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Les deux filles de l'épicerie de nuit

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/09/2023

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LES DEUX FILLES DE L'EPICERIE DE NUIT

Il était près de 21 heures quand je suis descendu de chez moi. On était fin mai, et on pouvait encore profiter de la lumière à cette heure. C'était bien agréable, plus qu'une journée qui se terminait à 5 heures de l'après-midi.
Si je descendais, c'était pour une double raison. Je voulais profiter un peu de la fraîcheur du soir, et aussi parce que je voulais aller à l'épicerie de nuit qui se trouvait à trente mètres pour acheter une bouteille de rhum. Je n'avais pas l'intention de me torcher, ce n'était pas mon genre, mais je venais de me préparer une salade de fruits pour le lendemain, et je voulais la parfumer.
Je me suis posé devant l'entrée de l'immeuble de trois étages dont j'occupais le dernier. Il faisait bon dehors, et j'en ai profité avant d'aller acheter la bouteille.
Elles sont passées juste devant moi alors que j'allais bouger pour partir en direction de l'épicerie de nuit.
Elles avaient une vingtaine d'années. Elles se ressemblaient physiquement, elles avaient à peu près la même taille, pas très grandes, j'aurais dit un mètre soixante-deux, soixante-trois, et elles avaient des formes marquées. La différence se faisait sur la couleur de cheveux, il y en avait une qui était blonde, l'autre brune, cheveux longs et courts, et un visage qui se dessinait différemment. Pour le dire simplement, la blonde avait des traits plus fins. Mais l'une comme l'autre elles avaient pas mal de charme.
Il aurait été inutile de vouloir, de toute façon en profiter.
Elles étaient déjà prises, l'une comme l'autre.
Je n'avais pas de sixième sens, je n'étais pas capable de lire dans les esprits, mais il se trouvait qu'elles étaient dans un positionnement l'une par rapport à l'autre qui disait clairement que, si elles étaient amies, elles étaient aussi autre chose.
Entre filles, il y avait souvent, je le savais bien, de la promiscuité. Bien moins entre garçons. Elles n'hésitaient pas, par exemple à se montrer nues l'une devant l'autre, voire à demander de l'aide pour quelque chose d'intime...Mais je percevais le fait qu'elles aient chacune une main fermement accrochée aux fesses de l'autre comme la preuve qu'elles étaient dans une relation aussi amoureuse qu'intime.
Elles avaient l'une comme l'autre, comme je l'ai dit plus haut, des formes très marquées, très pleines, des fesses vraiment charnues et proéminentes, l'une des croupes valorisée par un short en jean très moulant, sous lequel, j'en étais convaincu, la blonde n'avait pas de slip, l'autre par un pantalon en vinyle collant, sous lequel, à l'identique, ses fesses remuaient selon ses mouvements et ne semblaient donc pas prisonnières d'une culotte.
Cette main contre, c'était une manière de marquer au monde entier qu'elles étaient dans une relation intime, mais aussi de rappeler à l'autre, dire que ces fesses-là lui appartenaient et à personne d'autre, l’intérêt que chacune portait à l'autre.
Elles ont continué d'avancer.
Ce qui était aussi perceptible, cette fois de manière plus générale, dans la tension de leur corps, c'était cette sorte de désir pour l'autre, neuf sans doute, tout frémissant, tout prêt à exploser à n'importe quel moment.
Et ça a d'ailleurs été le cas. Elles avançaient devant moi, elles se sont arrêtées un peu plus loin. Juste avant le bloc de maisons dans lequel était enclavé le local commercial occupé par l'épicerie de nuit, il y avait une ruelle qui amenait vers un quartier résidentiel. Elles se sont calées à l'entrée de cette montée, le long du mur, et elles se sont embrassées. Il y a mille manières d'embrasser, et, dans ce moment d'échange de baisers, il y avait énormément de passion et de désir.
J'avais continué d'avancer. Elles ont rompu le contact, et elles ont rejoint la voie centrale. Je n'avais pas compris qu'elles se rendaient, elles aussi, à l'épicerie de nuit.
