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Les parents de Julien (5)
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Samedi 27 septembre 2014
Justement, aujourd'hui je remets ça avec Véro pendant que son mari travaille mais cette fois Ber est présent dès son arrivée. Après ce que nous avons vécu, plus besoin de faire semblant. Nous attaquons directement les grandes manœuvres et elle se donne sans retenue. Je lui laisse les honneurs du maître de maison et elle me bouffe le clito pendant qu'il la prend en levrette. Quand elle obtient son premier orgasme, il lui demande de le terminer avec une branlette espagnole et il gicle sur son cou et ses seins.
Pendant que nous récupérons au soleil, je la questionne un peu :
— Alors, comment ça se passe avec Hervé après notre petite partie ?
— Au mieux. Nous nous étions un peu endormis sexuellement, mais là on a fait ça tous les soirs.
— Que le soir ?
— Non, aussi un peu le matin avant d'aller travailler.
— Bravo !
— Et on en a profité pour varier à nouveau du petit coup tranquille.
— Branlette espagnole, sodomie, etc. ?
— Ben oui…
—Et Julien, commet ça se passe ?
— Justement, mercredi il a eu à nouveau un début d'érection. Je m'en suis aperçue quand j'étais en train de préparer le dîner dans la cuisine. En me retournant j'ai vu qu'il détournait le regard brusquement, mais je pense qu'il matait mes fesses. Comme il essayait de cacher son émoi derrière ses mains en coquille, je me suis amusée à le provoquer un peu. Je lui ai dit que tu m'avais raconté qu'il avait eu des érections devant vous et que tu avais eu raison de dédramatiser ce genre d'accident. Et que donc il n'avait pas à se gêner pour moi, je comprenais parfaitement.
— Et qu'est-ce qu'il a fait ?
— Il a retiré ses mains et j'ai vu qu'entre-temps son sexe avait encore pris du volume, au point d'être déjà pointé bien haut vers moi. Il s'est encore excusé mais je lui ai dit que ça me dérangeait pas, que c'était une réaction naturelle.
— Bravo, c'était le mieux à faire. Inutile de le traumatiser avec ça. Et alors ?
— Alors, je m'attendais pas à ça, mais il a continué à rester en érection devant moi sans se gêner. Jun peu plus tard, il est repassé en bandant encore et il avait même décalotté son gland. J'ai fait mine de l'ignorer et j'ai continué à faire ce que je faisais. Un peu plus tard, il est revenu et ça lui avait enfin passé.
— Tu paries combien qu'il était au repos parce qu'il était allé se branler dans les toilettes ?
— Euh, maintenant que tu le dis… C'est probable. Mais attends, c'est pas tout. Jeudi il s'est pas gêné de recommencer, et hier soir, après le repas et le film qu'on a regardé tous les trois ensemble nus sur le canapé, il s'est levé sans honte avec une demi-érection devant son père et moi.
— Et comment a réagi Hervé ?
— Il ne lui a rien dit, mais quand il a disparu, il m'a dit en rigolant que les hormones avaient l'air de travailler notre fils. Alors je lui ai raconté que ça lui était déjà arrivé avec moi et il m'a répondu que c'était normal cet âge et dans ces circonstances.
— Ça va, il le prend cool.
— Oui, et même plus parce que ce matin, il s'est amusé à bander un peu au petit-déjeuner en disant à Julien qui nous rejoignait dans le même état que c'était pas grave et que la preuve c'est que ça lui arrivait souvent à lui aussi, surtout le matin. Du coup je me suis retrouvée avec deux demi-érections près de moi.
— Et qu'est-ce que tu en penses maintenant que tu l'a vue en pleine forme, elle est pas mal la bite de Julien, non ?
— Oh, Caro, c'est mon fils !
— Oui, mais ça ne lui interdit pas d'avoir une belle bite, avoue. Et des couilles petites mais bien ramassées.
— Bon, c'est vrai qu'il est bien constitué.
— Et avoue aussi que ça te fait un peu plaisir de le mettre dans cet état.
