Lecou^le dedanseurs érotique 2

Lorena devient rouge de honte, l'insistance de son mari et de ses amis la mette dans un état pas possible, elle respire mal, devient de plus en plus fébrile. Ses yeux semblent implorer son mari. Ludovic lui parle tendrement et l'encourage :

-Fais un effort ma chérie, laisse-toi aller, je sens que tu en as envie !

Elle répond avec des sanglots dans la voix :

-Je ne peux pas, j'ai trop honte !

Le danseur la délaisse pour rejoindre sa partenaire, il l'enlace, en caresse chaque parcelle de peau, la femme frémit, lorsque la main se pose sur sa chatte. Un à un, les doigts s'enfoncent dans son vagin et le fouillent. Ludovic prend sa femme par la main et l'amène près du duo, il pose avec délicatesse les mains de sa femme sur la poitrine de l'actrice. Lorena se raidit et a un geste de recul. Ludovic lui donne un petit baiser amoureux sur la joue, pour l'encourager. Timidement, Lorena commence à caresser les seins de la femme qui geint sous les doigts de son compagnon. Elle regarde les mamelons qui enflent à chaque pression que ses doigts font dessus. Ludovic lui murmure :

-Prends-les en bouche ma chérie !

Comme un automate, Lorena avance sa tête et, maladroitement, gobe un téton. L'homme retire ses doigts du temple de sa partenaire et regarde le couple en souriant. Lentement, les deux femmes basculent sur le sol, Lorena n'a pas lâchée le mamelon, elle s'enhardie même. Les bruits de succion sont perceptibles. Les mamelons enflent, sous les aspirations de plus en plus voraces de Lorena. Ludovic soupire de soulagement, enfin sa femme ose surmonter son angoisse. Sa bouche descend sur le corps de la femme, elle le couvre de nombreux baisers et de coups de langues. La femme ouvre largement les jambes, la bouche s'approche de son ventre. Elle pousse un petit gémissement lorsque la langue, taquine son nombril. Soudain Lorena se redresse et regarde son mari, il lui sourit. Il lui donne un baiser sur les lèvres et lui dit :

-Continue ma chérie, tu es sur le bon chemin !

Elle ravale bruyamment sa salive et reprend les embrassades et les léchages. Lorena regarde un instant la chatte dégoulinante de la femme, elle avance doucement sa bouche, elle hume fortement les effluves odorantes qui s'échappent du temple de l'amour. La pointe de sa langue s'insère entre les grandes lèvres, elle monte et descend avec douceur dans le sillon humide. Elle agace la perle d'amour un bon moment, puis avec audace l'aspire. La femme se cabre, Lorena la fait défaillir, les gémissements de la donzelle résonnent dans la pièce. Sa chatte suinte comme un fruit trop mûr. Un cri strident sort de sa bouche, la femme se met à jouir, comme une dingue, elle remplit la bouche de Lorena de son jus. Elle l'avale sans se poser de question. Puis brusquement Lorena se redresse et cri en regardant son mari :

-ça y est mon chéri, je l'ai fait, je l'ai fait !

Les amis applaudissent la performance de Lorena. Ludovic embrasse fougueusement sa femme et lui dit :

-Je suis fier de toi ma chérie, tu as fait un sacré progrès, continue maintenant !

Le danseur se met à dévêtir Lorena, qui le regarde d'un air interrogatif. Une fois nue, elle tente de cacher sa nudité avec ses mains. L'homme la saisit brusquement, l'enlace et se colle contre elle. Il appuie son bas-ventre contre le sien, Lorena se crispe. Elle sent contre son bas-ventre la verge tendue de l'homme, le bougre ondule du bassin pour que Lorena sente bien la raideur de la queue. Elle frissonne, pousse d'innombrables soupirs. L'homme pose ses lèvres sur les siennes et l'embrasse avec fougue. Le corps de Lorena se met à trembler, mais elle accepte le baiser.
Les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Un échange de salives se fait. Certains amis, chauffés à blanc, se caressent, d'autres regardent Lorena. Le baiser cesse enfin, l'homme saisit Lorena à bras le corps et l'allonge sur la table. Il lui embrasse le ventre, pendant que Ludovic lui caresse les seins, les baisers mouillés qui s'approchent de sa chatte trempée de la font frissonner.


Ludovic roule entre ses doigts les mamelons de sa femme qui deviennent monstrueux, il les gobe à tour de rôle et les tète comme un bébé qui s'alimente. Lorena geint fortement, sa chatte n'est qu'un volcan en fusion qui laisse échapper sa lave.
La bouche de l'homme se plaque dessus et aspire le liquide au gout étrange qui ne cesse d'être libéré par le vagin en folie. Les râles, bruyants, de Lorena rendent Ludovic un peu euphorique. Il tète en aspirant fortement les mamelons devenus larges et épais.


