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Les fantasmes de Zora

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Lue : 16062 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/11/2009

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Ce soir Je rentre à Dijon, je laisse pour un moment mon stage, mon copain. Assise dans le train je devrais être triste, abattue et pourtant au fond de moi une joie commence à poindre. Je vais pouvoir le soir, seule, à mon aise, sous la couette, nue, me remettre à jouir intensément, sans contrainte avant de plonger dans un sommeil profond.

Je vais regretter un peu les câlins de mon ami qui fait tout pour me faire jouir sans toujours y parvenir. Il faut dire que je suis insatiable et que personne jusqu’alors n’a su assouvir mon besoin irrépressible de sexe.

Au fond de mon sac j’ai mis le godemichet vibrant qui m’aide beaucoup à jouir quand j’ai en tête ces histoires fantastiques qui me laisse pantelante, ivre de plaisir en étant parfois l’héroïne des situations érotiques où ces histoires me plongent.

Je suis fébrile car j’ai aussi fait l’acquisition d’un autre sex-toy qui m’apportera je le sais ce qui m’a toujours manqué. En pensant à ce que je vais en faire, mes cuisses se resserrent pressant ma chatte.

Le train n’est pas bondé, je ferme les yeux, projetant mon esprit sur ce premier soir qui m’attend. Mon corps devient mou, je me relâche, j’allonge mes jambes, j’ai le temps, je vais dormir……
Dans un demi sommeil j’écarquille les yeux, j’ai un voisin qui me fait face au bord de la vitre ; un homme d’environ 35 ans, très bien coiffé, très bel homme avec des yeux magnifiques et un sourire à croquer… Il a du monter à un arrêt, nous nous regardons, il me sourit et se penchant vers moi il me dit :

- Dormez bien, je veille sur vous

Il a une voix chaude, les mots sortent distincts de sa bouche bien dessinées et ornée de dents magnifiques. Je pensais que j’aurai du plaisir à me faire prendre par cet inconnu et je sentis ma chatte s’inonder…

- Merci de prendre soins de moi mais rassurez vous je descends au terminus

- C’est chouette moi aussi, en bavardant si vous voulez le temps va nous sembler moins long

C’est à cet instant que nos genoux s’effleurèrent, de son fait, car il s’était rapproché de moi pour que je comprenne mieux ce qu’il avait à me dire sans doute. Je ne fis rien pour me dérober et au bout de quelques phrases il avait conforté sa position emprisonnant ma cuisse droite entre les siennes. J’étais bien, la chatte en feu, je fermais les yeux, attentive à la moindre caresse.

Je sentais ses mollets sur les miens, c’était doux, c’était chaud, c’était bon, je faisais comme si de rien n’était mais ma chatte, elle, ne cessait de mouiller. Par des mouvements de reptation, par les glissements de ses cuisses sur la mienne prisonnière, il cherchait sans doute à me montrer que ces caresses n’étaient pas fortuites ou la conséquence du tangage de la rame. Il voulait être sur que j’étais consentante. Il devina ma réponse quand m’avançant vers lui je m’encastrais davantage. Alors cela alla plus vite, sa main droite posée sur mon genou et comme je lui souriais, prenant son journal qu’il ouvrit sa main par-dessous s’avança sous ma jupe et s’enfonça entre mes cuisses ouvertes.

Je ne pus lui cacher l’effet qu’il me faisait et comme dans la pénombre de la rame les quelques voyageurs assez loin de nous d’ailleurs semblaient dormir je sentis ses doigts frôler mon string et empaumer ma chatte qu’il malaxa longuement et savamment.

J’écartais davantage mes cuisses pour lui enlever ses derniers doutes, alors il écarta le frêle obstacle, ridicule morceau de tissu et après une brève reconnaissance du lieu il empala ses doigts dans ma chatte.
Il scrutait mon visage, mon regard perdu, mon souffle rauque bouche entr’ouverte, mon nez pincé, sa main virevoltait sur mes cuisses là où la chair est tendre, sensible avant de serrer les grosses lèvres de ma chatte en fusion.

