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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/08/2025
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Les parents de Julien (3)
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Dimanche 14 septembre 2014
Comme prévu, il n'y a que Ber, Lola et moi à la maison et nous mettons tout bien comme il faut pour recevoir Véro, Hervé et Julien.
Nous les accueillons avec tous les trois un paréo autour de la taille. Hervé, bien que certainement prévenu par Véro, est un peu étonné de voir d'entrée nos seins exposés mais ça passe. Alors que je dénoue le paréo, Véro suit le mouvement en enlevant aussitôt sa robe légère et le maillot qu'elle porte dessous en lançant à Hervé :
— Allez mon chéri, je t'ai dit qu'ils étaient naturistes. Et Julien toi aussi, il parait que tu en as l'habitude.
Comme Ber et Lola en font de même, Hervé ne peut que s'exécuter et vire son T-shirt et son pantalon, faisant glisser en même temps le boxer de bain qu'il avait pris la peine de mettre dessous. D'autant plus que Julien l'a devancé, fidèle aux usages de la maison.
Malgré ce qu'elle a appris hier, Véro est tout de même un peu gênée de découvrir les parties intimes de son fils ainsi que son épilation intégrale, dont elle devait rêver depuis que je lui en ai parlé hier. Je note qu'Hervé est le seul à avoir sa toison intacte et que Véro m'a écoutée car elle a réduit sa touffe châtain à un ticket de métro un peu large. Apparemment, Hervé le découvre en même temps que nous. Véro au passage peut vérifier ce que je lui ai dit sur les épilations radicales de notre petite famille. Elle n'en avait visiblement pas parlé à son mari dont les regards prouvent sa surprise.
Pour éviter une situation de gêne, nous descendons dans la piscine pour un premier bain. Je lance ensuite l'apéro pour détendre tout le monde. Le barbecue qui suit est bien arrosé. Nous parlons de naturisme et ils finissent par nous avouer y avoir pensé un peu lorsqu'ils étaient plus jeunes, mais n'avoir jamais osé passer à l'acte. C'est maintenant chose faite.
La digestion se fait sur les transats puis nous migrons sur les matelas de sol pour dorer aussi le côté pile. Je propose à Véro de lui passer la crème solaire car ce sera plus pratique. Elle accepte et je fais ça très sagement. Julien s'occupe de Lola, puis comme j'ai fini, je demande à Véro de me rendre la pareille. Ber, comme à son habitude, n'en met pas car sa peau ne croit pas les coups de soleil et apparemment, Hervé non plus.
Tout reste calme comme nous l'avions prévu pour cette première rencontre et les trois nous quittent en nous assurant avoir été heureux de cette première rencontre.
Samedi 20 septembre 2014
Véro est de nouveau seule avec moi car Hervé travaille toujours au magasin.
Je constate avec plaisir qu'elle se met d'entrée à poil comme si elle faisait ça depuis toujours. Puis on commence tranquillement par un bain, Pendant que nous barbotons, Elle m'annonce :
— Il s'est passé un truc à la maison.
— Ah bon ?
— Oui, lundi en fin de journée Julien est ressorti de la douche et s'est baladé tout nu dans la maison. Comme je lui en faisais la remarque, il m'a simplement déclaré que maintenant qu'on s'était vus tous à poil la veille, plus de raison de se gêner.
— Et je lui donne raison. Alors ?
— Alors je l'ai pris au mot et comme j'étais juste avec un T-shirt et un slip, j'ai tout enlevé en le narguant. Fait dans ces circonstances, j'ai vu que ça le laissait pas indifférent car j'ai vu son engin commencer à se développer. Mais il s'en est aperçu et il s'est éclipsé avant que ça devienne un vraie érection. Quand il est revenu, il était encore à poil mais tout était rentré dans l'ordre.
— Je pense qu'il était allé se dégorger le surplus d'émotion dans les toilettes.
— Oh Caro !
— Allez, me dis pas que tu t'en doutes pas.