Elles sont passées devant moi pour pénétrer dans les lieux.
Dans le quartier, et quand on était là depuis un certain temps comme moi, on se connaissait tous. Je connaissais bien Bob, il avait tenu un moment un magasin de photocopies un peu plus haut, avant de reprendre cette épicerie de nuit. Il y avait eu un moment ou, quand je veillais un peu tard, je me mettais à la fenêtre, et je regardais comment ça se passait chez lui. Une épicerie, généralement, c'est un magasin où on vient acheter de quoi manger, et souvent les petites épiceries, c'est celles ou on vient chercher un complément quand on se prépare à manger et on s'apercoit qu'on a oublié quelque chose. L'épicerie de nuit c'était autre chose. Alors, bien sûr, on y trouvait la même gamme que dans une petite épicerie classique, mais c'était le point de repère pour tous ceux qui buvaient la nuit, et venaient chercher de quoi alimenter leur alcoolisme. Sous l'emprise de celui-ci, les clients, qui souvent retrouvaient des compagnons de beuverie, juste devant, basculaient très vite, imbibés comme ils étaient dans des excès physiques ou verbaux. Bob, sec et nerveux, avait fait quinze ans dans une compagnie de parachutistes, et il avait de beaux restes. Il n'était donc pas rare qu'il fasse subir un sort peu enviable à un client qui lui aurait mal parlé, ou l'aurait menacé.
On s'est salués, et je suis parti chercher ma bouteille de rhum. Les deux filles étaient au fond, elles prenaient des glaces au congélateur. La brune, pendant que sa copine choisissait, avait fourré sa main dans son short. Il y avait suffisamment d'espace, pas beaucoup mais juste ce qu'il fallait, pour que la main passe, et elle caressait ses formes.
--Mais t'arrête un peu, tu penses qu'à me toucher le cul, avait fait remarquer la blonde.
--T'es bien placée pour parler, a répondu la brune.
Je suis revenu payer ma bouteille, et on a entamé une conversation avec Bob. Elles n'ont pas tardé à arriver pour payer. Elles avaient pris plusieurs pots de glace.
--Ca va, les filles ?, il a demandé, me laissant penser qu'il les connaissait. Elles devaient passer de temps à autres. Ca tombe bien, il y a une promo sur les glaces, je n'ai pas encore mis le panneau...Vous en avez deux plus une gratuite...Cinq...Vous devriez en prendre une sixième...
La petite blonde est partie en courant chercher un pot supplémentaire. On a eu le même réflexe, sa copine et moi, de poser les yeux sur son cul qui se balançait de gauche à droite gracieusement. Elle est revenue avec le pot, elles ont payé et elles se sont éclipsées. J'ai discuté encore deux minutes avec Bob, avant de partir.
Les filles étaient un peu plus bas dans la rue, et il y avait juste devant elles un gars, avec une bouteille à la main, qui les importunait. Je le connaissais plus ou moins. Tout le monde le connaissait d'ailleurs, c'était une des épaves du quartier, un gars qui ne travaillait pas, qui se saoulait le matin, l'après-midi, le soir aussi...Et sur qui l'alcool n'avait pas un bon effet...
--Alors les filles, vous avez pas envie de me sucer la queue ? Ben non, évidemment, parce que vous êtes deux bonnes gouinasses...
--Et si tu leur foutais la paix ?, j'ai proposé en m'approchant.
Les deux filles étaient immobiles, elles ne savaient pas trop comment se défendre.
Mon pied est venu appuyer fortement au dessus de son genou. Il a été déséquilibré, j'ai attrapé la main qui tenait la bouteille d'alcool, je lui ai fait une clef et je l'ai mis au sol.
--Je crois que tu vas te relever et partir.
Il a eu peur. Il s'est relevé, et il n'a pas demandé son reste. Il a disparu dans une rue adjacente, laissant sa bouteille sur le macadam, bouteille qui se vidait, laissant une mare de liquide sombre sur la route.
Elles ont paru soulagées.
--Merci de votre aide, a dit la petite blonde.
--Il faut que vous preniez des cours de self, les filles.