Elle ne répond pas à ça, mais je vois bien qu'elle est excitée à ses cabochons bien dressés et au rouge de ses joues. Ce que je ne lui dis pas, c'est que si Julien s'est permis ça, c'est parce que je le lui ai suggéré, sans lui dire ce qu'on avait fait avec ses parents. Je lance donc la suite en lui caressant la fente, puis c'est reparti pour un tour. Et c'est dans une position assez intéressante que l'action est interrompue. Comme convenu, sauf pour Véro évidemment, Julien et Lola font leur apparition après avoir attendu que nous soyons bien lancés. De la façon dont nous sommes tournés, elle ne s'en rend pas compte, surtout qu'elle a la tête entre mes jambes pendant que Ber la ramone en levrette. C'est la remarque de Julien qui la fait réagir :
— Euh… Maman ?
Véro se dégage prestement et lui répond avec un peu de panique dans sa voix :
— Oh, Julien ! Euh, c'est pas ce que tu crois…
— Je crois rien, Maman, je constate seulement. Mais t'en fais pas, tu peux faire ce que tu veux, tu es adulte. Et connaissant Ber et Caro, je suis certain que tu t'ennuies pas.
Il vient vers nous et Véro peut maintenant s'apercevoir que son fils est en plaine érection et décalotté lorsqu'il vient s'assoir dans le transat à côté du mien. Lola s'installe à côté de Véro et empoigne la bite de Julien en disant à Véro :
— Bon, vu l'état où on se trouve, on va pas se priver nous non plus. Vous pouvez continuer, ça nous gêne absolument pas.
Après avoir un peu branlé son partenaire devant les yeux de la notre, elle l'embouche et se consacre à sa pipe sans plus nous calculer. Comme Ber a repris ses allers-retours dans sa chatte, Véro reste un moment bloquée sur ce spectacle puis se laisse aller, semblant admettre qu'il n'y a plus rien à cacher. Julien se laisse sucer un moment en regardant balloter les seins de sa mère qu'il voit pour la première fois en action, puis il décide de changer en se plaçant comme mon mari pour prendre Lola en levrette à côté de Véro. Dans cette position il a une vue rapprochée de la bite de Ber entrant et sortant de l'abricot de sa génitrice, ainsi que sur son œillet qui palpite au-dessus.
Comme je suis un peu délaissée par Véro, je me lève et change de siège pour présenter ma fente à ma fille. Elle me lèche sans hésiter, et Véro réagit :
— Mais Caro…
— Je t'avais dit qu'on s'adorait avec notre fille. Ben voilà !
Elle ne s'insurge plus du tout, dépassée par les évènement. Et même ça doit rajouter à son excitation car elle ne tarde pas à jouir sans retenue. Lola la suit de peu et les deux mâles se retirent de leurs fourreaux, encore en pleine forme.
Je prends Véro par la main et la fais allonger sur un matelas afin de me mettre sur elle en soixante-neuf. Ber se met devant moi et l'embroche en missionnaire. Il ressort un coup sur quatre pour que je le suce et retourne dans son fourreau. Je demande à Julien de me prendre en levrette et il n'hésite pas à faire ça plie devant le nez de sa mère. Je sais par notre position que ses couilles doivent même frotter un peu dessus.
Lui aussi sort de ma chatte et j'entends Véro se plaindre un peu :
— Euh, Julien, fais attention…
— Pardon, Maman, j'ai glissé.
Je me doute qu'il a fait entrer son gland en contact direct avec sa bouche. Il le refait encore deux ou trois fois et elle ne dit plus rien. Nous continuons à ce rythme un petit moment, puis les deux hommes nous quittent après nous avoir bien fait plaisir.
Ber retourne s'assoit dans un transat et fait signe à Julien de faire pareil à côté de lui. Véro se retrouve avec sous son nez les deux queues barbouillées de mouille. Pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je me place à genoux à côté d'elle et la retiens avec un bras autour de ses épaules, alors que Julien et Ber commencent à se branler de concert. Je suggère :
— Dites, on va pas les laisser dans cet état, après en avoir bien profité, non ?
— T'as raison M'man, P'ap est tout congestionné !