— Oui, bon, c'est vrai. Mais j'ai fait comme si tout était comme d'habitude et ça s'est bien passé. C'est donc dans cette tenue qu'Hervé nous a trouvés en rentrant de son magasin.
— Il a réagi comment ?
— Il a dit : tiens, c'est nouveau, ça ! Mais comme je lui ai répondu que ce serait peut-être bon pour nous de continuer le naturisme, il a reconnu que c'était à tenter. Il est allé prendre sa douche et est revenu lui aussi à poil. et on a dîné comme ça. Depuis on le fait tout le temps et c'est vrai qu'on se sent bien complètement nu.
— Je peux qu'approuver, comme tu l'imagines.
Nous sortons de l'eau et nous étalons pour sécher au soleil. Comme dimanche dernier, je lui propose de lui passer la crème solaire dans le dos. Elle se laisse aller même quand j'insiste bien sur ses fesses et j'en profite pour la relancer :
— Dis, ça doit forcément te faire plaisir de savoir que tu fais bander ton fils, non ?
— Oh, Caro, tu exagères.
— Allez, avoue que ça t'a excitée, au moins un tout petit peu, de penser qu'il s'en branlé en pensant à toi.
— Bon, c'est vrai, j'avoue que je malgré moi j'ai senti que mes tétons pointaient après l'avoir vu commencer à bander.
— Ah, tu vois ! Et encore, d'après ce que tu m'as dit tu l'as pas encore vu comme moi en pleine érection !
— Oh, arrête avec ça, je veux pas y penser.
Tout en lui parlant de ça, je vais un peu plus loin en passant très légèrement mes doigts lubrifiés dans son sillon. Je la sens se crisper un peu quand j'effleure sa rondelle puis finalement elle s'abandonne à cette douce caresse. Mais je n'insiste pas et la laisse tranquille pour le moment.
Je lui demande alors de me faire la même chose, mais pour elle, je laisse comme l'autre fois mes cuisses assez écartées pour qu'elle ait une vue totale de mon petit trou et ma fente. Je devine bien qu'elle n'osera pas s'aventurer trop loin, mais cette fois je sens je sens ses doigts aller plus loin entre mes fesses. Toutefois, elle ne va pas jusqu'à toucher mes orifices.
Après avoir profité un moment du soleil sur notre côté pile, je lui propose de nous mettre dans les transats pour prendre un peu le soleil sur notre côté face aussi. Pendant qu'elle s'installe, je m'absente pour aller chercher des boissons fraîches. Quand je reviens, elle a déjà passé la protection partout et je vois que ses tétons pointent un peu.
Je nous sers, puis je commence à étaler l'huile sur ma poitrine, en insistant bien sur mes cabochons pour les exciter. puis je descends sur le ventre et atteins mon pubis. Là je me caresse ostensiblement car je vois qu'elle me regarde faire en coin. Alors je me décide à pousser un peu le bouchon en disant :
— Et voilà, du coup j'ai encore envie.
— De quoi ?
— Ben, comme d'habitude, de me masturber.
— Encore ?
— Oh, et puis zut !
Et je commence à me caresser le clito sans me gêner de sa présence. Elle ne dit rien et me laisse faire sans trop regarder dans ma direction. J'en rajoute un peu avec quelques soupirs d'aise. Soit ça passe, soit elle se sauve. Mais elle choisit de rester :
— Comme tu dis : et puis zut ! Tu m'as trop donné envie…
C'est gagné, elle commence elle aussi à se branler. Nous nous faisons plaisir côte à côte un petit moment. Puis sentant qu'elle est bien partie et qu'elle en est à un point où ça ne la dérange plus de faire ça ouvertement devant moi, je me lève et viens derrière le transat pour lui caresser les seins et lui triturer les tétons. Elle réagit en me disant entre deux soupirs :
— Tu sais, c'est la première fois que je me fais caresser par une femme.
— Et c'est bon ?
— Oui, continue.