--Oui, j'en ai bien l'impression.
Nos chemins s'étaient croisés l'espace d'un instant. Ils allaient se séparer. Elles ont repris leur chemin vers le haut de la ville, il y avait un pont ascendant, J'ai cherché ma clef dans ma poche, tout en remarquant que calées au début du pont, elles discutaient. Elles ont fait demi-tour et elles sont revenues en courant.
--Marjolaine trouve qu'on vous a pas assez dit merci, a dit la blonde.
--Et Anaïs pense qu'il y a de bonnes manières de dire merci, a dit la brune.
Il y en a une qui a relevé son T-shirt, l'autre qui a défait les premiers boutons de la chemise qu'elle portait. Leurs seins ont jailli à l'air libre, très proches dans leur dessin, leur configuration. Charnus, dressés, à leur âge, c'était normal, seule variait la teinte de leurs aréoles et de leurs tétons. Des tétons qui, sous l'effet de l'air, qui commençait à franchir à cette heure de la journée, ont durci et se sont allongés.
--Regarde ce qu'on fait mutuellement à nos tétons...Tu n'aurais pas envie de faire la même chose ? On te les prêterait... ?
Et pour me faire une démonstration de ce qu'elle pouvaient faire, et qu'elles me proposaient de partager, Anais s'est penchée sur un des seins de sa copine. Sa manière de faire laissait entendre une réelle familiarité avec ses seins, qu'elle les connaissait par cœur, et qu'elle savait les prendre. Elle s'est mise à mordiller très légèrement le téton, que j'ai vu s'allonger d'un plaisir qui me semblait sincère, quand la jeune femme a cambré la tête en arrière en poussant un petit gémissement. Elle a laissé l'autre téton tranquille, et la différence entre les deux était bien visible. Il n'y avait pas que les queues qui avaient des érections. Et, dans cette démonstration qui se voulait complète et habile, Marjolaine est venue elle aussi bouffer un des tétons de sa complice.
Ce qui m'a un peu sidéré, ca a été leur absence de pudeur. Se mettre la main au cul, même en soirée, ou s'embrasser, c'était déjà audacieux, mais se sucer les tétons au vu et au su de tout le monde...
Et en même temps pas tant que ça. Car, je l'avais déjà remarqué, les gens passaient dans la rue plongés dans leurs pensées sans observer ce qui se passait autour d'eux.
--On pourrait se faire un téton chacun, elle a suggéré en se redressant. Ou bien d'autres choses.
Je me suis demandé si elles avaient simplement envie de me remercier, ou si elles s'étaient dit que je pouvais être un bon coup. Les deux peut-être.
Elles me plaisaient toutes les deux. Aussi attirantes l'une que l'autre. Et puis c'était vrai que deux filles plus un garçon...C'était un scénario que je n'avais jamais encore expérimenté, et qui pouvait faire pas mal de possibilités intéressantes.
--Je vous raccompagne, alors, j'ai dit.
Même si je ne m'en étais pas rendu compte avant, elles n'habitaient vraiment pas très loin. Il fallait passer le pont, et là, tourner sur la gauche. Une porte en bois rouge qu'elles ont débloqué, un immeuble de trois étages. On devait à peine de s'engager dans l'escalier, moi derrière elles que Marjolaine a entouré la taille de sa copine, défait le bouton du short et tiré celui-ci suffisamment bas pour me dévoiler le cul de sa copine.
--Regarde, il te plait ?
