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La laisse partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/09/2023

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LA LAISSE
partie 1


Je suis un homme mais je travaille dans un milieu qui rassemble beaucoup de femmes. Je fais du secrétariat médical. C'est quelque chose que j'ai choisi en toute connaissance de cause, et qui me plaît énormément. J'ai eu la chance de faire des postes sympathiques. Là, depuis trois ans, je suis à T..., métropole du Sud-Ouest, dans un cabinet de dentistes qui fonctionne très bien parce qu'ils font aussi des prothèses. Il y a beaucoup de monde qui vient, et il s'est avéré rapidement qu'il était nécessaire de prendre une deuxième personne pour m'aider. Je n'étais pas contre, bien au contraire. Effectivement, je débordais sur les heures que j'aurais du faire, à rester le soir, venir le matin plus tôt, prendre du travail le week-end.
La personne qui dirige le cabinet m'a proposé de faire avec elle les entretiens d'embauche. Contrairement à ce que l'on aurait pu penser, on n'a pas eu beaucoup de candidats, et on s 'est retrouvés à devoir faire passer huit personnes. Des femmes, entre 15 et 50 ans...
Quand Aude a pénétré dans la pièce, je crois qu'on a tous les deux senti tout de suite la différence. Elle avait, d'abord, un CV très rempli d'expériences diverses, ce qui n'était pas le cas des autres, par exemple elle avait fait dix ans de théâtre, avait trois BTS, fait des séjours plus ou moins longs dans une dizaine de pays...
Il y avait quelque chose qui émanait d'elle que n'avaient pas les autres candidates...On sentait dans chacune d'entre elles une forme de lassitude. Elles cherchaient un travail, elles en avaient besoin pour vivre, mais on sentait bien qu'il ne les intéressait pas vraiment. Aude, en tout cas, qui avait déjà travaillé à ce poste, semblait sérieusement motivée et enthousiaste.
Mon supérieur était une femme. Elle n'a sans doute pas ressenti la même chose que moi, mais, au-delà, moi, j'ai perçu, outre une beauté et une fraîcheur évidentes, une sensualité qui m'a nettement troublé, annonciatrice sans doute de ce qui était à venir. Toutes les femmes avaient fait un effort sur leur tenue, tailleur, belle robe. Avec Aude, on était sur un autre axe. Elle avait une robe bleu nuit, très courte et très moulante, qui soulignait des formes généreuses, robe courte, qui s’arrêtait en haut de ses cuisses, dévoilant des jambes magnifiques, prises juste au-dessus du genou par des cuissardes noires.
Elle s'est posée face à nous, et l'entretien a démarré. On voyait tout de suite que c'était une fille vive, intelligente. Comme une évidence que c'était certainement celle qui avait le meilleur profil de toutes.
Je prenais des notes sur chaque candidat.
C'est en relevant la tête que je me suis rendu compte que, face à moi, à quelques centimètres, je pouvais clairement voir sa chatte.
Elle s'était posée sur la chaise avait d'abord croisé les jambes, puis changé de posture pour poser ses pieds directement sur le sol, jambes ouvertes. La robe était courte, elle était de plus remontée sur ses hanches, et j'ai eu une vision impeccable de son sexe. Au cas où on aurait pu en douter, c'était bien une fille que nous avions devant nous. Tout le disait, du triangle roux taillé soigneusement à la fente qui s'inscrivait dans sa chair, dont sortaient deux bouts de lèvre qui se dessinaient différemment, mais aussi le cordon d'un tampon. Elle n'était pas cul nu, elle avait un collant fin, mais celui-ci ne comportait pas de pièce qui masque son intimité, et elle n'avait pas jugé nécessaire de mettre de culotte entre le lycra et son anatomie.
C'était justement la dernière candidate. Elle a eu droit à un 'On vous rappellera !' classique, mais, une fois qu'elle a refermé la porte, ma patronne m'a dit :
'C'est elle qu'il nous faut. Elle est intelligente et dynamique. Par contre, il faudra lui dire de mettre une culotte quand elle vient travailler.'
Je n'ai pas compris si c'était de l'humour ou une conviction profonde. Et tout cas, si ça a été dit, comme j'ai pu le constater dans les mois qui ont suivi, c'est entré par une oreille et sorti par l'autre. En dehors de ses menstruations, je n'ai jamais d'ailleurs vraiment compris selon quelle logique elle mettait ou ne mettait pas de slip. Un jour où, dans le bureau, elle était pliée en deux au dessus d'un classeur métallique, sa robe courte comme celle du jour de l'entretien remontée quasiment à la taille, dévoilant, sous un collant encore, son anatomie intime, je lui avais fait remarquer :
--Tu mets pas souvent de culotte...