Durant tout ce temps il me complimenta, me disant que j’étais belle, désirable, il m’interrogeât sur mes origines, me dit, faux cul, qu’il adorait la Guadeloupe, qu’il aimerait me revoir à Dijon, et pourquoi pas ce soir, chez lui. Il jouait admirablement son rôle de beau mâle. Il se savait irrésistible. Manifestement il voulait me baiser.

Sa main était son argument le plus fort et faisait merveille sous mon slip. J’avais un mal fou à lui répondre tant il s’y prenait bien pour me faire lui céder.
Il me raconta que son fantasme le plus tenace était celui de faire l’amour à une femme de couleur, qu’il saurait avec ses mains, sa bouche, sa verge la faire jouir comme jamais. Il savait parler le bougre, il me tenait, il en était sur et pourtant je fis mine de lui résister ne serait ce que pour diminuer sa superbe et le faire douter.

Je lui avouais que mon fantasme c’était de faire l’amour avec un homme qui aurait une queue énorme et qui fourrerait longuement ma vulve avant de décharger bien à fond de mon vagin. Que c’était irréalisable avec les maladies actuelles. Il se mit à sourire triomphant car prenant ma main d’un geste rapide il l’amena sur la bosse de son jean pour me faire constater son ampleur, réelle je l’avoue.

Il me demanda et su je prenais la pilule, il me dit qu’il était le capitaine d’une équipe de rugby et qu’ils étaient tous soumis à des examens pour le VIH, tous négatifs.

Pour lui rabattre son caquet je lui dis que je ne cèderais que pour faire l’amour avec plusieurs hommes qui me baiseraient à tour de rôle, sans préservatifs pour que je sente pour chacun la pression de leur foutre au fond de moi. En réalité, c’est vraiment mon fantasme et quand seule sous la couette je me caresse et que je me pistonne la vulve avec mon gode, par la pensée je suis entourée d’hommes qui me baisent à tour de rôle.

Je croyais ainsi l’avoir décourager mais il me dit :

Si j’ai bien compris vous accepteriez si je trouvais une dizaine d’hommes bien faits, bien membrés, pour vous baiser à tour de rôle ?

Je fus effrayée de m’entendre dire :
Oui mais je ne veux pas les voir, ni qu’ils me voient, j’aimerais me faire prendre, dans la chatte uniquement de la plus petite queue à la plus grosse, énorme même si possible. Vous voyez c’est un fantasme car impossible à réaliser

C’est vraiment votre fantasme ? mais n’est pas une manière de me dire non ?

J’en ai rêvé plusieurs fois, si c’était possible se serait oui, dix fois oui !

Je crois que je peux le réaliser, vous consentiriez alors ?

Oui, vous me troublez, comment est ce possible ?

Vous permettez ….?

Zora! lui dis-je troublée au plus haut point.

Moi c’est Henry !

Henry pris son portable

Marc ? oui, pas d’entraînement ce soir, oui rendez vous à la maison ! pourquoi faire ?C’est une surprise ! tu veux savoir ? j’ai auprès de moi une jeune femme magnifique qui adore les rugbymans ! jusqu’à quel point ?...au point de nous faire plaisir à tous….oui…..un par un…tu vois ?....c’est une femme de couleur ! oui je te dis belle et chaude comme la braise !..... Elle a quel âge ?....plus de 18ans…Zora me dit 23….tu es d’accord….plutôt deux fois qu’une ! bravo tu préviens ceux qui veulent venir !.....au moins une dizaine ! merci alors à 21 heures chez moi ! Ciao !

Voilà c’est fait me dit-il c’est bien ce que vous vouliez ?

Je n’ose y croire, je suis troublée au plus haut point, vous me baiseriez aussi ?

J’en meurs d’envie, chérie, je te baiserais en dernier

Pourquoi c’est toi qui a la plus grosse ?