Ce qui m'avait plu surtout, c'était la manière dont elle l'avait dévoilé. Elle avait passé les mains autour de la taille de sa copine, chopé le short, et hop, elle l'avait tiré d'un seul coup. Ca avait eu un effet hyper excitant. Comme leurs seins quelques minutes plus tôt, ses fesses avaient jailli à l'air libre. Ce qui était excitant, c'était que, vu le volume qu'elles avaient gainées par le jean, on aurait pu penser que leurs possibilités étaient pleinement exprimées, mais en fait elles étaient comprimées, et, mises à nu, elles ont gagné un tiers de volume, vraiment énormes, comme j'aimais qu'un cul de fille soit. Je me suis repu de la vision qui s'offrait à moi, de ce cul volumineux, qui bénéficiait de la belle cambrure de la jeune femme, cul coupé en deux par un sillon profond, complété par le dessin de son sexe, bien visible entre ses cuisses, et très excité. Déjà. Ca se voyait parce qu'il était ouvert, parce que les lèvres de la belle étaient longues et gonflées, et parce que des filets visqueux en pendaient. Je me suis demandé ce qui pouvait l'exciter, si c'était la situation nouvelle, mon ajout à leur couple, les caresses sur ses tétons, ou si elle était déjà excitée avant, dans une sorte de rémanence, au contact de sa chérie.
Si j'étais, sans fausse honte, fasciné par son corps de femme, sa petite copine ne dissimulait pas non plus le trouble qu'elle lui inspirait. Elle a fait glisser ses mains, en une caresse, sur la croupe offerte, avant de les ramener après au milieu et d'appuyer pour les ouvrir, et me donner à voir le fond de son sillon, mais aussi le dessin de son anus, les plissements qui se réunissaient là où sa chair s'ouvrait.
--Regarde ce bel anus qu'elle a...Tu sais que mademoiselle est très sensible par là...Elle n'osera jamais l'avouer, mais elle prend un plaisir fou par le cul, et rien ne lui fait plus plaisir que je vienne fourrer ma langue et mes doigts là. Si tu voyais l'état de sa chatte quand je lui fais ça...Ca dégouline littéralement sur ses cuisses.
Et comme pour me le prouver elle est venue poser sa langue dardée sur la muqueuse de sa copine et elle l'a caressée...Anais a étouffé un cri, se retenant parce qu'on était dans les escaliers, son corps se tendant et frémissant, et effectivement, son sexe s'est mis à mouiller d'abondance, ses jets de liquide intime coulant visiblement le long de la face interne de ses jambes.
--Ah salope, tu m'attaques sur mes points faibles...
Marjolaine l'a lâchée, mais elle a descendu le short, et lui a enlevé.
--Tu vas finir les deux étages qui restent cul nu...Si tu croises les voisins, je suis sûre qu'ils seront intéressés...
La soirée ne serait pas décevante, c'était une évidence. On a repris notre montée vers leur appart, Anais devant, sa croupe tendue vers nous, aiguisant nos désirs, ondulant alors qu'elle avançait.
On s'est retrouvés dans leur appart sans avoir rencontré de voisins. C'était une pièce unique, avec beaucoup de lumière.
--Je suis cul nu...Si on faisait un partout, a jeté Anais, en défaisant le bouton qui tenait le pantalon de sa copine à sa taille, et le descendant. Marjolaine n'avait rien en dessous et j'ai aperçu un sexe glabre aussi excité que celui de sa copine, même s'il se dessinait différemment, avec un point saillant, un gland clitoridien qui, en haut de ses lèvres, pointait d'une manière impressionnante. Long et épais, comme je n'avais encore jamais vu un gland clitoridien. Anais l'a faite tourner, me présentant des fesses quasiment jumelles des siennes, et qui me faisaient tout autant envie.
--Je crois que vous m'avez fait une promesse, non ?, je leur ai rappelé.
Dans un bel ensemble, elles ont mis leurs seins à nus, un T-shirt qui est passé par dessus les épaules de l'une, l'autre qui a déboutonné sa chemise et qui l'a faite glisser au sol. Elles étaient nues comme des vers. Offertes.
Je me suis approché de Marjolaine. Ma bouche est venue englober un téton pendant qu'Anais prenait l'autre. Ca a défini la manière dont on allait fonctionner dans les minutes qui suivaient, triangulaire, chacun donnant et prenant du plaisir, un plaisir avec un autre relief, renforcé, renvoyé vers soi, comme dans une chambre d'écho, par le partenaire supplémentaire. On a démarré simplement, sur cette envie qu'elles m'avaient donné. Le téton de Marjolaine dans ma bouche, que j'ai senti s'épaissir, se durcir, gonfler, s'ériger. Le plaisir de la jeune femme me parvenait par ondes. Ce que j'ai perçu aussi, c'était la présence d'Anais tout contre moi, l'épaisseur et la chaleur de son corps, son savoir-faire sur l'autre téton, et l'effet que ça a eu sur Marjolaine, donnant une autre dimension à son plaisir, le renforçant.