Cette remarque pourrait paraître déplacée mais elle ne l'était pas. Aude et moi on avait tout de suite sympathisé, c'était une fille très ouverte, dans tous les sens du terme, et elle avait une tendance naturelle à parler d'elle-même, y compris de détails intimes, mais aussi de sa vie sexuelle avec un naturel qui faisait que ma question, qui dans un autre contexte aurait déclenché un Me too ! Elle était même soft par rapport à sa confession du matin, où elle m'avait dit : 'Dimanche soir, je m'emmerdais, j'ai été dans un petit resto,, il y avait deux types qui étaient là, la trentaine, il y en a un qui est venu me proposer de m'asseoir avec eux, ça a fini dans les chiottes, je leur ai sucé la queue à tous les deux...Ils avaient deux belles bites...Si tu avais vu ça...J'ai frotté leurs queues l'une contre l'autre, ils ont adoré ca...Les mecs, je crois bien qu'ils préféreraient faire leurs affaires entre eux s'ils n'avaient pas besoin de nous pour faire des gosses...Je suis parvenue à rentrer leurs deux queues dans ma bouche, je devais pas être très belle, mais ça a été bon, j'ai branlé leurs queues et ils ont craché leur sperme dans ma gorge, il s'y est mélangé...J'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais...Je me caressais en même temps, j'ai eu un orgasme...Ahh, ça a été un bon moment...'
--Ben tu sais, ça dépend des jours, elle m'a répondu. C'est une question d'humeur. Mais c'est vrai que j'aime bien ne pas mettre de slip...Ca te fait des sensations tellement agréables...Et puis j'aime bien quand le lycra frotte contre ma chatte...
Je m'étais fait au fil des mois à sa personnalité. Difficile de ne pas l'apprécier, d'ailleurs. C'était une fille bosseuse, intelligente, avait un rare esprit de synthèse, et elle était vraiment gentille. Sans doute un rien trop naive aussi. Elle me racontait tout de sa vie de célibataire en recherche de plaisirs, essentiellement sexuels, 'c'est naturel', comme elle disait.
Et puis bien sûr, difficile d'en faire abstraction, elle était vraiment belle, hyper sensuelle, et elle savait nettement se mettre en valeur. Elle était toujours ultra-sexy. Quoi qu'elle porte. Pantalons ultra-moulants, top serrés et décolletés, robe courtes et collantes, c'était un peu sa spécialité, tenues en vinyle, en cuir...Elle avait aussi une passion pour les bottes, les cuissardes...
Notre relation d'ailleurs s'était très vite sexualisée,, et pas seulement parce que je voyais souvent son anatomie, vu ses tenues courtes, son impudeur...
Il y a eu par exemple cette fois où elle a ôté son débardeur, dessous, si elle n'avait pas de slip, elle avait toujours un soutien-gorge, parce que, comme elle me disait 'J'ai de gros seins, je suis obsédée par le fait qu'ils puissent tomber...' elle avait aussi fait sauter son soutien-gorge, mettant à nu deux seins bien pleins, et qui pour l'instant étaient bien fermes et dressés...' Mes nichons me font mal...Ca doit être l'arrivée des règles...Tu ne veux pas me mettre un peu de crème dessus ?'
Et hop, sans doute pour me convaincre, elle m'avait sorti un tube de pommade.
On s'est calés dans la pièce à côté...J'avais fait pas mal de secourisme....Mais jamais encore apporté des secours à des nichons somptueux. Je me suis enduit les mains de crème, et je suis venu les masser, d'abord sur sa chair, puis à sa demande 'Il faut aussi que tu viennes sur mes aréoles et mes tétons, c'est très douloureux tout ça'... je me suis déplacé sur cette zone, pouvant constater de visu et au bout de mes doigts à quel point ses tétons étaient érectiles...C'était impressionnant. Elle s'est cambrée, les yeux clos, commençant par soupirer, mais, quand je suis venu sur les tétons, elle s'est mise à gémir.
Elle portait ce jour-là une micro-jupe, à ras du bonbon, comme on dit vulgairement, et elle n'avais pas à aller très loin pour caresser son sexe, ce qu'elle a fait, à travers le collant, pendant que j'appliquais la crème.
--Ahh, ca me soulage, ca me fait un bien fou, t'as pas idée...Je me sens bien mieux....
J'ai bien compris que les derniers 'ahhh', plutôt longs, correspondaient à un orgasme ou quelque chose qui s'en rapprochait très fortement. Comme elle me l'avait dit une fois, passant son anatomie au peigne fin, 'Je suis hyper-sensible des seins, je fais partie de ces filles qui peuvent jouir rien qu'en se caressant les seins...Ou si on leur caresse les seins...' C'était sans doute le cas. D'ailleurs, quand on est revenus dans l'autre pièce, et qu'elle s'est recalée sur son fauteuil, jambes ouvertes, j'ai vu que l’entrejambe de son collant, sur une large zone, était luisant de ses sécrétions, et que son sexe, que je voyais quasi quotidiennement, tout au long de la journée, et que j'aurais pu dessiner dans la nuit si on me l'avait demandé, était bien ouvert sur son intérieur rose. C'était bien la première fois que je le voyais comme ça.
Ca a été une semaine plus tard qu'elle m'a dit :
--J'aurais besoin que tu me remettes de la crème, mais pas au même endroit, et c'est pas la même...C'est une crème hypo-allergénique spéciale pour les muqueuses...