Et sous les yeux effarés de notre novice, elle embouche directement la bite de son père en le branlant. Je maintiens l'ambiance en enroulant mes doigts autour de la tige de Julien et en commençant à le branler :
— Comme je l'ai dit, on s'adore ! Et au point où on en est…
Sans attendre plus, je suce son fils juste devant elle. Elle est comme hypnotisée par cette vision surréaliste. Mais elle ne détourne pas les yeux. Donc je sors le gland d'entre mes lèvres et dis :
— Allez, A toi. Je vois que tu meurs d'envie d'y goûter.
— Euh, non, tu déconnes…
— Mais oui, Ne te mens pas, je sais qu'elle te fait envie depuis l'autre jour quand tu l'as vu bander chez toi. Et si je me trompe pas, tu y as un peu eu droit juste à l'instant.
Je lui prends la main et elle ne résiste que mollement quand je la pose sur la tige de son fils. Je referme alors les doigts et je l'aide à commencer le mouvement. Elle se décrispe et finit par y aller d'elle-même. Je lui souffle donc à l'oreille :
— Mets-y la langue pour commencer. Tu iras plus loin seulement quand tu te sentiras.
— Euh…
— Allez, vas-y !
— Oh, et puis zut, au point où j'en suis…
Elle le branle plus franchement puis lape le gland plusieurs fois avant de se décider toute seule à le gober. N'ayant plus à m'occuper de ce côté, je lui fais une pince de crabe avec le pouce dans le cul et l'index dans la chatte. Ma caresse lui fait perdre complètement les pédales et elle pompe Julien sans plus aucun remords. Je fais un signe à celui-ci qui s'extrait difficilement de cette bouche maternelle pour venir prendre la place de mon index dans son vagin. Elle a une dernière retenue, mais comme elle voit maintenant juste à côté Lola qui chevauche allègrement la bite de son père dos à lui, elle se laisse prendre par l'ambiance.
Je prends donc la place libre devant Véro et attire sa tête entre mes cuisses. Elle se laisse faire et commence à me déguster le clito pendant que son fils s'active derrière elle. Maintenant elle ne fait plus semblant de rien et profite de ce moment.
Quand je sens que Julien ne peut plus tenir, je lui dis de quitter la matrice maternelle pour venir nous nourrir de sa semence. Il s'empresse de m'obéir, trop heureux de pouvoir s'épancher dans nos bouches. Véro arrête de me laper pour me laisser la mettre à genoux avec moi devant le pieu de son fils qui nous braque en se branlant frénétiquement. Il éjacule puissamment avant que l'une d'entre nous deux n'ait pu le gober, la première giclée étant réservée au visage de sa mère. Je m'empresse de ne rien laisser perdre en prenant en bouche le gland agité de soubresauts qui expulse par à-coups le reste du sperme.
Par souci d'équité, Lola quitte la queue paternelle et me laisse la place puisque je suis la seule n'avoir eu droit à rien ou presque, si ce n'est la langue de Véro. Il me prend en classique levrette car parfois les choses les plus simples sont les meilleures.
Véro est encore sous le choc de ce qu'elle vient de vivre et reste à genoux à côté de nous. Lola en profite pour la coucher sur le sol et se place tête-bêche au-dessus d'elle. Dans le feu de l'action, Véro lui rend la pareille quand elle lui lèche la chatte. Julien qui bande illico devant ce spectacle se positionne derrière Lola et la prend juste devant le nez de sa mère. Il ressort entre deux coups de reins et donne son gland à sucer à sa génitrice qui ne le refuse pas.
Pour terminer, Lola se dégage après avoir joui et laisse le fils terminer dans la bouche de la mère pendant qu'elle s'occupe de Ber qui s'est retiré après m'avoir procuré un bel orgasme. Elle avale toute la semence paternelle avec délectation.
Puis c'est le retour au calme dans les transats. C'est Véro qui rompt le silence en le lançant :
— Eh bien, si je m'étais attendue à ça !
— Allez, dis pas que t'as pas aimé…
— Oui, justement, c'est ça qui me surprend. j'y aurais jamais cru avant.
— Tu vois, tant que c'est fait avec amour, c'est que du bon pour tout le monde.
— Euh, oui… mais Hervé ?
— Reste plus qu'à le faire entrer dans le cercle. Et je crois pas que ce soit difficile.
— Tu crois ?
— C'est certain, et tu peux commencer à le chauffer ce soir et demain matin avec la complicité de ton fils.
