Les fantasmes de la jeune Marie-Pierre 2

Déjà 3 semaines se sont écoulées depuis ma soirée avec Mathieu et je n'ai eu aucune nouvelle de lui, pas d'appel, pas de mail, pas de texto. Bien sûr il ne me doit rien, il ne m'a rien promis, mais quand même, j'espérais. Peut-être n'ai-je pas été assez à la hauteur? Peut-être n'a-t-il rien à faire d'une jeune comme moi finalement? Peut-être fréquente-t-il une femme? Je n'ai aucune envie des garçons de mon âge, depuis notre rencontre, il n'y a que lui, je pense à lui jours et nuits. Presque à chaque soir, seule dans ma chambre, je me masturbe en rêvant à notre soirée passée ensemble.

C'est vendredi soir, on est au resto avec quelques copines dont Isabelle à qui j'ai tout raconté mon aventure avec Mathieu. Il fallait que j'en parle à quelqu'un! C'est à elle que j'ai tout dit, au début les grandes lignes puis voyant qu'elle en voulait plus, dans les moindre détails, ou presque. Nous sommes dans l'attente que le serveur nous apporte le dessert quand mon portable vibre dans ma poche. Je jette un regard discret, c'est un texto qui mentionne seulement le nom d'un grand hôtel, un numéro de chambre et la mention 30 minutes. Je ne reconnais pas le numéro, ça ne peut être que lui, ça doit être lui. Je réponds en demandant à l'expéditeur qui il est. Après 5 minutes, pas de réponse, il ne répondra pas. Je vais y aller, mais comment faire pour fausser compagnie à mes amies en douce sans éveiller les soupçons. Je vais aux toilettes pour réfléchir. Je dois faire vite, il a écrit 30 minutes et l'hôtel n'est pas à la porte à côté. Je reviens à la table prétextant que j'ai un mal de tête soudain et que je dois rentrer et peut-être vais-je les rejoindre plus tard si je me sens mieux. Je n'ai rien trouvé de plus convainquant comme mensonge, tant pis, une fois la porte du restaurant passée, tout ça m'est égal, ce qui m'importe est ce texto et la promesse qu'il apporte.

Je saute dans le premier taxi, l'hôtel est à une dizaine de kilomètres, j'arriverai juste à temps. Durant le trajet, je me rends à l'évidence que Mathieu veut que je sois à sa disposition, il veut que je sois sa maîtresse, il veut que je sois sa soumise. Le texto qu'il m'a envoyé ne laisse pas de doute, il sait très bien, et moi aussi, que si je me présente à l'hôtel, j'accepte de faire ce qu'il veut, comme il le veut et quand il le veut. Ce message court, direct et autoritaire est un test et je m'apprête à le passer. J'ai hâte d'arriver, je suis excitée mais aussi nerveuse à l'idée de le revoir, il faut que je sois prête à satisfaire ses moindres désirs. Arrivée sur place, je prends l'ascenseur, l'endroit est somptueux, c'est un des plus beaux établissements de la ville.

J'arrive face à la porte de la chambre, mon cœur bat à tout rompre, je frappe, il m'ouvre, heureusement c'est bel et bien lui. Il m'invite à entrer, me scrute de bas en haut sans aucune pudeur et me fait remarquer que je ne suis pas habillée comme une garce comme la dernière fois. Est-ce un compliment ou non? Venant de lui je n'en suis pas sûr. Voudrait-il que je sois habillée plus sexy ou préfère-t-il mon habillement plus sobre? Pendant que je m'avance dans la suite, il m'enlace aussitôt par derrière et m'embrasse le cou puis la nuque, il ne perd pas de temps et me prend les seins à pleines mains. Il me complimente encore sur leur grosseur tout en me les malaxant avidement. Son bassin effectue déjà des mouvements de va-et-vient, je sens son volumineux membre entre mes deux fesses à travers mon pantalon et le sien, son érection est évidente. Je suis moi aussi très excitée, ma chatte est déjà bien humide, je l'accompagne en faisant moi aussi des mouvements de bassins et presse mon petit cul le plus fermement possible sur sa verge.