--Tout pour te dépanner, ma petite Aude.
Je suis sans doute très naïf parce que, même si elle avait évoqué des muqueuses, je n'avais pas compris qu'elle parlait de sa chatte.
Elle est passée dans la réserve. Pour une fois, elle n'avait pas de robe ou de jupe, mais un pantalon en vinyle hyper-moulant, la faisant plus nue que nue, galbant, soulignant, magnifiant ses formes, dessinant avec précision ce qui faisait d'elle une femme. Sans pudeur, c'était quelque chose qui avait disparu de sa vie il y avait très longtemps, qu'elle n'avait peut-être même jamais connu, elle a défait sa ceinture, le bouton qui le tenait, la fermeture-éclair et elle l'a tiré vers le bas. Dessous, à ma grande surprise, elle avait un string rouge, en dentelle, qui a fini à ses chevilles. Elle a dégagé une jambe, avant de me dire :
--Viens.. . Tiens ça c'est le tube de crème,
Ce qui était surprenant aussi, c'était qu'elle avait des bas stay-up, que je n'aurais imaginés sous un pantalon. Mais il était vrai qu'il faisait très froid.
C'était effectivement un tube de crème différent de la fois précédente. Et bien choisi. Il y avait écrit dessus ;'Démangeaisons des muqueuses intimes. Hypo-allergénique.'
Et je suis venu me placer entre ses cuisses, à trois centimètres de son sexe. Je l'avais tellement vu ce sexe, sous tous ses angles, sous toutes ses ouvertures...que j'avais le sentiment d’être en terrain conquis.
C'était en tout cas la première fois que je la voyais sous un angle différent. En effet, habituellement, elle avait une culotte, ou pas de culotte, un collant avec ou sans culotte, mais je ne l'avais jamais vue avec des bas stay-up. J'ai trouvé ça sexy, en tout cas. Le nylon se terminait à mi-cuisse, remplacé par une jarretière élastiquée noire qui permettait au chaussant de tenir. Ca changeait, et c'était sexy. Son sexe, lui, était nu, et son dessin, mais aussi le jet de mouille qui est sorti tout en bas disaient son excitation à l'idée de ce qui allait se passer. Elle avait les lèvres sorties, et je les voyais toutes gonflées, et encore gonfler devant moi, d'excitation. Et puis son gland clitoridien s'est aussi décalotté. Alors même que je ne l'avais pas encore touchée.
J'ai attrapé la crème, et je m'en suis mis sur la pulpe des doigts. En dehors d'une énorme érection, je n'avais pas d'émotion particulière en venant poser la pointe de mes doigts contre son sexe. J'ai commencé à la masser, dans un mouvement de haut en bas. Elle a lâché un soupir comme je ne lui en avais jamais entendu lâcher.
--Ah mon Dieu, que ça fait du bien, c'est pas possible...J'ai du me faire piquer par des moustiques cette nuit. Faut dire que je dors toujours à poil.
J'ai eu envie de lui dire qu'elle faisait tout à poil, mais je me suis abstenu.
Je trouvais ça drôle et excitant à la fois d'avoir contre mes doigts le relief de son sexe, ses lèvres, son clitoris, mais aussi de sentir son corps frémir. Si elle avait des démangeaisons, celles-ci étaient depuis longtemps passées, et ce qu'elle éprouvait, c'était du plaisir.
Elle a bloqué ma main, la prenant au poignet, et elle m'a dit :
--Il faudrait que tu mettes tes doigts dedans, sinon, ça ne sera pas efficace. Pour me guérir totalement.
Ca a fait un bruit visqueux quand j'ai mis mon majeur et mon index en elle, je me suis demandé si c'était simplement lié à la pénétration, aux liquides qui remplissaient sa chatte, ou à la pommade...Elle a lâché un long gémissement, premier d'une longue série, alors que je faisais bouger ces deux doigts en elle. Au bout d'un moment, à mon avis, il n'y avait plus de crème dessus, mais ça n'était pas vraiment le problème...Elle montait vers la jouissance, m'arrosant et arrosant ses chairs de jets de liquide de plus en plus abondants. Au bout d'un moment, elle a dit :
--Je crois que je vais...
Elle aurait du dire jouir, mais elle ne l'a pas dit, car c'était aller à l'opposé de sa théorie selon laquelle elle avait des irritations et besoin de crème...Elle a lâché une espèce de cri rauque et de se tendre...Le ventre agité de spasmes, elle a craché plusieurs jets de liquide, de véritables éjaculations comme je n'en avais encore jamais vu chez mes copines...Elle a trempé ses cuisses, ses bas, mais aussi mon visage, mes vêtements...Heureusement que j'avais des vêtements de rechange dans la voiture, j'étais bon pour aller me changer. Et pas que pour ça. D'excitation, mais sans jouir, j'avais éjaculé dans mon caleçon.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La laisse partie 1

Le 08/09/2023 - 23:33 par OlgaT
Voilà un collègue très serviable!

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