Julien approuve et elle est d'accord pour piéger son mari.
Justement, aujourd'hui je remets ça avec Véro pendant que son mari travaille mais cette fois Ber est présent dès son arrivée. Après ce que nous avons vécu, plus besoin de faire semblant. Nous attaquons directement les grandes manœuvres et elle se donne sans retenue. Je lui laisse les honneurs du maître de maison et elle me bouffe le clito pendant qu'il la prend en levrette. Quand elle obtient son premier orgasme, il lui demande de le terminer avec une branlette espagnole et il gicle sur son cou et ses seins.
Pendant que nous récupérons au soleil, je la questionne un peu :
— Alors, comment ça se passe avec Hervé après notre petite partie ?
— Au mieux. Nous nous étions un peu endormis sexuellement, mais là on a fait ça tous les soirs.
— Que le soir ?
— Non, aussi un peu le matin avant d'aller travailler.
— Bravo !
— Et on en a profité pour varier à nouveau du petit coup tranquille.
— Branlette espagnole, sodomie, etc. ?
— Ben oui…
—Et Julien, commet ça se passe ?
— Justement, mercredi il a eu à nouveau un début d'érection. Je m'en suis aperçue quand j'étais en train de préparer le dîner dans la cuisine. En me retournant j'ai vu qu'il détournait le regard brusquement, mais je pense qu'il matait mes fesses. Comme il essayait de cacher son émoi derrière ses mains en coquille, je me suis amusée à le provoquer un peu. Je lui ai dit que tu m'avais raconté qu'il avait eu des érections devant vous et que tu avais eu raison de dédramatiser ce genre d'accident. Et que donc il n'avait pas à se gêner pour moi, je comprenais parfaitement.
— Et qu'est-ce qu'il a fait ?
— Il a retiré ses mains et j'ai vu qu'entre-temps son sexe avait encore pris du volume, au point d'être déjà pointé bien haut vers moi. Il s'est encore excusé mais je lui ai dit que ça me dérangeait pas, que c'était une réaction naturelle.
— Bravo, c'était le mieux à faire. Inutile de le traumatiser avec ça. Et alors ?
— Alors, je m'attendais pas à ça, mais il a continué à rester en érection devant moi sans se gêner. Jun peu plus tard, il est repassé en bandant encore et il avait même décalotté son gland. J'ai fait mine de l'ignorer et j'ai continué à faire ce que je faisais. Un peu plus tard, il est revenu et ça lui avait enfin passé.
— Tu paries combien qu'il était au repos parce qu'il était allé se branler dans les toilettes ?
— Euh, maintenant que tu le dis… C'est probable. Mais attends, c'est pas tout. Jeudi il s'est pas gêné de recommencer, et hier soir, après le repas et le film qu'on a regardé tous les trois ensemble nus sur le canapé, il s'est levé sans honte avec une demi-érection devant son père et moi.
— Et comment a réagi Hervé ?
— Il ne lui a rien dit, mais quand il a disparu, il m'a dit en rigolant que les hormones avaient l'air de travailler notre fils. Alors je lui ai raconté que ça lui était déjà arrivé avec moi et il m'a répondu que c'était normal cet âge et dans ces circonstances.
— Ça va, il le prend cool.
— Oui, et même plus parce que ce matin, il s'est amusé à bander un peu au petit-déjeuner en disant à Julien qui nous rejoignait dans le même état que c'était pas grave et que la preuve c'est que ça lui arrivait souvent à lui aussi, surtout le matin. Du coup je me suis retrouvée avec deux demi-érections près de moi.
— Et qu'est-ce que tu en penses maintenant que tu l'a vue en pleine forme, elle est pas mal la bite de Julien, non ?
— Oh, Caro, c'est mon fils !
— Oui, mais ça ne lui interdit pas d'avoir une belle bite, avoue. Et des couilles petites mais bien ramassées.
— Bon, c'est vrai qu'il est bien constitué.
— Et avoue aussi que ça te fait un peu plaisir de le mettre dans cet état.