Un trait s'était esquissé entre Marjolaine et moi, un autre entre Anais et moi, à travers Marjolaine, un troisième directement entre Anais et moi quand elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon et qu'elle s'est mise à me masturber, en même temps que je venais effleurer les contours de son sexe nu. Si j'avais pu me poser la question, mais ce n'était pas le cas, j'étais convaincu dès le départ, une question d'intuition, qu'elles étaient l'une comme l'autre bisexuelles, elle avait déjà caressé une queue, son habileté pouvait en tout cas le laisser penser, et si qu'on joue avec leurs tétons leur donnait du plaisir, j'en ai eu aussi pendant qu'elle massait mon gland d'une main experte, avant de coulisser le long de ma tige pour venir chercher mes couilles. Je ne suis pas sûr d'avoir été aussi habile en frôlant la partie externe de son sexe, même si je sentais sa mouille couler le long de mes doigts et sur ma paume. Il y a eu un basculement de téton, avant que je ne passe en compagnie de celle qui présentait deux tétons tout tumescents, à ceux de sa copine.
--On va te donner du plaisir, nous aussi, on te le doit, tu nous as défendues...
--N'importe qui en aurait fait autant, j'ai répondu.
--Rien n'est moins sûr, a répondu Anais.
--Ca aura été l'occasion de se rencontrer, a ajouté Marjolaine, et d'avoir du plaisir ensemble. A tout négatif, il y a du positif.
Et comme pour me confirmer que c'était bien le cas, elle m'a fait basculer sur le canapé, et les deux filles ont entrepris de me déshabiller. Elles ont plongé sur ma queue, et, en les voyant donner des coups de langue dessus, très complices, leurs langues se frôlant, se touchant, se rejoignant sur ma queue, ou s'éloignant, pour se prendre chacune une zone, je me suis dit que ce n'était pas la première fois qu'elles se livraient à l'exercice. Je les voyais bien se donnant du plaisir à deux, puis, pour changer, convainquant un garçon de se joindre à elles. Il était vrai qu'elles avaient de nombreux atouts, l'un de ceux-ci étant que les hommes étaient toujours attirés par des filles qui se donnaient du plaisir ensemble.
J'avais une envie. Je suis parvenu à lui donner corps en attirant l'attention d'Anais et en tendant les mains vers elle. Elle a abandonné sa copine pour mieux la rejoindre quelques secondes plus tard, et elle est venue se poser sur moi tête-bêche, se calant en prenant appui le long de mon torse, de telle sorte qu'elle m'offre son cul. Mon regard avait glissé, une heure plus tôt, sur leurs croupes pleines, caressées par la main de l'autre, je n'avais pas imaginé pouvoir en profiter quelques minutes plus tard. Le Destin n'était pas toujours négatif, loin de là.
Sa position l'ouvrait, me donnant à la fois sa déchirure anale, imprimée dans sa chair et sa vulve. Elle est revenue sur ma queue, tandis que, après avoir caressé ses fesses pour mieux m'imprégner de leur volume et de leur forme, j'ai posé ma langue pile là ou son sillon fessier prenait naissance dans ses chairs, et je suis descendu, appuyant sur ses chairs intimes...Elle a poussé un long gémissement, et, comme c'avait été le cas dans l'escalier, sa mouille a jailli d'abondance, c'en était impressionnant, coulant à l'intérieur de ses cuisses, puis sur moi...Je me suis baladé sur elle à mon rythme et en liberté, glissant lentement ou plus rapidement dans la fente qui coupait son cul en deux, et faisant des poses sur les plissements de son anus, les caressant, et sentant bien qu'elle s'ouvrait sous l'effet de ma caresse, en gémissant de plaisir. Je suis venu frotter le pourtour de son sexe, masser des lèvres auxquelles l'excitation avait donné du volume, elle a attrapé ma main, je l'ai laissée faire pendant qu'elle la calibrait pour se donner du plaisir, et l'utiliser comme une sorte de gode, repliant deux doigts, en dressant deux, mais gardant aussi le pouce levé, avant de me guider vers l'ouverture de son sexe, et, me tenant par le poignet, d'utiliser ma main comme elle aurait utilisé un gode, Ca m'a donné un plaisir que je n'attendais pas, à la fois parce que j'aimais le concept, l'idée d'une utilisation de ma main de manière passive, mais aussi les sensations que j'ai eu au bout des doigts, la chaleur de son intérieur, son dessin particulier, que j'apprenais du bout des doigts, et ses jus intimes qui coulaient, ininterrompus, et noyaient ma main avant de s'écouler sur ses chairs.