Je continue donc, en descendant le long de son corps et mes doigts rejoignent les siens. Elle finit par les enlever pour me laisser agir seule. Puis je viens devant elle et me mets à genoux entre ses cuisses. Cette fois elle prend visiblement plaisir à se branler sous mon nez. La voie étant libre, je passe à la suite en y mettant ma langue et elle gémit :
— Oh, Caro, c'est bon…
Je la lape et grignote son bouton, à tel point qu'elle ne tient plus et jouit. Je lui propose de continuer autrement :
— Je vois que ça t'a plu. mais j'ai pas encore joui. Viens, on va se mettre dans une position plus confortable.
Je la fais se coucher sur un matelas de sol et me place tête-bêche sur elle. Elle hésite un peu quand je pose ma chatte sur sa bouche, puis comme j'ai repris mes caresses buccales sur la sienne, elle finit par me rendre la politesse. L'excitation monte encore et nous jouissons toutes les deux. puis nous nous remettons dans les transats pour décompresser. Elle me dit :
— Tu sais, c'est vraiment ma première fois avec une femme.
— Et alors ?
— Ben, j'aurais jamais imaginé, d'abord que ça soit si bon, ensuite de le faire moi aussi.
— Eh bien, tu sais maintenant qu'on aura de quoi s'occuper quand tu le veux.
C'est là qu'elle a une surprise en voyant Ber débarquer sur la terrasse, à poil et avec sa bite à l'équerre et au gland décalotté :
— Salut ! J'ai fini plus tôt que prévu. Et quand je suis entré, vous étiez occupées, alors j'ai pas osé vous déranger.
Véro devient toute rouge des se rendant compte qu'il nous a surprises en soixante-neuf. Mais je dédramatise pour que la gêne ne prenne pas le dessus :
— Merci mon chéri. Et comme tu l'as vu, avec Véro on s'est trouvé des affinités.
— Oui, et comme vous étiez en pleine discussion animée, je n'ai pas voulu me joindre à la conversation. Mais comme vous pouvez le voir, j'ai bien aimé le sujet dont vous débattiez.
— Oui, je vois.
— D'ailleurs, rien que des parler…
Ce disant, il n'a pas cessé de nous présenter sa bite en pleine vigueur qui dépasse largement l'horizontale, plie sous le nez de notre voisine qui ne sait pas quoi dire mais ne peut écarter son regard, découvrant de plus près cet organe qu'elle a bien évité de trop regarder dimanche dernier. Il met fin à ce tableau en allant se rafraîchir dans la piscine. Quand il ressort, Véro n'a plus de scrupules à le voir se balader précédé de sa queue toujours bien raide. Il prend un transat et vient le poser à côté de Véro et s'y installe en annonçant :
— Bon, les filles, vu que que vous vous êtes bien amusées ensemble, je suppose que ça vous dérangera pas si je m'occupe un peu de moi ?
Et il prend en main sa bite pour commencer un branlette toute en douceur. De l'autre côté de Véro éberluée, je remets ça moi aussi pour l'achever. Elle ne sais pas où donner de la tête, puis comme je le lui suggère elle se lâche entre nous deux.
Quand elle est bien lancée, Ber pousse un peu en lui demandant :
— Dis, tu voudrais bien m'aider un peu ?
— Oh ! Non, tout de même !
— Dommage, et toi Caro ?
— Oui, mon chéri, je viens.
Et je me mets à genoux devant lui pour remplacer sa main par la mienne. je l'astique avec entrain et quand il est bien parti je le prends en bouche. Il ne se retient pas trop et me lâche assez vite tout dans la gorge. J'avale puis je le suce encore un peu pour nettoyer les outils avant d'aller me rassoir dans mon transat. Véro me demande :
— Euh… vous faites ça souvent, devant quelqu'un ?
— Non, seulement devant les amis proches.
— Ah bon ? Et ça les gêne pas ?
— Non, certains participent même.
— Vu ce qu'il vient de se passer, je te crois volontiers.
