Léa, jeune enseignante 2

Le lendemain de cette folle après-midi, j’étais tétanisé, à la fois de rencontrer Léa dans l’école ou de croiser un(e) collègue qui me dirait; Hey, quelle jouissance hier! Je sentais que tout le monde me surveillait du coin de l’oeil… Sûrement mon imagination!

Alors que je suis en circulation avec mon groupe d’enfant vers le gymnase de l’école, je me rends compte que quelques enseignantes discutent ensemble aux pigeonniers des classes. Du coup, je la vois, tellement belle et sexy, petit tailleur bourgogne, juge et talon haut assortis, au moment au je tourne le coin je remarque qu’elle me fixe. J’ai toute la peine possible à ne pas m’imaginer en elle présentement. Une petite fille de mon groupe m’avise juste avant que j’entre en collision avec le chariot du concierge (elle me fait perdre mes moyens cette Léa!).

De peine et de misère je continu ma journée sans trop décrocher de ce fantasme réel. Au midi, je passe à mon pigeonnier et j’y découvre une enveloppe rouge déformée par son contenu… Je prends cette enveloppe et je quitte l’endroit pour me réfugier dans une salle libre ou je suis seul pour ouvrir cette enveloppe. À l’intérieur j’y trouve une clé d’un motel des environs et un mot ou il est écrit: « 19:00… la suite ou rien d’autres ». Zut! Un rendez-vous ce soir, alors que ma femme a déjà prévue notre soirée, que faire…?

J’appel ma femme et je prétexte avoir omis de lui dire que je devais rester ce soir pour faire des rencontres de parents à la demande du proviseur. Elle est déçue, mais elle m’avise qu’elle ira tout de même faire les courses et que je devrai faire avec les choix qu’elle aura réalisée. Comme moi d’ailleurs…

La fin de journée à l’école est interminable. Mélange d’excitation, peur, méfiance, jubilance, etc.
Je reste à l’école jusqu’à 18:45… outre le concierge de soir que je salut, je ne croise personne d’autre. En route vers le motel, je décide d’arrêter dans un magasin pour y acheter un vin mousseux et des coupes, ainsi qu’un sac de fausse pétales de roses.

Je sais, c’est vieux jeux, mais je veux marquer le coup, car ce sera peut-être ma seule aventure extra conjugale dans ma vie, qui sait? J’arrive sur les lieux, personnes en vue. Aucune voiture devant le numéro de la porte de chambre… je décide d’entrée et d’inspecter.

Après une visite rapide et étant satisfait de la propreté de la chambre, j’en profite pour étaler les pétales de roses un peu partout (sol, lit, salle de bain), je regarde ma montre; 19:05, merde, un doute m’envahît, est-ce 19:00 ou 20:00? Moi qui ait promis a ma dulcinée d’arriver dès que la rencontre de parents serait fini vers 20:00…

Pour gagner du temps, je me dévêtit et je m’étends sous les couvertures en attendant cette nymphette… Les deux coupes de mousseux sont prêtes, 19:15, toujours pas personne en vue. Pas de bruit de voiture qui arrive. Je décide d’ouvrir la télé et je tourne les chaînes. J’avais oublié que dans ces motels miteux, il y a souvent des films xxx qui se syntonise facilement. Je regarde quelques scène et bien sûr, l’effet sur mon corps est immédiat. Une énorme queue émerge de sous les draps en attentes de la reine des salopes enseignantes…

C’est bien sûr à ce moment que Léa déverrouille la porte d’entrée de la chambre et elle me dit: « Salut beau mâle, comme je peux voir, t’a commencé sans moi. Je suis gêné et je bafouille des phrases incongrues. Elle éclate de rire! J’entends les anges chanter au son de sa voix.

Elle joue cartes ouvertes: « Puisque nous avons brisé la glace hier et que tu avais plusieurs interrogations, soit-dit en passant, tu as quand même éjaculé dans ma bouche et c’était délicieux, je te confie mon secret… ».

Elle est en couple avec une crapule qui la trompe depuis deux ans. Elle le sait, mais après presque une année de réflexion, elle a trouvé comment prendre sa revanche. « J’ai décidé que je ferais le plaisir du plus jolie inconnu que je croiserais au boulot. Meilleure façon de se vanger. Réaliser tous les fantasmes d’un inconnu. Qu’en penses-tu? » . Je suis choqué! Cette créature divine tombe du ciel! Encore une fois, je bafouille, elle rit à nouveau et elle décide de retirer son manteau 3/4 a ce moment précis… MON DIIIIEEEUU! Le plus beau déshabillé que j’ai vue de ma vie. Ce corps de rêve est entouré de dentelle blanche et les seins sont bien pointés vers moi.

Léa me dit: « Voici la raison de mon retour, tout comme toi, je voulais marquer le coup… en passant, j’adore l’attention du mousseux et des roses, tu es mignon. Jai fait le bon choix de partenaire de baise… Par où veux-tu commencer tes fantasmes? ». Elle me dit sa le plus simplement du monde. Je ne sais pas quoi dire. Ma tête se tourne vers l’écran et elle me dit: « Ah, ça c’est une bonne idée, copions les scènes du film… Hum, ça commence bien pour moi, elle se fait bouffer la chatte à l’écran… ». Et la voilà qu’elle s’étend à côté de moi sur le lit.

Je me retourne vers elle et me lance. Il y a plusieurs années que je n’ai pas pratiqué de cunilingus, car ma femme n’aime pas quand j’embrasse cette partie de son anatomie. Je suis nerveux. Mes doigts masse le tissus de la culotte de dentelle. Ma bouche et ma langue se faufile vers ce mont de Vénus si désiré et au travers la culotte je mordille doucement… j’entends les soupirs de Léa, je crois que c’est bien débuté?!?