Je crois, la plus dure c’est certain

Nous arrivions, sur le quai il me donna le bras, il était grand, il était beau, il semblait gentil, il ne me ferait pas de mal, il me protègerait. Avec lui et sa bande j’allais réaliser mon fantasme ultime.

Chez lui c’était bien, propre, rangé. Comme c’était presque l’heure il m’emmena tremblante dans sa salle de séjour au fond de son appartement et me demanda si je préférais le sofa où la table. Cette dernière était recouverte d’un bulgomme doux et épais, je la choisie disant que nous pourrions changer au cours de la soirée. Il me dit qu’il resterait observateur pour que les choses ne dérapent pas.

Il me laissa en éteignant la lumière, seule la clarté de la pièce voisine laissait la pièce dans la pénombre. Dans l’appartement j’entendis des bruits, des voix, des rires crispés, les convives arrivaient.

Et puis cela commença
….
Je m’étais allongée sur une table dans un endroit où il faisait sombre, je pouvais entendre des voix murmurer sans pouvoir comprendre ce qu’elles me disaient… Je sentis pourtant une main se poser sur ma cuisse, je ne pouvais même pas bouger le moindre petit doigt tant mon émotion était grande… Je sentis que l’on me tirait par les jambes, les fesses au bord de la table. C’est ensuite un gland qui se positionnait à l’entrée de ma chatte… Je vis alors la silhouette d’un homme se dessiner devant moi, il écartait mes jambes et se mit à me ramoner la chatte sans ménagements… Il donnait des grands coups de butoirs pendant une bonne dizaine de minutes avant de jouir au fond de ma chatte, au fond de laquelle je pouvais sentir son sperme chaud se déverser et me remplir de l’intérieur… Il se retira ensuite me laissant là.

Toujours allongée sans bouger… Je vis un autre homme s’avancer vers moi, son membre était légèrement plus gros, et sans prendre la peine de me nettoyer, il s’enfonça en moi de telle sorte que le foutre qui y était se déversa jusque la raie de mon cul… Il me pénétrait lui aussi sans ménagements, faisant des va-et-vient de plus en plus fort et de plus en plus rapide avant lui aussi de se déverser en moi… le première amant était resté près de moi sa queue toujours raide, il la plaça dans ma main et tandis que je subissais les assauts furieux mais oh combien jouissif de son équipier, je lui fis plaisir en le branlant. Henry assistait à la scène dans le filet de lumière filtrant par la porte et dans la jouissance qui me tenaillait je vis qu’il se caressait la main sur son jean.

Le troisième prit tout son temps, me prenant sous les fesses il enleva mon string mit mes seins à nu. Et commença à me caresser, cela m’agaça un peu car c’est sa queue dans ma chatte que je voulais

- Arrête et baise moi lui dis-je

Il comprit et il me souleva, prenant mes cuisses sous ses épaules et je sentis une traînée de feu dans mon ventre, lui aussi me pistonna la chatte en me pétrissant les seins, c’était bon, il su garder son calme mais quand il explosa en moi en gueulant, je cru m’évanouir de plaisir. Autour on s’occupait de moi en me caressant, chacune de mes mains serrées sur le membre dressé de mes deux premiers amants.

La suite fut comme un rêve, les queues qui me prenaient étaient de plus en plus longues, de plus en plus grosses, de plus en plus dures, je rendais le bonheur en branlant des queues en les suçant à tour de rôle, les seins pétris, leurs pointes électrisées par des lèvres habiles, des langues espiègles.

A chaque partenaire qui se présentait je voyais le regard d’Henry me transpercer, il s’était mis nu au fil de la soirée, seul son slip masquait sa virilité. Il me vit me tordre de plaisir, il entendit mes plaintes, mes râles, chaque claquement des ventres durs sur mes fesses, dans la pénombre il devina ma croupe ouverte quand on me prit en levrette, il vit les queues luisantes de foutre qui me perforaient.