Il me demande alors de me déshabiller complètement, face à lui. Il me regarde pendant que je retire mon pantalon puis mon chemisier, je me sens si vulnérable mais j'ai confiance en lui. Je retire mon soutien-gorge, il veut que je me caresse les seins avec mes deux mains, je m'exécute, je les tripote en les rapprochant l'un sur l'autre tantôt tendrement, tantôt vigoureusement. Je pince mes mamelons ou les effleure, je me caresse du mieux que je peux afin de lui plaire. Il se masturbe tout au long de cette séance me demandant de temps à autre de rester face à lui ou de me retourne afin de mater mes fesses pendant que je me pelote toujours les seins. Je suis très attisée de le voir se branler en me regardant me toucher la poitrine, j'adore le savoir satisfait. Ma petite culotte rose pâle est bientôt translucide tellement elle est mouillée. Il m'ordonne de la retirer tout en continuant de se manipuler, je l'ôte d'une main en laissant l'autre sur mes seins. Il s'approche, je m'apprête à m'agenouiller pour le sucer mais il me donne plutôt une légère poussée, je tombe assis sur le lit, il exige que je me masturbe. Je me couche et commence à me toucher, je me caresse la chatte, lui se branle toujours face à moi, son pénis est placé juste au-dessus de mon ventre. Il est si long qu'il se rend jusqu'à mon nombril. Je veux prendre son engin avec ma main mais il préfère que je me concentre sur ma fente. La vue de sa queue titanesque en érection m'enflamme, je me masturbe avec de plus en plus de vigueur, bientôt, mes premiers petits gémissements de plaisir se font entendre, je ne fais rien pour les retenir.

Sans arrêter de se branler, il me dit que ma chatte n'est pas entretenue adéquatement et que dorénavant, elle devra être complètement rasée à l'exception d'une fine ligne de poil de bas en haut. Il est très strict sur ce point, je dois l'entretenir à chaque jour, il ne tolérera pas de faux pas. Je le rassure et lui dit que ça sera fait comme il le souhaite désormais. Il est très satisfait que je me soumette ainsi, il augmente la cadence de sa main sur sa verge, je le sens de plus en plus excité. Je le suis moi aussi, je m'enfonce deux doigts dans le vagin et me prend les seins de l'autre main, je sens que je vais jouir bientôt. Il me regarde faire et ne dit rien, il me fait un discret hochement de tête m'autorisant à continuer jusqu'à la jouissance. Mes gémissements s'accélèrent et sont de plus en plus forts, la chaleur monte en moi, l'orgasme est à la porte, mon index et mon majeur pressent fermement mon clitoris en effectuant des mouvements circulaires rapides. Au moment où tout mon corps allait s'abandonner et atteindre le nirvana, Mathieu me prend la main et me la retire me privant de l'orgasme. Instinctivement, mon bassin fait des mouvements intenses de va-et-vient dans le vide, espérant en vain l'arrivée de cette sensation ultime qui était pourtant toute proche. Je le regarde d'un air désireux et un peu piteux, j'aimerais tant jouir, j'en ai si envie. Mon maître a plutôt décidé que je dois me mettre à genoux maintenant. Mon plaisir devra attendre.

Je sais très bien ce que j'ai à faire, je commence par lui lécher les testicules, il me donne de petits coups de verge dans le visage tout en se branlant. J'ai envie de sa queue, j'insère son membre jusqu'au fond de ma bouche et le suce doucement. Ma main droite enroulée à la base de son organe le crosse pendant que ma bouche et mes lèvres accomplissent la fellation. Ma main gauche caresse tendrement ses couilles sûrement gorgées d'un imposant volume de sperme. Malgré ma main qui tient la base de son pénis, ce dernier est si long qu'il atteint tout de mène le fond de ma bouche. À mesure que je le branle et le suce, je sens que l'attente sera courte, il explosera sous peu, je ramène mes deux mains sur son pénis, c'est la seule façon d'en faire le tour. J'entrelace mes doigts ensemble et augmente l'intensité du mouvement de va-et-vient avec mes deux petites mains pendant que mes lèvres sucent son gland turgescent. Je sais pertinemment ce que je dois faire, il n'a pas besoin de dire quoi que ce soit, je dois le laisser venir dans ma bouche et tout avaler sans rouspéter.