La soirée a été une série de tableaux, de compositions, à trois, à la recherche du plaisir, dans la créativité, avec la perspective qui se dessinait de multiples infinis, qui pourraient se répéter dans les jours à venir, si jamais on allait au-delà de cette soirée.
On est passé à la deuxième phase quand Marjolaine a dit :
--Ta queue est belle, longue et dure...Et si tu venais en nous ?
Mais j'ai compris que ça ne serait pas forcément comme je l'imaginais, quand j'ai vu Anais s'éclipser et revenir avec un coffret assez volumineux. Les coffrets, ce sont toujours des boites magiques, et c'était bien le cas...Elle l'a ouvert, me dévoilant un nombre impressionnant de godes, de toutes tailles, de toutes formes, et de toutes couleurs. Elle a attrapé un gode qui imitait plus ou moins grossièrement une queue, c'était une queue stylisée, longue, avec deux grosses couilles et un gros gland, elle l'a fixé dans une ceinture en cuir épaisse, avant de passer celle-ci autour de sa taille et de la fermer. La base de la queue reposait contre son sexe, et c'était comme s'il lui était poussé une bite. Quelque chose de fictif mais quand même très troublant.
Je n'oublierai pas les minutes qui ont suivi. Même si toute la soirée a été intense, et très bonne, elles ont été les plus excitantes pour moi. Anais a récupéré dans une autre boite, qui était déjà posée sur la table basse une boite de préservatifs, elle a défait un emballage, et fait glisser le latex sur ma queue raide de désir.
Quand je suis seul, et que je me donne du plaisir, je repense souvent à la séquence qui a suivi, qui représente pour moi le summum de l'excitation. D'ailleurs, quand je me caresse en y songeant, généralement, je ne tiens pas très longtemps.
Anais a attrapé sa maîtresse par la taille, et, s'asseyant sur le canapé, elle l'a amenée sur elle. La queue de plastique était dressée contre son ventre, aussi belle qu'obscène, et la voir ainsi dressée était on ne peut plus troublant, parce que la distance entre imaginaire et réel s'était vite estompée, et, au final, c'était comme si elle avait réellement eu une queue.
Je n'avais jamais vu de sexe comme celui de Marjolaine. Le vagin d'une femme s'ouvrait toujours, d'excitation. Le sien était...Béant, je ne voyais pas d'autre mot. Ouvert sur ses intérieurs, il laissait voir la partir la plus intime, ou une des parties les plus intimes d'elle-même avec une précision qui permettait d'avoir accès, du regard à ses parois internes, toutes roses, au dessin interne de sa vulve, avec des bosses et des creux, à son utérus tout au fond, à la manière aussi, dont les liquides coulaient d'elle, venaient humidifier sa muqueuse, d'une manière variable, simple humidification qui faisait briller ses chairs, ou jaillissement abondant selon son excitation et son plaisir.
Ce qui faisait aussi que son sexe était particulier, c'était ce qui s'imposait, en haut de ses lèvres, ce gland clitoridien qui avait déjà pris une dimension impressionnante, et, comme le nez de Pinocchio, s'allongeait de plus en plus, tout en gardant son épaisseur. Mais la clef, là, ce n'était pas le mensonge mais plutôt le plaisir qu'elle a pu ressentir pendant que sa copine la prenait par le cul.