Et ainsi de suite, une dizaine d’hommes se succédèrent avec des bites de plus en plus grosses comme je l’avais souhaité de telles sortes que je ressente encore plus de plaisir à chaque fois, qu’elles me pénètrent et jouissent en moi…

Depuis un moment, n’en pouvant plus sans doute, dans le rai de lumière filtrant par la porte entr’ouverte, je vis la verge d’Henry sortie de son cache membre, énorme. Il se branlait en nous regardant….

- Laissez nous maintenant

Henry s’avançait vers moi et ses copains nous laissèrent seuls

- A moi de te faire jouir maintenant, je n’en peux plus de voir les autres sur toi

- Fais voir si tu ne m’as pas menti, montre moi ta verge, allume…

La lumière se fit, lentement Henry baissa son slip, le gland paru d’abord, énorme, décalotté, gorgé de sang ; puis la hampe plus grosse encore, lisse, d’une longueur sans fin me sembla t-il, ses couilles enfin, petites comme tout ceux qui ont tout dans la bite. Son slip vola dans la pièce, Henry était nu la queue dressée, plaquée sur son ventre musclé. Qu’il était beau, il s’avança sa verge à la main, il faisait aller son prépuce masquant et découvrant son gland

- Tu veux que je te caresse ?

- Non baise moi, c’est ce que je veux ! Prends-moi ! mais résiste, ne jouit pas de suite, mais à la fin explose en moi, bien à fond, tu auras alors réalisé mon fantasme ultime allez viens

Alors pour moi ce fut merveilleux, l’énorme gland se frayant le passage entre mes grosses lèvres, puis s’enlisant dans ma chatte encore pleine du foutre de ses copains, quel sentiment de plénitude dans mon ventre quand le mufle de son gland vint buter au fond de moi. Puis le doux va et vient du membre dans ma vulve serrée sur lui. Le plaisir infini quand le gland vibrait presque sorti de mes lèvres écartelées avant de plonger et de revenir sans cesse titiller l’entrée de ma chatte.

Cela dura une éternité pour mon plus grand plaisir, Henry résistait mais sur son visage je vis monter sa jouissance et pour ne pas le frustrer je lui dis de venir, de se laisser aller. Je vis le moment où il s’enfonça bien à fond. L’orgasme le plus puissant que j’ai jamais ressenti explosa en moi quand son foutre arrosa sous pression le fond de mes entrailles, je ne pus m’empêcher de hurler avant le relâchement complet de mon corps.

- Pierrrrrrrrrrre ! ?

D’un coup je refis surface, où étais-je ? Henry en face de loi, inquiet me dit

- Tout va bien ?

- Oui ! enfin je ne sais plus, je devais dormir

- Qui est ce Pierre ?

- Pierre ! un ami, mais si vous voulez, ce soir Pierre c’était vous ! se sera vous si vous voulez, il sera content je crois

- Vous rêviez, vous sembliez bien, alors je ne vous ai pas réveillée, d’ailleurs on arrive, juste le temps pour vous de revenir sur terre.

- Vous m’observiez, je me suis endormie ? à quel moment ?

- Nous parlions et j’avoue m’être rapproché de vous, j’ai frôlé vos jambes, vos cuisses, cela semblait vous plaire, vous fermiez les yeux et d’un coup j’ai senti que vous dormiez

- Et alors qu’avez-vous fait? Vous avez profité de moi ?

- Non je vous ai regardé, vous êtes si belle, si sexy. Votre sommeil était agité

- Vous c’est Henry n’est ce pas ?

- Non moi c’est Connan, je suis d’origine américaine

Ainsi ce fantasme réalisé n’était qu’un rêve ; pourtant je me sentais bien, Il me semblait avoir vécu réellement ces instants jouissifs. J’étais un peu déçue, le rêve est plus fort que le fantasme mais il ne vaut pas dix bonnes bites bien dures s’activant dans mon ventre et l’inondant de foutre. J’aurai du être fatiguée, anéantie par tant de jouissance, j’avais au contraire une énorme envie de me faire baiser. Il ne fut pas difficile à Connan de m’emmener chez lui. Il semblait lui aussi avoir envie de moi.