Mes deux mains jointes le masturbe toujours, je lève mes yeux pour le regarder tout en le suçant de plus en plus rapidement, c'est le déclencheur qui fallait pour lui faire atteindre le point de non-retour, il aime que je le regarde pendant que je lui fait une pipe, il laisse aller un long cri grave qui est vite suivi par une première décharge monstrueuse de sperme, ma cavité buccale est déjà remplie. Je sors sa queue légèrement de ma bouche car il n'y a pas assez de place pour elle et toute la semence à venir. Un autre jet tout aussi imposant et puissant percute mon palet et vient s'ajouter au premier. Je masturbe sa verge en l'éloignant à une dizaine de centimètres de mon visage tout en m'assurant de l'orienter en direction de ma bouche que je maintiens grande ouverte, je ne dois pas manquer la cible. Tout au long de son orgasme, je maintiens un contact visuel avec lui pendant qu'il m'éjacule en pleine bouche, je me sens salope, je suis à lui. Je vise juste, le troisième jaillissement vole dans les airs et entre à nouveau complètement dans ma bouche. Mathieu, visiblement satisfait de mon travail, me laisse faire tout le boulot sans broncher, il ne me corrige pas et ne m'impose rien. À mesure que son sperme entre dans ma bouche, je suis soulagée de voir que je le satisfais, qu'il me trouve à la hauteur, je suis excitée de lui être soumise. Une quatrième gerbe blanche et gluante vient s'ajouter au bain de liquide visqueux qui s'accumule maintenant au fond de ma cavité buccale. Le volume devient trop important, je dois maintenant incliner ma tête vers l'arrière pour augmenter la capacité de rétention de ma bouche afin d'éviter que le sperme ne ressorte. Les giclées de foutre se succèdent sans fin comme j'avais anticipé, je ne laisse pas une seule goutte s'échapper, il ne pourra pas me réprimander c'est sûr! Ma bouche est désormais tellement pleine de son liquide séminal visqueux que je dois renverser ma tête complètement vers l'arrière à l'horizontal pour créer le plus grand récipient possible avec ma bouche. Ses jets devenant moins puissants, je rapproche son membre tout près, les dernières coulées de sperme pouvant ainsi tomber entre mes deux lèvres, je suis remplie à pleine capacité. Je manipule doucement son pénis qui a maintenant fini d'expulser l'éjaculât tout en le regardant fixement dans les yeux. Il me complimente sur mon bon travail de jeune dévergondée soumise. Je referme à bouche prête à avaler du sperme pour la première fois, j'aimerais bien afficher cet air confiant d'actrice porno expérimentée et habituée de faire cet acte mais je ne peux faire abstraction d'un certain dégoût d'avoir la bouche inondée de sperme si gluant et visqueux, c'est une texture qui ne ressemble à aucun liquide comestible. Il y en a trop pour l'avaler d'un seul trait, je dois déglutir plusieurs fois pour y arriver, je ne peux retenir une moue de dédain qui semble plaire énormément à mon maître. Il aime me voir dégoûtée par son foutre. Le sperme coule très lentement le long de ma gorge mais je finis par l'avoir complètement bu. Une couche résiduelle tapisse toujours ma bouche et ma gorge, jusqu'à mon estomac mais j'ai réussi à finalement tout avaler sans en perdre une goutte, je suis fière de moi.

Il m'introduit sa queue dans la bouche brusquement, je l'astique du mieux que je peux, j'aspire les dernières gouttes hors de son méat, je lave sa verge pour la rendre luisante et bien propre. Il remonte son pantalon. Maintenant que je l'ai fait jouir, je veux jouir à mon tour, je suis si allumée, un seul coup de langue sur mon clito me ferait monter au septième ciel. Il se retourne et ne me touche pas. Tant pis, je commence à me masturber. Il n'est pas content, il ne m'y a pas autorisé. Il me somme d'arrêter. Il m'explique que son plaisir est ma priorité et que le mien est accessoire, c'est lui qui décide si je jouirai ou non. Ce soir je ne jouirai pas. Je ne dois sous aucune considération me faire venir d'ici la fin de la journée, demain seulement je pourrai. Nous discutons quelques minutes puis il me propose d'appeler un taxi afin que je rentre, il me donne un montant plus que convenable pour couvrir la course. Avant que je sorte de la chambre, il me demande si j'ai aimé la soirée et si j'obéirai encore la prochaine fois qu'il me contactera, je lui réponds par l'affirmative sans hésitation en affichant un petit sourire complice, il me sourit en retour, je suis aux anges, il veut me revoir. Avant de prendre un taxi, je m'arrête au bar de l'hôtel pour me commander une coupe de vin afin de chasser le goût de sperme toujours présent dans ma bouche, bien sûr, je dois montrer mes cartes d'identité au barman, il croit que je suis mineure. Il doit aussi sûrement penser que je suis une pute qui vient d'en finir avec un client, tant pour lui, il ne sait pas à quel point Mathieu et moi nous nous aimons.

Arrivée à la maison, je me précipite sous la douche et entreprends de me raser la chatte exactement comme il me l'a prescrit. Mon clitoris est gonflée par l'excitation mais je n'y touche pas, il serait furieux s'il l'apprenait. J'ai toutes les difficultés à m'endormir ce soir-là, je ne fais que penser à lui, il me démange de me branler. Au petit matin, je n'ai même pas ouvert les yeux que ma main est déjà en train de travailler ma chatte et mon clitoris. Je me masturbe frénétiquement et en mois de temps qu'il ne le faut pour le dire, j'orgasme violemment, les cris de jouissance résonnent dans la maison, je ne peux rien y faire, je ne suis pas assez forte pour les réprimer. Je jouis si fort que j'en réveille ma sœur Sandra et mes parents. Ma mère entre dans ma chambre intriguée et inquiète, je suis rouge de honte et je lui donne une excuse bidon, elle ne semble pas en croire un mot, ça m'est égal, j'aime Mathieu si fort...