Tous les trois, fascinés on a regardé la queue d'Anais venir prendre l'anus de son amante. Le sexe exerce une fascination absolue sur l'être humain, dans ses plus petits détails, on en avait encore la preuve. Le gros gland de plastique, surdimensionné, s'est posé contre la muqueuse anale, et il s'est mis à frotter les plissements anaux. Marjolaine s'est mise à gémir, sans fausse honte. On était dans une bulle de plaisir.
--Tu es une belle hypocrite, va, lui a fait remarquer, Anais, en même temps qu'elle commençait à pousser le pénis artificiel dans son cul...Tu dis que j'ai du plaisir par le cul, comme si toi tu n'en avais pas...Si tu te voyais en ce moment...
--Tais-toi et pénétre-moi, c'est tout ce que je demande...Enfonce ta queue aussi loin que tu peux...Je voudrais que tu me la remontes jusque dans la gorge.
Anais, perverse jusqu'au bout, faisait rentrer la queue de plastique très lentement en elle, lui donnant plus de plaisir, et la torturant plus aussi. Il s'est pourtant trouvé un moment où il n'y avait plus rien à enfoncer et où le pénis de plastique était totalement en elle, distendant son rectum. Marjolaine a poussé un soupir, comme si elle avait enfin atteint un but qu'elle avait convoité très longtemps, une sorte d'éléphant blanc.
Le peu de maitrise de soi qu'elle pouvait encore avoir, elle l'a perdu dans les minutes suivantes, quand Anais s'est mise à faire bouger lle pénis postiche en elle, alternant, soit des mouvements très lents, soit très rapides...Elle avait totalement perdu le contrôle, et un flot continu de sécrétions coulait de son sexe, avec lequel alternaient des jaillissements de mouille sous forme d'éjaculations.
Anais m'a jeté un regard, sans prononcer un mot, mais j'ai parfaitement compris le message. L'excitation voyeuriste que m'avait procuré la scène m'avait encore plus dilaté, je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros. Je me suis approché de Marjolaine.
Je n'avais qu'une envie, elle l'a sans doute lu dans mon regard. Moi ce que j'ai lu dans le sien, comme une validation, c'était qu'elle avait envie aussi. C'est avec un mélange d'envie et d'émotion que j'ai approché mon gland énorme, arrosé par les sécrétions qui sortaient de mon méat d'un gland clitoridien qui ne l'était pas moins, long et gros, plus long et plus gros sans doute que pouvait l'être un micro-pénis. Il y a eu un premier contact qui a envoyé de l'électricité dans mon corps.J'ai cru un instant que j'allais jouir tellement ça a été fort. Je me suis détaché, puis je suis revenu. J'ai bien vu que pour elle aussi, ça avait été intense. Pour le meilleur comme pour le pire, mais ce serait plutôt pour le meilleur, j'ai rapproché ma queue du gland clitoridien, et je me suis mis à le frotter. Il était chaud et dur contre moi, et il me caressait aussi.
Sous mes yeux, et sous ceux d'Anais, qui devait être habituée, mais dans un autre contexte, elle s'est littéralement liquéfiée, se dissolvant dans le plaisir qui grandissait en elle, avec deux sources, la queue qui fouillait son anus, et celle qui frottait son gland clitoridien. Elle était avec nous, et en même temps ailleurs.
C'est d'un geste, celui de descendre légèrement, du bout des doigts ma queue qu'elle m'a fait comprendre qu'elle voulait que je la pénètre.
Ma queue s'est glissée au cœur de sa vulve, et a avancé jusqu'à ce que mon gland vienne taper contre son utérus.