Doucement je glisse mon majeur sous la dentelle et je caresse le bourgeon de son clitoris tout en mordillant. Après une minute, je vois les effets de mes gestes sur son corps qui ondule de plus en plus. Je retire la culotte pour y aller d’une lampée avec ma langue, douce mais précise caresse qui lui donne un orgasme instantanément. Elle se tortille et j’arrête 30 secondes pour la laissé récupérer. Elle me regarde et me dit: « Tu étais où toutes ces années, c’est mon premier orgasme par cunilingus de toute ma vie, ouufff, comme c’était bon… Ah ah, tu n’as pas remarqué, c’est au tour de l’actrice porno de faire sa besogne à l’écran. » et elle se jette sur moi.

Tout comme la veille, elle s’empare de mon pieu et elle se régale. Avec toute cette excitation je me sens déjà sur le point de venir… Elle sent ma raideur et me dit: « T’as remarqué, il est entrain de l’enculer le salop, je n’ai jamais essayé, ça te dit? »… Quoi! Mon 2e fantasme en deux jours! Je réponds par un sourire et un signe de tête. Elle débarque du lit et va dans sa trousse chercher une petite bouteille.

C’est du lubrifiant, elle avait prévue le coup, ah, ces enseignantes… elle s’approche et elle verse un peu du gel dans sa main avant de l’appliquer sur ma queue. Avec ce qui reste sur ces doigts, elle se retourne et elle lubrifie son petit trou avec ces doigts. C’est à ce moment uniquement que je me rends compte de notre différence d’âge., car elle me regarde et me dit: « J’ai très peur. J’ai toujours interdit à quiconque de pénétrer cette partie. Ne me fait pas mal, je t’en pris… ».

Je lui répond: « Tu es la première femme qui me permet ce privilège. Tu parlais d’assouvir mes fantasmes. Ceci est tout un cadeau que tu m’offres. Je suis conscient de tes craintes et même si je serais déçu de ne pas te sodomiser, je comprendrais… je serai doux, comme plus tôt ». Sur ces mots, je glisse mes mains sur ces fesses, j’entre le majeur de ma main gauche dans sa chatte et je fais de léger vas-et-vient. Elle se décontracte sous cette caresse. Je continu cette intrusion en embrassant ces femmes et son petit trou avec ma langue. Elle semble apprécier. Je prends donc l’indexe de ma main droite et le glisse tout doucement dans son cul. Elle se raidit, mais ne se dérobe pas. Je masse ces deux trous en même temps. Elle me dit d’essayer a deux doigts dans son rectum. Je m’exécute. On dirait que son muscle fessier s’est vite adapté. Je continu les va et vient pendant une minute et je lui dit: « Ma belle Léa, je vais maintenant t’enculer tout doucement et j’aimerais te donner ton premier orgasme anal… Détends-toi et apprécie ma queue en toi… Je t’aime ». Sur ce, je la vois me regarder dans le miroir et je comprends que j’ai annoncé mon amour à cette jeune femme sans y avoir réfléchi. Elle est toute souriante et me dit: « Fais-moi jouir! ».

J’approche mon gland tout érigé et je le presse contre le petit trou. Je commence l’intégralité de ma pénétration qui se déroule sans embuche. Le visage de Léa se déforme dans le miroir, mais il s’agit pas nécessairement de la douleur. A cette petite vitesse, je descend jusqu’au fonds et je laisse le temps a son anus de bien assimilé ma queue. Je lui demande si elle veut que je me retire et elle me répète: « Non, fais-moi jouir du cul s’il te plait! ».

Je commence des petits et par la suite de long geste. Mes couilles frappent de plus en plus fort ses fesses. À ma grande joie, je l’entends crié: « Plus fort Scott, plus fort! Je sens que ça vient… ». Du coup, mon corps m’envois les mêmes signes. Je lui dit: « Moi aussi ma belle, je vais bientôt exploser… Puis-je venir dans ton cul ? J’ai tellement fantasmé de le faire un jour… ».

Elle me dit: « Avec ton aveu d’amour, tous mes trous sont pour toi. Vide toi en moi mon amour ». Cette phrase me chamboule… je débute des gros coups de bassin. Je sens son rectum en extase. Léa crie de douleur ou de plaisirs, aucunes idées, mais elle me crie toujours plus fort.

Dans un dernier élan, je décharge tout mon foutre dans son anus et je m’écroule sur elle pendant que mon pénis encore au garde à vous est ancré en elle est elle se love sur moi en subissant des spasmes dans tout sont corps qui dure près d’une minute.

C’est la première fois que je donne deux orgasmes a une femme dans une même séance de baise. Je suis fier de moi. Je l’entoure de mes bras et la bécote dans le dos. Mon sexe à débandé et je me retire de ses charmantes fesses.

Nous restons dans cette position plusieurs minutes. Je l’embrasse passionnément et je me dirige a la douche. C’est la première fois que je lave mon pénis après une sodomie. Je me sens bizarrement fier.

Je sors de la salle de bain et Léa c’est assoupi. Je l’habille d’une couverture et je prends son cellulaire pour y inscrire une alarme de réveil dans 1 heure. Non, quelle bourde! Je constate que je connais son mec. C’est un de mes coéquipiers des 8 dernières saisons de foot ou je suis le capitaine de l’équipe. J’ai toujours cru ce crétin célibataire avec toutes ses anecdotes de baise.

Chose certaine. Maintenant, il est cocu.