— Et même en famille…
— Tu veux dire…
— Oui, notre fille est habituée à nous voir faire, et elle trouve ça naturel.
— Elle trouve ça naturel ?
— Ben oui, et elle le fait aussi avec ton fils.
— Je m'en doute, vu qu'ils sont ensemble. mais tout de même pas devant vous.
— Eh oui, devant nous, ils savent qu'ils ont pas de raison de se gêner.
— De mieux en mieux. Tu me dis que ta fille suce mon fils en public.
— Oh, en public, tu exagères. C'est juste nous.
— Eh bien…
Elle n'insiste pas et nous laissons passer un moment le temps de lui faire digérer ces infos. Puis je reviens un peu à la charge :
— Bon, allez, avoue que ce qui vient de se passer t'a bien excitée. Tu peu pas nier que tu as bien pris ton pied.
— OK, comme tu dis, je peux pas le nier. Mais sur le moment, ça fait un peu bizarre de se retrouver dans cette situation. Et en plus ce que je viens d'apprendre sur mon fils.
— C'est ça qui t'a le plus excitée ?
— Oh, Caro, non, tout de même.
— Tu sais, si on se laisse aller, c'est mieux que de se cacher.
— Peut-être, mais c'est un peu nouveau pour moi.
— Tu verras, tu t'y feras. Essaie de l'imaginer dans cette situation.
Je n'insiste pas sur ce chapitre car nous avions prévu de ne pas aller plus loin pour aujourd'hui et de garder la suite pour demain. Tout revient donc au calme et elle est un peu remise quand elle nous quitte.
Comme prévu, il n'y a que Ber, Lola et moi à la maison et nous mettons tout bien comme il faut pour recevoir Véro, Hervé et Julien.
Nous les accueillons avec tous les trois un paréo autour de la taille. Hervé, bien que certainement prévenu par Véro, est un peu étonné de voir d'entrée nos seins exposés mais ça passe. Alors que je dénoue le paréo, Véro suit le mouvement en enlevant aussitôt sa robe légère et le maillot qu'elle porte dessous en lançant à Hervé :
— Allez mon chéri, je t'ai dit qu'ils étaient naturistes. Et Julien toi aussi, il parait que tu en as l'habitude.
Comme Ber et Lola en font de même, Hervé ne peut que s'exécuter et vire son T-shirt et son pantalon, faisant glisser en même temps le boxer de bain qu'il avait pris la peine de mettre dessous. D'autant plus que Julien l'a devancé, fidèle aux usages de la maison.
Malgré ce qu'elle a appris hier, Véro est tout de même un peu gênée de découvrir les parties intimes de son fils ainsi que son épilation intégrale, dont elle devait rêver depuis que je lui en ai parlé hier. Je note qu'Hervé est le seul à avoir sa toison intacte et que Véro m'a écoutée car elle a réduit sa touffe châtain à un ticket de métro un peu large. Apparemment, Hervé le découvre en même temps que nous. Véro au passage peut vérifier ce que je lui ai dit sur les épilations radicales de notre petite famille. Elle n'en avait visiblement pas parlé à son mari dont les regards prouvent sa surprise.
Pour éviter une situation de gêne, nous descendons dans la piscine pour un premier bain. Je lance ensuite l'apéro pour détendre tout le monde. Le barbecue qui suit est bien arrosé. Nous parlons de naturisme et ils finissent par nous avouer y avoir pensé un peu lorsqu'ils étaient plus jeunes, mais n'avoir jamais osé passer à l'acte. C'est maintenant chose faite.
La digestion se fait sur les transats puis nous migrons sur les matelas de sol pour dorer aussi le côté pile. Je propose à Véro de lui passer la crème solaire car ce sera plus pratique. Elle accepte et je fais ça très sagement. Julien s'occupe de Lola, puis comme j'ai fini, je demande à Véro de me rendre la pareille. Ber, comme à son habitude, n'en met pas car sa peau ne croit pas les coups de soleil et apparemment, Hervé non plus.
