ses deux mains et elle l’astique vigoureusement… Je suis un volcan qui se réveille… J’attrape le derrière de sa tête et j’entre ma queue de force dans le fond de sa gorge au même moment ou mon premier jet s’envole… « JEE JOOUUIIIIIIIS!!! » est le son qui sort de ma bouche au même rythme au j’envoie mes 6-7 saccades sur sa luette… Elle n’a d’autre choix que d’avaler une quantité astronomique de liquide sinon elle pourrait s’étouffer…

Je m’appuie contre le mur, exténué. Elle se relève et avec mon sperme autour de ces lèvres me dit: « Si tu continues à me faire des collations nutritives comme celle-ci, je deviendrai accro ». Elle lève son pantalon, le rattache et avant de quitter, me roule une pelle.

Je deviens vraiment amoureux de cette femme! Que vais-je faire?