Chez lui, nous nous précipitèrent dans les bras l’un de l’autre, nous n’avions plus de temps à perdre, je lui arrachais sa chemise dénudant son torse, ses seins, son ventre dur. Il fit éclater mon corsage, me serrant contre lui il m’offrit sa bouche et tandis que nos langues s’épousaient, chacun y mettant du siens nous nous retrouvèrent nus, complètement nus.

Entre nos deux ventres soudés je sentais son membre, nos mains prenaient connaissance de nos corps, je sentis les siennes sur mes seins, mes fesses sur ma taille ; moi je lui pris le membre et j’en fus pantoise devant son énormité. Ma chatte d’un coup s’inonda et ne d’un coup je ne pensais plus qu’à la prendre dans ma vulve. Jamais depuis que j’avais eu des rapports je n’avais connu pine aussi grosse et je crus défaillir en pensant à ce que j’allais prendre.

Connan sorti un préservatif comme il se doit, mais avant qu’il ne le déroule je lui demandais si sans lui il y avait un risque. Il me répondit que non, que je pouvais avoir confiance. Je lui répondit qu’avec moi c’était pareil. Nous nous fîmes confiance, j’avais tellement envie !

- Connan ! baise moi je n’en peux plus !

- Moi aussi j’ai envie de toi !

- Je voudrais voir ta grosse queue entrer dans ma chatte, j’en ai toujours rêvé, comment on fait ?

- C’est moi qui vais m’allonger, toi sur moi pour me chevaucher, ça te va ? oui.. ; avant décroche le miroir du mur. Aller viens, écarte bien tes cuisses, reste à genoux pour le moment…. Donne moi la glace….je la tourne vers toi….que vois-tu ?

- Je nous vois, je vois mon ventre, tourne un peu le miroir…oui….je vois mes cuisses

- C’est tout ?...

- Tourne encore un peu……ouiiiiiii…je vois tout…. ma chatte…. ta queue ! je vois tes doigts qui branlent ta verge….quelle bite mon cher

- Penche-toi un peu en arrière que tu vois bien les lèvres de ta chatte

- Je vois tout, je m’avance vers toi, ma chatte vers ton gland décalotté, je n’en peux plus, centre toi….oui…oui….ouiiiiii…….ooohhhhh !

Je n’oublierai jamais la suite, le spectacle de ce gland qui écarte mes grosses lèvres cherchant en aveugle à entrer en moi, le voir s’enliser tout en sentant ma chatte s’ouvrir. Voir l’effraction délicate de ce membre trop gros pour ma vulve et petit à petit par des petits allers et retours le voir disparaître en m’écartelant.

Connan très délicat fit tout pour cette première introspection se passe bien, il devait avec cette queue avoir l’habitude. J’étais fasciné par le spectacle de mon entrecuisse écartelé par cette grosse bite qui peu à peu s’enfonçait en moi. Pour le moment je n’avais pas de plaisir si ce n’est la conscience de vivre ce que j’avais toujours rêvé : me faire prendre par un membre monstrueux.

A fond, il commença à s’ébranler, en allant et venant en moi. Je sentais ma chatte pleine de ce membre qui petit à petit faisait sa place, je m’ouvrais sur lui, ma mouille facilitait la chose. Connan maintenait le miroir en bonne position et le spectacle était hallucinant, de voir ce membre énorme entrer et sortir de son fourreau. Il ne pouvait entrer entièrement tant il était long ; il venait en butée au fond de mes entrailles et si il sortait complètement avant de replonger je voyais horrifiée mais heureuse ma vulve béante à la mesure de cette verge qui me servait.

Le plaisir commençait à poindre dans mon ventre, le spectacle devenait inutile, la sensation suffisait, j’écartais le miroir et laissait Connan donner libre cours à ses aspirations. Il me retourna la queue toujours plantée en moi, placé à genou entre mes cuisses il me prit sous les fesses et astiqua ma chatte avec son membre, de plus en plus vite, de plus en plus profond, il pu s’enfoncer davantage car au fond de moi je me sentis m’ouvrir, le gland m’investir plus encore, Connan tenait le coup et il me pistonna longuement, pourtant dans se yeux je voyais son désir de s’abandonner en moi, de me remplir de sa semence.

