Ballade irlandaise (4)

Samedi 8 août 2015

Ce matin, Ber sort de la chambre décalotté et avec une érection pointant haut juste à temps pour croiser Erin qui sort de la salle de bains. Il s'excuse encore un peu sans pour autant se cacher et y entre à son tour. Elle reste sans voix devant cette vision. Elle me rejoint dans la cuisine où je suis seule. Je lance :
— Alors, vous vous êtes bien amusées hier soir ?
— Euh, pardon, je suis gênée…
— De quoi ?
— Ben, de ce que vous avez vu.
— Mais non, du moment que tout le monde se fait du bien, ça ne me dérange pas du tout.
—Oui, mais tout de même…

Quand Ber vient nous rejoindre dehors, il a un peu débandé et n'est plus qu'à l"horizontale mais son gland prend toujours l'air. Et je sais pertinemment qu'à partir de maintenant ce sera en permanence.

Dans l'après-midi, il a de nouveau sa belle bite arquée bien raide alors qu'il est à califourchon au-dessus des jambes de Lola pour lui passer l'huile de bronzage sur le dos et les fesses. Pendant qu'il malaxe copieusement ces deux hémisphères, sa queue bat la mesure. Je le fais remarquer à Erin qui est dans le transat à côté du mien :
— Tu vois, c'est tout de même mieux de se laisser aller, de ne pas se formaliser e choses tout à fait naturelles, non?
— Euh, je pense que oui. Mais ça ne te dérange pas que je vois son sexe dans cet état ? Et en plus à cheval sur Lola ?
— Pas du tout, et même j'espère que ça te fait un peu plaisir.

Ber se redresse de son massage sur Lola et vient vers nous avec sa queue dressée qui fait le métronome et s'affale sur le transat à côté d'Erin. Elle ne peut échapper à la vision de cette colonne de chair qui dans cette position pointe à la verticale en dodelinant, juste à côté d'elle. Il prend un malin plaisir à mettre pas mal de temps à débander.

Le soir dans le salon, Ber est de nouveau en érection dans son fauteuil quand je me lève et lui caresse la bite sans me cacher :
— Bon, vu ton état, si on allait en profiter ?

Il se lève à son tour et me suit vers notre chambre en me tripotant la raie au vu de notre invitée. Lola profite de cette séquence pour faire monter la pression avec Erin en insistant sur le côté coquin de notre petite saynète. Elle va chercher dans sa chambre de nouveaux jouets pour les lui fait découvrir. Après avoir atteint un bon degré de fusion, elle la met à genoux devant le canapé et la pilonne en levrette avec un strapon, ayant pris soin de tourner dos au couloir dans cette position. Elle lui demande :
— Essaie d'imaginer que c'est mon père qui te baise.
— Oh, Lola…
— Allez, avoue que tu aimerais bien que ce soit lui à la place de ce bout de plastique.
— Oui, bon, c'est vrai, j'y pense.
— Alors demande-lui de te prendre plus fort !
— …
— Allez, lâche-toi !
— Oh oui, encore !
— Non, dis son prénom !
— Oh oui, Ber, plus fort !
— Là, voilà ! Continue.

Comme prévu, Ber entre discrètement dans le salon et se place juste à côté de Lola qui quitte la chatte d'Erin et reste en suspens en lui demandant :
— Encore ?
— Oh oui, encore !
— Non, mieux : encore, Ber, bourre moi bien !
— Encore, Ber, Bourre moi bien !

Sur ce, Ber pose ses mains sur la croupe d'Erin et l'embroche sans peine vu qu'elle st déjà bien préparée par Lola. Elle ne se rend pas compte du changement qui a été rapide et continue à gémir le prénom de Ber. Lola se déplace alors pour se montrer dans son champ de vision et lui annonce :
— Voila, ton vœu est exaucé !

Erin est déboussolée de sentir encore une queue en elle alors que le strapon de Lola est devant son nez. Mais elle a atteint le point de non-retour et se laisse ramoner en haletant. Elle jouit enfin et comme elle doit se demander comment gérer cette situation, Ber et Lola la rassurent en lui disant que puisque ça a été bon pour tout le monde, pourquoi s'en faire.

C'est le moment que je choisis pour arriver à mon tour dans la chambre en demandant pourquoi on s'amuse sans moi. Erin ne sait plus où se mettre, surtout que Lola commence à sucer Ber qui n'a pas encore éjaculé pour le garder en forme. Je m'occupe d'Erin après avoir récupéré le strapon de Lola. Lola qui est en train de se faire prendre en levrette par son père juste devant nous. La partie continue à quatre avec diverses combinaisons jusqu'à se que tout le monde soit repu.


Dimanche 9 août 2015

Un peu de gêne pour Erin ce matin lorsqu'elle nous rejoint, mais ça passe car on la rassure tout en lui dévoilant nos rapports familiaux. Elle est étonnée de toutes ces révélations, mais nous assure qu'elle ne nous juge pas; Elle avoue même qu'elle a bien aimé notre séance de cette nuit.

L'après-midi, Lola est dans la piscine en train de sucer Ber qui est assis sur le rebord. Erin est aussi dans l'eau et lorsque je lui suggère d'aller l'aider, elle hésite un peu puis se décide. Elle se partagent sa bite, puis Lola la laisse continuer seule. Quand Ber éjacule sans prévenir, elle a un haut-le-cœur de surprise en recevant cette charge copieuse de dans sa bouche. Mais elle ne recrache pas, même si des filets de sperme s'échappent sur son menton.

Le soir, nous remettons ça avec une partie à quatre dans le salon pour lui montrer les plus nombreuses possibilités qu'offrent canapé, fauteuil et table basse. Elle reçoit aussi sa première sodomie, que je lui offre avec un strapon pas trop gros car elle n'est pas encore ouverte de ce côté-là.


Lundi 10 août 2015

Pour se remettre un peu dans le mode visite, nous allons faire une rando dans les Calanques jusqu'à la calanque de l'Escu.

Il n'y a que nous sur les rochers car elle est très souvent déserte, même en été. C'est l'occasion d'une première baise au grand air pour Erin. Elle accepte même de se faire enculer enfin par Ber qui y va très doucement afin de ne pas lui faire mal. Ça se passe bien et elle finit par jouir sur les grands coups de reins qu'il peut enfin lui mettre une fois que le passage est fait.


Mardi 11 août 2015

C'est aujourd'hui son dernier jour, et nous le consacrons à une bonne baise sur la terrasse. Elle expérimente la dernière chose qui manquait à sa panoplie, la double pénétration, avec Ber en dessous et Lola derrière elle. Puis nous allons nous coucher tous vidés. Assez tôt car il faut la ramener pour 5 heures du matin à Marignane pour son avion de retour. Elle accepte de ne pas porter de sous-vêtements, les laissant dans les bagages.