Tout reste calme comme nous l'avions prévu pour cette première rencontre et les trois nous quittent en nous assurant avoir été heureux de cette première rencontre.
Samedi 20 septembre 2014
Véro est de nouveau seule avec moi car Hervé travaille toujours au magasin.
Je constate avec plaisir qu'elle se met d'entrée à poil comme si elle faisait ça depuis toujours. Puis on commence tranquillement par un bain, Pendant que nous barbotons, Elle m'annonce :
— Il s'est passé un truc à la maison.
— Ah bon ?
— Oui, lundi en fin de journée Julien est ressorti de la douche et s'est baladé tout nu dans la maison. Comme je lui en faisais la remarque, il m'a simplement déclaré que maintenant qu'on s'était vus tous à poil la veille, plus de raison de se gêner.
— Et je lui donne raison. Alors ?
— Alors je l'ai pris au mot et comme j'étais juste avec un T-shirt et un slip, j'ai tout enlevé en le narguant. Fait dans ces circonstances, j'ai vu que ça le laissait pas indifférent car j'ai vu son engin commencer à se développer. Mais il s'en est aperçu et il s'est éclipsé avant que ça devienne un vraie érection. Quand il est revenu, il était encore à poil mais tout était rentré dans l'ordre.
— Je pense qu'il était allé se dégorger le surplus d'émotion dans les toilettes.
— Oh Caro !
— Allez, me dis pas que tu t'en doutes pas.
— Oui, bon, c'est vrai. Mais j'ai fait comme si tout était comme d'habitude et ça s'est bien passé. C'est donc dans cette tenue qu'Hervé nous a trouvés en rentrant de son magasin.
— Il a réagi comment ?
— Il a dit : tiens, c'est nouveau, ça ! Mais comme je lui ai répondu que ce serait peut-être bon pour nous de continuer le naturisme, il a reconnu que c'était à tenter. Il est allé prendre sa douche et est revenu lui aussi à poil. et on a dîné comme ça. Depuis on le fait tout le temps et c'est vrai qu'on se sent bien complètement nu.
— Je peux qu'approuver, comme tu l'imagines.
Nous sortons de l'eau et nous étalons pour sécher au soleil. Comme dimanche dernier, je lui propose de lui passer la crème solaire dans le dos. Elle se laisse aller même quand j'insiste bien sur ses fesses et j'en profite pour la relancer :
— Dis, ça doit forcément te faire plaisir de savoir que tu fais bander ton fils, non ?
— Oh, Caro, tu exagères.
— Allez, avoue que ça t'a excitée, au moins un tout petit peu, de penser qu'il s'en branlé en pensant à toi.
— Bon, c'est vrai, j'avoue que je malgré moi j'ai senti que mes tétons pointaient après l'avoir vu commencer à bander.
— Ah, tu vois ! Et encore, d'après ce que tu m'as dit tu l'as pas encore vu comme moi en pleine érection !
— Oh, arrête avec ça, je veux pas y penser.
Tout en lui parlant de ça, je vais un peu plus loin en passant très légèrement mes doigts lubrifiés dans son sillon. Je la sens se crisper un peu quand j'effleure sa rondelle puis finalement elle s'abandonne à cette douce caresse. Mais je n'insiste pas et la laisse tranquille pour le moment.
Je lui demande alors de me faire la même chose, mais pour elle, je laisse comme l'autre fois mes cuisses assez écartées pour qu'elle ait une vue totale de mon petit trou et ma fente. Je devine bien qu'elle n'osera pas s'aventurer trop loin, mais cette fois je sens je sens ses doigts aller plus loin entre mes fesses. Toutefois, elle ne va pas jusqu'à toucher mes orifices.
Après avoir profité un moment du soleil sur notre côté pile, je lui propose de nous mettre dans les transats pour prendre un peu le soleil sur notre côté face aussi. Pendant qu'elle s'installe, je m'absente pour aller chercher des boissons fraîches. Quand je reviens, elle a déjà passé la protection partout et je vois que ses tétons pointent un peu.