Elle ne répond pas à ça, mais je vois bien qu'elle est excitée à ses cabochons bien dressés et au rouge de ses joues. Ce que je ne lui dis pas, c'est que si Julien s'est permis ça, c'est parce que je le lui ai suggéré, sans lui dire ce qu'on avait fait avec ses parents. Je lance donc la suite en lui caressant la fente, puis c'est reparti pour un tour. Et c'est dans une position assez intéressante que l'action est interrompue. Comme convenu, sauf pour Véro évidemment, Julien et Lola font leur apparition après avoir attendu que nous soyons bien lancés. De la façon dont nous sommes tournés, elle ne s'en rend pas compte, surtout qu'elle a la tête entre mes jambes pendant que Ber la ramone en levrette. C'est la remarque de Julien qui la fait réagir :
— Euh… Maman ?
Véro se dégage prestement et lui répond avec un peu de panique dans sa voix :
— Oh, Julien ! Euh, c'est pas ce que tu crois…
— Je crois rien, Maman, je constate seulement. Mais t'en fais pas, tu peux faire ce que tu veux, tu es adulte. Et connaissant Ber et Caro, je suis certain que tu t'ennuies pas.
Il vient vers nous et Véro peut maintenant s'apercevoir que son fils est en plaine érection et décalotté lorsqu'il vient s'assoir dans le transat à côté du mien. Lola s'installe à côté de Véro et empoigne la bite de Julien en disant à Véro :
— Bon, vu l'état où on se trouve, on va pas se priver nous non plus. Vous pouvez continuer, ça nous gêne absolument pas.
Après avoir un peu branlé son partenaire devant les yeux de la notre, elle l'embouche et se consacre à sa pipe sans plus nous calculer. Comme Ber a repris ses allers-retours dans sa chatte, Véro reste un moment bloquée sur ce spectacle puis se laisse aller, semblant admettre qu'il n'y a plus rien à cacher. Julien se laisse sucer un moment en regardant balloter les seins de sa mère qu'il voit pour la première fois en action, puis il décide de changer en se plaçant comme mon mari pour prendre Lola en levrette à côté de Véro. Dans cette position il a une vue rapprochée de la bite de Ber entrant et sortant de l'abricot de sa génitrice, ainsi que sur son œillet qui palpite au-dessus.
Comme je suis un peu délaissée par Véro, je me lève et change de siège pour présenter ma fente à ma fille. Elle me lèche sans hésiter, et Véro réagit :
— Mais Caro…
— Je t'avais dit qu'on s'adorait avec notre fille. Ben voilà !
Elle ne s'insurge plus du tout, dépassée par les évènement. Et même ça doit rajouter à son excitation car elle ne tarde pas à jouir sans retenue. Lola la suit de peu et les deux mâles se retirent de leurs fourreaux, encore en pleine forme.
Je prends Véro par la main et la fais allonger sur un matelas afin de me mettre sur elle en soixante-neuf. Ber se met devant moi et l'embroche en missionnaire. Il ressort un coup sur quatre pour que je le suce et retourne dans son fourreau. Je demande à Julien de me prendre en levrette et il n'hésite pas à faire ça plie devant le nez de sa mère. Je sais par notre position que ses couilles doivent même frotter un peu dessus.
Lui aussi sort de ma chatte et j'entends Véro se plaindre un peu :
— Euh, Julien, fais attention…
— Pardon, Maman, j'ai glissé.
Je me doute qu'il a fait entrer son gland en contact direct avec sa bouche. Il le refait encore deux ou trois fois et elle ne dit plus rien. Nous continuons à ce rythme un petit moment, puis les deux hommes nous quittent après nous avoir bien fait plaisir.
Ber retourne s'assoit dans un transat et fait signe à Julien de faire pareil à côté de lui. Véro se retrouve avec sous son nez les deux queues barbouillées de mouille. Pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je me place à genoux à côté d'elle et la retiens avec un bras autour de ses épaules, alors que Julien et Ber commencent à se branler de concert. Je suggère :
— Dites, on va pas les laisser dans cet état, après en avoir bien profité, non ?
— T'as raison M'man, P'ap est tout congestionné !
Et sous les yeux effarés de notre novice, elle embouche directement la bite de son père en le branlant. Je maintiens l'ambiance en enroulant mes doigts autour de la tige de Julien et en commençant à le branler :
— Comme je l'ai dit, on s'adore ! Et au point où on en est…
Sans attendre plus, je suce son fils juste devant elle. Elle est comme hypnotisée par cette vision surréaliste. Mais elle ne détourne pas les yeux. Donc je sors le gland d'entre mes lèvres et dis :
— Allez, A toi. Je vois que tu meurs d'envie d'y goûter.