La langue de l'homme, elle, s'enfonce dans la fournaise en ébullition, et la fouille en faisant couiner la soumise. La main de Ludovic descend sur le ventre de sa femme, ses doigts s'emparent de son clito et le branle de plus en plus vite, les attouchements des deux protagonistes, font devenir démente Lorena qui se cambre comme un pont en pleine tempête. Elle pousse un hurlement en jouissant terriblement fort. L'homme se redresse, le visage trempé de cyprine, il sourit. Ludovic continue de branler le bouton d'amour, il cherche à donner à sa femme une deuxième jouissance, ce qui ne tarde pas à arriver d'ailleurs. Le corps de la jouisseuse tremble comme un être en transe, ses yeux sont révulsés, elle respire rapidement. Ludovic lui dépose un baiser sur les lèvres et lui dit :

-Je suis fier de toi mon amour, continue, lâche-toi totalement !

L'homme se place entre les cuisses ouvertes de Lorena et place sa verge noueuse contre la fente suintante. Par réflexe, Lorena saisit la main de son mari, elle ouvre la bouche toute grande, le membre s'enfonce dans son ventre sans un seul arrêt. Lorena serre la main de son mari si fort qu'il grimace de douleur. Enfin, le membre gorgé de sang est entièrement enfoncé dans l'antre brulant. Lorena regarde son mari, avec angoisse, elle tremble de tous ses membres. L'homme s'accroche à ses hanches et commence un ramonage qui prend de la vitesse. Sans quitter des yeux son mari et sans lui lâcher la main, Lorena geint sous le pilonnage bien calculé du baiseur. La queue puissante qui coulisse dans sa gaine en frottant fortement les muqueuses, la fait gémir comme une bête blessée. Son bassin s'agite, elle s'accroche à son amant, pousse un long râle très expressif et jouit affreusement fort. Ses yeux luisent, elle regarde Ludovic en marmonnant :

-Mon Dieu, mon chéri, mon chéri, je jouis comme une catin, j'ai honte, j'ai honte mon Dieu !

Ludovic lui sourit et répond :

-Jouis ma chérie, jouis, donne tout de toi !

L'homme tire fermement sur les hanches de Lorena, ses couilles frappent sa vulve détrempée avec violence. Elle pousse un gémissement en s'arc-boutant. L'homme ressort entièrement sa verge et la replante brutalement au plus profond des entrailles de Lorena. La pénétration est si violente que le gland bute puissamment sur le col de l'utérus. L'homme se cabre en rugissant comme un lion, il remplit le vagin en ébullition de La soumise, avec son sperme abondant. Elle jouit encore une fois sous l'assaut brutal du pourfendeur. Enfin, il ressort sa queue gluante et la pose contre l'anus de Lorena qui sursaute en criant :

-Non, non, je ne veux pas, non pas par là !

Déçu par ce refus catégorique, l'homme délaisse Lorena. La place, encore chaude et vite prise, la danseuse, qui plaque sa bouche sur la chatte débordante de semence, elle aspire tout le jus qu'elle peut. Ensuite, elle enfonce sa langue pour extraire le maximum de liquide visqueux qui se trouve au fond du vagin. La chatte est secouée par de nombreux soubresauts que Lorena ne peut contrôler. La femme lèche la fente en grognant de plaisir, doucement sa langue descend vers l'anus, Lorena se cabre lorsque la pointe de l'appendice lingual, pousse sur son muscle rectal. Elle gémit plus fort lorsqu'il le pénètre. La coquine fouille si bien la gaine étroite que Lorena tire sur les cheveux de la fouilleuse en marmonnant :

-Oui, oui, oh, oui !

Ludovic ne reconnait plus sa femme, il observe toutes ses réactions, sa queue est tendue comme un arc. Il repousse la femme et place son membre contre l'anus entrouvert. Il pousse, sa femme ouvre la bouche toute grande, mais aucun son n'en sort. Ses yeux sont révulsés, elle grimace. La bite de son mari s'enfonce dans son rectum, le plus loin possible. Lorena a à peine la force de protester :

-Non, non, mon chéri, c'est trop douloureux, arrête !

Ludovic donne quelques coups de reins pour bien empaler sa femme, qui maintenant reste sans voix. Elle serre les dents, en soufflant comme un bœuf. Ludovic reste un instant sans bouger. Puis commence un va-et vient très, très lent. Au fur et à mesure du va-et-vient, la douleur s'estampe, Lorena semble se détendre. La cadence augmente, Lorena se met à geindre de plaisir. Ludovic et heureux que sa femme accepte enfin la sodomie. Il lui ramone le rectum avec fougue, les râles de sa femme sont monstrueux. Sa gaine anale est dilatée au maximum par la queue imposante de son mari. Soudain, elle agite sa croupe, en grognant, elle donne, elle aussi, des coups de reins terribles.

Elle explose en hurlant de jouissance, il lui semble que son cul en feu va se déchirer sous les coups de bélier de Ludovic, c'est la première fois qu'elle jouit du cul. Elle couine :

-Oh mon chéri, c'est monstrueux ce que tu me fais, tu m'as fait jouir du cul comme une salope !

Tout en la défonçant, Ludovic lui répond :

-Oui ma chérie, tu es devenue ma pute, oh comme tu es serrée, c'est trop bon, je t'aime mon amour !

Il la démonte encore un moment, avant de lui remplir les intestins de son sperme chaud. Lorena, jouit encore une fois du cul pour le plus grand bonheur de son mari. Les amis ne restent pas inactifs, les accouplements sont féroces et très bruyants. Certains félicitent Lorena pour sa performance sexuelle, lui caressent les orifices béants avant de reprendre leurs ébats torrides.