Je nous sers, puis je commence à étaler l'huile sur ma poitrine, en insistant bien sur mes cabochons pour les exciter. puis je descends sur le ventre et atteins mon pubis. Là je me caresse ostensiblement car je vois qu'elle me regarde faire en coin. Alors je me décide à pousser un peu le bouchon en disant :
— Et voilà, du coup j'ai encore envie.
— De quoi ?
— Ben, comme d'habitude, de me masturber.
— Encore ?
— Oh, et puis zut !
Et je commence à me caresser le clito sans me gêner de sa présence. Elle ne dit rien et me laisse faire sans trop regarder dans ma direction. J'en rajoute un peu avec quelques soupirs d'aise. Soit ça passe, soit elle se sauve. Mais elle choisit de rester :
— Comme tu dis : et puis zut ! Tu m'as trop donné envie…
C'est gagné, elle commence elle aussi à se branler. Nous nous faisons plaisir côte à côte un petit moment. Puis sentant qu'elle est bien partie et qu'elle en est à un point où ça ne la dérange plus de faire ça ouvertement devant moi, je me lève et viens derrière le transat pour lui caresser les seins et lui triturer les tétons. Elle réagit en me disant entre deux soupirs :
— Tu sais, c'est la première fois que je me fais caresser par une femme.
— Et c'est bon ?
— Oui, continue.
Je continue donc, en descendant le long de son corps et mes doigts rejoignent les siens. Elle finit par les enlever pour me laisser agir seule. Puis je viens devant elle et me mets à genoux entre ses cuisses. Cette fois elle prend visiblement plaisir à se branler sous mon nez. La voie étant libre, je passe à la suite en y mettant ma langue et elle gémit :
— Oh, Caro, c'est bon…
Je la lape et grignote son bouton, à tel point qu'elle ne tient plus et jouit. Je lui propose de continuer autrement :
— Je vois que ça t'a plu. mais j'ai pas encore joui. Viens, on va se mettre dans une position plus confortable.
Je la fais se coucher sur un matelas de sol et me place tête-bêche sur elle. Elle hésite un peu quand je pose ma chatte sur sa bouche, puis comme j'ai repris mes caresses buccales sur la sienne, elle finit par me rendre la politesse. L'excitation monte encore et nous jouissons toutes les deux. puis nous nous remettons dans les transats pour décompresser. Elle me dit :
— Tu sais, c'est vraiment ma première fois avec une femme.
— Et alors ?
— Ben, j'aurais jamais imaginé, d'abord que ça soit si bon, ensuite de le faire moi aussi.
— Eh bien, tu sais maintenant qu'on aura de quoi s'occuper quand tu le veux.
C'est là qu'elle a une surprise en voyant Ber débarquer sur la terrasse, à poil et avec sa bite à l'équerre et au gland décalotté :
— Salut ! J'ai fini plus tôt que prévu. Et quand je suis entré, vous étiez occupées, alors j'ai pas osé vous déranger.
Véro devient toute rouge des se rendant compte qu'il nous a surprises en soixante-neuf. Mais je dédramatise pour que la gêne ne prenne pas le dessus :
— Merci mon chéri. Et comme tu l'as vu, avec Véro on s'est trouvé des affinités.
— Oui, et comme vous étiez en pleine discussion animée, je n'ai pas voulu me joindre à la conversation. Mais comme vous pouvez le voir, j'ai bien aimé le sujet dont vous débattiez.
— Oui, je vois.