Là aussi, c'était tout sauf une pénétration classique, parce que j'ai senti très rapidement, alors que je bougeais en elle, mais c'était la première fois que je partais sur une double pénétration, même si ce n'était pas une vraie queue, que la peau séparant son vagin et son anus était tellement fine que c'était comme si les deux queues avaient été unies dans son ventre pour lui donner du plaisir. Je me suis calé sur le rythme d'Anais, et nous avons bougé de concert. Apparemment, même si la queue était de plastique et pas de chair, Anais avait toutes les sensations et elle n'était pas dans un meilleur état que Marjolaine et moi...Quand Marjolaine s'est écriée :
--Oh, mon Dieu, je suis entrain de jouir, ça a été une sorte de déclencheur, qui a fait que nous n'avons pas été capables de tenir plus longtemps, et nous avons joui, d'un seul ou de plusieurs orgasmes enchaînés,
--J'ai envie de quelque chose de différent, a proclamé Anais.
Et on a écrit un script différent. Marjolaine s'est approchée du coffret pendant qu'Anais défaisait son harnachement. Elle a opté pour un gode violet, stylisé, une simple tige épaisse, et elle l'a attaché à son ventre. Elle s'est allongée sur le divan, et Anais est venue s'allonger sur elle, guidant la queue de plastique vers ses lèvres. Elle s'est enfoncée dessus, mais a basculé d'une position où elle était quasiment assise sur la queue de plastique à une position où son torse était à l'horizontale, tendant ainsi sa croupe vers moi, et m'offrant cette muqueuse anale que sa copine avait exhibée dans l'escalier. Je n'avais pas connu beaucoup de copines qui aimaient jouir par le cul, et c'était un plaisir immense rien que d'anticiper ce qui est devenu réalité quelques secondes plus tard. Je suis venu balader ma queue dans le sillon que la position ouvrait, la faisant gémir de plaisir. Chacune avait sa zone de plaisir, pour Marjolaine, c'était son gland clitoridien surdimensionné, pour Anais, c'était sa zone anale au sens large. Fouillées par les deux queues, l'artificielle et la réelle, elle est très vite montée sur les échelons du plaisir, mais à l'autre bout de leurs queues, ses partenaires étaient aussi en pleine ébullition.
Ca a été plus tard dans la soirée que je leur ai demandé ce qui me faisait envie. Nous ne nous reverrions peut-être jamais, et il y avait cette envie, ce fantasme, qui tournait dans ma tête. Mais je sentais bien qu'elles étaient dans une ouverture, depuis le début, que n'auraient pas eu d'autres filles. Et puis j'avais contribué à matérialiser leurs fantasmes, elles pouvaient bien m'aider à aller jusqu'au bout de mes envies.
C'était sans doute le fantasme de quelqu'un qui a vu trop de pornos, et qui rêve d'une situation qui n'existe pas dans la réalité. Elle s'est pourtant bien matérialisée.
Il y en a eu une qui s'est mise à quatre pattes sur le divan, et l'autre qui est venu se percher sur elle. Je me suis dit au dernier moment que c'était une position intenable, et pourtant, elles se sont calées de telle manière qu'il y en avait une posée sur l'autre, l'autre en soutien, et ça ne semblait pas les gêner, ni les faire souffrir. Dans cette position, elles étaient offertes, comme tout homme pouvait rêver qu'elles soient offertes, l'une ET l'autre, leurs croupes tendues vers moi, leurs orifices à disposition...
J'ai été de l'une à l'autre, au maximum du plaisir, sentant leurs corps frémir, enchaînant une continuité d'orgasmes, entre elles et moi jusqu'à ce que nous soyions à bout de forces.
Il était trois heures du matin, quand, après qu'on se soit endormis à même le canapé, j'ai pris conscience qu'il était temps pour moi de rentrer chez moi. J'habitais tout près, et pourtant j'étais à mille lieux de ce début de soirée, si banal, quand mon regard s'était posé sur elles, sans que je puisse imaginer...C'étaient les surprises de la vie...
Je me rhabillais quand Anais a ouvert un œil.
--On est là tous les soirs...Si tu revenais ? Quand tu voudras... C'était bien comme ça, et il y a plein d'autres possibilités.
Et elle s'est rendormie aussitôt.
J'ai refermé la porte derrière elles, et je suis rentré chez moi.





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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Les deux filles de l'épicerie de nuit

Le 04/09/2023 - 13:28 par OlgaT
Un superbe trio!

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