Le plaisir d’un coup me submergea et Connan céda je sentis alors ce que je n’avais encore jamais ressenti, un jet puissant inonder mon utérus, puis cette liqueur remonter du fond de moi dans ma chatte autour de sa queue, puis gicler entre mes lèvres inondant la raie de mes fesses. Il juta à plusieurs reprises une quantité énorme de sperme, il devait être à jeun lui aussi ? Avec ses mains il puisa à cette source et tout en continuant de me baiser, d’une main il me caressa mes seins raidis par le plaisir en titillant leurs pointes et se penchant sur moi il me fit sucer les doigts de l’autre main souillée de nos miels.

Heureux nous désaccouplèrent après s’être embrassés fougueusement. Il était repu, pas moi, j’en voulais encore, avec ma main, puis ma bouche je le réanimais et je réussis à me faire prendre en levrette, vidé il ne pus éjaculer mais je pris mon pied malgré tout avec cette énorme verge bien à fond en moi…….


Au milieu de la nuit il me raccompagna à mon studio sans demander de venir prendre un dernier verre comme on dit. C’était bien ainsi car j’avais hâte de regagner mes pénates. Chez moi il faisait bon, je préparais mes accessoires, pris mon portable, téléchargeais la dernière histoire de mon Pierre, je me mis nue et m’enfilais sous la couette.

Au fil de la lecture je sentis monter le plaisir, ce plaisir dont j’étais si friande, plaisir solitaire, plaisir cérébral. Avec deux doigts je me caressais la pointe de mon sein droit tout érecté, puis l’abandonnant à regret je descendis ma main entre mes cuisses me caressant mon sensible clitoris. Le récit devenant plus torride je mis en route le godemichet et le fit vibrer au bord de mes lèvres. Que s’était bon, ce plaisir avant la jouissance suprême qu’il allait m’apporter quand en lisant les scènes orgiaques j’allais me pistonner bien à fond, vibrations au maximum.

Cela arriva et je plongeais dans l’orgasme puissant que j’attendais. Dans ma tête, c’est la queue de Pierre qui fouraillait ma chatte en feu et cela me fit jouir longuement.

D’habitude à cet instant je m’endormais, mais aujourd’hui j’avais mieux à faire, fébrile je pris le deuxième gode, celui là avait l’apparence d’un vrai sexe, je l’avais choisi gros, très long à la mesure de mes fantasmes, il était en plastique souple de couleur naturelle, le gland bien décalotté, les couilles bien formées et souples ; Il vibrait lui aussi mais avait quelque chose en plus, chose qui allait me faire hurler, je le savais d’avance ?

L’introduire ne fut pas chose aisée mais comme avec la pine de Connan il trouva sa place. Je le fis vibrer au bord de mes lèvres comme avec l’autre, je me branlais avec de plus en plus vite de plus en plus profond. J’avais abandonné la lecture inutile maintenant, les yeux fermés, tout le plaisir rayonnant de ma tête dans tout mon corps ; une main actionnant l’engin jouissif, l’autre sur mon téton droit. Je savais ce que j’attendais mais retardais cet instant le plus possible. Enfin je m’abandonnais et enfonçant le gode au fond de ma chatte vibrations au maximum, je pressais les couilles et incroyablement un liquide tiède et sirupeux fouetta mon utérus ouvert. Je crus m’évanouir de plaisir ; le gode allait en moi facilement dans ma chatte lubrifiée, la liqueur ruisselait dans la raie de mes fesses. Ivre, saisie par un orgasme jamais égalé, à plusieurs reprises, bien à fond je m’injectais sous pression ce qui aurait pu être des giclées de sperme, trouvant enfin la sensation que Connan m’avait offerte et que je pourrais désormais chaque soir m’offrir.
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Histoire de Pierre le Grand

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