— D'ailleurs, rien que des parler…
Ce disant, il n'a pas cessé de nous présenter sa bite en pleine vigueur qui dépasse largement l'horizontale, plie sous le nez de notre voisine qui ne sait pas quoi dire mais ne peut écarter son regard, découvrant de plus près cet organe qu'elle a bien évité de trop regarder dimanche dernier. Il met fin à ce tableau en allant se rafraîchir dans la piscine. Quand il ressort, Véro n'a plus de scrupules à le voir se balader précédé de sa queue toujours bien raide. Il prend un transat et vient le poser à côté de Véro et s'y installe en annonçant :
— Bon, les filles, vu que que vous vous êtes bien amusées ensemble, je suppose que ça vous dérangera pas si je m'occupe un peu de moi ?
Et il prend en main sa bite pour commencer un branlette toute en douceur. De l'autre côté de Véro éberluée, je remets ça moi aussi pour l'achever. Elle ne sais pas où donner de la tête, puis comme je le lui suggère elle se lâche entre nous deux.
Quand elle est bien lancée, Ber pousse un peu en lui demandant :
— Dis, tu voudrais bien m'aider un peu ?
— Oh ! Non, tout de même !
— Dommage, et toi Caro ?
— Oui, mon chéri, je viens.
Et je me mets à genoux devant lui pour remplacer sa main par la mienne. je l'astique avec entrain et quand il est bien parti je le prends en bouche. Il ne se retient pas trop et me lâche assez vite tout dans la gorge. J'avale puis je le suce encore un peu pour nettoyer les outils avant d'aller me rassoir dans mon transat. Véro me demande :
— Euh… vous faites ça souvent, devant quelqu'un ?
— Non, seulement devant les amis proches.
— Ah bon ? Et ça les gêne pas ?
— Non, certains participent même.
— Vu ce qu'il vient de se passer, je te crois volontiers.
— Et même en famille…
— Tu veux dire…
— Oui, notre fille est habituée à nous voir faire, et elle trouve ça naturel.
— Elle trouve ça naturel ?
— Ben oui, et elle le fait aussi avec ton fils.
— Je m'en doute, vu qu'ils sont ensemble. mais tout de même pas devant vous.
— Eh oui, devant nous, ils savent qu'ils ont pas de raison de se gêner.
— De mieux en mieux. Tu me dis que ta fille suce mon fils en public.
— Oh, en public, tu exagères. C'est juste nous.
— Eh bien…
Elle n'insiste pas et nous laissons passer un moment le temps de lui faire digérer ces infos. Puis je reviens un peu à la charge :
— Bon, allez, avoue que ce qui vient de se passer t'a bien excitée. Tu peu pas nier que tu as bien pris ton pied.
— OK, comme tu dis, je peux pas le nier. Mais sur le moment, ça fait un peu bizarre de se retrouver dans cette situation. Et en plus ce que je viens d'apprendre sur mon fils.
— C'est ça qui t'a le plus excitée ?
— Oh, Caro, non, tout de même.
— Tu sais, si on se laisse aller, c'est mieux que de se cacher.
— Peut-être, mais c'est un peu nouveau pour moi.
— Tu verras, tu t'y feras. Essaie de l'imaginer dans cette situation.
Je n'insiste pas sur ce chapitre car nous avions prévu de ne pas aller plus loin pour aujourd'hui et de garder la suite pour demain. Tout revient donc au calme et elle est un peu remise quand elle nous quitte.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Les parents de Julien (3)
Le 12/08/2025 - 07:56 par Emma_blonde
Hmm Hanna, ces séances de piscine entre femmes sont délicieusement érotiques. On sent monter le désir, les pointes des seins pointer, les chattes se gonfler de sève et les réticences s'évanouir dans le plaisir. Seule au soleil allongée sur ma terrasse j'en ai fait tout autant en lisant et relisant tes récits. Merci pour m'avoir procuré cette jouissance.
Hmm Hanna, ces séances de piscine entre femmes sont délicieusement érotiques. On sent monter le désir, les pointes des seins pointer, les chattes se gonfler de sève et les réticences s'évanouir dans le plaisir. Seule au soleil allongée sur ma terrasse j'en ai fait tout autant en lisant et relisant tes récits. Merci pour m'avoir procuré cette jouissance.
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