— Euh, non, tu déconnes…
— Mais oui, Ne te mens pas, je sais qu'elle te fait envie depuis l'autre jour quand tu l'as vu bander chez toi. Et si je me trompe pas, tu y as un peu eu droit juste à l'instant.
Je lui prends la main et elle ne résiste que mollement quand je la pose sur la tige de son fils. Je referme alors les doigts et je l'aide à commencer le mouvement. Elle se décrispe et finit par y aller d'elle-même. Je lui souffle donc à l'oreille :
— Mets-y la langue pour commencer. Tu iras plus loin seulement quand tu te sentiras.
— Euh…
— Allez, vas-y !
— Oh, et puis zut, au point où j'en suis…
Elle le branle plus franchement puis lape le gland plusieurs fois avant de se décider toute seule à le gober. N'ayant plus à m'occuper de ce côté, je lui fais une pince de crabe avec le pouce dans le cul et l'index dans la chatte. Ma caresse lui fait perdre complètement les pédales et elle pompe Julien sans plus aucun remords. Je fais un signe à celui-ci qui s'extrait difficilement de cette bouche maternelle pour venir prendre la place de mon index dans son vagin. Elle a une dernière retenue, mais comme elle voit maintenant juste à côté Lola qui chevauche allègrement la bite de son père dos à lui, elle se laisse prendre par l'ambiance.
Je prends donc la place libre devant Véro et attire sa tête entre mes cuisses. Elle se laisse faire et commence à me déguster le clito pendant que son fils s'active derrière elle. Maintenant elle ne fait plus semblant de rien et profite de ce moment.
Quand je sens que Julien ne peut plus tenir, je lui dis de quitter la matrice maternelle pour venir nous nourrir de sa semence. Il s'empresse de m'obéir, trop heureux de pouvoir s'épancher dans nos bouches. Véro arrête de me laper pour me laisser la mettre à genoux avec moi devant le pieu de son fils qui nous braque en se branlant frénétiquement. Il éjacule puissamment avant que l'une d'entre nous deux n'ait pu le gober, la première giclée étant réservée au visage de sa mère. Je m'empresse de ne rien laisser perdre en prenant en bouche le gland agité de soubresauts qui expulse par à-coups le reste du sperme.
Par souci d'équité, Lola quitte la queue paternelle et me laisse la place puisque je suis la seule n'avoir eu droit à rien ou presque, si ce n'est la langue de Véro. Il me prend en classique levrette car parfois les choses les plus simples sont les meilleures.
Véro est encore sous le choc de ce qu'elle vient de vivre et reste à genoux à côté de nous. Lola en profite pour la coucher sur le sol et se place tête-bêche au-dessus d'elle. Dans le feu de l'action, Véro lui rend la pareille quand elle lui lèche la chatte. Julien qui bande illico devant ce spectacle se positionne derrière Lola et la prend juste devant le nez de sa mère. Il ressort entre deux coups de reins et donne son gland à sucer à sa génitrice qui ne le refuse pas.
Pour terminer, Lola se dégage après avoir joui et laisse le fils terminer dans la bouche de la mère pendant qu'elle s'occupe de Ber qui s'est retiré après m'avoir procuré un bel orgasme. Elle avale toute la semence paternelle avec délectation.
Puis c'est le retour au calme dans les transats. C'est Véro qui rompt le silence en le lançant :
— Eh bien, si je m'étais attendue à ça !
— Allez, dis pas que t'as pas aimé…
— Oui, justement, c'est ça qui me surprend. j'y aurais jamais cru avant.
— Tu vois, tant que c'est fait avec amour, c'est que du bon pour tout le monde.
— Euh, oui… mais Hervé ?
— Reste plus qu'à le faire entrer dans le cercle. Et je crois pas que ce soit difficile.
— Tu crois ?
— C'est certain, et tu peux commencer à le chauffer ce soir et demain matin avec la complicité de ton fils.
Julien approuve et elle est d'accord pour piéger son mari.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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